Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 30 : Harry

Bonjour !

J'espère que vous allez bien :)

Merci pour vos commentaires sur le chapitre précédent et sur cette fanfiction en général, ça me motive beaucoup ^^

Aujourd'hui : chapitre décisif. Et vu vos commentaires sur le 29... je ne pense pas que vous vous attendez à ça.

Bonne lecture

*****

Une lettre. Il m'a écrit une lettre. Où a bien pu passer cette fichue lettre ? Je ne sais même pas quand il l'a envoyée ! Est-ce qu'elle s'est perdue en chemin ? Ou est-ce que je ne l'ai simplement pas vue ? Est-ce qu'elle s'est mélangée à mes factures sans que je fasse attention ? Ou est-ce qu'il l'aurait laissé le matin de son départ ?

Ça fait deux heures que je retourne tout l'appartement à sa recherche. Sans succès. J'ai vidé entièrement mon bureau, la pile de papier sur la commode de l'entrée, derrière la commode de l'entrée au cas où elle serait tombée. Rien. Et si elle ne m'a simplement jamais été livrée ? Le hibou l'aurait perdue ? Ou alors une erreur de livraison ? Si je ne la retrouve jamais ?

Non, ce n'est pas possible. Il faut que je la trouve. J'en ai besoin. Qu'est-ce qu'il a bien pu écrire dedans ? Et si... et si tout ça n'était qu'un malentendu ? Et s'il me disait qu'il m'aimait dans cette lettre ? Et s'il ne m'avait jamais abandonné ? Il attendait ma réponse. C'est pour ça qu'il est venu me trouver en me voyant avec Oscar dans les journaux. Il s'attendait à une réponse. Mais à quelle question ?

Est-ce que tu veux qu'on reste amis ?

Faisons comme si cette nuit n'avait pas existé, d'accord ?

Est-ce que tu m'aimes ?

Veux-tu être avec moi ?

Je ne sais pas. Il faut que je sache. Je ne peux pas vivre avec cette incertitude. Avec cet espoir.

Je m'étais juré que c'était terminé, que je ne voulais plus jamais avoir affaire à lui, que je voulais passer à autre chose. Mais la vérité, c'est que... je ne peux pas. J'aimerais, mais c'est impossible. L'oublier, c'est trop difficile. Je n'arrive pas à arrêter de l'aimer, je n'ai jamais pu. C'est plus fort que moi. Je ne peux pas me contrôler.

J'ai la rage. Je suis colère. Contre le monde entier. Contre le Ministère pour lui avoir fait vivre un enfer. Contre les Aurors qui l'ont insulté, les gardiens de prison qui l'ont menacé et tous ceux qui ont osé lever la main sur lui. Contre les hiboux, pas foutus de livrer du courrier correctement. Contre lui pour avoir écrit une lettre comme un lâche au lieu de me parler en face. Contre moi pour ne pas l'avoir trouvée.

Je lâche un hurlement. Tout seul dans mon salon, je crache ma colère. Tout faire sortir comme dit Mrs Bones. Je me mets à pleurer. Et si je ne la trouve pas ? Je ne saurais jamais ce qu'il m'a écrit. J'ai lu dans son regard qu'il ne répétera jamais ses paroles, qu'il ne réécrira jamais ces mots. Il n'avait même pas l'air de vouloir que je la trouve.

Je repense à ce moment où il est entré dans la salle d'audience. J'ai eu du mal à le reconnaitre. Ils ont coupé ses cheveux. Ses salauds lui ont rasé la tête. Ses longs cheveux blonds. Disparus. Il tenait à peine debout. J'ai eu envie de courir vers lui et de le serrer dans mes bras. Pour le protéger. Et quand j'ai vu son souvenir... C'est vraiment moi qui l'ai mis dans cet état ? Comment j'ai pu... ? Il avait l'air tellement... brisé. Pendant un instant, je me suis revu il y a sept mois. Le matin où j'ai découvert qu'il était parti. Sans un mot. Du moins, je le croyais jusqu'à aujourd'hui.

