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Chapitre 8 : Tout pour une devinette


J'arrivai enfin à Cramois'ile, avec un Pokemon en moins, des jours de répétitions derrière moi, et en pleine nuit. Je ne voulus qu'une chose : trouver un endroit où dormir. Je profitai en même temps des animations pour touristes, des vendeurs de glaces, des restaurants bondées,... Malheureusement pour moi, le centre Pokemon était plein à craqué, pas moyen de trouver un endroit où dormir. Et à cette heure, faire le tour des hôtels, certainement tout aussi pleins, était perdu d'avance. Je trouvai un endroit tranquille et loin de tout, où j'allai pouvoir dormir à la belle étoile. Ce fut un parc d'enfant, muni de bac à sable, balançoires, tourniquets,... En plus, j'étais assez descendu vers le sud pour éviter le froid. Je dormis seul, j'aurai bien voulu avoir une présence Pokemon avec moi, mais je ne voulais pas le déranger dans leurs Pokeballs.
Le lendemain, je me levai en baillant, avec le soleil. Je profitai de la journée pour faire ce que je n'avais pas pus hier. Je m'amusai avec mes Pokemons, tout en profitant du paysage. L'ile était un volcan éteint, et le parc, ainsi qu'un édifice muni d'une horloge, surplombaient la côte. Cramois'ile s'étalait sur tout la côte, et était une grande métropole. Il y avait beaucoup d'activité sur terre comme sur mer, j'eu l'idée ainsi de chercher un endroit à visiter dans mon guide, à part les attrapes-nigauds pour touristes. Je trouvai ainsi le centre de recherche Pokemon, un grand bâtiment blanc, que je pouvais voir d'ici, et bien sûr, l'arène de Cramois'ile, dirigé par Auguste. Je voulus voir l'arène d'abord, voir comment elle était. C'était un simple bâtiment, pas de décoration, rien, à par son nom sur le devant. Les portes sont fermées, et je vis une feuille accrochée :
« Monsieur le dresseur. Au vue d'un nombre insuffisant de dresseurs désirant un badge d'arène, je suis dans l'obligation de fermer cette arène. Mais si tu es venu pour cela, pas de panique, tu peux me retrouver grâce à cette devinette : Je tourne sans bouger, et j'attend immobile, voir les soleils et les lunes se succéder. Bonne chance. »

Je n'avais pas envie de réfléchir actuellement sur une énigme, alors, je préférai partir pour le deuxième lieu : le centre de recherche. Je dus cependant me frayer un chemin jusque là-bas, et trouver à mon grand désarroi des stands de nourritures et de souvenirs à perte de vue. Cela ne m'empêcha pas de prendre un beignet à la confiture, sans me rendre compte que les vendeurs étaient une femme, un homme et un Miaouss. Je me retrouvai devant le centre, un grand bâtiment blanc, où quelques scientifiques prenaient la pause, et à ma grande surprise, mon père.
« Yves, quel surprise, s'exclama ce dernier.
- Je te retourne le compliment, je lui répondis. »

Nous discutions alors sur la venue de chacun ici. Mon père était là pour le boulot, cherchant des renseignements et des découvertes pour sa nouvelle conférence sur "La vie d'un Pokemon selon son habitat". Il me permit ainsi de rentrer dans le centre, qui était normalement fermé au non-initié. Je découvris ainsi plusieurs salles, des Pokemons qui courraient sur des tapis, qui nageaient, qui faisaient des exercices, tous reliaient à des machines qui mesuraient des choses. Après ces tests, je suivis mon père vers une piscine, où Machopeur, Akwakwak, un canard bleu, Ossatueur, un Pokemon mystérieux avec un crâne en guise de casque, et Kicklee, nageaient en crawl.
« Nous comparons l'évolution de Pokemons non-aquatique en face d'un qui l'ai, nous expliqua un scientifique à moi et mon père. Les résultats sont au delà de nos espérances. Plus un Pokemon s'habitue à un environnement, plus il arrive à s'adapter. On peut remarquer aussi de légères différences sur le physique. Machopeur et Kicklee va avoir plus de muscle développés dans les cuisses, et Ossatueur, dans les bras. Ils arrivent à bien rivaliser à un Akwakwak qui ne nage qu'une fois par semaine, par rapport aux autres qui le font tout les jours.
- C'est magnifique, s'émerveilla mon père. Le champ des possibilités doivent être vaste. »

