Obliger d'aimer
Évoluer dans un monde qui n'existera bientôt plus est étrange. En marchant dans ses rues, je me dis que ses enfants n'auront jamais le temps de devenir des adultes et que ses amoureux n'auront jamais le temps de ce marier. Bien vite, avec les informations que j'ai récolter, ce village, cette ville, ce pays entier sera rayer de la carte. J'aide les ennemis à amener le chao. J'aide les démons à conquérir la surface et je le fais pour la simple et bonne raison que je ne veux pas mourir, ni voir mon peuple subir le même sors.
Je fini par trouver un taxi et en trouver un d'accord pour me conduire à la frontière. De là, je continu à pied, jusqu'à ce que j'arrive à un autre village. Avec l'argent qui me reste, je me paie un bon repas et de nouveau un taxi. Le chauffeur ne semble même pas effrayer lorsque je lui indique que je veux être conduit au domaine de Wilder. Ce peuple aime vraiment leur dirigeant, sans même savoir que ses une famille démoniaque et sadique. Je soupire et ferme les yeux pendant qu'il continu l'éloge de cette famille. Cette famille a qui ont ma marier de force et que je méprise. Je n'aurais pas du revenir et en même temps, ou me serais-je cacher?
Arriver je paie l'homme derrière le volant et gravit les marches pour cogner à la porte. Ceci est censer être ma demeure, mais j'ai l'impression que je ne mis sentirais jamais à ma place. Un majordome vient m'ouvrir et je me rappelle que les servants sont humain, donc peu au courant de la vériter.
"Je suis venus livré un rapport au général de guerre."
Le majordome m'observe curieusement, ce demandant sûrement où il ma vu sans reconnaitre en moi la femme du prince pour laquelle je me suis fait passer pendant un mois. Il me laisse malgrer tout entrer et me conduit à l'anti-chambre que je sais infester de démon. Je prend une grande respiration avant d'y entrer. Tant de personne ne me montre aucun intérêt et pourtant, je repère mon mari dans le fond en train de ce faire installer une armure sur son corps. Le combat est proche et mon retour est le signe de leur départ. Je vois ses yeux rouges, caractéristique des démons, se tourner vers moi et il me sourit de ses dents carnassier.
"On me doit de l'argent visiblement. La jeune mariée est de retour. Général, n'est pas vous qui m'aviez parier 100 pièces d'or, qu'il fuirait et tenterais vainement de ce cacher?"
J'entend l'homme grogner mécontent d'avoir perdu le parie. Génial. Je suis les ragôts.
"A-t-il au moins les informations que nous lui avons demander." Dit-il en s'approchant de moi qui tentait de ne pas paraître effrayer. "Suivez moi charmante dame."
Génial me dis-je. On ce moquait de moi. J'offri donc les informations que j'avais à celui qui dirigerait l'armée de démon. Puis on me donna congé. Je voulut quitter la salle, mais fut arrêter par mon époux Samaël. Après les révélations de mon véritable sexe, nous n'avions plus échanger. On m'avait tout de suite envoyer en mission pour collecter des informations et me voici, deux semaines plus tard.
"Ève, attend."
"Je ne m'appelle pas Ève."
"Malheureusement, Ève, mis à part les démons, tous croit ton vulgaire mensonge, alors tu ferais mieux de continuer à prétendre être ta soeur, très chère."
Je détourna le regard. À quand mes parents allait retrouvait cette foutu jumelle en fuite que je retrouve un semblant de vie normal.
"Donc, ma très chère épouse Ève, je vais partir avec l'armée envahir le pays du sud. Je devrais être partit pendant quelques semaines et être revenu d'ici la fin du mois. Pendant mon absence, ma mère est aviser de régler ton petit problème d'enfantement. Elle s'occupera de toi. Nous avons besoin d'une descendance. Ne l'oublie pas. Sinon, tu nous ai complétement inutile et mon stupide père continura de ce poser des questions. Il serait triste de ce débarasser de toi après tout ton beau travail, n'est-ce pas?"
On vient lui porter la touche finale à son armure.
"Attend moi. À mon retour, ta pudeur devra prendre le bord. Je te ferais l'amour et tu engendra ma progéniture."
Puis il conclua son discours en m'embrassant avant de rejoindre son groupe. Je fuit donc jusqu'à mes... nos appartements regrettant d'être revenu. Non, je ne peux pas regretter ça. Il aurait exterminer tout mon peuple. Je n'aurais su vivre avec la culpabilité de toute ses morts et c'était seulement si on ne me retrouvais jamais.
J'observais l'armé quitter notre demeure par la fenêtre de ma chambre. Puis je me dirigea vers la salle de bain pour me laver. Je devrais de nouveau jouer les princesses. Porter les robes et mettre une foutu perruque qui me gratterait la tête. À moi que je me laisse pousser les cheveux. Oui, je crois que je ferais cela. Chose sur, j'irai appeler mes parents dés que possible. Je ne me ferais pas mettre en cloque par un démon! Surtout que c'est impossible.
