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Prologue - Vision d'une âme

Bonjour tout le monde !

C'est donc la deuxième fois que je poste le premier tome de Torn Soulmates... C'est fou comme ça m'a fait bizarre de la revoir dans mes brouillons. La réécriture de l'histoire est entamée. J'espère que cette version vous plaira tout autant que la première, pour ceux qui lisent pour la deuxième fois. Pour ceux qui lisent pour la première fois, c'est pareil, j'espère de tout cœur que cela va vous plaire !

Normalement, je poste toujours un chapitre par jour, mais étant donné que ce sont des circonstances un peu inhabituelles pour moi, je vais faire un peu différent : les chapitres seront postés au fur et à mesure que je les terminerai. Je ne sais donc pas si le temps d'attente entre deux chapitres sera de quelques heures, quelques jours ou tout un mois. Je suis désolée pour ça.

Ceci est une fanfiction, alors certains personnages ainsi que l'univers ne m'appartiennent pas, ils sont à Jeff Davis. Les seuls personnages qui m'appartiennent sont ceux que j'ai inventés de toutes pièces pour cette histoire (vous constaterez vite qu'il y en a plusieurs). Cependant, l'histoire m'appartient entièrement et je ne tolérerai pas le copiage (ne vous en faites pas, je suis tout de même très sympa, vous verrez).

J'accepte toutes les questions et tous les commentaires tant qu'ils respectent les autres lecteurs et moi-même, s'il vous plait. Vous pouvez tout écrire dans l'espace des commentaires, voire même me demander directement par messages privés si vous avez des questions plus spécifiques (il m'est déjà arrivé qu'on me demande quand arrivait la suite par cette voie).

Voici une petite légende pour vous aider à suivre l'histoire ! :

❤️🧡💛 Indique le début ou la fin d'un chapitre. C'est toujours précédé ou suivi d'une note de ma personne.

🐺🐾🐺 Indique un saut dans le temps (quelques heures, le lendemain, des trucs banals de ce genre).

Si jamais il y a des flashbacks, je préciserai au début du chapitre et j'indiquerai quels sont les smileys utilisés pour les démarquer.

Allez, je vous ai assez emmerdés avec mon discours !

Bonne lecture à tous ! 😁✨

💛🧡❤️

On dit souvent qu'il ne faut pas penser au passé, qu'il faut vivre dans le présent et regarder devant soi. Que le passé est dans notre tête et que notre futur est entre nos mains. Il existe une citation d'Atticus qui dit Le plus drôle à propos de poursuivre le passé, c'est que la plupart des gens ne sauraient pas quoi en faire s'ils l'attrapaient. Je suis d'accord avec lui. Selon moi, on aurait peur de ce à quoi pourrait ressembler notre avenir. Le temps est une chose extrêmement fragile, qu'un minime évènement peut affecter pour toujours. C'est pour ça que chacune de nos décisions est importante, et qu'il faut se souvenir de nos erreurs passées sans pour autant y être piégé.

Moi, en revanche, je ne cesse de repenser à mon passé et à ce que j'aurais pu faire pour être heureux. En soi, ça aurait été relativement facile, mais le hasard a voulu que les choses ne se passent pas comme ça. Je dois donc me contenter de revivre cette journée, encore et encore, en rêvant à toutes ces possibilités qui auraient pu s'ouvrir à moi si je n'avais pas été aussi idiot dans mes décisions.

Je me souviens encore que cette journée-là, j'avais particulièrement hâte d'aller à l'école. Notre professeure avait annoncé qu'un nouvel élève allait arriver dans notre classe, et j'avais très hâte de le rencontrer. Je me souviens de la prépondérance du bleu dans le ciel, et des nuages blancs qui me semblaient aussi doux que du coton. Toute la nature semblait se réjouir que l'été soit bientôt présente. Les animaux cherchaient de la nourriture, les coureurs parcouraient les sentiers, même la brise était vivante, cette journée-là. En soi, tout annonçait une journée parfaite sans encombres ni surprises, qui allait se résumer à de la joie et de la bonne humeur en profusion. Cela n'a pas été mon cas.

