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3 - Tension

L'angoisse devient une compagne.
Elle me colle à la peau comme mes vêtements toujours humides, elle m'enlace et me murmure milles dangers, mais je commence à l'apprécier.
Elle me rend plus posée, plus réfléchie. Mes humeurs agitées se sont apaisées et j'ai l'impression d'y voir plus clair, plus loin que le bout de mon nez. Le monde est vaste et les décisions multiples avec des conséquences toutes aussi nombreuses. Je le sais et je l'accepte.
Comme convenue, je suis parti à la recherche d'Eomer mais mes yeux n'ont de cesse que de repérer Merry. Je m'inquiète pour lui et de la distance qu'il a mit entre nous.
De tous je suis peut-être celle qui le comprend le mieux... J'aimerai qu'il le sache.
Je trouve Eomer sans croiser le Hobbit, ce qui m'attriste.

– Il faudrait que je vous parle, soufflé-je en arrivant au niveau du Rohirrim.

Eomer m'adresse un regard surprit puis, devant mon air que j'imagine grave, il hoche la tête.

– Allons faire un tour, il y a des oreilles qui traînent par ici.

Il n'a pas tort, mais je vais pas partir comme ça ?

– Partir ainsi, ensemble, ne risque pas d'en alerter certains ?

– Pas si vous prétextez qu'Équinoxe a besoin de courir.

C'est pas bête...
Eomer ne me laisse pas vraiment le temps de cogiter plus car déjà il se met en selle et part en direction de la sortie du camp. Je lance mon esprit dans celui d'Équinoxe qui ne tarde pas à arriver en agitant tous les autres chevaux dans sa course.

– Doucement, lancé-je en récupérant sa bride. Aller viens, on va courir.

Je me hisse en selle mais je n'ai pas le temps de mettre les pieds aux étriers qu'Équinoxe s'élance. Je me rattrape à son encolure tandis qu'on franchit les limites du camp.
On dépasse alors Legolas, Elladan et Elrohir qui me regardent passer. Je note de la surprise et une once de mécontentement dans le regard de ce dernier. Il doit se demander ce que je fabrique encore, alors que, pour une fois, je n'y suis pour rien...
On rattrape sans difficulté Eomer. Équinoxe s'arrête brusquement à ses côtés ce qui agite Fyrfot, le cheval du Rohirrim.

– Quelle fougue, se moque t'il tandis que je me remets correctement en selle.

– Je dirais plutôt de l'idiotie, soupiré-je. Pourquoi avoir préféré parler loin des vôtres ?

Eomer se tourne vers moi et son regard sérieux me surprend.

– Disons que je relativise depuis l'incident en Fangorn. Je ne peux décemment pas accorder ma confiance à tous les hommes qui forment l'armée de mon oncle. Certains sont malveillants et je ne veux prendre aucun risque.

– Vous avez l'étoffe d'un grand souverain, Eomer. Savoir ses forces et ses faiblesses est un atout, surtout quand on les utilise ainsi.

Eomer me sourit mais je vois qu'il pressent une mauvaise nouvelle.

– Que se passe t'il ?

– C'était bien des traces d'Orques, et visiblement ils sont accompagnés d'un Troll. Une bête imposante au vu des empreintes qu'il laisse.

– C'est bien ce que je redoutais... Venez, vous devez voir pour comprendre.

Alors qu'on marchait au pas rapide, il talonne son cheval qui part dans un petit galop. Équinoxe le suit sans difficulté et Eomer nous fait faire une large parabole avant de grimper sur un plateau.

– Après notre rencontre dans les landes, je suis parti au nord avec mes hommes et nous avons longé la frontière dans la même direction qu'aujourd'hui. Nous étions sur un haut plateau quand nous avons aperçu des Trolls dans les plaines. Malgré l'étonnement, nous voyons rarement de telles créatures, nous les avons suivi sur quelques lieux. Ils étaient une poignée et étaient guidés par un être titanesque, un colosse hargneux et autoritaire. Nous hésitions sur la marche à suivre quand Équinoxe est arrivé. Il s'est interposé et a imposé sa volonté à nos montures qui ont rebroussées chemin sans que l'on parvienne à les stopper. Plus loin Gandalf nous attendait.

Je comprends mieux maintenant. Gandalf a appelé Équinoxe pour l'envoyer chercher les Rohirrims au nord.

– Je l'ignorais, fis-je en flattant l'encolure de ma monture. En avez-vous parlé à Gandalf ?

– Malheureusement non, les nouvelles qu'il nous a apporté ont chassées cela de mes pensées. Maintenant j'y repense et je m'en inquiète.

– Il y a de quoi... Déjà un Troll c'est pas la joie mais alors toute une ribambelle.

– Je ne peux que être d'accord surtout que les plaines s'arrêtent à partir d'ici. Après ce n'est que vallon est contrefort rocheux.

Je regarde plus en avant pour voir que le terrain se fait plus accidenté à tel point que la terre semble creusée de mille et un sillons plus ou moins profonds. Ce n'est pas de bonne augure.

– Et derrière, c'est comment ?

– Après ce passage difficile, il y a la vallée de Val de Hart, puis l'Escalier du Fort, un chemin en lacet qui est le seul accès vers le Firienfeld, un haut plateau d'herbe et de bruyères. C'est là que se tiendra le Dernier Camp. En suite vient la forêt moribonde de Dimholt qui donne accès la Porte Sombre et... au chemin des Morts.

Ça donne envie tous ça...

– Autant dire que si on veut nous tendre un piège, ce passage est parfait.

Eomer hoche la tête avant de reprendre.

– Soit dans ces contreforts où nous serons acculés soit en sortant dans le Val de Hart où notre vigilance baissera forcément.

Comme je ne sais pas quoi répondre, je ne dis rien et on se contente de regarder l'horizon déchiqueté de pics rocheux.

– A votre avis, il faut en parler à Théoden ? Repris-je après un temps.

– Ça serait préférable, on doit savoir à quoi s'en tenir. Allons voir plus en amont.

J'aimerai décliner mais déjà il part en avant et Équinoxe le suit. On chemine au trot mais le terrain devient rapidement très accidenté pour les chevaux. Des rigoles se sont formées et coulent tels de petites rivières éphémères charriant de la boue et rendant le sol instable.
Alors qu'on amorce une descente particulièrement raide, que j'espère on arrivera à remonter, je sens les appuis d'Équinoxe chanceler. Le terrain est si mou qu'il a du mal à assurer son équilibre.

– Tu veux que je descendes ? Soufflé-je tout bas.

Équinoxe s'indigne, lui ne chute jamais, mais soudain je le sens glisser sur le côté. Il parvient in-extrémiste à rester debout malgré que l'on soit en travers du sentier.

– Ça devient dangereux, peste Eomer. On devrait...

Il ne termine pas sa phrase car soudain Fyrfot, son cheval, glisse à son tour. Il n'a pas autant de chance qu'Équinoxe et chute lourdement emportant son cavalier avec lui. Sidérée, je les regarde délaver le reste de la pente.

– Ça va ? M'écriai-je en me dressant sur mes étriers.

Équinoxe se contracte pour se stabiliser tandis que je vois Eomer se redresser. Il se secoue avant d'aller vers son cheval qui peine à se relever.

– Reste là.

Je saute du dos d'Équinoxe et mes bottes s'enfoncent dans la boue épaisse. Ce n'était peut-être pas la meilleure chose à faire...
Je peste avant de lutter pour me libérer puis de tenter de rejoindre Eomer et Fyrfot sans tomber à mon tour. Je ne sais pas trop comment mais j'y parviens, par contre les pensées du cheval me heurtent : il a mal.
Je m'arrête à côté d'Eomer qui examine déjà sa patte.

– Ce n'est pas cassé, une chance, souffle le Rohirrim en faisant jouer les articulations.

– C'est douloureux... Je doute qu'il puisse être monté, à l'instant et pour quelques jours.

Eomer me dévisage avant de hocher la tête. Il est couvert de boue mais c'est surtout son air inquiet qui me touche, il aime son cheval. Je tourne le regard vers Équinoxe qui nous attend sagement à mi hauteur de la pente.

– Rentrons, reprend alors Eomer. Nous n'aurions pas dû nous engager sur ce terrain. Je ne redoute que d'avantage le passage de notre compagnie...

– Il n'y a pas un autre chemin ?

– Il nous ferait perdre des jours de marche et nous serions alors trop loin de la frontière pour voir les feux d'alarme, enfin si le Gondor les utilise... Nous n'avons pas le choix.

– Alors espérons que tous se passe sans encombre, bien que je vois difficilement ce qui pourrait nous arriver de pire.

Soudain, et sans prévenir, les nuages se percent et des trombes d'eau nous tombent dessus.

– Fait chier !

J'entends Eomer rire tandis que je remonte ma capuche en toute hâte, puis on se dépêche de remonter la côte qui prend déjà des airs de petit torrent.
J'ai le cœur lourd. Tous est contre nous, le temps, le terrain, l'urgence de la situation...
Nous sommes seuls face à l'incertitude, mais nous ferons front. Comme toujours.



*****



Elrohir scrutait pour la énième fois l'horizon. Rien, pas un cavalier.
Il n'aimait pas ça.
Il ne comprenait pas pourquoi Isil et Eomer étaient parti. Enfin si... Isil devait l'avertir de la présence des Trolls mais pourquoi partir si loin du camp ?
Et juste tous le deux ?
Elrohir secoua la tête, la jalousie n'était pourtant pas de lui. Pas plus que la perceptive d'être investigateur d'un meurtre.
Elrohir frissonna et quelque chose s'appuya contre sa jambe. Il baissa le regard pour voir Le Warg toujours assit à ses côtés, fidèle compagnon dans sa tourmente. Lui aussi attendait le retour d'Isil. Il adressa un regard à l'Elfe qui savoura la douceur ambré de ses yeux.
Elrohir n'avait pas de réponse à cette question muette : quand allait-elle rentrer ?
Avec Isil il n'était jamais certain de rien. Elle était surprenante, explosive parfois et ses actions étaient toujours d'une célérité incroyable.
Il savait qu'elle allait le faire mais pas quand, ni comment et il était certain qu'elle ne le savait pas plus que lui. Ça arriverait quand ça arriverait mais il voulait être là, il voulait demeurer à ses côtés. Il ne s'expliquait pas son choix mais il le savait décisif pour Isil.
Elrohir regarda à nouveau la ligne d'horizon. Toujours rien hormis les nuages bas qui s'amoncelaient à nouveau. La pluie était proche.
Soudain Le Warg grogna juste avant que des éclats de voix ne parviennent aux oreilles de l'Elfe. Elrohir se retourna, l'agitation semblait se propager dans le camp.
Il était inutile qu'il se morfonde du départ d'Isil et qu'il attende son retour. Dès qu'il la verrait, il le savait, il ne lui en voudrait plus. Elrohir décida donc de retourner au camp.

– Que se passe t'il ? Demanda t'il en rejoignant les autres.

Elladan haussa les épaules avant de répondre.

– Une querelle pour une tranche de pain. Les Hommes sont tendus, le moindre prétexte exacerbe leur colère.

– Ils sont anxieux et déjà fatigués du voyage, ajouta Legolas. Tant que cela reste des incivilités verbales ce n'est pas bien grave, j'imagine que cela leur passera dès le retour du soleil.

– Vous parlez comme si ce temps maussade ne vous atteignez pas, répondit Gimli. Les longs voyages ne sont jamais une partie de plaisir mais admettez que ce temps est difficilement supportable.

– Je ne le nie pas, concéda Legolas. Mais que pouvons-nous y faire ? Puis ce sont des soldats tout de même.

– Je suis bien d'accord,acquiesça le Nain. Peut-être qu'une bonne bagarre les apaiserait ? Chez nous, c'est monnaie courante.

– D'où la mauvaise réputation des Nains, se moqua Elladan. Laissons les se quereller tant qu'ils n'en viennent pas aux mains.

Les Elfes rirent au détriment du Nain qui, bon joueur, finit par se joindre à eux.
Elrohir n'arrivait pas à se détendre, la tension dans le camp était comme une maladie qui se propageait lentement. Il hésitait à retourner sur son promontoire quand Elladan lui adressa un regard interrogateur. Rien n'échappait à son frère, surtout pas ses états d'âmes.
Elrohir se contentait de hausser les épaules quand de nouveaux éclats de voix le surprirent. Il se retourna pour voir deux Hommes se faire face.

– Je les avais laissé ici ! Criait le premier. Juste là où tu étais assit. Tu as forcement dût les voir.

– Je te dis que non, puis qu'est-ce que je ferai de tes vêtements ? Répondit le second mécontent.

– Ils étaient secs, je les avais mis sur le feu une grande partie de la nuit. Rends les moi !

Des Hommes commençaient à s'attrouper ce qui exacerba l'altercation. Étonné, Elrohir ne pouvait que regarder tandis que Le Warg s'agitait, grognant de plus en plus fort.
Soudain les deux Hommes se jetèrent l'un sur l'autre et roulèrent au sol sous les cris des autres.

– Arrêtez ! Cria Aragorn en essayant de s'interposer. Ça ne sert à rien, calmez-vous !

Les bagarreurs semblaient sourd à ses appels et ceux des hommes autour d'eux. On essaya de les séparer mais chacun refusait d'en rester là.
Sidéré, Elrohir regarda les autres tenter d'apaiser les choses sous les aboiements de Le Warg. La situation dérapait, la bagarre était déjà à ses pieds.
Soudain le premier Homme asséna à l'autre un violent coup de pied dans le ventre. L'homme se plia en deux avant de tituber jusqu'à Elrohir. Le Warg lui bondit alors dessus. D'un réflexe d'Elfe, Elrohir parvient à l'attraper juste à temps par le collier. Les mâchoires claquèrent non loin de l'Homme accompagnées de grognements aussi sourd que le tonnerre et la bagarre se stoppa aussitôt.
Le Warg retomba sur ses pattes, babines retroussées, retenu par son seul collier.

– Tenez le, glapit le premier Homme apeuré. Ne le lâchez pas !

Calmes-toi, fit Elrohir en Elfique.

Le Warg cessa de grogner mais pas de fixer les deux perturbateurs. Surprit de son autorité sur la bête, Elrohir hésitait. Il craignait de le lâcher et qu'il attaque à nouveau. C'est alors que le regard de l'Elfe accrocha un visage qu'il détestait sans même le connaître : Rutz, le garde.
Il riait, la situation semblait l'amuser grandement.
L'envie de lâcher Le Warg sur cet être misérable effleura Elrohir, le mettant mal à l'aise. Comment pouvait-il autant souhaiter la mort d'un être ?
Il ne se reconnaissait pas, mais en même temps...
Soudain l'Homme à terre se releva, un éclat scintillant dans la main. Personne n'eut le temps de réagir que déjà il poignardait son adversaire toujours maintenu par deux soldats.

– Non ! hurla Aragorn alors qu'il retirait déjà sa lame dans une gerbe de sang.

Elrohir n'en croyait pas ses yeux. Cet Homme était en train de tuer son comparse. Soudain Le Warg bondit. La puissance de son impulsion fut telle qu'il emporta l'Elfe dans son sillon. Le cuir du collier écorcha les doigts d'Elrohir qui partit en avant. Il chuta lourdement à genoux tandis que les mâchoires de la créature se refermaient déjà sur le bras de l'Homme à la dague.
Elrohir entendit les cris de douleurs et ceux affolés des gens autour. Oubliant la douleur dans sa main, il se releva.

– Le Warg !

La bête s'arrêta, la gueule ouverte tout prêt du visage de l'agresseur. Il se passa une seconde comme suspendue dans le temps, puis Le Warg tourna le regard vers Elrohir.

– Reviens ici, fit l'Elfe en contrôlant les tremblements dans sa voix.

Tous retinrent leur souffle puis Le Warg se détourna de l'Homme à terre pour rejoindre Elrohir qui le reprit par le collier.

– Attachez le, exigea un Homme tandis que d'autre accouraient au secours des blessés.

– Ce n'est pas lui qui a agressé le premier, répondit Legolas avec sérieux.

L'homme lui adressa un regard mécontent mais ne dit rien de plus.

– Ça va ? S'enquit Elladan auprès de son jumeau. Tu es blessé ?

Elrohir déplia ses doigts dévoilant des coupures sur les premières phalanges.

– Ce n'est rien...

Il y eut un temps de silence que Gimli ne tarda pas à interrompre.

– S'ils commencent à se poignarder entre eux, nous ne serons plus bien nombreux arrivé au Gondor.

Aragorn lui adressa un regard mécontent.

– On ne peut juger la valeur d'une armée sur les faits de quelques hommes. Les Ténèbres se sont fait plus denses, ils affectent le cœur de certains, mais nous devons continuer de croire en eux et à les accompagner du mieux que nous pouvons.

– Nous ne jugeons pas leur efficacité au combat, répondit Legolas. Mais s'ils se déchirent face à l'adversité, qu'arrivera t'il une fois au combat ?

– Ils ne sont pas tous des soldats, intervient Elrohir. Certains ne sont rien de plus que des mercenaires qui se sont raccrochés au convoi. Ce sont eux qui posent problème, mais dans la véritable adversité, là où seul l'unité pourra les sauver, le tri sera vite fait.

Elladan tiqua tandis que les autres acquiesçaient. Elrohir évita le regard de son frère pour se concentrer sur Le Warg qui s'était calmé à présent. Du sang avait coulé sur sa gueule et son poitrail rappelant ce qu'il était : un être capable de tuer.
Comme lui...
Elrohir tressaillit quand Aragorn posa sa main sur son épaule.

– Gardez le près de vous jusqu'au retour d'Isil. Je ne voudrais pas qu'il lui arrive malheur.

Elrohir releva le regard mais déjà le rôdeur s'éloignait. L'Elfe vit alors les regards mauvais qui s'accrochaient à Le Warg.

– Est-ce que tout va bien ? Demanda alors Elladan.

Elrohir se tourna vers lui avant de se forcer à sourire.

– Ça pique un peu, mais ça va aller.

– Je ne parle pas de ça. Je te trouve... étrange, comme si quelque chose te perturbait.

Elrohir prit sur lui et sourit à nouveau.

– Pas plus que n'importe quel Elfe qui part en guerre, mais je t'assures que ça va.

Elladan dévisagea un instant son jumeau avant de lui adresser un léger sourire. Elrohir répondit d'un signe de tête qu'il voulait convaincant. Il dût l'être car son frère se détourna.
Elrohir le regarda s'éloigner tandis que l'angoisse le rongeait peu à peu. Il aurait aimé mettre cela sur le compte des Ténèbres qui les affectaient tous, mais il savait que sa cause était ailleurs.
Dans un événement à venir et qui l'isolait déjà.




Fin du chapitre
Isil mesure la précarité de leur situation et les dangers qui pourraient bien les attendre, tandis qu'Elrohir se confronte à la peur des Hommes et aux conséquences de celle-ci.
D'un côté comme de l'autre, le danger rôde...

^_^

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