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Ce magasiner une famille

''Je dois m'infiltrer chez les humains?''


''Oui. Regarde toi. Tu fais peur à tout ceux que tu croises et c'est évident que tu es dangereux. On commence à avoir de la difficulté à dissipé les soupçons de la police et des gens.''


''Et en quoi m'infiltrer chez eux changera quelque chose?''


''Tu es un solitaire et les solitaires attirent l'attention. Trouve toi quelqu'un. Un personne ordinaire et banale qui n'attire pas l'attention. Marie-la et fonde une famille. Les gens te verrons comme une personne normal après ça.''


''Me marier et fonder une famille? Hors de question!''


''Tu n'as pas le choix. Je ne risquerait pas notre mission, car tu attires la peur. Tu es mise à pied tant et aussi longtemps que tu ne tes pas mis en couple avec la personne la plus banal que tu trouveras.''


Je serra les dents de colère. Je n'avais plus qu'une envie et c'était d'assassiner mon patron.


''Tu fais encore plus peur comme ça. Adoucit tes traits de visage en même temps.''


Le bâtard. Je serra les poings avant de quitter son bureau. J'allais le tuer. C'était ma seul pensée, mais en attendant je devais me trouver quelqu'un pour paraitre normal. Je sortit dans la rue et je me dirigea vers la première personne que je vis. Une jeune femme attendant à l'arrêt de bus.


''Hey!''


Elle tourna son regard surpris vers moi et se leva d'un bond avant de prendre son sac et reculer.


''Je vous laisses la place.''


Puis elle partit en sens inverse. Et comment je suis censer me trouver quelqu'un si j'ai à peine le temps de dire Salut? Je retente le coups avec une autre femme plus âgé qui sort son téléphone et menace d'appeler la police en s'éloignant. Puis avec un garçon qui sort d'un dépanneur avec une caisse de bière.


''Hey!''


L'homme échappe la caisse qui éclate au sol et prend ses jambes à son cou. Bon. Mon patron a raison. Je fais trop peur pour ne pas attirer l'attention. Une aura maléfique doit émaner de moi. Je roule des yeux et j'abandonne pour aujourd'hui. Je réessayerai demain et au pire, mon patron va bien finir par annuler son ordre voyant que les incompétents de notre mission ne sont pas capable de faire le tier de ce que j'accomplis en une journée.


À la maison, je reçoit un appel d'un collègue. Je le savais. Une simple après-midi sans moi et ce doit déjà être le chao.


''Oui?''


''Tu as été suspendu?''


''Il semblerait.''


''Hahahahaha. Qu'est-ce que tu as fait pour te faire suspendre?''


''Il semblerait que je fasse peur et attire trop l'attention dans le mauvais sens.''


''Hahahahahaha. Mais quand reviens-tu?''


''Quand je me serais trouvez une personne banal à marier pour attirer moins l'attention.''


''Pouhahahahaha. Ce fut un plaisir de travaillez avec toi. Bonne chance dans ta nouvelle vie. Hahahaha.''


''HEY! JE VAIS RÉUSSIR CETTE MISSION ET QUAND JE REVIENDRAIS, JE VAIS T'ÉVENTRER POUR RIRE AINSI DE MOI!''


''POUHAHAHAHAHA.''


Oublions le patron. C'est sincèrement lui que je vais tuez éventuellement.


''Tu veux des conseils?''


''Des conseils?''


''Pour draguer?''


''...''


''Tout ton être dégage la terreur, alors tu dois gagner le coeur de la fille avec ta personnalité. Malheureusement, tu as une personnalité de merde, donc tu vas devoir apprendre à offrir ton aide pour des trucs simples et ou réclamer de l'aide pour des trucs simples.''


''Noté. Autre chose?''


''Je dirais d'essayer de sourire, mais je crois que tes muscles faciale ne savent pas comment. Hahahaha.''


Je lui raccroche au nez. Proposez mon aide ou demander de l'aide pour un truc ridicule. J'essaierais ça demain. Le plus tôt je me marie, le plus tôt je retournerais travailler.


​***

Au matin, je me prévois un parcours selon les sites romantique que j'ai regardez. Allez au parc, puis à un café et si je n'ai toujours pas trouvez l'amour dans ses deux endroits là, l'épicerie, car je suis, de toute façon, à cours de nourriture. Mon plan: Proposez mon aide à tout les gens banal et ordinaire que je croiserais. Demain, je serais marier et je pourrais retourner au travail!


''Hey! Laissez moi pousser votre poussette.''


''Vous êtes malade, oui?''


Raté.


''Hey! Je vais surveiller vos enfants à votre place!''


