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Chapitre 58 : S'accepter, c'est la clé

Le 16 décembre 2043…

Nous étions toutes les trois stressées. Luna, Émilia et moi. Je ne sais pas exactement ce qu’on attendait comme ça devant l’entrée de notre collège, mais en tout cas, nous n’étions pas très sereines. Heureusement, personne ne faisait attention à nous. Tous les autres élèves bavardaient tranquillement entre eux. Apparemment, ils avaient tous oublié ce qu’il s’était passé. Tant mieux. Trois personnes traumatisées suffisait amplement. D’ailleurs, l’ambiance détendue du collège et des vacances de Noël approchant, nous encouragea suffisamment pour avancer et nous détendre.

« Ouf… », soupira Émilia.

« Oui comme tu dis… Je n’aurais pas pu supporter une reprise difficile », confirma Luna.

« Moi de même », ajoutais-je.

« Attendons quand même de voir la fin de la journée. On s’avance peut-être un peu là… », recommanda Émilia.

Je grimaçais. Effectivement, elle avait raison. Il valait mieux attendre un peu pour voir comment ça allait se passer. Contre toute attente, la journée se passa aussi normalement que possible. C’était même mieux, car plusieurs de mes camarades de classe vinrent nous demander des nouvelles et discuter un peu de ce qu’il s’était passé. Et à notre plus grande surprise, la plupart nous remerciaient d’avoir débarrassé le collègue de Jessica et sa bande. Elle ne devait pas être si appréciée finalement. Cette idée me confortait dans l’idée que ce n’était donc pas moi la fautive. Depuis une semaine, je m’étais préparée à faire mon retour au collège : chose difficile étant donné qu’au début je me culpabilisais pour ce qu’il s’était passé, j’avais peur que certains élèves me regardent de travers ou encore qu’ils viennent me reprocher ce malheureux incident. Or, en ce premier jour de reprise, ce ne fut pas le cas et je devais avouer que ça me faisait du bien. C’était encore un pas de plus sur la voie de la reconstruction. Néanmoins, il m’est arrivé plusieurs fois dans la journée d’avoir des sueurs froides et d’avoir du mal à respirer. J’avais cette angoisse de voir ressurgir Jessica ou même de remanger à la cantine. Heureusement, j’avais pu compter sur les filles qui m’avaient de suite rassurée. D’ailleurs, en ce qui les concernent, Luna n’a pas pu toucher à son assiette aujourd’hui. De toute façon, sa mère avait prévu le coup en lui faisant un repas maison. Au moins elle n’a eu aucune nausée, mais, ça se voyait qu’elle était dégoûtée par nos plats. Ce que je comprenais sans mal. Émilia et moi faisions des cauchemars régulièrement. Mais ça ne m’étonnait pas tellement. Il leur faudrait sans doute quelques mois avant de pouvoir accepter et digérer cet événement. Pour moi, ça allait prendre un peu plus de temps, mais je ne m’en faisais pas. Tout était réuni pour que cela se passe bien.

Pdv extérieur

À la fin de la journée, Luna, Émilia et Lucy se dirigeaient tranquillement vers la sortie de leur école, discutant de ce qu’elles allaient faire ce soir. Pour les filles, il n’y avait rien de particulier en revanche, Lucy devait entraîner ses pouvoirs avec ses parents et sa soeur.

« On peut venir voir ? », demanda aussitôt Émilia, le regard illuminé d’excitation.

« Oh oui, s’il te plaît ! » supplia son autre cousine également.

La petite blonde prit un air gêné, très peu sûre d’elle. Jusqu’à présent, elle n’avait pas fait grand-chose à vrai dire. Elle n’arrivait toujours pas à matérialiser son pouvoir en fait. Elle méditait simplement avec son père et s’entraînait à communiquer par la pensée pour commencer ou même à faire bouger des objets, mais pour l’instant ça n’avait rien donné. En revanche, la seule chose qui avait changé était ses rêves : ils ne se matérialisaient plus tout seuls maintenant qu’elle avait accepté qui elle était et qu’elle avait surtout conscience de ses pouvoirs. En tout cas, avoir du public n’allait pas vraiment l’aider. Au contraire, ça allait peut-être la bloquer plus qu’autre chose.

