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I.3

[Juliana - Mexique - six jours plus tard]

Je suis repartie en tournée finir ce que j'avais commencé quatre jours plus tard et tout le monde était déjà au courant. Je ne regrettais finalement pas de m'être mise avec lui, tout allait bien, on étais heureux, on s'appelait. Et j'ai vite regretté d'avoir fait toute une scène à la seconde où la presse à commencé à vraiment s'y intéresser mais grâce à un peu tout le monde l'affaire s'est étouffée et tout le monde à oublié. Tout était cool, c'était le moment pour moi de tourner une nouvelle vidéo. 

Finalement c'était presque le moment pour moi de quitter ce mouvement prenant. Dans l'émotion du dernier concert, la pression était pesante, tout le monde avait une mine de déterré près à pleurer d'une minute à l'autre, je me suis même demandé si sa allait aller pour le concert mais il semblait qu'une fois tous sur scène  tout allait pour le mieux et il me suffisait juste de suivre ce flot de folie et de coordonner mon sourire avec ceux des autres et la couleur des projecteurs. Je remarquais beaucoup de choses cette nuit là, la façon dont les fans faisait voler tout leur amours d'eux à nous, leurs nombreuses pancartes que j'ai pris certaines fois la peine de lire, la passion de leurs yeux trempés dans l'émotion, j'ai aussi remarqué sans le vouloir leur nombre, la quantité de personnes actuellement présentes dans la salle, surement proche du nombre de personne devant qui j'ai performé hier et avant hier et toutes les autres fois mais jamais je n'avais réalisé. J'étais plus qu'heureuse, c'était mon apogée.

Le même soir, lorsqu'il était deux heures du matin chez moi et vingt-trois heures là ou j'étais, je reçois l'appel de quelqu'un que je n'avais pas pensé revoir si vite.

"Chérie je suis chez toi , viens vite on à tellement de choses à se dire !"

Ma tante à le dont de s'imposer et d'obliger tout le monde à s'adapter à elle mais j'avais à faire, elle attendra donc un jour de plus. Jusqu'à ce que je me souvienne que Tante Jo  et Myriam se détestent. J'ai donc, une dernière fois,dit au revoir à tout le monde et pris 6 mois d'accumulation de souvenir avec moi. On m'a dit que ce serait jeté sinon.

Tante Josy est une mère d'enfants adultes qui s'ennuie beaucoup. Elle est surexcitée, pire que moi et c'est dire, parfois j'ai du mal a la suivre mais elle est toujours joyeuse et est considéré comme un porte bonheur dans la famille. Partout où elle vas, tout vas pour le mieux. Bon, elle est exagérément maladroite mais on s'y fait en général mais pas Myriam. Myriam ne supporte pas ce côté fout-le-bordel.  

Moi il ne m'a pas surpris quand je suis rentrée. Comme Jo était déjà là j'avais dit à Myriam de ne pas venir avant moi pour éviter tout désaccord mais il semble que j'allais avoir à régler plus de choses que prévu avant qu'elle n'arrive.

"Je suis désolé Juju , Joan et Enzo ont commencé à devenir fou ensemble et ... et ...."

Elle ne parvenait même pas à trouver une excuse valable pour avoir littéralement détruit mon salon. Mes murs sauvagement griffés, ma télévision renversé et je ne doute pas qu'elle soit cassée, les multiples tableaux qui se trouvaient dans la salle arrachés en tout sens et ne parlons pas des rideaux, des canapés, des nombreuses autres décorations de cette salle et des nachos et toutes les sauces qui vont avec éparpillées partout de façon à tracer le chemin de leurs course à travers cette salle. Je cherchais une raison de changer la déco mais là c'est un peu trop gros. Enzo est son chien, son cinquième fils, c'est un chien mais c'est comme moi et Joan. J'ai longtemps réfléchis aux reproches que je pouvais lui dire mais je me suis contentée de lui lancer des regards hautains suivit de lourds soupirs. C'est tout de même quand tante Jo est là que ma patience est rudement mise à l'épreuve. Joan et Enzo avaient senti qu'ils avaient fait une bêtise aussi , ils s'étaient placé en silence dans un coin de salle et n'avaient pas aboyé depuis que j'étais rentrée, bien que je les avais entendu de dehors. J'ai faillit me demander comment j'allais réparer tout cela , juste avant de penser que c'est à elle d'y réfléchir et pas à moi. Je me tourne vers elle pour voir si elle l'avait compris mais elle se contentait de me regarde avec un air de chien battu, comme un enfant qui attendait d'être puni.

-Tu n'est plus une enfant Jo, arrête.

-Je vais me faire pardonner , je te promet.

-Commence par le salon alors.

 Mes phrases étaient froides , tout le monde l'a entendu. Au point où il m'avaient mis je ne voulais même pas avoir à voir quelqu'un. J'ai monté mes affaires dans ma chambre et ai finalement constaté que rentrer dans ma chambre pour la ranger était la dernière des choses qu'elle aurait dût faire. Sur les nerfs , je suis descendue et j'ai commencé à crier mais très vite mes cris se sont transformé en aboiement. Alors je suis sortie. Pour ne faire de mal à personne et surtout parce que je lui aurai arraché les dents. 

[quelques heures plus tard]

Il faisait nuit lorsque je suis rentrée. Peut être deux ou trois heures plus tard. Myriam était là, Caiden aussi, mon salon avait changé. Une chance que mes goûts ne soient pas trop difficiles. Elle est le première femme que j'ai vu en rentrant chez moi et je me suis contenté de l'ignorer. Je ne pouvais plus encore supporter ce regard désolé qu'elle ne pouvait s'empêcher de me lancer à chaque fois. J'ai embrassé mon amoureux et je suis montée prendre une douche.

Une heure plus tard je me suis inconsciemment endormie dans mon lit. Quelques temps après Caiden est rentré dans le lit aussi en chuchotant qu'il était heureux que je sois revenue. 

Le lendemain Myriam n'était plus là mais elle si. J'allais mieux, alors nous avons parlé. Elle m'a dit qu'elle était venue prendre de mes nouvelles sous prétexte que je n'entretient de contact avec personne de ma famille, ce qui est vrai mais quand je le fais on tombe vite à cours de sujet de discutions. Puis elle à alourdis la chose en affirmant que je ne parlais même pas à ma mère enfin elle à entamé un long monologue sur les dernière activités de ma mère. Récoltés sur facebook puisque même entre elles elles ne se voient pas. Le temps qu'elle parle j'ai dit bonjour à Joan et Enzo , j'ai mangé et me suis demandé ce que j'allais cuisiner à midi. Quand je me suis remise à écouter, elle s'était assez étendue pour parler seule du fait que sa maison avait brûlé. Ce qui, je l'ai vite compris, était la réelle raison de sa venue. Nous avons donc parlé un long moment, Justin à même essayé de s'imposer en vain puis il s'est décidé à aller faire à manger. 

"Et ton petit ami, qu'est ce qu'il est beau ! J'avais douté de tes goûts à trouver quelqu'un qui t'aime mais alors là! Je dois dire quelque peu lent des fois mais franchement, un regard et on passe outre, c'est vraiment trop mignon. Poli, plutôt intelligent, beau, tu as trouvé la perle ma chérie! Sans parler de ..."

Il pouvait nous entendre de la cuisine, c'était gênant."Quelque peu lent ?" Elle se tourne vers moi l'air crédule. "Oui ! oh ! du coup je n'avais pas fini de parler de ceci avec lui.." Je crois qu'elle n'avais pas compris la situation de Caiden "Parler de quoi ?" lui lancais-je dans l'espoir qu'elle s'arrête, "Et bien de nos origines génétiques !"

C'est à ce moment qu'il a décidé d'entrer dans la salle, il m'a souri innocemment mais je sais qu'il n'a pas laissé passé cette dernière phrase je sens sa méfiance à des kilomètres. Prise dans cette situation ou je ne pouvais rien dire et que ma tante n'avais pas l'air de vouloir la fermer, je la prend par les épaules, lui lance un regard qu'elle, je le devine vite, s'efforce d'ignorer. Et continue de parler de choses insensés devant je visage perdu de Caiden qui ne comprend rien. La pièce était oppressante, j'allais lui crier de se taire lorsque Myriam est entrée haletante, elle était couvertes de blessures, a peine si elle tenait debout. Elle s'est ruée vers les toilettes pour y vomir du sang, tante Jo s'y est toute suite intéressée et a été la voir mais quelque chose m'avais plus inquiété que son état. Son odeur, était un mélange de sang et d'une dizaine d'autres odeurs, pas de trace de nature. Elle puait le sang, la rage, multiples salives, les dizaines d'autres choses puaient le renfermé, elles se sont frotté à elle, elles... Elles avaient peur ? 

Non. Non, pas elles. Caiden dégageait cette odeur là. C'est cette aura qui m'a ramené sur terre. Je me suis tournée vers lui et c'est à ce moment que j'ai réalisé que c'était lui, la source de l'ambiance pesante pour moi dans cette pièce: un mélange de colère, d'incompréhension, d'impatience, de peur et de ... non pas de peur mais de terreur. Je ne m'était inquiété de ceci avant et j'aurai dû. Je ne pouvais même pas affronter ses yeux, impossible de lire quoi que ce soit à travers ceux-ci. Bien évidemment la colère l'emportait et il continuait de me fixer, jamais je n'avais ressenti cette aura dominante venant d'un humain. Louve ou pas, il n'a fallu qu'un regard pour savoir que je ne pourrais pas gérer cela, sa colère, la situation, sa réaction suivante... Tante Jo avait amené Myriam dans le salon, cette salle maudite ou je me trouvais, les odeurs se mélangeaient, brouillaient tout, j'étais perdue. Caiden s'est aussi empressé de s'occuper d'elle, j'ai voulu faire de même mais à la seconde où je me suis élevée, j'ai senti le poids énorme de mon corps à travers chaque muscle, chaque nerf de mes jambes et ma vue se brouiller, les couleurs se mélanger comme le faisaient si bien les odeurs. C'était d'ailleurs, je crois les odeurs. J'ai vu les odeurs se mélanger. Tout allait extrêmement lentement, beaucoup trop.  C'est tout ce que j'ai vu avant de toucher le sol pour de bon.

Mais ce n'était pas le moment de somnoler. Ces odeurs, Myriam, Elle s'était faite attaquer par une meute, une meute affamée, enragés. C'est ce que les odeurs qu'elle dégageait disaient et c'est ce que mon rêve ne s'est pas retenu de me rappeler. Je me réveille toute suante et en panique, seule dans mon lit dans ma chambre noir. Il fallait que je la défende. C'était tout ce auquel je pouvais penser. Vengeance. C'est comme ça que sa marche. Je ne savais pas l'heure qu'il était et pour être honnête je ne m'intéressais pas. Leurs odeurs étaient claires pour moi, je les sentait clairement, plus  de mélange avec aucune autre odeur. Je ne sentais qu'eux. Mais seule je ne reviendrais jamais vivante, il fallait que je monte ma tante avec moi. Si ils n'étaient qu'enragés alors nous avions notre chance, je ne compte plus les fois ou j'ai battu seule des loups un peu trop énervés. C'est un peu comme prouver à un adolescent en pleine crise qui a raison et qui a tort. Je courais donc a travers le bois à l'affut de cette odeur avec ma tante me suivant de près sans vraiment savoir où. Ils n'étaient pas si loin chaque mètres l'odeur se faisait plus claire, certaines fois je les entendaient en peu plus. J'accourais, en fait aveuglément vers eux, je pensais que les sentir et les entendre étaient juste le bon signe que je courais dans la bonne direction. Je n'ai pas pensé une minute que leurs odeurs pouvait encore m'apprendre certaines choses sur la meute vers laquelle je courais pour une vengeance. De mauvaises nouvelles. C'est à 10 kilomètres d'eux que je me suis rendue compte, que je me suis souvenue plutôt de ce détail qui m'avait échappé : Ils sentaient, non ils puaient le renfermé, ils étaient affamés je n'avais aucune preuve que c'était une meute sauvage, parce que ça ne l'était pas. 5 km. C'était le piège, ils sont enfermés par des personnes, qui attendaient patiemment que la meute de Myriam se montre. 3 km. Quelqu'un qui en voulais après nous ? Qui d'autre il n'y a que notre meute dans cette forêt. 1 km, je m'arrête là, juste devant moi, c'était trop tard ils savaient déjà, leurs propriétaires allaient les lâcher je les voyait tous se diriger dans ma direction, toujours dans leur cage. Tante Jo aussi à vu, leur feu de camp, leurs tentes, leurs voitures tout était clair pour nous deux. Nous devions nous en aller. Mais il est déjà trop tard, nous ne pouvons plus, ils approchent. Nous devons leur faire face, nous nous en irons à la moindre occasion mais il n'y avait aucune issue pour l'instant.

J'ai faillit y laisser plusieurs parties de mon corps, Jo aussi mais il me semble que étions revenus plus nombreuses qu'eux au final. Je ne sais plus.

Je me suis réveillée sur mon salon vers 11h, des bandages pleins les jambes, les bras et l'abdominal, partout en fait. Myriam nettoyait à l'étage et tante Jo faisait à manger, dans le même état que moi. Joan avait la tête posée sur le bord du canapé sur lequel je suis. Il a été heureux de me voir bouger quand je me suis réveillée et j'ai été heureuse de le voir quand j'ai ouvert les yeux. Jo est entrée dans la salle et m'a annoncée qu'il à veillé à côté de moi toute la nuit depuis qu'on est rentrées. Je l'ai pris dans mes bras puis mon ventre m'a finalement crié qu'il fallait que je me nourrisse. En mangeant j'ai demandé à ma compagne ce qu'il s'était passé hier soir. "On à géré." elle me dit la bouche pleine, "Ils n'étaient pas si tenaces qu'ils en avaient l'air." elle continue en prenant une autre bouchée "Au final ils étaient trois quand nous avons battu en retraite." elle à dit en évitant soudainement mon regard. "Nous avons battu en retraite ?" je demande choquée, elle me répond oui de la tête "Mais... pourquoi ?" elle mit un certain moment avant de se décider à me répondre mais elle finit par m'apprendre que je suis tombée de fatigue et que par chance au même moment les maîtres se sont rendu compte qu'ils avaient perdu nombre de leurs loups alors ils ont rappelé les trois qu'ils leur restaient et elle m'a traîné de là bas à ici puis m'a soignée. "Tu t'est bien battue mais la prochaine fois ils faut se préparer avant, d'accord ?" finit-elle par ajouter sur le ton d'un parent fier de son enfant, alors je lui ai répondu par un joli sourire digne d'un enfant fier de lui.

C'est un peu plus tard que j'ai pensé à appeler Caiden, il était toujours énervé, il ne sais toujours pas ce qu'il se passe mais il ne veux pas que l'on en parle par message ni appels. "Je veux que tu m'explique pourquoi ta tante est aussi folle, pourquoi ta gouvernante à des crocs, mais par pitié fais le lorsqu'on sera en face l'un de l'autre." à ce moment là je n'ai pas su quoi répondre d'autre que "N'as tu pas une petite idée ?" suivit d'un grand silence qui traduisit que si, mais qu'il voulait que je le dise de vive voix pour savoir si il avait vraiment peur de tout ça. J'ai traduit ça d'un simple soupir qu'il m'a lâché en guise de réponse. J'ai une semaine pour voir comment je vais lui annoncer ça. Je ne veux pas qu'il prenne peur. Je le protégerais. Il n'a pas à avoir peur. Je ne veux pas qu'il s'en aille ... 

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