Nous continuions la visite, avec la même méthode d'étude que la piscine mais à la course, aves des Rattatas, un Ponyta, un Pokemon qui arborait une crinière de flamme, un Dodrio, un oiseau à trois têtes, et encore un Kicklee. Et à chaque fois, les résultats allaient dans la même logique qu'avant. Mes yeux se posèrent cependant sur un objet que tenait l'un des scientifiques, un chronomètres. Et d'un coup, je repensai à l'énigme de l'arène :
"Je tourne sans bouger, et j'attend immobile, voir les soleils et les lunes se succéder"

Les aiguilles tournent autour du cadran, mais la montre ne restent pas en place. Par contre, une horloge voit le temps passer, voyant soleils et lunes se succéder. Je supposai maintenant où se trouvait Auguste : l'édifice avec l'horloge, qui surplombe l'île. Je continuai la visite, visitant les salles d'examens, les nurseries pour les œufs Pokemons, les salles d'entraînements,... Le centre était énorme comparé à sa taille vue de l'extérieur, et je préférai écourter ma visite, laissant mon père ici.
« Tu vas affronter Auguste ? Il est très discret en ce moment, il veux même fermer son arène, parce qu'il voit trop de touriste, et pas assez de dresseurs.
- Tu le connais ?
- Je l'ai combattu il y a des années, c'était un jeune dresseur aussi. Méfie-toi de lui, il est très fort.
- Je me préparerai, je le rassurai. Tu loges dans un hôtel ?
- Malheureusement, je repars dès ce soir. Je ne sais pas si j'aurai le temps de te revoir.
- Pas de soucis, j'ai l'habitude, et puis, je ne fais pas le voyage pour te voir à chaque coin de rue, je sais que je m'éloigne de la maison et de la famille. »

Après une accolade avec mon père, je le quittai une nouvelle fois, me demandant quand je le reverrai. Il était pratiquement midi, et je décidai d'aller voir à cette fameuse horloge, voir qui y habitait...
Je frappai à la porte. À ma grande surprise, en arrivant, je remarquai que c'était un hôtel, "l'hôtel de la grande devinette". Et à ma deuxième grande surprise, je me retrouvai nez à nez avec un espèce de hippie, chemise hawaïenne, cheveux qui bouclaient anarchiquement et blonds, et grandes lunettes. J'étais si déconcerté que je doutai de la solution à l'énigme :
« Il vous reste des chambres de libres ?
- Oui, il m'en reste encore, me répondît-il. »

Il me conduisit vers l'accueil, pour m'inscrire dans le registre :
« Sous quel nom je dois vous noter ?
- Mr Braudet.
- Comme la famille Braudet ?
- Oui. »

Il me tendit la clé de ma chambre, en me donnant le prix de la nuitée, ainsi que l'heure repas.
« Vous m'avez l'air déçu, me notifia le gérant.
- Ce n'est rien, je pensai trouver autre chose en venant ici. »

Je partis dans la chambre, et je m'installai dans la première chambre. Il n'y avait pas beaucoup de chambres, cinq ou six, cela ressemblait plus à une auberge qu'un hôtel. Et je n'entendis pas un bruit, pas de mouvement dans le couloir, ou dans la pièce voisine, à croire que l'hôtel était vide. Je profitai de sortir mes Pokemons, et de les faire manger. Je partis ensuite le soir dans la salle à manger, pour un classique steak frite. Personne vint avec moi, j'étais vraiment seul dans cette hôtel. Cela tranchait avec le reste de l'île, bondée, surpeuplée. J'avais à peine fini mon assiette, et attendais un tiramisu, quand le téléphone de l'accueil sonna. Le gérant décrocha :
« Allo, ..... quoi ?..... quel sont les dégâts ? ...... oh, j'arrive ! »