Il a laissé une lettre. Il l'a forcément laissée le matin de son départ. Ça me semble logique maintenant et je m'en veux terriblement de ne pas y avoir pensé plus tôt. C'était évident. Il est parti et il a laissé une lettre. On a toujours communiqué par lettre. J'aurais dû percuter, j'aurais dû la chercher au lieu de tirer des conclusions hâtives.

Ma cheminée s'enflame soudainement. Oscar apparaît au milieu des cendres. Il parcourt le salon des yeux, l'air étonné.

— Oula, qu'est-ce qu'il s'est passé ici ?

Je regarde autour de moi. Mon appartement est sans dessus dessous. Mais je m'en fiche.

— Je cherche la lettre de Drago.

— Je pensais que tu avais tout cramé.

— Pas celles-là... une autre. Une qu'il a laissé le jour où il est parti.

On se dévisage. C'est gênant. On est censés être ensemble et voilà que je cherche la lettre d'un autre. Il sort sa baguette.

— Accio lettre de Drago.

Putain. Pourquoi je n'y ai pas pensé ?! J'oublie toujours d'utiliser la magie ! Sous mes yeux émerveillés, un parchemin traverse la pièce pour atterrir dans la main d'Oscar. Ni une ni deux, je me précipite pour la récupérer. Mais au lieu de me la tendre, il la tient à bonne distance et place son bras en avant pour m'empêcher d'avancer. Je me retiens difficilement de lui sauter dessus pour la lui arracher de force.

— Et moi ? Je deviens quoi ? Je suis supposé te laisser retourner dans les bras de mon cousin sans rien dire ?

Je fronce les sourcils. Il est réellement en train de me faire une crise de jalousie ? Maintenant ? Mais qu'est-ce qu'il croit exactement ?

— Je suis amoureux de toi, Harry. Au cas où tu n'aurais pas compris.

Alors ça, c'est la meilleure. Je ne peux retenir mon rire. C'est n'importe quoi. Evidemment, ça énerve Oscar. Merlin, il se voile la face à ce point ? Je pensais qu'il était comme moi. Je pensais qu'on savait tous les deux que cette relation n'était qu'un pansement. Surtout pour lui en vérité.

— Ça te fait marrer ? Mais putain, t'es vraiment un connard en fait !

— Mais réveille-toi Oscar ! Bordel mais tu t'es entendu ? Je ne suis pas Harry ! Je ne suis pas ton Harry ! Tu crois que je sais pas pourquoi t'es avec moi ? Tu crois que j'ai pas compris que j'étais juste une excuse pour prononcer son prénom cent fois par jour ? Tu crois que quand tu appelles « Harry » dans ton sommeil et le matin en te réveillant, je pense réellement que c'est moi ? Que j'ai pas remarqué que c'est pas mon pull Gryffondor que tu portes, mais le sien ?!

Je vois les traits d'Oscar se durcir. La colère brille dans ses yeux. Mais je ne compte pas me taire. C'est fini. Il faut arrêter maintenant. Moi, je voulais vraiment oublier Drago. Lui, il n'a jamais réellement voulu oublier Harry. Sinon il ne serait pas sorti avec quelqu'un qui porte le même putain de prénom.

— Ouvre les yeux ! Tu me fais une crise de jalousie en prétendant que tu m'aimes, mais la vérité c'est que tu es jaloux que Drago soit venu me chercher ! Parce que ce jour-là, le jour où l'article est paru dans Sorcière Hebdo, tu aurais voulu que ce soit Harry et pas Drago sur le pas de la porte ! Tu brûles ses lettres, mais ça fait deux mois que tu espères qu'il vienne te voir ! Tu fais semblant de te cacher quand on le croise, mais en réalité tu fais aussi en sorte qu'il te voit ! Et oui, je sais que c'est toi qui a appelé le journaliste au bar et que cette photo volée ne l'était pas totalement ! Depuis le début, t'as envie de lui pardonner mais t'es trop fier pour juste sonner chez lui et lui dire que tu l'aimes encore et que t'as jamais arrêté de l'aimer ! Alors ne me dis pas « je suis amoureux de toi, Harry » ! Parce que Harry, c'est pas moi ! 

