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Monnaie d'échange

Savez-vous ce qui est pire que de se retrouver en prison? Se trouver là pour un crime qu'on a pas commis. Ce retrouver dans un aile remplis de criminel accusé de voie de fait et tentative de meurtre. Des personnages violents et qui n'ont plus rien à perdre, car ils savent que de toute façon, ils ne reverront pas la couleur du soleil avant trente ans.

Et tu m'as. Un être apeuré qui c'est retrouver ici à cause d'une erreur juridique. Ont m'accuse de complicité de meurtre, mais malgré mon déni, le jury n'a jamais voulut m'écouter. Mon seul crime est d'avoir accepté une bague de mon nouvellement fiancé. Comment aurais-je été censé savoir que cette bague, il l'avait eu en tuant son ancien possesseur pour me l'offrir? Comment aurais-je dû savoir que la portée ferait en sorte que la police me pointe du doigt comme un complice à ce crime.

Le pire est que je ne suis même pas enfermé dans la même prison que mon amoureux. Si je désire qu'il le reste. J'avais toujours cru qu'il était un être exceptionnel et doux. Avec moi du moins. Il me couvrait de cadeaux en tout genre, mais je commence à réaliser que ses cadeaux ne venaient pas tous d'un endroit légitime.

Mais peut-importe, car je suis enfermé dans cette prison pour au moins dix ans. Dix ans de ma vie à gâcher. Dix ans de ma vie dans un milieu inhospitalier. Tout me regarde. Ils savent que ma place n'est pas ici. Ils savent que je n'appartiens pas à leur monde et je sens que je vais le regretter.

Déjà, ça ne fait pas une semaine, on ma déjà menacer de viol, battus et voler mes repas. J'aimerais me battre, faire ma place, mais dés que j'ouvre la bouche, on me menace de me tuer et j'ai tendance à les croires. Après tout, ils ont déjà tué auparavant et moi je n'étais qu'un simple massothérapeute.

Aujourd'hui, ils s'ennuient particulièrement, car lorsque je me suis levé de mon lit de fortune pour aller chercher un verre d'eau, les railleries ont commencé. Ils sont venus me bousculer. Me pousser au sol et me cracher dessus. L'un m'a même montré sa queue me menaçant de la rentrée profonde en moi. Je ne suis qu'une pute à leur yeux. Le faible de service avec qui ils peuvent s'amuser.

"Laissez le." Ordonne un homme.

Les coups s'arrêtent soudain de pleuvoir. Un moment de répit.

"Ou sinon quoi?" Enchérit un autre.

Des cris et des coups se mettent alors à retentir. Les deux hommes se battent et sûrement jusqu'à la mort. Je suis là. Coucher au sol, la bouche en sang et une paupière enflant pendant que tous les regards sont posés sur les deux tueurs présumés qui tentent de faire valoir leur supériorité. Le gagnant? Le chef de l'aile évidemment. Son collègue est au sol et le chef est enragé.

"Quand j'ordonnes, tu obéis! C'est mon aile ici et si tu es pas content, tu demandes à être transférŕ et tu me fou patience!" Gueule-t-il à celui qui a osé défier son autorité.

Les autres détenus s'éloignent pendant que le blessé titube vers sa cellule. Le pire est que si les agents de sécurité arrivent, personne ne parlera. Même pas lui. S'il parle, il dénonce et s'il dénonce, c'est un rat. Les rats meurent en prison. Me sentant tout petit, je me dit que montrer du respect au chef de l'aile m'aidera peut-être.

"Merci."

Il me lance un regard curieux avant d'afficher un regard mauvais.

"Tu viendras me rejoindre dans ma cellule. Il faut qu'on parle tous les deux."

Est-ce une bonne nouvelle d'être convoqué ainsi par la personne qui a réduit au silence un autre détenu à coup de poing? Aucune idée, mais si je n'y vais pas, j'y passerai. Je vais me rincer la bouche avec de l'eau pour cracher tout le sang qui s'y était accumulé et je me dirige vers la cellule de l'homme. Tout le monde l'appelle Mountain. Aucune idée pourquoi, mais c'est son nom ici. Moi c'est la bitch, lui c'est la montagne.