Il raccrocha, et paru peiné. Je vins au nouvelle, au moins pour le soutenir.
« Ça va ? Vous voulez un verre d'eau ?
- Non, ça va. Je dois aller en ville, l'arène a été attaquée.
- Vois voulez que je vous aide ?
- Oui, vous pouvez. »

Et je le suivis alors, à travers l'ile baignée dans le noir de la nuit. En arrivant, le gérant se décomposa : l'arène était complètement détruite, les murs étaient en charpie et le toit s'était effondré. La police était déjà sur place, à garder les curieux à l'écart. Je regardai le sol, et je trouvai une partie de la réponse : des traces de pneus faisant un dérapage vers le bâtiment étaient clairement visible. Je commençai à mener mon enquête quand j'entendis des cris et des bruits de combats. Nous nous précipitons à l'arrière du bâtiment pour voir ce qui se passait. Je me retrouvai face à une bande de gamin en état d'ébriété, à côté d'une camionnette en lambeau, tenant tête à l'agent Jenny. Le Caninos qui l'aidait n'arrivait pas à résister au assaut d'un Tortank, une énorme tortue muni de canons, stade final du Carapuce.
« Arrêtez ! Vous pensez que vous n'avez pas assez fait de dégât, pour ce soir ? Rendez-vous !
- Ma jolie, répliqua à l'agent le dresseur du Tortank, le chef du groupe, un beau blond, qui exhibait ses muscles en ne portant qu'un short à fleur.
- Je crois qu'il veux se battre Jenny, et je veux bien rassasier cette faim.
- Eh, le gamin, dégages, va faire mumuse ailleurs, me balança-t'il.
- Tu peux laisser les grands parler, s'il te plait, je lui répliquai. »

Il se sentit piqué dans son orgueil. Il tituba, et me pointa du doigt, en visant mal :
« Très bien, petit con, tu crois me faire peur ? Tortank, hydrocanon ! »

Tortank visa là où pointait son dresseur. L'attaque s'échoua lamentablement sur le toit, qui finit de s'affaisser totalement. Je sortis alors Roucoups, Reptincel et Cara.
« Tu n'as pas le droit, mec, s'insurgea-t'il en titubant, en comptant sur ses doigts. Je n'ai qu'un Pokemon, et toi, tu en as au moins.... cinq.
- Je vais t'expliquer un truc, mec, je lui renvoyai en avançant vers lui, suivi de mes Pokemons. Vu que tu m'as attaquer alors que je n'avais aucun Pokemon, je considère que le match inégale, et dans ce cas-là, il n'y a pas de règle. Vous êtes prêt les amis ? »

Ils répondirent tous présent. Les autres se rendirent devant la situation qui tournait au vinaigre, laissant le chef seul contre tous. Il injuria ces anciens amis, avant de s'éclipser avec Tortank, poursuivi par Jenny. Je renvoyai tout le monde dans leurs Pokeballs, pour les remettre à l'abris. Je constatai après les dégâts de l'arène. Il ne restait plus rien, qu'un énorme tas de gravats et de bois cassés.
« Je crois que ma retraite est arrivée, annonça le gérant de l'hôtel, qui devait être Auguste, le champion.
- Alors, j'avais raison. L'énigme de l'arène, la solution était bien l'horloge.
- Tu es venu dans mon hôtel pour me défier ? Alors, je ne peux pas refuser un dernier défi, pour celui qui a aidé Jenny. Mais avant, je vais te donner une autre énigme, comme test :
"Je suis plus grand que le plus grand des édifices sur terre, mais seulement deux fois par jour. Par contre, je disparais à midi, et je meurs la nuit, pour renaître au levé du soleil"

Quand tu auras trouvé la réponse, reviens me voir, de tout façon, je resterai à l'hôtel. Tu pourras aussi rester autant que tu veux, et sans payer, cela faisait longtemps que je n'avait pas eu de compagnie dans mon établissement, un dresseur qui plus est. Sur ceux, je repars. Alors réfléchis bien à mon énigme, Monsieur Braudet. »

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