"Il suffit que tu t'envoles
Pour que je m'envole aussi."

V.hugo

***

La nuit croulante les encontonnait dans sa volupté naturelle, quelques sons d'insectes en arrière fond, et la cigarette avait le goût de tranquillité.
Sur cette touche, Izuku appreciait discuter en bonne compagnie, gratter quelques informations, curieux. Fuite professionnelle ou non, il cherchait les bonnes questions parmi la foule, de celles ni trop personnelles ni trop détachées.

-Tu es donc... Policier...

Katsuki deplia et replia ses jambes, engourdis de par la position en tailleur sur le béton.

-Ouais. Mais c'est de passage. Débita t'il, le souffle brumeux, la voix agacée.

-Tu veux faire quoi après ?

Reprimant un rictus, Katsuki prononça en quelques grognement :
-Tu vas te foutre de moi. Mais je veux faire ce que tu fais.
-Oh... Agent de U.A donc...

Un courrant d'air chaud échauffa les visages blancs, accompagné de ses frissons d'aise.

-Pourquoi tu veux faire ce métier ?

Bonne question.

Katsuki ne se l'était jamais véritablement posé. Parce qu'il le voulait, c'est tout. Il voulait être le meilleur, en tout point, peu importe le métier. Ou peut peut-être s'agissait t'il de quelque chose de plus profond, quelque chose qu'il aurait oublié dans les méandre de son esprit flou.
Il chercha longuement quelques grandes idées cohérentes avant de les prononcer.

-Parce que c'est classe. Parce que ça me permet de pas m'ennuyer, de ne pas réfléchir à ma vie de merde. Parce que je bouge, et que j'ai l'impression de faire le bien.

-Et... Policier ne répond pas à tes attentes ?...

Bien sûre que c'était incohérent, mais il n'avait pas cherché plus que ça.
Katsuki arbora un regard noir, facilement déchiffrable.

-Cherches pas à comprendre le nerd.

Chaque pause entre les discussion se ponctuait d'un temps de parole de la nuit, les arbres sifflent, les étoiles chuchotent aux bâtiments gris leurs laideurs dissimulés...

-On dirait que tu as subi un traumatisme...

Aux premiers abords, la phrase du nerd sorti de nulle part n'avait aucun sens pour lui.

-Ptetre bien.

Puis en y réfléchissant, c'était sûrement le cas. La peur de soi même, la peur de l'inutilité. Toute ces choses qu'il retrouve comme une normalité qui n'a pas lieu d'être, et qui remonte à son enfance dont son cerveau semble avoir effacé le vécu.

Les muscles étirés lui firent mal, trop de temps qu'il était assis sur ce béton trop dure. Katsuki se leva d'un coup rapide, la cigarette encore en main. Son genoux gemit un craquement sourd, et il maudissa ses articulations rouillées.

-Bref, Et toi alors ? Dit il pour tourner la page d'un malaise naissant.

-Oh euh.. Eh bien moi, c'est parce que je veux sauver un maximum de vie.

Katsuki échappa un rire mal contrôlé, un mélange de mépris et d'enfantise. Il s'attendait plus ou moins à cette réponse.

-J'imagine que c'est la meilleur réponse.

-Je ne pense pas qu'il y ait de bonne ou mauvaise réponse... Je trouve la tienne très honorable aussi...

-Mouais.

Ça lui collait même trop bien, cette étiquette.

Le rôle du gentil garçon qui devient le Hero. Celui qui est fragile, mais qui devient fort. Celui que l'on pensait protéger, mais qui se retrouve à être le bouclier du monde. Celui qui chiale. Celui qui admire les autres pour trois fois rien.

Mais qu'est ce qu'il en savait ?

-Y'a des choses que tu r'grettes ?

La question fit retourner son sourire de bienheureux vers le bas. Izuku se releva sans un mot, juste à côté, dépoussiérant son jean clair.

-Oui... De ne plus voir ma mère aussi souvent qu'avant.

Le murmur empli d'honnêté triste fut à peine audible, ramassant les verres vides depuis quelques heures déjà, signe qu'ils allaient déguerpir.

-Ta mère uh?
Le sang affluait à nouveau dans les jambes, les réchauffant au passage.
Moi aussi.

Ils parlaient de choses, profondes et simple.
Et cette simplicité est enivrante, lorsque le rôle de Hero tombe à nue et qu'on y aperçoit un homme qui souffre de chose banal.
Il se demande s' il n'est pas un peu comme ça au fond, à fuir ses responsabilité derrière son insigne de dure.

-Tu es Marié ?

Katsuki rechauffa une enième fois ses poumons de la fumée néfaste, la petite troupe faisait machine arrière, quittant la plate-forme grise pour rejoindre les tuiles pourpres.
Quelque peu surpris de la question, il montra sa main gauche vierge de toute bague avant d'emprunter l'escalier pour descendre.

Izuku ne semblait pas pour le moins satisfait, la main sous le menton, bougon, il poursuivit :
-En couple ?

Katsuki échappa un rire, désormais côte a côte, glissant sur les toits baignés de l'encre nocturne.
-ça ne m'intéresse pas, ces conneries.

Les quelques experiences dans sa vie l'ont prouvé, il n'est pas fait pour ça.
Ce dont il se souvient de l'enfance, c'ést des quelques gamines qui lui offraient des lettres d'amour, entichés de parfum qu'il s'empressait de jeter.
Les filles le terrifiait à l'époque. Secret inavouable.
Et lorsqu'il s'y intéressa, le monde fabuleux de l'amour l'avait plus ou moins déçu. Au final, ça ne valait pas le coup.

Par contre les coups d'un soir, il ne pouvait pas y résister. Les pulsions naturelles d'un homme, se disait il. Ça ne le comblait jamais.
Les actes paraissaient vide, peu importe la femme sur laquelle son dévolu s'était jeté. Peut être manquait il l'assaisonnement d'un sentiment certain ?

Les mains à la vertical, le jeu d'équilibre devenait trop simple, derrière, le nerd suivait le rythme tranquille, l'équilibre parasité des verres vides qu'il se trimballait péniblement.
Sa nouvelle compagnie du soir était un peu trop curieuse, il fallait au moins renvoyer la politesse.
-Et toi, en couple ? marié ? libre comme l'air ?

Une fois encore, il observa Deku glisser sa main dans sa nuque, nerveusement, les oreilles rosis de souvenirs sûrement embêtants.

N'empêche qu'il en fallait peu pour le faire réagir.

-Je suis tombé amoureux de quelqun petit. Mais je ne l'ai plus jamais revu.

-C'est con ça, Katsuki esquissa un saut impeccable, sur le toit de la maison face à eux. Mais c'est les amourettes de gosse aussi. Ça ne dure jamais.

-Oui... Enfin, depuis j'ai eut quelques aventures ici et là... Rien de bien concluant.. Juste des problèmes au sein du groupe d'ami...

Le nerd sauta a son tour, réception difficile mais maîtrisé, rien d'étonnant.

Merde, c'est que la discussion tournait au sérieux.

-Laisse moi deviner... Avec la brunette?

-.... Ouais... on te l'a dit ?

-Tch, non je l'ai deviné. Je suis pas flic pour rien.

Toujours debout et poursuivant la promenade chapardeuse, Izuku se mit à trembler des chevilles, sûrement dans l'optique de se réchauffer, ou peut être d'évacuer un certain stress.

-... C'est Ochako. Enfin, ça s'est un peu mal fini. Et elle m'en veut toujours.

-Les femmes...

Gênant. Il ne sait même pas pourquoi il a dit ça. Il n'y connait pas grand chose dans ces conneries de rose et d'eau ou l'inverse. C'était dans sa nature de paraître savant sur tout sujet.

Mais là c'était de trop.

-Le truc... C'est qu'elle est apprécié dans le groupe... Et elle a réussi à convaincre pas mal de gens que j'étais une sorte de monstre... Alors, ça explique pourquoi je ne suis pas venu depuis longtemps...

La tête figé sur les tuiles de rouillés, Izuku percuta le dos de Katsuki, subitement arrêté. Il bredouilla quelques excuses, affolé, jusqu'à ce que la voix terne du cendré le cloue sur place de respect.

-Si les gens sont assez con pour la croire elle, alors que t'es visiblement l'homme le plus bienveillant que je connaisse, c'est qu' ils ne te méritent pas.

Katsuki repris sa marche et sa démarche, laissant en arrière plan un Izuku déboussolé.

Le temps passait vite, à discuter, aussi à ne rien dire.

Par ennuie soudain, les deux compares avaient grimpés la grue de chantier, non sans rire et non sans peur.
Le nerd avait le vertige et Katsuki se mentait à lui même en disant que lui ne l'avait pas.
Une fois en haut, la vision était au dessus des espérances, surtout de celle vu précédemment.
Les yeux posés sur sa montre par inadvertance, Katsuki fut pris d'effroi en constatant que l'aiguille dépassait largement le douze.

-Putain... Il branle quoi double face.

Il sorti son téléphone, qui affichait un malheureux 3h du mat, alors qu'il travaillait tôt demain d'ailleurs. Un SMS de cette abruti annonçait que ça ne s'était pas passé comme prévu, et qu'il ne pourrait pas venir le chercher avant demain matin.

Katsuki cru exploser de rage, dans le plus grand des silences de son existence, là à 30 mètres du sol.

Si seulement il avait ramené sa moto. Erreur qu'il ne reproduira plus. Heureuselent que son chat avait des réserves de graisse pour survivre plusieurs décennie sans croquette.

Mais bordel, ça le faisait bien chier.

-Tu... Si tu as un problème tu peux dormir dans mon hôtel si tu veux..
Était il si évident de lire en lui comme un livre ouverte ?

La proposition ne l'étonne pas venant d'un mec comme Deku. Mais l'idée d'être redevable le démangeait plus que tout, alors Katsuki se resigna :
-J'vais me démerder.

Rapidement, et cette fois ci le sourire déguerpi un peu loin, ils descendirent la grue. Reprirent le chemin à tuile emprunté pour retrouver le bar.
Katsuki anticipa la remonté désormais à côté du mur surplombant le balcon, les mains croisées pour permettre a Izuku de grimper.

Comprenant l'objectif, le dénommé, un des verres dans la gueule, déposa sa main libre sur son épaule, doucement. Trop doucement, sans appuyer, et sans avoir le temps de sentir le poid de son corps, son pied avait sauté sur le trampoline de ses mains, désormais en haut.
Le son bruyant indiquait que le balcon était toujours blindé de monde.

-P'tain.
-Prend ma main !

Izuku tendit sa main, le buste presque par dessus la barrière.

-Pas besoin.

Katsuki se recula juste un peu, soudainement sérieux sur le contrôle de son souffle. Les bras détachés, il fit un pas puis deux, et d'un ploiement de genoux fit un' bond juste assez haut pour s'agripper à la barrière, et se hausser sur le balcon.

Arriver à terme, il se frotta les mains, qui avait mine de rien porter tout son corps dans une torsion plus ou moins douloureuse.

Les alentours plusbou moins calmes, personne ne semblait se soucier de leur présence, encore moins de leur petit tour de parcours pour débutant.

-Tu ne serais pas un chat par hasard ?
-Tsk, tu verrais le mien...

Izuku écarquilla les yeux, comprenant que Katsuki possédait cette petite créature loin d'être mignonne. Il s'appreta à divaguer, entamer une enième discussion florissante, et dans le bar se fit percevoir un fracas.

Instinctivement, le regard entendu et la démarches saccadé, ils entrèrent à l'intérieur, sourcils froncés, découvrir ce qui semble être une bagarre d'homme bourré.

L'un des hommes venait de prendre une des chaises, prête à reproduire une prise de catch. Dans le bas fond sombre, Mina semblait paniquée par la tournure des événements, une fois encore des hommes se battait pour ses yeux de merle, et une fois encore Katsuki intervenait.

Il aggripa le poignet du fou à la chaise, et Izuku entrava l'avancée du second, le regard compatissant, plus prenant que 1000 mots. L'homme ne chercha même pas à s'affranchir de la main du blond lui brisant le poignet sous la pression.

-Dehors les ivrognes, c'est compris ?. Ou cette histoire va se finir autrement, et je te garanti que tu vas pas aimer.

