Les dieux sont amour
Deux silhouettes rondes embrassées
Sur un ciel brisé,
L'impensable s'inaugure et se répand :
De retour, les dieux ont soif de sang.
De la terre, les clameurs s'élèvent,
Sur une ère qui s'achève,
Elles n'instillent pas la vengeance,
Elles n'implorent pas la clémence.
La mort se pare de poésie,
Sur un souffle d'hypocrisie,
Et les auréoles brisent les serments
La foi excuse l'égarement.
Le paradis sur terre,
Sur un pardon faussement salutaire,
Enfin, le murmure décharné sourd :
Les dieux sont amour.
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