Le petit garçon était assis devant la télévision à observer le comic qui jouait. Son père lui avait indiquer qu'il reviendrait plus tard qu'habituellement et il profita de son absence pour regarder la télé, chose qu'il n'avait pas le droit en temps normal. Il avait 8 ans, mais était parfaitement capable de s'occuper par lui-même. Son père en était fier, il lui disait et si son père en était fier, il l'était lui aussi. Soudain, il entendit un bruit provenir du sous-sol et il fit le saut. Il observa la porte barrer un instant sans rien entendre de nouveau. Quelque chose avait du tomber, tout simplement. Il reporta son attention sur la télévision la bouche ouverte et absorber par son émission. Un nouveau bruit l'alerta et il fixa la porte anxieux. Il savait qu'il n'avait pas le droit de descendre en bas, mais les bruits commençait à être récurrent. Il se leva et vient coller son oreille sur la porte. Il entendait des gémissements. Du moins, c'est ce qu'il lui semblait. Un animal? La fenêtre du sous-sol été peut-être mal fermé et un animal s'y était glisser. Imaginons que ce soit un petit chien. Il savait que son père refuserait de le garder, mais il pourrait jouer avec lui en cachette.

Il alla vers le pot proche de l'entrée et fouilla dans le ramassis de sous, clés et autres. Il trouva une clé qui lui sembla être celle du sous-sol et alla débarrer la porte. Doucement il descendit les marches afin de ne pas effrayé l'animal. Il porta tout d'abord son regard vers la fenêtre qui semblait bien fermé et même bloquer. Il tourna ensuite son regard vers la pièce et vit dans un coin un vieux matelas avec une personne dessus. Paniqué, le petit garçon remonta les escalier en vitesse et referma la porte derrière lui.

Fixant la porte et reculant, il sentait son coeur battre la chamade dans son jeune corps. Il y avait quelqu'un qu'il ne connaissait pas dans son sous-sol. Est-ce que son papa était au courant? Qui était-il? Un sans-abri qui c'était infiltrer chez eux? Il devrait peut-être barrer de nouveau la porte, avant que l'homme remonte et l'attaque. D'ailleurs, c'est ce qu'il fit avant d'attendre. Il entendait encore les sons étouffer. L'homme ne savait pas parler? Il hésita un moment, regardant l'entrée de sa maison. Son père n'était toujours pas revenu. Devrait-il attendre pour lui en parler? Mais s'il faisait ça, son père saurait qu'il avait désobéit et il ne voulait pas recevoir de coups.

Il hésita un instant avant d'allez réouvrir la porte. Tout doucement, il descendit quelques marches des escaliers, puis pencha son corps pour observer la pièce sans laisser voir plus de son corps. Dans le coin de la pièce, il y avait bel et bien un homme, mais maintenant qu'il le regardait plus longtemps, il lui semblait encore jeune. Pas autant que lui, mais pas comme les grandes personnes. Un adolescent peut-être. Un jeune adolescent. D'ailleurs, le garçon tourna son regard vers lui et l'enfant compris qu'il ne parlait pas, car il avait un baillons sur la bouche. Ses mains aussi était attacher ensemble dans son dos et à une étagère. Ses vêtements n'était pas très propre.

Le garçon ce mit à gémir de plus belle dans sa direction et incertain, l'enfant termina de descendre les marches. Prudemment il s'approcha de l'autre garçon. S'il était attacher, c'était car il était dangereux? Lorsqu'il fut en face de lui, il hésita, mais voyons l'insistance du garçon, il tendit ses mains pour venir descendre le baillon sur sa bouche.

''Détache moi!'' Ordonna le garçon.

''Euh... ok.'' Dit l'enfant peu sûr de lui.

Le garçon se tourna pour offrir ses mains dans son dos. Le plus jeune tenta de défaire le noeuds sans succès. Il tourna son regard vers l'étagère et tenta de faire pareil échouant de nouveau.

''C'est trop serrer. Je ne suis pas capable. Je vais allez chercher un couteau.'' Indiqua-t-il.

''D'accord, mais dépêche.''