Je sortit du bain pour me sécher à la serviette quand j'entendis la porte derrière moi ouvrir. Je cacha donc mon sexe de mâle avant de me tourner vers ma belle-mère. Fausse alerte, la succube savait que je n'étais pas une fille.
"Vous me voulez?"
"Petit ingrat. Décache toi. Je suis venus régler ton problème, comme mon fils ma demander."
Je jeta donc la serviette dans un coin en croisant les bras.
"Je ne sais pas comme ça fonctionne sous terre, mais ici les hommes ne peuvent enfanter. Faites vous à l'idée."
Mais la succube sortit une longue aiguille de sa robe et une fiole d'un liquide goudronneux et noir. Elle l'y plongea dedans me tournant autour comme une rapace.
"L'important est que tu nous donnes un héritier. Pour le reste, nous en avons rien a faire. Quoique mon mari entrerait dans une colère noir de l'apprendre, alors continu de cacher ta véritable identité."
"Vous ne semblez pas avoir beaucoup d'estime pour Lord Wilder. Pourquoi l'avoir épouser?"
Je fini à peine ma question qu'elle me planta l'aiguille dans le ventre avant de la retirer. La douleur me coupa le souffle et je tomba à genou au sol me prenant le ventre. Je sentais un liquide brûlant se répandre dans mon corps et me bruler les entrailles. Les larmes naquit dans mes yeux sous la douleur et les contractions.
"Lorsqu'il a invoquer les démons pour faire un pacte avec nous, nous y avons vu une opportunité. Une porte entre nos deux mondes en permanence ouverte pour le vas et viens de notre espèce. Il voulait puissance et force. Nous lui avons donner. Tout comme toi et Samaël, mon mariage à lui et moi était obliger. Il gagnait une armée de démon prêt à le servir et nous l'accès à la surface."
Elle me piqua dans le bas du dos, à la naissance de mon fessier avec sa longue aiguille mortel. Je poussa un hurlement avant de m'effondrer au sol me débattant avec la douleur qu'elle m'avait transmise.
"Les humains, vous êtes si stupide. Votre temps sur cette planète est si éphémère et pourtant, vous tentez de vous convaincre que vous êtes immortel et puissant. Pour le moment nous lui obéissont. Jouons notre jeu à la perfection. Nous l'aidons à dominer cette terre, mais à sa mort, ce sera notre fils Samaël qui prendra les rênes. Mon petit Cambion sera alors maitre sur cette terre. Nous aurons donc gagner. Vos souverain seront nous. Ceux des sous-sol."
Je n'écoutais pas à moitié ce qu'elle me disait, tenta de trouver un souffle libérateur. D'arrêter mes muscles de ce tordre. Tenta de contrôler les battements de mon coeur et survivre à ses deux attaques vicieux.
"C'est là que nous avons besoin de toi mon cher. Pour que la porte reste ouverte, nous avons besoin d'un humain qui la garde ainsi. Le sang mélanger de mon fils permet de garder la porte ouverte avec sa part humaine. Le sang mélanger de l'enfant que tu nous donneras, le permettra aussi, si malheurs arrivait à ma progéniture. Respire doucement. Abandonne ton corps au changement. Résister ne te fera que plus mal et peut-être même finira par te tuer."
Je pleure sous la douleurs, recroqueviller au sol en position foetal. J'aimerais tant mourir que cette douleur s'arrête.
"Chaque jour je reviendrais t'administrer cette infime dose dans ton corps, en espérant que le traitement soit terminer d'ici le retour de Samaël. Lorsque mon mari décédera, tu pourras arrêter ta grotesque supercherie. Tu pourras t'habiller comme bon te semble et aborder le nom que tu désireras, mais pour le moment n'oublie pas. Tu t'appelle Ève, et sous tes merveilleuses robes, tu porteras l'enfant d'un démon."
Puis elle arrêta de me tourner autour, rangea l'aiguille et la fiole puis m'abandonna sur le carrelage de la salle de bain. Je réussis à retrouvez le calme que trois heures plus tard. Faible et épuiser de mettre tordu de douleur. J'enfila une robe avant de m'effondrer dans le lit. J'avais complétement oublier d'appeler mes parents et quelques choses me dit que ça devait être inutile. Ils avaient du comprendre que la supercherie est été découverte et se réjouir de ne pas voir les démons venir ce venger.
Tout les jours, la séance de torture recommençais. J'avais beau supplier, implorer et demander grâce, elle m'infligeait deux coups d'aiguille. Une sous le nombrils et l'autre à la naissance de mes fesses. Chaque fois mon corps réclamait la mort, puis je me suis rendu compte que la douleur était de moins en moins difficile à endurer pour ne devenir au bout d'un mois qu'une douce chaleur enivrante.
Puis peu de temps après, alors que je mangeais seul à la table familial, la démonne vient me chercher.
"Ce fut une réussite. Notre armée est de retour. Nos époux ont gagner ce combat et aggrandit nos territoire."