Il faut préciser que, de toute façon, je n'ai jamais vraiment eu une vie banale. Étant né loup-garou au sein d'une famille entièrement constituée d'autres loups-garous, c'était impossible. Dès mon plus jeune âge, on m'avait appris les règles fondamentales de la meute, c'est-à-dire se contrôler, connaitre notre devise et notre mantra, et surtout, garder le secret sur la vraie nature de notre famille. Parfois, en automne ou en hiver, on faisait même semblant d'être malades et manquions une ou deux journées de cours, uniquement pour que les autres nous pensent normaux. C'est devenu une habitude, pour moi, au fil des années. À vrai dire, j'avais fini par me dire que c'était une chose naturelle et que je me devais de le faire. Sauf cette fameuse journée, où j'avais eu pour la première fois envie de tout révéler en me retrouvant face à un petit garçon de mon âge.

Avant de vous raconter comment j'ai rencontré ce petit garçon, il va vous falloir une base pour comprendre comment et pourquoi s'est arrivé. À l'école, pendant que je discutais avec entrain avec mon meilleur ami Isaac et le nouvel élève à qui nous devions faire visiter le bâtiment, un garçon très timide nommé Brendon, les lumières s'étaient toutes éteintes d'un seul coup et une voix dans les hauts parleurs avait annoncé que l'école était désormais sous confinement barricadé et que ce n'était pas un entraînement. Nous trois, nous nous étions cachés dans les toilettes pour filles. Je me souviens encore de la peur qu'on éprouvait pendant les longues heures que les policiers avaient mis pour attraper l'homme qui avait provoqué ce confinement soudain. J'étais tellement paniqué que j'avais failli me transformer ; heureusement, Isaac était là pour me rappeler qui j'étais vraiment, ce qui m'avait grandement aidé à garder le contrôle. Ce n'est qu'au bout d'une éternité qu'un policier, le shérif lui-même, nous avait trouvés, terrorisés et les larmes aux yeux - laissez-moi préciser que nous n'avions alors que huit ans. Il nous avait emmenés avec lui et nous avait conduit à l'extérieur, où nos parents nous attendaient avec une impatience peu contenue. Puis nous étions rentrés chez nous, et croyez-moi, je n'avais jamais été aussi heureux d'entendre les cris du bambin qu'était ma jeune sœur Cora, à cette époque. Je me souviens même de l'odeur des biscuits au chocolat de grand-mère Glanice, quand je suis rentré.

Mon père était présent. Mon père, Desmond Hale, un homme d'affaires réputé, n'était que très rarement là, à la maison. Il partait très tôt le matin et revenait très tard le soir, tous les jours. Lui ne faisait jamais semblant d'être malade. Les seuls congés qu'il eut jamais pris, c'était pour ses congés de paternité, afin d'aider maman avec le nouveau-né, aussi longtemps qu'elle en avait besoin. Je ne m'attendais donc pas à ce qu'il soit présent, et bien évidemment, ça m'avait rendu heureux. Mais je me souviens surtout qu'il m'avait présenté à Stiles Stilinski.

Stiles Stilinski, c'est le petit garçon dont je parlais tout à l'heure. Un petit garçon jovial, surexcité, qui en moins d'une seconde m'avait fait comprendre que peu importe qui il était, il y avait quelque chose entre nous. Il m'avait suffit d'entendre sa voix pour le deviner. La première chose que ce garçon m'eut jamais dit était en rapport avec mes yeux. Je m'en souviens parce que, de toutes les personnes que j'eu jamais connues, même parmi ma famille et mes amis, il a été le seul à jamais connaitre leur vraie couleur. Avec les années, je m'étais habitué à affirmer que mes yeux étaient vert-gris. Personne n'était capable de dire s'ils étaient plutôt gris ou plutôt verts, mais Stiles, lui, n'avait eu besoin que d'une fraction de seconde pour connaitre la réponse. Il m'avait regardé, les yeux plissés et le nez froncé, puis avait souri et m'avait dit qu'il aimait beaucoup mes yeux gris. Tout ça, avant même de se présenter. Mais ça avait été suffisant. En quelques secondes, j'avais eu une vision et j'avais compris que lui et moi avions quelque chose en commun. Une chose que je ne connaissais pas encore et qui m'apparaissait donc floue, mais une chose forte et indestructible. Je n'ai compris que plusieurs années plus tard qu'il était en fait mon âme-sœur. Il faut dire que je n'avais jamais pensé un jour rencontrer cet être, et pourtant, il y a dix ans, je me suis retrouvé en face de lui, directement. Je le regardais, et je ne cessais de revoir ce bel adolescent que j'avais vu en vision, une fleur dont je ne connaissais pas le nom derrière l'oreille, souriant comme si c'était le plus beau jour de sa vie. Comme s'il était dans son petit paradis et qu'il ne voulait plus le quitter. 