"Tu fais pitié à voir." Me dit-il immédiatement quand je mets un pied dans sa cellule.

Il fait signe aux autres hommes présents d'aller dans la salle commune pour une discussion en privée avec moi. Je déglutit de peur, mais je m'assois dans le lit en face de lui comme il m'indique.

"On s'ennuie ici. Tu es parfait pour distraire. Es-tu prêt à vivre l'enfer? Ta première semaine ici n'était qu'un aperçu."

Je baisse la tête pour cacher les larmes qui apparaissent dans mes yeux. Je ne devrais pas être ici. Je savais pas que ma bague de fiancaille venait d'un meurtre. Je savais même pas pour le meurtre. Je ne savais même pas pour les dossiers criminels de mon fiancé qu'il accumulait depuis sa puberté.

"Aidez-moi." Je le supplie presque avec l'espoir que son statut m'aide à échapper à cet enfer.

"On est en prison mon gars et je vois pas l'intérêt de t'aider. Qu'est-ce que j'y gagne?"

"Je peux te donner l'un de mes repas." Je propose me rendant compte que je m'enfonce peut-être plus.

"J'ai tout ce que j'ai besoin niveau nourriture. Trouve mieux, car sinon tu sors de ma chambre et rebienvenue dans la jungle."

"Je... je suis massothérapeute. Je peux peut-être..." je m'arrête dans la proposition. Ça fait gay. Il me semble qu'être gay en prison n'est pas bien vu.

"Un masseur?" Demande Mountain soudain intéresser.

"Massothérapeute." Je corrige. Masseur signifie échange sexuel. Ce n'est pas ce que je fais.

"Montre." Me demande-t-il en enlevant son chandail.

Je me redresse pour venir le rejoindre sur le lit et commencer à travailler ses muscles d'épaule. En espérant qu'il aime assez ça pour accepter de m'offrir protection en échange. Je l'attend gémir de bonheur. Évidemment, en prison le stress est constant et les matelas qu'on nous fournit son mince comme une feuille de papier. Ses muscles sont du béton constamment sous pression.

"C'est bon arrête."

J'obéis en déposant mes mains sur mes genoux et baissant le regard.

"Ça fait du bien."

"Merci. Alors, allez-vous m'aidez? Me protéger des autres?"

"Tu es homo?"

Je rougis abasourdi. Devrais-je avouer ou va-t-il me frapper de l'avoir touché en croyant que ce contact aurait pu m'exciter?

"À ouais, alors tu es vraiment une pédale. Et tu suce bien?"

Je fige. Que veux-t'il dire par là? Au moins, malgré l'insulte, il ne m'a ni frappé ni semblé dégoûter.

"Je... je..."

"On va se le dire. Tu masses bien, mais je peux m'en passer. Sais tu depuis combien de temps suis- je ici? Cinq ans et je dois encore en faire vingt. Je suis pas homo, mais une pipe c'est une pipe."

Mes yeux s'écarquillent.

"Je ne suis pas... Non!" Je m'insurge.

"Alors fou le camps de ma chambre et va te faire défoncer par tous les autres en manque, crétin." Dit-il agressivement.

Je me lève en tremblant et quitte sa cellule la peur dans le ventre. Qu'est-ce qui va m'arrive maintenant? Il va révéler à tout le monde mon orientation sexuel et les menaces de viol ne seront plus que de simple menace? Je regagne mon lit en tremblant. Je veux être chez moi. Retrouver mes amis et ma famille.

Finalement, je n'ai pas dormi de la nuit. Je me suis réveillé, car un type à decider de me pisser dessus. Puis lorsque j'ai tenté de m'insurger, il m'a donné un coup en plein ventre avant de partir en riant. Ça l'a réveillé ceux dans la cellule proche de mon lit de camp en pleine salle commune. L'un d'eux est venu me rejoindre à poil en riant et un autre m'a agrippé les cheveux pour me mettre un poignard artisanal sous la gorge. Résultat, pour assurer ma survie, j'ai dû les masturber avant qu'ils retournent se coucher.