Je hurle sur Oscar comme j'ai rarement hurlé sur quelqu'un. Et la vérité, c'est que je ne suis pas mieux que lui. Moi aussi j'ai envie de pardonner. Moi aussi je suis trop fier. Moi aussi ça fait des mois que j'attends que l'homme que j'aime sonne à ma porte. Sauf que le jour où c'est enfin arrivé, je l'ai jeté comme un malpropre et il a fini à Azkaban à cause de moi. Si je l'avais laissé parler, j'aurais su pour la lettre. Et si j'avais eu un peu plus confiance en lui, j'aurais deviné qu'il avait laissé un mot, je l'aurais cherché à mon réveil et on n'en serait pas là aujourd'hui.

Face à moi, Oscar affiche maintenant un visage fermé. Il relâche sa prise sur le parchemin qui tombe à terre. Je n'attends même pas une seconde pour le récupérer alors qu'Oscar retourne dans la cheminée. Je l'entends à peine prononcer sa destination. À vrai dire, je m'en fiche. Qu'il aille au Diable. Ou chez Harry. Moi, j'ai déjà commencé à lire.

Harry,

À l'heure où je t'écris cette lettre, tu dors encore et je n'ai pas osé te réveiller. Je pense qu'il est préférable que je t'écrive, parce que de toute manière je suis bien incapable de formuler à voix haute ce que je ressens. J'espère que tu ne m'en voudras pas de me défiler encore une fois, mais après tout, tu n'es pas non plus très expansif et j'ai l'impression que tu n'es pas spécialement plus doué que moi en matière de communication.

Notre histoire a commencé par des lettres, tu commences à avoir l'habitude de mes longues missives et je dois dire que je suis plus à l'aise ainsi. J'ai conscience que nous avons beaucoup de choses à nous dire, aussi je te propose de reprendre notre correspondance. Pour la suite... nous verrons.

Je suis désolé pour hier soir. Pas d'avoir couché avec toi, mais d'avoir craqué de cette manière. Ce n'était pas quelque chose que je pouvais contrôler, comme tu t'en doutes. Tu dois savoir que je déteste me montrer aussi vulnérable. Je suis désolé de n'avoir pas pu te donner cette nuit merveilleuse que tu espérais sans doute et dont je rêvais moi-même depuis des années. J'aurais aimé profiter pleinement de ce moment, te donner du plaisir au moins autant que tu m'en donnais. Cette nuit aurait dû être inoubliable. Sans doute l'est-elle quand même, mais pas de façon positive.

Si cette nuit doit être la seule que nous aurons, je pense que je ne me pardonnerai jamais de l'avoir gâchée. Pour autant, je ne te propose pas de simplement « remettre ça ». Je ne veux pas remettre ça. Pas de cette manière.

Je tourne autour du chaudron depuis quelques paragraphes déjà. J'ai du mal à trouver les bonnes tournures, aussi je fais le choix d'être direct.

Je t'aime, Harry. Je n'ai jamais cessé de t'aimer et je ne pense pas parvenir un jour à réellement arrêter de t'aimer. Mon amour est trop gros, trop lourd, trop destructeur. J'ai essayé – crois-moi – de me contrôler et de te protéger de cet amour. Mais je ne peux pas. Je ne peux plus. C'est trop dur.

Je t'aime tellement que je suis incapable de te refuser quoi que ce soit. Je t'aime tellement que j'en perds le sens commun. Je t'aime tellement que les mots restent bloqués dans ma gorge. Ça me terrifie à un point que tu ne peux imaginer. Je t'aime tellement que lorsque tu as posé tes mains sur moi cette nuit, je n'ai pas pu contenir mes sentiments. C'était trop fort et intense. Je me suis revu à 16 ans, à cette époque où je me mourrais d'amour pour toi dans le plus grand des secrets. L'espace de quelques minutes, je suis redevenu cet adolescent perdu qui se haïssait tellement de t'aimer qu'il en était venu à se persuader que la torture infligée par le Seigneur des Ténèbres était une juste punition.