Je me figea dans la dégustation de mon potage. Je n'étais aucunement heureux de cette réalité. Des vies humaines par millier était donc décédée et je devais donner ma virginité.
"Viens, nous allons nous faire une beauté pour les accueillir comme il se doit."
Fatiguer depuis longtemps de résister à mon sort, je la suivit, pendant qu'elle bouclait mes courts cheveux, maquillait mon visage et me sélectionnait la plus ravissante et révélatrice de mes robes. Puis elle fit pareille pour elle et nous nous sommes diriger vers la cours. Sans sourire, je regardais les démons défiler devant nous. Puis il arriva accompagner de son père souriant voyant les femmes les attendres sagement.
"Comme vous êtes ravissante, mesdames." Fis le seigneur absolu en aggrippant ma main pour la baiser avant de s'approcher de la succube et déposer ses lèvres contre les siennes. "Je crois que moi et mon fils, méritons une récompense d'avoir ainsi remporter cette guerre."
J'entendit la dame ricaner avant de le trainer dans la maison et je posa mon regard sur les yeux rouge de mon démoniaque époux. Il m'offrit un doux sourire avant de me prendre la main et m'obliger à le suivre. Dans la chambre, je ne souriais toujours pas, alors qu'il me demanda de lui retirer son armure. J'obéis faisant fit de mes émotions. Lorsque je fini de le dénudé, il se tourna vers moi et me departit à son tour de mes vêtements. Je me souviens alors de ses paroles à notre nuit de noce. Il ne me violerais pas.
"Je ne veux pas." Que je lui signifie.
"Il va bien falloir."
"Je ne suis pas intéresser par les hommes. Je n'ai aucune envie de me faire pénétrer et souffrir."
Il penche la tête et se retient visiblement de rire.
"Tu changera vite d'idée, quand tu auras découvert pour la première fois ce plaisir charnel."
"Je doute."
Il me coucha doucement sur le lit une fois nu pour me grimper dessus.
"C'est tu ce que ma mère ta fais durant ce dernier mois?"
"Elle ma frapper à coup d'aiguille."
"Mais c'est tu ce qu'il y avait au bout de cette aiguille?" Continua de m'interroger mon mari pendant que ses lèvres trouvait ma clavicule.
"Une substance noir."
"Du sang de succube, ma chérie. Du sang de la succube mère."
Je m'apprétais à répliquer que je n'en avais rien à faire, lorsque je sentit une décharge électrique me paralyser de plaisir.
"Désirs tu que j'enlève mon doigt?"
Il avait quoi? Mais répondre m'était impossible, car plus il bougeait son doigt robuste dans mon postérieur, plus j'avais envie de gémir.
"Les succubes sont les démons de l'envie, du sexe, du désirs, du plaisir charnelle et de la perversité. Tu te rendra bien vite compte des biens fait que ce sang à eux sur ton corps quand tu découvriras que tu ne peux plus ressentir de douleur au niveau de ton bassin et plus bas sur ton corps."
Comme pour me le prouvez, il rajouta trois doigts en une seule fois et au lieu d'éprouver une résistance, un dégoût, une douleur ou une gêne, les stimulis que je recevais ne me permettait qu'une unique penser: J'en voulais encore plus.
"Alors dis moi. Désir tu que nous arrêtions maintenant? Me refuses tu encore à toi?"
"Non."
"Non, quoi?"
"Encore. J'en veux encore." Que je gémis inconscient de ce que je demandais à ce démon.
Et pourtant il enleva ses doigts et se redressa au milieu de la pièce pour m'observer et attendre. Lorsque je repris mes esprits et mon souffle, je me redressa pour mieux l'observer.
"Qu'est-ce que..." Demandais-je rougissant. "Pourquoi avoir arrêter? Ce n'était pas ce que tu voulais depuis si longtemps?"
"Couchez avec un pathétique humain? Non. Arrêtez d'entrer mon père râler sur le fait que je ne suis pas capable de t'engrosser, oui. Mais je maintiens ce que je tes dis au tout début. Je ne vois aucun intérêt en ta personne. Que les choses soit claire, nous coucherons ensemble, non pas par amour, mais par nécessiter de reproduction. Tombe enceint et je te laisserais tranquille."
Je l'observa un moment le souffle toujours lourd. Rien à foutre de ses conditions. Il venait de réveiller en moi une bête insatiable qui demandais à revivre ses sensations merveilleuse.
"Couche avec moi." Je lui demanda presque en suppliant.
Il me sourit amusé avant de s'approchez de nouveau de moi et me surplomba. Son sexe était aussi dur et bander que ses muscles de guerrier. Pourtant, malgré la grosseur de ce monstre, je n'en éprouva qu'un plaisir paralysant et jouissif. Cette nuit là, je crois que j'ai réveiller le château en entier avec mes cris de joie et je n'en ai éprouver aucune honte. Il pouvait faire ce qu'il voulait de mon corps, tant qu'il assouvissait mon besoin charnel et quasi insatiable.
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