« Je pense que ce n’est pas une bonne idée les filles. Pour l’instant, mes sessions ne sont pas très productives ».

Bien que déçues, ses cousines hochèrent la tête, compréhensives.

« Pas de soucis, ne t’en fais pas, tu nous montreras toi-même quand tu auras réussi », la rassura Luna en lui faisant un câlin.

Émilia se joignit bien évidemment à elle et les trois cousines demeurèrent comme ça durant quelques secondes devant l’entrée de leur collège. Tout à coup, alors qu’elles allaient se séparer pour rentrer, leur route se retrouva barrée par une bande de lycéens. Ça aurait pu être qu’un hasard si l’un d’entre eux n’avait pas immédiatement élevé la voix en direction de la petite blonde.

« Alors c’est toi Lucy ? »

« Euh… oui », répondit la concernée en grimaçant, déjà méfiante par le ton qu’il avait employé.

« Vous êtes qui vous ? », demanda Émilia, déjà sur la défensive.

« Je suis le frère de Jessica. Vous savez celle que vous avez virée injustement ?? »

« Injustement ?? Elle a harcelé Lucy pendant des semaines et des semaines pour finir par tuer un animal et la mettre dans son assiette ! Tu crois peut-être que c’est pas grave ?? À cause d’elle, elle a failli y rester ! Tu sais ce que ça fait au moins de se faire insulter et de se prendre des coups toute la journée parce qu’une petite gourdasse n’a rien de mieux à foutre de ses journées ??? C’est elle qui a causé tout ça, elle avait qu’à se tenir tranquille !!! Ta petite sœur n’est qu’une pauvre fille pathétique et méchante ! Elle devrait plutôt se remettre en question et toi aussi !! » s’emporta Émilia, furieuse.

Jamais elle ne l’avait vu aussi en colère, mais ce n’était sans doute pas le bon moment. La suite fut si rapide que les filles n’eurent pas le temps de réagir : le lycéen saisit Émilia par le cou et la plaqua violemment contre la grille en fer de l’établissement.

« Pour qui tu te prends toi ? Espèce de petite garce ! Je vais t’apprendre le respect ! »

« Ça suffit, lâche-la ! », s’énerva Luna en lui grimpant sur le dos pour le frapper.

Le jeune homme essayait de se débarrasser d’elle, mais Luna s’accrochait tant bien que mal, lui griffant le visage à l’aide de ses ongles.

« ARGH ! Casse-toi connasse ! »

De son côté, Émilia commençait à devenir bleue et à ne plus pouvoir respirer. Elle était en train de s’étouffer ! Le temps pressait. Lucy tenta de se précipiter vers eux au moment où l’un des autres garçons essayait d’attraper sa cousine, mais un autre la saisit par les bras pour la retenir.

« Arrêtez ça !! Arrêtez ! », hurla-t-elle en larmes, essayant de se libérer de l’emprise de son ennemi.

« Tiens-toi tranquille toi ! Tout est de ta faute ! », répliqua celui-ci en lui mettant une gifle.

La blonde tomba au sol sous la force du coup. Un instant, son corps perdit sa fonction, l’empêchant de faire le moindre mouvement. Elle entendait les cris de Luna et des autres élèves, ceux qui la frappaient, les insultes. Elle sentait la douleur aussi.