Et toi, tu n'as rien dit. Je ne comprends pas pourquoi tu n'as rien dit. Tu n'as même pas gémi et tu ne desserrais les dents que pour me dévorer. Pourquoi ? Explique-moi.

Est-ce que tu m'aimes, Harry ? Ces derniers jours m'ont donné de l'espoir. Tu m'as invité chez toi, tu m'as demandé de t'accompagner au Manoir Potter, tu m'as présenté à ta famille de sang et celle de cœur. Tu étais jaloux de Charlie hier, n'est-ce pas ? Et cette nuit, tu me désirais. Tu étais si tendre et prévenant. Sans doute trop. Je n'étais pas prêt à tant d'attention. Je m'attendais à ce que tu me baises. Pour évacuer enfin toute la frustration accumulée depuis des années. Je pensais que ça serait violent. Je crois que j'aurais aimé ça. Baiser sans réfléchir. Juste une fois.

Je ne te cache pas que j'ai envisagé de m'enfuir. T'abandonner. Mais je ne peux pas. C'est sans doute égoïste de ma part, parce que tu serais mieux sans moi et que je ne suis pas certain de savoir te rendre heureux. Mais il m'est impossible de ne pas tenter ma chance.

Je sais que c'est presque sans espoir. Si on était ensemble, on se ferait sans doute beaucoup de mal. Ce serait compliqué. Les gens ne comprendraient pas. Mais est-ce qu'on pourrait s'autoriser à essayer ? Pour de vrai. Toi et moi. Je t'aime tant. Si tu me laissais t'aimer, je jure de faire de mon mieux. Je te promets de nous donner une vraie chance. Je comprendrais si tu me repoussais. Après tout, je n'ai rien à t'offrir. Si ce n'est mon amour immoral et malsain. Mon corps blessé et fatigué. Mon cœur t'appartient déjà quand bien même tu n'en voudrais pas. Et mon âme ne vaut plus grand chose.

Ce serait sans doute un enfer. Être un couple. Je vis en France et tu sais très bien que je ne peux pas revenir en Angleterre. Toi, tu as Teddy, tes amis, ta famille. Toute ta vie est ici. Mais après tout, la magie nous permet de voyager rapidement. Il ne faut que quelques secondes pour faire Paris-Londres en Portoloin. Si seulement il n'y avait que le problème de la distance... Est-ce que tes proches accepteraient que tu sois avec moi ? Ils ont toléré ma présence hier, mais si je devenais plus qu'un ami, comment réagiraient-ils ? Sans compter le reste du monde sorcier... Je suis Drago Malefoy, tu es Harry Potter. Ce n'est pas quelque chose qu'on peut oublier. Tu sais comment sont les gens et la presse, tu en as toi-même fait les frais. Nous ne pourrions jamais être un couple officiel. Et si notre relation venait à s'ébruiter, je ne nous donne que quelques semaines.

Me trouves-tu trop pessimiste ? J'essaye d'être réaliste. Nous ne pouvons pas nous permettre de nous lancer sans réfléchir dans une relation, comme si nous étions deux anonymes, deux hommes libres d'aimer n'importe qui.

Je ne suis pas un homme pour toi, Harry. Je le sais. Il y a nos antécédents, bien sûr. Il y a mon passé, la Marque sur mon bras. Si tu savais toutes ces choses que je ne t'ai pas dites. Azkaban, le Seigneur des Ténèbres, mon père. Tu m'as confié ton alcoolisme, tes cauchemars, tes traumatismes, ton blocage magique, ta thérapie et tes peurs. Moi, je ne t'ai rien dit de tel. J'ai peur de te faire fuir et en même temps, j'ai conscience que si je ne suis pas honnête, si je ne me mets pas à nu, si je ne te dis pas tout, notre histoire est vouée à l'échec.