L'enfant de 8 ans remonta les escaliers en courant. Cherchant le meilleur couteau dans les tiroirs et redescendit avec. Il tenta de couper la corde.

''Pourquoi tu es attacher.'' Demanda-t-il.

Mais le garçon d'environ 14 ans ne lui répondit pas l'observant silencieusement.

''Ça ne marche pas non plus avec le couteau. Peut-être des ciseaux.'' 

Il s'apprêta à retourner en haut.

''Attend! Laisse moi le couteau. Je vais essayer moi-même.''

L'enfant hésita un moment. Le garçon avait l'air gentil, même s'il était attacher. Il se rapprocha et lui donna.

''D'accord. Je vais chercher des ciseaux.''

Il courut pour remonter l'escalier, mais arriver en haut, il vit avec horreur, la voiture de son père ce stationner dans la cours. Il referma la porte du sous-sol et la barra avant de remettre la clé dans le pot à l'entrée. Il éteignit la télévision et courut vers la cuisine refermer le tiroir à couteau. Oh non. Son père allait-il remarquer l'absence du couteau? La porte s'ouvrit et le garçon observa son père entrer.

''Salut papa.''

''Tu as fait tes devoirs.''

''Euh... pas au complet.'' Mentit-il pour ne pas avouer avoir regarder la télévision à la place.

Il courut vers son sac d'école pour sortir ses cahiers. Son père passa à ses côtés en l'ignorant et il se risqua un regard vers le sous-sol. Le reste de la soirée lui sembla normal avec son père jusqu'à ce que celui-ci lui demande d'aller ce coucher. Il obéit et glissa dans son lit en regardant le plafond. Il retournerait dans la cave lorsque son père dormirait. Il reprendrait le couteau pour le remettre dans le tiroir, afin que son père ne remarque pas son absence.

Il tenta donc de rester éveillé le plus longtemps, mais il s'endormit avant que la maison tombe silencieuse. Le lendemain, il n'arrivait pas à ce concentrer en classe. Son papa était au travail, il ne pourrait pas remarquer l'absence du couteau. Si? De retour de l'école, il savait qu'il avait environ 15 minutes avant le retour de son père. Il ce départit rapidement de son sac à dos, prit la clé dans le pot et descendit à la cave. Le garçon était encore là, un bâillon sur la bouche. Il se redressa dés qu'il le vit et l'enfant vient lui enlever le baillon.

''Il faudrait que tu me redonne le couteau avec que mon papa...''

''Appelle la police!''

''Quoi? On oublie l'idée de me détacher, j'aurais du y penser avant. Vous avez un téléphone? Appelle la police et dis lui qu'un garçon est attacher dans ta cave.''

''Ah. Mais, j'ai pas le droit de toucher au téléphone.''

''On s'en fou!''

''Mais mon papa va me frapper si j'obéis pas.''

''Il ne te fera rien. Promis. Il ne le saura même pas! Fais le, s'il te plait.''

L'enfant l'observa hésitant. Il voulait aider son nouvelle ami qui ne semblait pas heureux d'être attacher, mais il ne voulait pas être punit par son père.

''Comment tu t'appelles?'' Lui demanda-t-il.

''C'est pas important! Va appelez la police avant que ton monstre de père revienne.''

L'enfant baissa le regard intimider.

''OK. Mais c'est quoi le numéro?''

''Tu plaisante? 911! Tu prends le téléphone, tu pèse sur 9, 1 et encore 1 et tu le mets à ton oreille! Tu dis ton adresse et qu'un gamin est attacher dans ta cave. GO!''

''Et je ne serais pas punis?''

''Promis.''

L'enfant hocha la tête et remonta les escaliers. Il s'approcha du téléphone hésitant et fit comme le garçon d'en bas lui avait indiquer. Il donna son adresse et nomma la présence du garçon. La personne au bout lui demanda alors son âge.

''J'ai 8 ans.''

''Tu vie avec tes parents? Ils sont présent?''

''Seulement mon papa, mais il est au tra...''

Soudain on lui agrippa les cheveux pour le tirer par en arrière. Il lâcha le téléphone les larmes aux yeux.

''Petit merdeux! À qui tu parles?''

''Papa, non, ça fait mal.''

Il reçut un coup au visage et tomba au sol, pendant que le père prit le téléphone pour échanger quelques mots et raccrocher avant de se tourner vers lui. Le petit garçon tremblait de peur devant le regard féroce de son père.

''Tu es allez dans la cave. Tu a appeler la police.''

''C'est l'autre garçon qui ma dit de le faire! Je ne voulais pas!'' Tenta le petit apeuré.

Son père le rattrapa par les cheveux avant de le tirer à sa suite.

''Non! Ça fait mal. Je suis désolé, papa. Je n'irai plus lui parler, promis.'' Tenta l'enfant en se débattant.

''Tu plaisantes, j'espère. Si tu l'aimes tant que ça ton nouvel ami, va donc le rejoindre.''

Et il poussa son fils dans l'escalier avec toute sa force. Le garçon hurla en déboula les marches avant de ce cogner la tête sur le ciment au sol. Le père le regarda du haut de l'escalier, mais l'enfant ne bougeait plus. Il prit une pause un moment avant de descendre doucement à son tour. Il l'observa sans se pencher serrant ses poings de rage. Il tourna la tête vers l'adolescent apeuré dans le coin.

''Regarde, ce que tu m'avais fait faire! C'est ta faute si mon fils est mort.''

En observant l'homme s'approcher de lui, l'adolescent mis toute ses forces pour terminer de couper la corde. Il réussit après des heures, jour et nuit, de travail acharné. La corde céda sous le couteau de cuisine et il vient prendre le couteau de ses deux mains en le pointant vers l'homme.

''Ne vous approchez pas de moi, sinon je vous tue!'' Cria-t-il a son geôlier.

Ce dernier hésita un instant observant le couteau bien aiguisiser. Puis réfléchit, avant de tourner de bord, remonter l'escalier et partir. L'adolescent resta dans sa position un moment s'attendant à le voir revenir à tout moment, puis il se leva doucement et s'approcha des escaliers ou reposait le corps de l'enfant.

''Hey! Tu m'entends? Hey!''

Mais il n'avait aucune réponse. Son cœur se serra et des larmes noyèrent ses yeux. C'était vraiment de sa faute? Il voulait juste qu'on le libère et revoir sa famille. Il observa le haut des marches. La porte avait été refermé et surement barré. 

''Hey. Tu m'entends? Tu es vivants, n'est-ce pas? Tu as eu le temps de parler à la police? Si oui, ils vont venir te guérir, ok?''

Au final, la police arriva quelques minutes plus tard. Il fut amener avec les policiers, pendant qu'il observait l'autre enfant être transporter dans l'ambulance. On le conduisit à l'hôpital où il subit une batterie de test et d'examen, avant de se trouver seul avec la police. Ses parents arrivèrent un moment plus tard et il les embrassa en pleurant. Puis, il répondit au question des policiers avant d'avoir la permission de rentrez avec ses parents. Quelques jours plus tard, il fut rappeler au poste, pour donner de nouvel informations.

''Bien, ce sera tout. Sachez que nous avons retrouvez l'homme. Il c'est suicider, donc vous n'avez plus rien à craindre de lui.'' Informa le policier. ''Vous pouvez partir.''

Les parents se levèrent en demandant à leur fils de les suivres, mais se dernier resta assis sur la chaise.

''Le petit garçon. Il va bien?'' Demanda-t-il inquiet.

Le policier sembla hésiter un moment.

''Il est à l'hôpital. Il est vivant, mais il a un traumatisme crânien et est plonger dans un coma. En d'autre mot... qui sait lorsqu'il se réveillera.''

''C'est de ma faute.''

''Ce n'est pas de votre faute.''

''Son père la pousser, car il a essayer de m'aider.''

''Ce n'est pas de votre faute. Rien de ce qui est arriver là-bas, n'est de votre faute.'' Insista le policier.

Il hocha la tête ce relevant pour suivre ses parents. N'empêche, il se sentait responsable.