Brusquement, une autre sensation fit son apparition. Elle sentit ses pupilles prendre feu, ses extrémités se mettre à picoter et une espèce de chaleur monter progressivement à l’intérieur d’elle. Alors elle ouvrit la bouche et…

Au lycée de Manhattan, à quelques mètres de là, Jayden était à sa place en train de terminer des exercices quand tout à coup, un flash et des cris le firent sursauter. Il lâcha automatiquement son stylo et tourna la tête vers Caitlin, à quelques rangs derrière lui. La panique pouvait également se lire dans les yeux de sa cousine. Sans même se parler, tous deux prirent leurs sacs, rangèrent leurs affaires à la va-vite et se précipitèrent en dehors de leur salle sous les interpellations de leur professeur. Dans les couloirs, ils faillirent percuter Jonathan et Olivia, descendant les escaliers en courant.

« Putain vous aussi ?? », demanda Jayden alors qu’ils franchissaient l’entrée principale de leur lycée.

« Oui ! C’est Lucy et les filles, elles ont des problèmes ! », répondit Olivia.

Au même moment, Ethan et Josh arrivaient du terrain de football. Le groupe ne mit pas longtemps avant de rejoindre le collège, fonçant dans le tas.

« Écarte-toi de ma sœur connard ! » hurla Ethan en plaquant le frère de Jessica au sol.

D’un geste, il le retourna et lui asséna un crochet du gauche dans la mâchoire. Tous deux se mirent à se battre sur le bitume tandis que Josh récupérait Émilia, enfin libre, mais inconsciente.

« Emi ? Tu m’entends ? »

Pas de réponse, mais au moins, elle respirait. Il fallait qu’il prévienne les parents. Pendant qu’il envoyait un message sur le groupe familial, Jayden de son côté, frappait l’un des cinq autres types, lequel avait attrapé Luna — et Olivia lorsqu’elle s’était jetée sur lui pour défendre sa sœur. Lucy, quant à elle, était toujours au sol, mal en point, scrutant la scène avec horreur. Sa famille se battait contre des mecs qu’elle ne connaissait même pas et elle ne pouvait rien faire contre eux.

« Ça suffit… Arrêtez… » murmura-t-elle.

Mais elle n’avait pas parlé assez fort. Il fallait qu’elle se fasse entendre. Brusquement, la sensation de tout à l’heure refit surface. Lucy serra les poings et sauta sur ses jambes. Contrairement à tout à l’heure, elle n’avait pas peur. Elle était comme animée par une force supérieure. C’est là qu’elle comprit : ses pouvoirs, c’était eux qui se matérialisaient. Enfin !

« OOOH JE VOUS PARLE !!! » hurla-t-elle en frappant sur le sol de son pied.

À cet endroit, le béton se fissura sur deux centimètres, attirant l’attention sur elle. Le silence se fit, ses cousins et frères et sœurs tournèrent la tête vers elle, de même que leurs adversaires, rendus muets de stupeur. Et pour cause, Lucy savait que ses yeux brillaient d’une lueur caractéristique. Cette fois, elle contrôlait la situation.

« Vous allez vous éloigner de ma famille. Tout de suite », ordonna-t-elle en approchant de ses ennemis.

Si certains obtempérèrent d’un air apeuré, le frère de Jessica, lui, préféra s’avancer à pas lents jusqu’à elle.

« Alors ça y est le monstre ? Tu as révélé ta vraie nature, hein ? » ricana-t-il en souriant d’un air moqueur « Tu crois peut-être nous faire peur ? La vérité c’est que tu n’es qu’une moins que rien »

Lucy fronça légèrement les sourcils. Il osait la provoquer ? Il savait au moins ce dont elle était capable avec ses pouvoirs ? Peu à peu, elle sentit la colère devenir de plus en plus forte. Elle était à deux doigts de perdre le contrôle là. Alors elle serra davantage les poings, essayant de garder son sang-froid.

« Je vais te le dire une seule et dernière fois. Dé-ga-gez. Tous »

« Ah ? Et sinon tu vas faire quoi, sale monstre ? »

Cette fois, c’en était trop. Elle sentit quelque chose picoter dans ses doigts, puis une lumière bleue apparut à côté d’elle, se mettant à grandir de plus en plus. L’ambiance était plus que tendue et tous deux se toisaient du regard, cherchant à voir qui allait craquer en premier. Soudain, un bruit sourd retentit sur le trottoir. Déconcentrée, la lueur dans les yeux de Lucy disparut, tout comme le sort qu’elle était en train de préparer pour attaquer. Tous les regards se posèrent sur ce qu’il tenait là, à côté d’eux. L’un d’entre eux, encore au-dessus de Josh et prêt à frapper, eut d’ailleurs la désagréable surprise d’y faire directement face.

« Tu vois ce poing petit con ? C’est celui que tu vas te manger si tu ne le lâches pas tout de suite », fit une voix rauque.

Devant cet immense poing vert et cette stature, le lycéen déglutit. Là, ils étaient dans de beaux draps et c’était peu dire.

***********************************
Dix minutes plus tôt…

Au dojo des Hamato, les cours avaient commencé à 14 h avec celui de la catégorie adulte, placée sous la direction de Léonardo. Actuellement, à 16 h 10, c’était l’heure du cours des petits. Bien que ce soit une grosse responsabilité, il était évident que la meilleure personne à pouvoir gérer des petits de 6 à 10 ans, c’était Mikey. En effet, depuis qu’Olivia était née, il avait changé. Il avait toujours son âme d’enfant, mais il avait gagné en maturité et surtout en autorité. De plus, sa capacité à communiquer avec les plus petits tout en leur faisant apprendre des choses était une aubaine pour eux. Il ne manquait pas d’astuces et surtout de blagues pour les faire rire. Actuellement, il expliquait comment faire à ses disciples, tout en privilégiant leur sécurité. Comme d’habitude, Raphaël l’observait faire, gardant un œil sur le cours, mais aussi sur lui. En réalité, il ne le faisait pas par inquiétude, mais surtout par plaisir. Depuis que maître Splinter les avait quittés, il n’avait plus eu l’occasion de le voir enseigner. Alors il avait trouvé un substitut. Comme lui, ses frères avaient pris un peu de leur père pour enseigner. Ainsi Léonardo avait sa bienveillance et son autorité, et Mikey, son improvisation, sa ruse et sa malice. Ils faisaient de bons professeurs, vraiment.

« Raphaël ? » l’interpella tout à coup Léo dans le couloir.

« Oui ? »

« Il faut que tu viennes vite, une urgence devant le collège »

« Qu’est-ce qui se passe ? » demanda-t-il en le rejoignant immédiatement.

« Nos caméras de surveillance ont détecté une bagarre… Et les enfants sont dedans. Apparemment, les filles ont eu des problèmes et Jayden et les autres sont partis les aider ».

« Merde ! » jura Raphaël « Qu’est-ce qu’on fait ? »

Léonardo fit quelques pas en avant de porter les doigts à sa nuque. Cette fois, il était hors de question de rester en dehors de ça. Il fallait agir, faire en sorte qu’ils arrêtent une bonne fois pour toutes.

« On y va »

Sur ce, tous deux reprirent leur véritable forme, enfilèrent leurs bandeaux et passèrent par la fenêtre, montant jusqu’aux toits afin de rejoindre au plus vite le collège. Ils ne s’imaginaient pas un tel désordre lorsqu’ils se posèrent sur le toit de l’immeuble d’en face. Et Raphaël vit rouge en voyant sa petite fille inconsciente dans les bras de son fils. Léonardo ne demanda pas son reste non plus. Il allait sauter pour les rejoindre quand tout à coup, il se stoppa net.

« OOOH JE VOUS PARLE !!!! », hurla Lucy en frappant sur le sol.

Le béton se fissura à ses pieds et Léo écarquilla les yeux de stupeur. Ça y est, ses pouvoirs se manifestaient. En témoigne ses yeux lumineux qu’il reconnaîtrait entre mille. S’il était heureux pour sa nièce, il n’en était pas moins inquiet. Elle n’en avait pas encore le contrôle. La prudence était donc de mise.

« Tiens-toi prêt à intervenir », fit-il en direction de son frère.

« Ok »

Ils attendirent tous deux le bon moment. L’occasion se présenta lorsque Lucy prépara une attaque. Tous deux bondirent pour atterrir devant eux sur le trottoir. L’ambiance, déjà tendue par l’affrontement entre Lucy et le frère de Jessica, devint encore plus oppressante. Surtout pour les lycéens concernés, sans compter les élèves témoins de la scène. Sans attendre les directives de son frère, Raphaël se redressa et s’avança jusqu’à ses fils. L’un d’entre eux était au sol, en mauvaise posture.

« Tu vois ce poing petit con ? C’est celui que tu vas te manger si tu ne le lâches pas tout de suite », déclara-t-il froidement tout en le présentant sous le nez de son ennemi.

Apeuré, le garçon se redressa et recula jusqu’au grillage tout comme les autres tandis que les enfants se rassemblaient autour de leur oncle. Léonardo, de son côté, préféra rejoindre sa nièce et le chef de sa petite bande.

« Je ne sais pas ce qui se passe ici, mais je vais être très clair sur un point : approche encore ma nièce ou qui que ce soit d’autre de ma famille et tu auras de gros problèmes. On ne fait pas dans la demi-mesure et je pense que tu as pu le constater avec Lucy », déclara Léo auprès de lui « Est-ce que je me suis bien fait comprendre ? »

Cette fois, le frère de Jessica avait perdu toute son assurance devant ses yeux bleus et cette immense stature. L’espace d’un instant, Léo et Lucy pensèrent qu’il allait faire un malaise tant il avait pâli, mais, finalement, il se contenta de déglutir et de hocher la tête.

« Limpide monsieur… »

Puis, il partit en courant, suivi de près par ses amis. Tous attendirent qu’ils soient loin pour soupirer de soulagement.

« Ouf… Bon, problème résolu pour de bon, je pense » fit Léonardo avant de tourner la tête vers sa nièce « Ça va ma puce ? »

Lucy hocha la tête, les larmes aux yeux, un grand sourire sur le visage.

« J’ai failli faire une bêtise, mais j’ai réussi », dit-elle en sautillant sur place, surexcitée.

Le mutant lui sourit, posant une main affectueuse sur son épaule. Lucy préféra, pour sa part, lui faire un câlin. Pas du tout surpris, le leader serra un instant sa nièce dans ses bras, puis Lucy se retira pour courir vers son frère et sa sœur. Pendant ce temps, Raphaël avait pris sa fille dans les bras après s’être assuré que ses fils n’avaient rien de cassé. À son plus grand soulagement, Émilia reprit connaissance. En revanche, elle avait une respiration sifflante et peu rassurante. Il faudrait sans doute qu’elle aille faire un tour chez le médecin. Olivia et Luna allaient bien également. Les plus grands expliquèrent ce qu’il s’était passé à Léo et Raphaël, toujours sous le regard des autres élèves, impressionnés par les deux mutants. En effet, une grande partie connaissait leur existence de la ville, mais la plupart ne les avaient jamais vus. Du coup, certains restaient figés. C’est d’ailleurs pour ça que les deux frères ne s’éternisèrent pas, préférant s’éclipser en vitesse, non sans avoir dit à leurs enfants de rentrer directement. Mais avant de partir, quelques élèves se décidèrent à interpeller Lucy.

« Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda-t-elle, quelque peu méfiante.

« On voulait juste te dire que tu n’as pas à avoir peur en notre présence ici. Tu as été super face à Simon », la rassura l’un d’entre eux.

Tous confirmèrent en hochant la tête, lui souriant et la félicitant pour ce qu’elle avait fait. Pour Lucy, c’était une délivrance. Elle était acceptée telle qu’elle était. C’était peut-être ça la clé finalement.

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