''Tu sais que c'est un mâle?''

''Bien sûr, je ne suis pas stupide.''

''Et en une jour, vous êtes un couple?''

''Il est débarquer chez moi hier avec un sac à dos. Il c'est installer sur le divan de mon appartement. Je suis en train de regardez les démarches de notre union.''

''Et il va la signer sans se poser de question?''

''Oui.''

''Et tu ne trouves pas ça suspect?''

''Vous m'avez dit que je ne pouvais revenir travailler si je n'étais pas marier. Maintenant que c'est pour ce faire, vous doutez?''

''Je croyais que tu allais te trouvez une fille et que ça prendrait plus de temps. Je crois que tu vas attirer l'attention avec un mâle. D'ailleurs vous ne pourrez pas avoir d'enfant. L'adoption reste envisageable, remarque.''

''Donc je dois lui dire que ça ne le fera pas et me chercher une femelle?''

''Et bien... c'est que je doute un peu que tu te trouve une femelle. Je doutais que tu te trouverais personne en fait.''

''Vous n'aimez pas mon travail?''

''Si, je voulais juste que tu repenses à l'image que tu dégages.''

''Je peux y penser sans me marier.''

''Peut-importe. Laisse moi faire mes recherches sur ce garçon avant de le marier. Il semble banal et ordinaire sur la photo, mais c'est peut-être un espion. Du moins pour qu'il est accepter si vite.''

''D'accord. Je peux retourner travailler?''

''Non. Surveille le et apprend à le connaitre. Que ce soit moins étrange votre union.''

''Compris.''

Je quitte le bureau mécontent. Moi je trouvais que tout fonctionnait bien pourtant. Je rentre chez moi, mais il ne s'y trouve pas. Apprendre à le connaitre veux dire passer du temps avec lui. Chose que je n'ai pas fait la veille, lui indiquant où il pouvait mettre ses choses avant d'aller me coucher dans ma chambre. Je ne veux néanmoins pas le déranger à son travail, car je n'aimerais pas l'être. Je pourrais peut-être attendre la fin de son quart de travail. Je marche donc vers l'épicerie et m'installe sur un banc proche de l'entrée. Je regarde les gens passé et je constate qu'effectivement, ce serait difficile de me trouvez une autre personne, car la plupart des gens prennent des détours pour ne pas m'approchez à moins de 5 mètres. Je sais que j'ai un regard féroce, des cicatrices et des yeux sombre, mais je crois que c'est gens exagèrent. Quelques heures plus tard je vois mon futur époux sortir de l'épicerie en enfouissant ses mains dans ses poches. Je me relève près à le raccompagner chez nous, mais un autre homme s'approche de lui et le tire par le bras.

''Tu as disparu où, hier soir? Tu me fuis maintenant?''

''Lâche moi.''

Il reçoit un coup au visage.

''Je vais dans la douche pour sortir et constater que tu t'ai pousser avec tes trucs. Tu as crécher où?''

''Laisse moi partir.''

''Tu ne me diras pas quoi faire!''

Bon je me rapproche, car ce type ne va pas m'enlever ma seul chance de retourner travailler.

''Hey!''

Soudain le visage du gars devient blême et mon partenaire de vie se déprend de sa poigne pour ce précipiter vers moi et ce cacher dans mon dos.

''Je te revois l'approcher et je te tue.''

Vos mieux prévenir. Il est à moi et pour être un couple normal, il ne faut pas partager. Ceux qui partage attirent l'attention.

''Euh... et vous êtes qui?''

Il tremble en me demandant ça. Il a peur de moi comme tout les autres, sauf mon partenaire.

''Son fiancé.''

Que je l'informe avant de me retourner vers l'épicier qui me regard avec de grands yeux.

''Viens, apprenons à nous connaitre en rentrant à la maison.''

Il regarde l'autre un homme un moment avant de me suivre et marcher au côté de moi.

''Wow. C'était trop cool, ça. Vous l'avez vraiment terrifié!''

Tiens, quelqu'un de content que je fasse peur. Mon patron à tord. Il est parfait.

''Nous pouvons arrêtez à l'hôtel de ville nous marier. As-tu tes papiers d'identités?''

''Quoi? Vous voulez vraiment vous mariez?''

Je m'arrête et le fixe.

''Bien sûr, ne t'en avais-je pas informer hier. Tu écoutes quand on parle?''

''Oui, mais... je croyais que c'était des farces.''

''J'ai l'air de quelqu'un qui possède de l'humour?''

Il me fixe tel le poisson qu'il imite si bien.

''Non.''

Son aveux me fait chaud au coeur. L'humour, c'est une perte de temps.

''Donc nous allons nous mariez?''

''Et bien... en fait c'est que si j'ai dit oui hier, c'est que je voulais vraiment le fuir lui. Et puis je me suis dis que au pire si vous me tuez pendant mon sommeil, ça sera ça de régler. Je n'avais pas penser que vous alliez me préparer à manger le matin avant de m'offrir les double de vos clés et venir me défendre contre mon ex.''

''Ça ne répond pas à ma question. J'ai déjà informer mon patron et mes collègues de notre mariage imminent.''

''Et bien... c'est un peu tôt pour un mariage.''

''Tu deviens donc inutile. Je trouverais quelqu'un d'autre. Penses à laisser les clés sur la table à manger quand tu quitteras avec tes choses.''

Je lui fait dos et m'éloigne en regardant les autres personnes potentiel dans les rues. J'avais penser enlever une personne, mais vos mieux quelqu'un qui désir m'épouser que forcer à le faire, sinon je risque d'attirer l'attention.

''Attendez!''

Je me retourne vers mon ex qui cours dans ma direction.

''Attendez! Vous devez comprendre que je sors d'une relation horrible. Que j'ai tenter de me suicider plus d'une vingtaine de fois cette dernière année et que...''

''Tout cela ne m'intéresse pas.''

''Mais...''

''Mon patron trouve que je fais peur. Que j'attire trop l'attention. Il refuse que je recommence à travaillez tant que je ne serai pas marier et n'aurait pas fonder une famille. Je n'ai pas de temps à perdre avec toi si tu ne désir pas t'engager.''

Il imite encore les poissons.

''Bonne chance dans votre prochaine relation et tentative de suicide.''

Je m'éloigne de nouveau.

''Non attendez! Je... ok. J'accepte.''

''Bien.''

Je sors mon téléphone pour regardez le chemin vers l'hôtel de ville.

''Est-ce que ça peut être dans une semaine par contre?''

''Pourquoi? Je ne peux pas retourner travailler tant que ça ne sera pas fait et que nous n'aurons pas d'enfant!''

''Mais... vous savez qu'un enfant ne s'adopte pas du jour au lendemain? Il peut y avoir jusqu'à deux ans de délai et... sans offense, mais des tests psychologique seront passé et je doute que vous les réussirais. Moi de même d'ailleurs.''

''Vraiment? Alors il me faut réellement une femelle. Merci de ton offre, mais je change d'idée. N'oublie pas de me rendre les clés.''

Je tourne le regard à la recherche d'une femelle potentiel avec laquelle me marier et me reproduire.

''Non, s'il vous plait, monsieur. Avec une femme, c'est quand même 9 mois de grossesse et je n'ai nulle part où allez.''

''Tu crois que je fais la charité peut-être?''

''Vous avez menacée mon ex de le tuer! Si vous m'abandonnez, il va ce venger sur moi!''

''Ne désires-tu pas mourir?''

''Oui, mais de façon sans douleur préférablement. Vous m'avez dit que vous ne faites pas de torture. J'ai cru que... ma mort serait rapide avec vous, mais lui va juste continuer de me frapper.''

''Je peux te tuer sans douleur et rapidement et après je me cherche une femelle.''

''Ah. Merci de l'offre je présume. Mais si vous voulez vous fondre dans la masse, laissez moi vous aidez! Pas besoin de mariage et d'enfant. Il suffit de faire des sorties public normal, comme allez au cinéma ou au restaurant. Mangez avec ma famille par moment et inviter des amis à la maison.''

Tiens, il a un bon point. Il est tous ce qui est banale et sans histoire, il sera donc me faire paraitre exactement comme ça m'indiquant la procédure.

''Ça marche! Quel est la première étapes vers la banalité?''

''Donc, je peux continuer de vivre chez vous?''

''Oui. Nous sommes un couple banal.''

''Et... si je change d'avis, vous allez me tuez?''

''Tu veux que je te tue?''

''Peut-être., tout dépendant comme je vais allez.''

''Alors je pourrais le faire, mais uniquement après que tu m'ai aidez à trouvez une femme pour te remplacer.''

''Ok.''

Je lui tends la main et il la serre incertain. Je commence à marcher vers mon appartement avec lui qui me suit et écris à mon patron que nous avons abandonner l'idée du mariage et des enfants, mais qu'il va non seulement sortir avec moi, mais aussi m'aidez à paraitre aussi banal que lui. J'ajoute que je suis disponible à recommencer le boulot dés demain matin.

Mes collègues riront moins quand ils vont voir que leur pari sur le temps que le garçon restera avec moi auras dépasser les 24h.