Ma vie est un véritable enfer. Ça va faire deux semaines et je sens que les détenus sont de plus en plus fébriles. J'ai averti les gardiens que je voulais changer d'aile, mais ils ont refusé à cinq reprises. Ils n'en ont rien à faire de savoir que ma vie est en jeu. Pour eux, je suis un criminel. Un animal en cage. Les détenus ont vu le manque d'intérêt de nos gardiens face à moi. Je l'ai entend déjà planifier mon viol collectif dans les toilettes d'une des cellules. Mon cœur tambourine de peur et je me rends compte qu'il ne me reste qu'une solution. Je me dirige donc vers la cellule du chef de l'aile en tremblant. Vos mieux un conscentemment avec lui qu'une dizaine non-concentant sur moi.

"Salut Mountain." Dis-je la voix tremblante.

"Tu veux quoi la pédale?" Me demande-t-il sans quitter des yeux son bouquin.

"J'aimerais ta protection. S'il te plaît."

"On en a déjà discuté. Tu n'as rien à m'offrir, pourquoi je te protégerais."

"Je... j'accepte ton marché de la dernière... fois."

Il tourne son regard vers moi et je vois le dégoût me juger. Oh... et s'il avait dit ça pour plaisanter? Il se lève doucement et me fait un signe de tête pour que je le suive dans la salle de bain. La seule place où aucune caméra de surveillance se trouve. Je le suis incertain. S'il veut me tuer sans preuve, c'est l'endroit idéal, mais il se contente de se mettre hors champs des caméras de surveillance et de sortir son membre masculin.

"Je... si je le fais, tu vas me protéger de tout les autres?"

"Satisfait moi et je m'assure que plus personne t'approche à moins d'un mètre."

Je hoche la tête, peu sûr de savoir si je me fait avoir ou non et je me place à genou devant lui pour mettre son sexe dans ma bouche. Je ferme les yeux et je tente de me concentrer sur le sourire de mon fiancé. Ex-fiancé? On a pas vraiment eu le temps de discuter de notre statut après que le juge nous a déclarés coupable et séparé dans deux prisons différentes. Anyway, je lui fait l'amour avec ma bouche comme je le faisais avec l'homme que j'aimais. Je sais que j'ai réussi à lui plaire quand sa semence coule dans ma bouche et j'avale me disant qu'il en serait ravi. Il remballe ses parties un sourire satisfait aux lèvres.

"Continue comme ça et tu feras ton temps à mes côtés sans plus de problème." Me dit-il en quittant la pièce pour gagner la salle commune. "Écouter moi bande de merde! La petite bitch m'appartient maintenant. Si j'apprend qu'un seul d'entre vous la touche ou même regarder, je le tue."

Je tourne au rouge instantanément. Il n'a quand même pas dit ça? Finalement les autres détenus n'avaient pas tort, je suis qu'une pute. Mais je préfère être une pute qu'une poupée que des dizaines de tueurs aiment malmenée. Je vois Mountain revenir vers moi.

"Va chercher tes affaires. Tu vas t'installer dans ma cellule maintenant."

J'obéis essayant d'oublier les regards sur moi. Je trimballe mon matelas vers sa cellule et je m'installe sur le lit qu'il me désigne avant de retourner à son livre.

Chaque jour, je suis son vide-couille. Mon petit-déjeuner de la journée, c'est son sperme qu'il libère dans ma bouche. Je m'en fou, je peux enfin manger dans la salle commune sans craindre qu'on va m'enlever mon repas. Mise à part des insultes homophobe et des commentaires sur le fait que je suis la bitch de Mountain, on ne me donne plus d'attention. Je dors toute la nuit sans problème et mon corps n'est plus recouvert de bleus. Seuls mes genoux sont rouges, mais qu'importe, je vais vivre. Sauf que le bonheur et la paix ne peuvent pas être éternels. Après un mois, Mountain veut déjà changer les termes du contrat.

"Tu suce bien, mais ça devient redondant."

Je tortille mes doigts d'angoisse.

"Je peux aussi te faire un massage si tu..."

"Fuck tes putains de massages, pédale. Je veux plus. Je veux ton cul."