J'étais perturbé par ce que je venais de voir, mais surtout, étrangement, j'avais envie de lui livrer tous mes secrets. Je me sentais intimidé par sa présence, comme s'il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Je savais pertinemment que s'il me posait une question, je me verrais dans l'incapacité de lui mentir. Je ne savais pas pourquoi, et c'était franchement ça, ce qui m'intimidait. Pourtant, il était très sympathique. Là n'était pas le problème. Il me donnait l'impression qu'il me considérait déjà comme son meilleur ami, alors qu'on ne se connaissait que depuis une minute. Il me harcelait de questions aussi bien qu'un journaliste. Je voulais lui répondre, mais je n'avais pas même le temps d'ouvrir la bouche qu'il attaquait déjà la question suivante ; aussi m'étais-je contenté d'attendre qu'il ait terminé, souriant tout en me demandant pourquoi j'avais aussi chaud. Je n'osais pas le regarder dans les yeux et je voulais tenter de parler le moins possible. Il n'était pas dans mes habitudes d'être timide, mais en sa compagnie, j'avais l'impression que je pourrais me mettre à dire des choses idiotes dès l'instant où mes cordes vocales s'activeraient. 

Ce qui m'avait évité de paraitre stupide à ses yeux, c'était l'arrivée de mes deux frères. Dès qu'il les avait vus, Stiles avait entrepris de faire leur connaissance, comme si c'était une mission de la plus haute importance. Notre mère, elle, avait esquissé un petit sourire amusé et s'était dirigé vers notre père pour l'embrasser et lui dire bonjour d'une voix fatiguée par tous les évènements de la journée. Je serais allé lui dire bonjour, moi aussi, si je n'avais pas été figé sur place par ma rencontre avec le petit hyperactif. Celui-ci avait commencé à nous poser des questions à nous trois, en même temps. Sébastian, mon aîné de trois ans, ne comprenait visiblement rien à ce qu'il racontait, tandis que Morgan, lui, faisait la discussion avec joie. 

- Qui c'est ? m'avait demandé mon grand frère. 

- Stiles...

Interpellé, ledit Stiles s'était jeté sur moi tel un boulet de canon, me projetant sur le sol avec une force dont je ne l'aurais jamais cru capable. Grand sourire aux lèvres, il m'avait demandé si je lui avais parlé. Moi, je n'avais pas su quoi lui répondre. Tout ce dont je me souvienne, c'était que j'avais les joues rouges et que ma bouche refusait d'obéir à ma tête. 

- Au fait, tu savais que nos papas étaient amis ? avait-il fait en fronçant les sourcils, attrapant ma main pour m'aider à me relever en vitesse. 

J'avais choisi de m'assoir sur le canapé, par simple précaution au cas où il aurait l'idée de me plaquer encore une fois. Puis j'avais secoué la tête sans piper mot. Je n'étais pas au courant avant de le rencontrer. À vrai dire, je ne croyais même pas possible le fait que mon père puisse avoir des amis autres que des collègues de travail. Le moulin à parole du brun étant inarrêtable, il m'avait expliqué que son père était un héros, le shérif de la ville, et qu'il passait la moitié de ses journées à sauver des vies sans cesse. Dans la mesure où le shérif était justement celui qui nous avait retrouvés, Isaac, Brendon et moi, dans l'école, à peine quelques heures plus tôt, je le croyais sur parole.