Veux-tu réellement me connaître ? Souhaites-tu que je te raconte tout ? Tu me demandais il y a quelques semaines de ne pas te mentir, mais es-tu prêt à entendre la vérité ? Mon amour pour toi n'est que la partie émergée de l'iceberg de mes secrets.

Malgré tout ça, je ne peux m'empêcher d'espérer. Il y a des dizaines d'arguments à opposer, mais j'ai quand même envie d'être avec toi. D'être à toi. Avec tous les risques que cela implique. Sans doute est-ce une mauvaise idée, mais je t'aime. Je ne me lasse pas de te l'écrire. Je t'aime Harry.

Je t'aime parce que tu es fort, courageux, loyal et fier. Je t'aime parce que tu m'as laissé entrevoir tes faiblesses. Je t'aime parce que tu es imparfait et je chéris le moindre de tes défauts. Je t'aime quand tu me détestes. Je t'aime quand tu me méprises. Alors imagine à quel point je pourrais t'aimer si tu m'aimais aussi ? C'est un amour insensé, mais je prends le risque. Je ne veux pas avoir de regrets. Je ne veux plus en avoir. Alors je t'ouvre mon cœur tout entier.

M'as-tu pardonné Harry ? Ou as-tu encore envie de me faire payer tout ce que je t'ai fait ? Es-tu prêt à tourner la page ? Oublier le Serpentard et le Mangemort. Être avec moi. Je ne pourrais jamais réparer toutes mes erreurs. Je ne cesserais jamais d'être un Malefoy et la Marque défigurera mon avant-bras toute ma vie. Pourras-tu le supporter ? Sauras-tu m'aimer, au moins un peu ? Le veux-tu seulement ?

Je n'ose imaginer ta réaction en lisant cette lettre, ni envisager m'être fourvoyé. Peut-être ne m'aimes-tu pas ? Peut-être ai-je vu des signes là où il n'y en avait pas ? Je m'accroche à l'idée que tu éprouves encore quelques sentiments pour moi, tout en ayant bien conscience qu'il serait plus facile pour tout le monde si je ne t'inspirais plus qu'indifférence et pitié.

J'ai trop honte pour relire cette lettre. Elle est sans doute imparfaite, mais elle est sincère. Je t'aime Harry. J'aurai1s aimé te le dire cette nuit, alors que nos corps se fondaient l'un en l'autre. J'aurais voulu que cette nuit soit parfaite et pouvoir chérir ce souvenir. Comme une consolation. Mais c'était peut-être le destin ? Un signe que notre relation est vouée à l'échec ? Même coucher ensemble, nous n'y arrivons pas.

Me répondras-tu Harry ? Que ta réponse soit négative ou positive, j'espère que tu me répondras. J'en ai besoin. Ne me fais pas regretter de t'avoir ouvert mon cœur, je t'en supplie. J'attendrais le temps qu'il faudra. Réfléchis. Pèse le pour et le contre. Tu as maintenant toutes les cartes en main.

Je t'aime. Je t'attends depuis si longtemps.

Et j'attendrais ta réponse aussi longtemps qu'il le faudra.

À toi, toujours.

Drago.

Ma vision se trouble. Je ne vois plus rien à cause des larmes. Je n'arrive pas à respirer au milieu de mes sanglots. C'est la plus belle lettre qui m'ait été donné de lire. La plus belle des déclarations d'amour. Même avec sept mois de retard, elle me touche au plus profond de mon âme. Je n'ai pas besoin de réfléchir à ma réponse, ni de peser le pour et le contre.

Oui.

C'est oui.

Oui à tout.

Mille fois oui.

******

Héhé ! J'espère que ce chapitre vous a surpris dans le bon sens ! J'avoue j'ai un peu fait exprès de vous faire croire que ça n'arriverait pas avant longtemps. Et en même temps 8 chapitres pour trouver cette fichue lettre c'est long !

J'avoue, j'ai un peu envie d'écrire un spin-off sur Oscar mais bon, pas trop le time ^^'

Les 3 prochains chapitres seront reposants, vous l'avez bien mérité si vous m'avez suivi jusqu'ici :)

A samedi !

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro