Le calme, la foudre
Le calme se mire dans le lointain.
Au fond, un cri épars s'élève et s'éteint.
Illusion ruinée,
Sur le paysage immobile se créer.
Sa silhouette tentaculaire ne bouge plus
Et la nature, morte, devant elle est nue.
Le calme se suspend.
Le calme, emporté par le vent.
La fleur s'épanouit.
Par le sang, elle est nourrie.
La fleur se lasse, se délasse
Et la foudre, emmourachée, l'embrasse.
Le calme renaît, ingénu,
Sur le corps de la foudre, vaincue.
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