- Tu sais, Stiles, était intervenu mon père avec un sourire, en fait, la moitié des journées de ton papa consistent seulement à remplir de la paperasse. 

Stiles avait penché la tête, intrigué, comme s'il trouvait l'idée curieuse, voire amusante. Puis il avait haussé les épaules et avait recommencé à me faire les louages de son paternel. La vérité ? J'étais pendu à ses lèvres, carrément. Non seulement le métier de son père me semblait être héroïque, mais en plus le son de sa voix résonnait à mes oreilles comme du cristal. Je ne pouvais m'empêcher de penser que j'adorais ce son et que je ne voulais jamais l'entendre disparaitre. C'était sûrement pour ça que je ne faisais pas le moindre effort pour l'arrêter dans ses paroles, mais Sébastian avait fini par penser que j'attendais seulement le bon moment pour pouvoir lui répondre. 

- Hé, Stiles, avait-il dit. T'as envie de regarder un film avec nous pendant que mes parents préparent le dîner ?

- Qui a dit que j'allais... Aïe ! D'accord, d'accord... avait râlé mon père en se levant pour suivre ma mère à la cuisine.

Stiles, tout content, avait aussitôt accepté et avait suivi mon cadet, Morgan, jusqu'à la chambre du plus vieux. Celui-ci s'était tourné vers moi et m'avait sourit.

- Derek, si tu veux pouvoir lui répondre, je suis sûr que ça ne le dérangera pas que tu l'interrompes une ou deux fois, avait-il dit avec une bienveillance peu commune à un garçon de 12 ans - soit tout à fait commune à Sébastian Hale.

- Euh... Ouais, avais-je bredouillé. 

Il m'avait ébouriffé les cheveux, puis on était monté jusqu'à sa chambre. Morgan et Stiles se chamaillaient déjà pour savoir quel film, entre Le roi lion et Mon frère l'ours nous allions regarder. Morgan, évidemment, était d'avis que nous devions plutôt regarder Spiderman, ou quelque chose du genre. Sébastian s'était aussitôt mis à sourire en les voyant se chamailler ainsi. Stiles, lui, dès qu'il m'avait vu, était revenu me parler. On aurait dit qu'il existait comme une aimant, entre nous, qui nous faisait sans cesse, tôt ou tard, revenir vers l'autre. Comme une force qui nous dépassait et nous murmurait qu'il était de notre devoir de garder contact.

Cette fois, Stiles avait compris que j'étais timide ou, du moins, que je l'étais en sa présence.

- Salut, avait-il dit calmement avec un sourire.

J'avais attendu, mais seul un silence s'en était suivi. J'avais froncé les sourcils, et lui s'était contenté de hausser les épaules avant de me dire, non sans gêne, que c'était mon tour de parler. Je m'étais mis à sourire à mon tour, et nous avions commencé à discuter. Même pendant le film, c'était Morgan qui avait dû nous demander d'arrêter plusieurs fois, parce qu'on le dérangeait dans son écoute attentive de Thor. Mais nous ne nous arrêtions pas. Nous restions silencieux à peine une dizaine de secondes. On ne s'arrêtait que pour reprendre notre souffle. J'avais fini par prendre mes aises avec lui et maintenant, j'avais envie de rester là pour l'éternité. J'avais l'impression que nous avions suffisamment de sujets à entamer pour toute une vie. 

Mais le temps était passé et, au bout d'un moment, j'avais été obligé de lui dire au revoir. J'étais conscient que j'allais probablement le revoir un jour, mais je me sentais tout de même triste, sans trop savoir pourquoi. Il me semblait entendre les lamentations lointaines d'une voix, celle dans le fond de ma tête, qui me faisait prendre conscience que j'avais tout sauf envie de le regarder partir. Peu importe ce qui nous unissait, tous les deux, je savais que c'était important. Je ne voulais pas attendre quelques jours, semaines, mois avant de le revoir. Je voulais qu'il reste. Je voulais discuter avec lui encore, sans avoir à me soucier du temps qui passait à la vitesse de l'éclair autour de nous. Sébastian se rendait compte que j'étais triste, évidemment, en tant que grand frère, il avait tendance à deviner instinctivement le moindre de mes sentiments. Aussi, il m'avait encouragé à lui dire au revoir. Je m'étais donc fait violence pour prononcer ces deux mots, tout en gardant les yeux obstinément baissés.