''Si vous ne partez pas maintenant, je vais appelez la police!''


J'ai justement besoin de ne pas attirer l'attention des policiers, pauvre conne.


''Hey! Non, laissez faire, vous allez attirer l'attention.''


Les sans-abris ne sont pas assez banale je crois. Je vais essayer au café.


''Hey! Voulez-vous que je vous amène un autre journal?''


''Pas besoin, tenez j'avais fini de le lire, prenez le, je ne veux pas d'ennui.''


Il est en train de s'uriner dessus.


''Hey!''


La salope, elle ma balancer son café dans le visage. Ça brûle. Je la poursuit pour la tuez? Non. Je dois me trouvez un partenaire de vie. Essayons l'épicerie.


''Hey! Je vais tenir votre sac.''


''Ne m'approchez pas.''


Elle s'éloigne en me lançant des regards apeuré. Bon, on oublie l'épicerie. Je ne fais qu'entrée dans une rangée pour quel celle-ci ce vide. Aussi bien acheter ce que j'ai besoin et m'essayez ailleurs. Peut-être que mon collègue ma dit n'importe quoi pour ce moquer de moi. Proposez son aide, n'aide pas du tout! Quoique je pourrais essayer le deuxième point. Demandez de l'aide.


''Bonjour monsieur. Vous cherchez quelques chose en particulier?''


Je me retourne vers la voix blasé. Un homme portant le chandail de l'endroit et tenant une boite remplis de tomate me regarde blasé. Il est parfait! Il ne semble pas avoir peur de moi, je peux prendre sa boite pour l'aider et répondre à sa question en demandant de l'aide. Je lui enlève donc la boite des mains.


''Je vais le tenir pour vous! Je cherche du lait. Aidez-moi!''


Le type semble complétement dépourvu et fixe ses mains vide. J'en ai sélectionner un stupide?


''Euh... Mais c'est mon travail...'' Dit-il en me désignant ma boite de tomate.


''Et je vais vous aidez à l'accomplir!''


''...''


''Aidez moi à trouvez le lait!''


''Dans le coin là-bas...'' Me dit-il incertain.


Il semble très stupide. Il ne connais même pas son lieu de travail. Je lui remet la boite de tomate dans ses mains.


''Merci de votre aide. Désirez-vous être mon partenaire de vie?''


''Pardon?''


''Je m'explique. Maintenant que nous avons échanger les banalités de flirtes. Aide et aidez, j'aimerais savoir si vous désirez m'épouser et fonder une famille avec moi. Je suis le partit parfait. Je ne serais jamais chez nous, car je travail tout les jours, nous n'aurons donc pas à nous endurez.''


Le garçon est définitivement stupide, car il me regarde la bouche ouverte et les yeux gros comme des poissons. Il ne semble pas avoir compris un traitre mot de ce que j'ai dit. Je change de cible ou je le garde justement pour sa banalité?


''Alors mon offre? Vous pourrez emménagez avec moi dés ce soir. J'aurais uniquement besoin d'une photo de couple pour montrer à mon patron.''


Le garçon semble toujours hors service. Il me fait perdre mon temps.


''Vous avez déjà tuez quelqu'un?''


Oh, merde. Une question interdite. Ignorons là.


''...''


''Monsieur?''


Merde, il insiste. Je dois mentir avec le plus de conviction possible.


''Non.''


Il ne semble pas sûr de ma réponse, pourtant j'ai mis toute mes talents d'acteur dans cette réponse.


''Vous avez déjà torturez quelqu'un?''


''Non! Je ne suis pas un sadique! Torturez est une perte de temps selon moi. Ça ne fait pas partit de ma définition de tâches.''


Cette fois, je n'ai pas besoin de mentir. Certains de mes collègues sont formé et entrainer spécialement pour ça. Moi je ne perd pas mon temps à tenter de faire parler des gens.


''Je peux emménagez chez vous ce soir?'' 


''C'est exact.''


''Ok. J'accepte.'' Me dit-il un léger sourire.


Mes talents d'acteur et de flirte on porter fruit. J'ignore pourquoi tout le monde doutait autant de moi. Je lui tend mon téléphone pour qu'il y rentre son numéro et que je lui envoi mon adresse. Puis je reprend mon téléphone pour me positionner à ses côtés.


''Une photo de couple comme preuve pour mon patron.''


Il semble mal à l'aise de ma proximité, mais sourit à la caméra. Parfait. Je l'ignore complétement pour quitter l'épicerie en envoyant la photo à mon patron et ce collègue stupide qui doutait de moi. Je vais pouvoir retourner au travail dés demain.

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