Apparu son insigne de flic sous son veston et c'était le coup de grâce pour avoir la paix avec les dégénèrés.
OH oui, Katsuki en avait connu des bagarres de bar. Beaucoup trop pour les compter sur les doigts de la main..

Les hommes repartirent peiné, les mains presques traînantes sur le parquet , et la marche douteuse, rejoindre la sortie. Quelques insultes en guise d'accompagnement, et rapidement la fête rebattu son plein.

-Tu te débrouilles bien Katsuki !

Le nerd déposa les deux verres sur le comptoir, applaudir faiblement la piteuse performance.

-Félicites moi encore une fois comme un attardé et je t'embarques.

Le nerd se mit à rire, un peu trop à son goût, animé par l'alcool. Il se souvient qu'il y a quelques heures à peine l'abruti traînait le pas dans son dos, visiblement aigris et presser de partir, tout comme lui d'ailleurs.

Les choses avaient bien changé...
Merci... la bière ?

-Blagues à part, Izuku toussota son fou rire avant de prononcer : on rentre ? On travaille tout les deux demain.

-Je t'ai dit que je me débrouillerais.

-Tu fais comme tu veux, mais je pense que c'est une proposition plus que raisonnable..

Katsuki eut soudainement un violent acouphènes, Denki avait pris possession du bar, brandissant sa guitare électrique mal branchés, faisant retentir des échos désagréable à faire vibrer ses cellules.

Alors, se rappelant le malheureux 3h 30 du mat qui défigure son téléphone, et la fatigue lui martelant le crâne, sans grande reflection, il se dit que ce n'est finalement pas une si mauvaise idée.

-'k, on dégage.

Mina les salua de loin tandis qu'ils se dirigaient vers la sortie, et dans son regard se lisait une certaine provocation, à laquelle Katsuki répondit par quelques éclairs.

La coincidence n'a jamais joué de tour comme celui là, une fois la porte de sortie ouverte donnant sur la brunette et sa pote canon au cheveux de jaie, qu'il aimerait baiser une fois dans sa vie.

-Oh.

Les pupilles s'éclatent comme des billes, celles d'Izuku tombent en fracas. Il devient friable, c'est comme s'il fondait derrière son dos, craintif des flammes incendières que la brune se retient de cracher de sa bouche maquillée.

Les 4 connaissances restent quelques secondes à se juger, et c'était déjà de trop, lorsque la voix se défait de l'emprise de la surprise elle même.

-On voudrait passer.. Dit elle, le ton hautain et sec à lui faire crisper la mâchoire. Surtout que la place était déjà suffisante.

Les deux pimbêches passèrent, atteignant le niveau d'Izuku ce dernier n'a jamais paru aussi blanc que le linge.

-Ça va aller ?

-Oui euh je... Je m'attendais à pire. Souffla t'il, et Izuku s'enfonça le premier dans la ruelle nuit noire, sorti son téléphone, allumer la maps tant convoité. Katsuki lui pris le pas.

Il appréhende Izuku depuis à peine 24h, et c'est comme s'il le connaissait depuis toute sa vie. C'était si facile de l'analyser, de comprendre ses ressentis. C'était presque naturel de vouloir le protéger, même s'il n'en avait pas besoin.

-On dirait que tu l'as bien énervé celle là...

-Ouais... Je ne peux même pas dire le contraire...

Il savait qu'il n'aurait pas dû remettre le sujet sur le tapis, alors durant le trajet il se tu, et observe son geôlier suivre les rues, quelques murmures intangibles, une démarche alcoolisée remuant ses hanches un peu trop pour que cela paraisse naturel.

-Nous sommes arrivé. Dit il simplement, désormais face à un immeuble grisâtre, dont quelques fenêtres scintillent encore de lumières artificielles, abritant sûrement des touristes insomniaques, ou des adolescents absorbés par les écrans.

La réception luxueuses démangent ses petits yeux de sommeil, et en montant à l'étage, Izuku sort la clef pour ouvrir la chambre 14.

Ils entrent, et la lumière s'allume à l'entente de deux clap.