Stiles n'était pas du même avis que moi et il n'avait aucunement l'intention de partir sur un simple au revoir. Il s'était approché de moi et m'avait fait le plus gros câlin que j'eu jamais reçu de la part d'un humain. Ses bras m'étouffaient presque, mais étonnement, j'étais heureux. Assez heureux pour sourire et répondre à cette étreinte, oubliant momentanément le fait que j'étais triste de son départ. Il s'était ensuite reculé et m'avait souri, avec cette petite lueur de malice qu'il avait toujours dans les yeux quand il trouvait quelque chose mignon et amusant à la fois.

- Bonne nuit, petit loup-garou, avait-il dit joyeusement ensuite, attrapant sa veste pour sortir de la maison, où son père l'attendait en discutant avec mes parents.

J'avais alors compris pourquoi il m'avait regardé comme ça avant de partir. Son câlin m'avait rendu tellement heureux que je m'étais transformé sans le vouloir. Et pourtant, il n'avait pas eu peur de moi. Au contraire, il avait eu l'air de trouver ça normal. Cette pensée m'avait fait sourire et j'avais ensuite complètement oublié ma tristesse, me disant que je demanderais bien à mon père de m'emmener le voir une fois de temps en temps à l'avenir. 

Et pourtant, à cause de moi, ça fait maintenant dix ans qu'on ne s'est plus parlé. Dix longues années pendant lesquelles je passe la majorité de mon temps à repenser à cette journée, nostalgique, en me demandant sans cesse qu'est-ce qui a provoqué ma peur. Il aurait pourtant suffi que je lui adresse la parole le premier, rien qu'une fois. Mais depuis ce jour, je le fuis comme la peste, timide et gêné, sans même savoir au juste qu'est-ce qui me pousse à faire ça. 

Me voilà donc, aujourd'hui, allongé dans mon lit, à regarder le plafond autour de ma tête, ce qui est devenu une habitude avec les années. Étonnamment, je suis d'accord avec Atticus, mais en même temps, je pourrais aisément le contredire sur sa fameuse citation à propos du passé. Moi, je sais exactement qu'est-ce que je ferais, si jamais je pouvais rattraper mon passé. Je sais exactement ce que je changerais. Le pire, c'est que je n'aurais même pas peur des conséquences. Je sais qu'elles pourraient s'avérer lourdes, mais je suis aveugle, quand c'est lui. Je suis aveugle, quand on vient à parler de ce garçon. C'est pour ça que, sans l'ombre d'un doute, sans hésiter, si je pouvais retourner dans le passé et ne changer ne serait-ce qu'une seule petite chose...

... J'irais voir Stiles et je lui dirais bonjour au lieu de trouver une excuse pour ne pas aller le voir. 

❤️🧡💛

Coucou, c'est encore moi ! 😌

Le prologue est donc terminé. Dans la première version, il s'agissait d'un flashback des souvenirs de Derek, raconté par un point de vue extérieur qui voyait ce que le petit Derek pensait. Cette fois, je me suis dit qu'il pourrait être intéressant de mettre le prologue directement raconté par Derek lui-même, qui décrit ce qu'il s'est passé il y a dix ans sans que ce ne soit nécessairement un flashback. J'espère que vous êtes du même avis que moi !

Enfin, j'espère surtout que ce prologue vous a plu, car si j'écris, c'est avant tout pour me faire plaisir à moi-même et aussi à ceux qui veulent bien lire mes histoires. Quoiqu'il en soit, j'espère que vous avez apprécié, n'hésitez surtout pas à me dire ce que vous en avez pensé ! On se revoit bientôt pour la suite ! 🐾

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