Je déglutit.

"Je croyais que tu n'étais pas... gay." Dis-je avec l'espoir futile qu'il se souvienne que coucher avec un homme était censé être dégueu dans sa tête.

"Je le suis pas, mais il y a pas de femme dans l'aile, crétin. Rendu là, je veux juste un trou à baiser."

"Je peux essayer des choses nouvelles avec ma bouche si tu..."

"C'est tout cul ou bye bye ma protection."

Mon corps tremble au complet. Il se souvient des coups et des humiliations subies par tous les autres détenus. J'observe le chef de l'aile un moment. Au moins, il n'est pas laid. Musclé, tatoué, mais le regard dur et avec une pilosité que je n'apprécie généralement pas chez mes copains.

"On risque le trou si on se fait prendre. C'est illégale de faire l'amour en prison."

Il éclate de rire et je me sent stupide.

"On est pas ici, car on a fait des trucs légal, pédé. On a un marché ou non?"

"Et il va durer combien de temps ce marché là?" Lui demandais-je presque surpris de mon courage.

"Aussi longtemps que tu me satisfera, mais si tu veux pas, je te forcerais pas et bonne chance avec tous les autres."

"Non, ça va." Je répond prit au démunis.

Et voilà comment la pute que je suis à commencer à ce faire labourer le cul par un mec reconnu coupable de meurtre au deuxième degrée. Et je tente en vain de garder les yeux fermés et les dents serrées chaque fois que je le sens me pénétrer sans douceur. Et je tente en vain d'espérer que je pourrais aussi en tirer du plaisir s'il se préoccupait un peu plus de toucher ma prostate. Et je tente en vain de me convaincre que vos mieux lui, qu'une dizaine d'autres en même temps.

Parfois par contre, il me laisse une journée de tranquillité sans pour autant diminuer ma protection. Mais plus le temps passe, plus cette odeur de sexe plane dans la cellule que nous partageons et ses amis qui partage l'endroit avec lui commence à m'observer de façon lubrique. À force de nous entendre baiser et gémir, ils veulent goûter à se plaisir aussi. J'ai donc négocié le marché avant qu'il ne le fasse. Je ne serai pute qu'une fois par jour, pas deux. Ça le convainc de refuser les propositions de ses amis assez longtemps à mon goût, mais voilà que je n'ai plus de répit du tout, car lorsqu'il n'a pas d'humeur, il vend mes faveurs à un de ses camarades.

Mon cul goûte à la saveur de chaque détenu qui partage notre cellule ou les faveurs de Mountain. Je ne dis rien. Je mange à ma faim, mise à part les bleus de sexe, le reste de mon corps est pure de toute marque. Je dors aussi et pour une fois, une unique fois depuis que ma sentence à été prononcé, je me dis que je vais peut-être pouvoir survivre à ses dix ans d'incarcération.

Et de nouveau, voilà que les choses changent. Un bon matin, après que Mountain ce soit vider les couilles en moi, un nouveau prisonnier le défie pour prendre sa position et une bagarre sans-merci part entre eux deux. Mountain est plus fort. Mountain n'a pas peur. Rien à perdre et le petit nouveau à surestimer ses talents au combat. Ce sont des agents qui doivent éloigner Mountain de son corps désarticulé gisant au sol. Il la tuer et s'en fou, car quand on le cherche, on le trouve. Moi je tremble de peur.

Peur car ça aurait pu être moi ce corps sans vie. Peur, car Mountain se fait transférer ou envoyer en isolation. Peu-importe, s'il remet les pieds dans notre aile, c'est uniquement dans un mois. Un mois sans mon bouclier. Sans ma protection personnelle. J'ai espoir que nos collègues de cellule me protègent. Ils ont le droit à mon intimité, pourquoi ne m'offrirait-il pas leur protection? Mais en même temps, le poste de chef vient de se libérer et je semble être le trophée du vainqueur.

Mais quel importance, car aux yeux de tous ses criminels endurcis, je ne suis qu'une pute. Mon corps est une monnaie d'échange et je vois déjà dans les yeux de ceux candidats au poste de roi m'observer un sourire en coin.

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