La nuisette était ravissante et simple. Un bar équipé de dernières technologies faisaient face à un grand lit double, la couette soigneusement posée et prête à être déballée.
Du luxe simple, qu'il y avait de quoi envier.

Katsuki zieuta une quantieme fois son téléphone, bientôt les 4h seront atteint, son cerveau lui chuchote malgré lui qu'il ne lui reste que 2h30 de sommeil. Sa batterie flinguée, il éteint son téléphone dans l'espoir de préserver le peu qu'il lui reste, en espérant que le réveil fonctionnera.

-Je suis désolé il n'y a qu'un lit... Je n'avais pas prévu qu'il y ait un ami qui vienne dormir...

Le mot "ami" était sorti si naturellement de la bouche du nerd, que ça sonnait comme vrai. Ça lui prenait tout de même la tête, alors qu'il s'agissait d'un simple mot. Il lui fallait un peu plus de temps, plus de liens pour le considérer comme tel.

Mais d'une certaine façon, ça lui faisait chaud au cœur.

-Pas grave. Je suis trop crevé pour faire la princesse ce soir.

Katsuki retira son t-shirt, ses chaussures qu'il balance dans le coin de la pièce, puis son jean et se vautra sur le lit comme une épave, le nez et les yeux plongés dans le parfum industriel des draps de l'hôtel.

Ses oreilles perçurent le son de la ceinture du jean de Deku, et le bruit des vêtements qui se plient avec parcimonie.
Ses propres vêtements sont par terre, et il n'a plus l'énergie de faire dans la propreté.

Doucement, Izuku se glisse dans le lit, le plus près du bord pour laisser de l'espace, alors que Katsuki prend déjà les 3/4. Le pire c'est qu'il ne rétorque rien.
Katsuki, dans cette situation, se serait poussé avec violence.
Mais Izuku n'est pas Katsuki.

Non clairement pas.

-Bonne nuit, Kacchan.

OH.

Son corps se redresse subitement, les yeux s'ouvrent pour donner sur du noir à l'entente de la petite lumière de chevet qui s'éteint en même temps que les mots sont prononcés.

-Tu m'as appelé comment ?!

-Oh euh.. Tu sais, mon nom de code c'est Deku alors je me disais qu'il t'en fallait un aussi.. Mais tu as raison Kacchan c'est un peu nul.

Le dénommé ne souffla rien ,pas même de l'air ni un mot, toujours stoïque et les bras tendus sur le matelas relevant un peu son torse. Dans l'ambiance sombre Katsuki ne percevait même pas l'expression de son geôlier.

Pris de court par le silence et l'absence d'un visuelle, le cerveau d'Izuku tourne à plein régime, comme pour fuir le malaise.

-Dynamight ? Ground Zero? Oh Euh... Le roi des... Bar-garres ? Le flic numéro 1 !! Non ça ne va pas...

Un soufflement bruyant transperça l'air chaud.

-Laisses tomber. Le premier était bien.

Puis lentement, Katsuki vint se glisser sous les draps, alors qu'il était encore avachi sur la couverture, se rapprochant du mur, recroquevillé et à peine les paupières se ferment qu'il se sent défaillir.

-'Nuit, Deku.

Le murmur d' un sourire se fait entendre, et le silence engouffre les garçons dans le monde des songes, pour peu de temps avant le retour à la vie réelle.

***

Bon >.< j'ai essayé de faire un graphique explicatif des relations des personnages (qui évoluera peut être par la suite *-*)
C'est le BORDEL.

Les cercles :
*Orange : se sont connus dans le cadre de l'académie de police
*Maron : se connaissent du lycée
*Bleu cyan : autre

***donc non, Katsuki ne connaissait pas la Classe A***

Les flèches :
*Vert l'amitié/affinité (puisqu'en soit ils s'entendent tous plus ou moins),
*Rouge un crush du point vers la flèche, (j'ai pas encore détaillée ces points, et c'était mon idée première donc vous y fier pas parce que j'ai changé mes plans)
*Rose en couple,
*Bleu un EX,
*Orange, plan cul. OUI

Si vous avez des propositions d'autres personnages avec un métier, et comment ils pourraient se connaître entre eux, je vous écoute 😉😉

Tchussy ❤️