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Chapitre 6

La relation entre Arthur et Sébastien fut presque inexistante les jours qui suivirent. Pas qu'il avait une relation avant, mais l'homme d'affaire avait cru le contraire. Après tout, Arthur lui avait fait de l'œil et lui avait embarqué dans le manège. Il s'était donc imaginé, flirter avec le garçon. En fréquentation? Peut-importe, maintenant ils n'étaient plus rien l'un pour l'autre. Sébastien avait l'impression qu'on l'avait utilisé et lorsqu'Arthur essayait d'engager la conversation dans les couloirs, il était tellement fâché qu'il l'ignorait. C'était méchant et gratuit, mais Arthur avait eu un mois pour lui dire la vérité et il ne l'avait pas fait. Bon Arthur ne s'était jamais vraiment caché sur sa nature, mais quand même, il n'avait jamais été explicite avant sur son rôle dans la compagnie.

Le brun était tellement mélangé qu'il avait même été voir Jules pour savoir s'il avait su qu'Arthur était escorte? Il employait toujours ce mot, car il trouvait ça moins dégradant que pute ou prostitué. Jules lui avait signalé que oui et que c'était pour ça qu'il n'appréciait pas la relation. Son ami méritait quelqu'un comme lui. Quelqu'un de romantique qui allait partager des bons moment juste avec lui. Sébastien n'était par contre pas de son avis sur ce point. Il avait fait d'horribles choses dans sa vie. Terrible même. Il ne méritait pas une âme pure, mais il n'avait pas non plus envie de savoir que la personne qu'il aimait couchait de tout bord, tout côté.

Ce soir-là, il gagna la cuisine où la moitié des pensionnaires du penthouse se trouvait. Il tenta d'ignorer Arthur qui dînait un gâteau au chocolat. Comment faisait-il pour garder la ligne avec l'alimentation qu'il avait? Sébastien le voyait toujours avec quelque chose de sucré. Jamais un réel repas nourrissant. Arthur se leva pour fouiller dans le réfrigérateur et leur regard se croisa. Si au début c'était de la peine qu'il voyait dans les beaux yeux d'Arthur, là, il y avait du mépris. Il sortit une pinte de lait qu'il commença à boire à même le goulot en retournant s'asseoir. Sébastien leva les yeux au ciel, il pourrait lui signaler d'arrêter de faire son enfant pourri gâté, mais il n'en avait cure. Cette histoire ne le concernait plus. Un autre homme s'insurgea.

''Hey la pute. Ce lait est à tout le monde, au lieu de mettre tes maladies dedans verse toi un verre.''

Arthur eut un sourire moqueur avant de faire un doigt d'honneur à l'homme qui s'approcha de lui menaçant. Sébastien reconnut le même homme qui avait voulu se battre quelques semaines plus tôt avec le blond lorsqu'il avait fait un striptease dans le salon. Visiblement l'homme n'aimait pas du tout le nouvel employé. En fait, Sébastien avait vite remarqué que peu de gens aimait le blondinet.

''Tu te crois tout permis pauvre merde? Tu n'es rien d'autre que bon à baiser. Tu sais rien faire d'autre que te faire remplir. Tu apportes rien de plus ici, alors apprend où est ta place au lieu de faire chier et obéit.''

Le sourire moqueur d'Arthur s'évanouit pour laisser une lueur de folie dans ses yeux. Il se leva et vient s'approcher de l'homme avec nonchalance. Il avançait en déhanchant ses hanches comme un mannequin sur son tapis rouge. Il voulait qu'on le remarque. Il voulait que les projecteurs soit sur lui. Arriver en face de l'homme, il lui offrit son plus beau sourire, puis, en un éclair, un couteau apparut dans sa main et il offrit un coup au visage de l'homme. Une profonde entaille fut marquée de son menton à son arcane sourcilière et l'homme recula en hurlant et se prenant le visage. Tous se levèrent et sortirent une arme pour le pointer vers Arthur qui partit à rire. Sans réfléchir, Sébastien vient se positionner pour protéger Arthur de son corps. Celui-ci se mit à rire de plus belle dans son dos, pendant que Sébastien tentait de calmer le jeu.

''On se calme. Monsieur Labrecque ne veut pas de bagarre ici.''

''Dégage Sébastien. Ce petit merdeux va mourir.''

''Je crois savoir que j'ai une position plus haute que vous tous dans la hiérarchie. Baissez vos armes maintenant.''

À contrecœur les hommes obéissent, puis l'homme d'affaire se tourna pour agripper fermement Arthur et le tirer loin de tout qui s'était mis à leur gueuler des insultes. Seb l'amena à la seul endroit tranquille qu'il connaissait, c'est-à-dire sa chambre, avant de lui crier dessus.

''ÇA VA PAS LA TÊTE! Tu veux te faire trucider?''

Arthur rangea son couteau dans sa poche arrière et croisa les bras sur sa poitrine avant de répondre de façon méprisante.

''Tu croyais quoi? Que j'allais me faire traiter de vide-couille sans réagir?''

''Mais c'est ton métier que tu as choisi Arthur! On ne défigure pas une personne pour ça!''

La réponse ne plut visiblement pas au blond qui se mit à hurler ses paroles de plus en plus fort.

''Mon métier? Non. Je n'ai pas choisi d'être un objet sexuel. Je suis un humain. J'éprouve des sentiments et des désirs. J'ai choisi de profiter de mes atouts pour atteindre mes buts, je n'ai pas choisi d'être vu comme un déchet. J'accepte d'être une pute, car c'est ce que je suis. J'offre un service. J'offre mon corps en échange d'argent. Ça ne veut pas dire que je ne mérite pas le respect de ma personne. Ça ne veut pas dire que je laisserai qui que ce soit me traiter de coquille vide qui ne sert qu'à être baiser. Mais bon, ça tu ne peux pas le comprendre, car visiblement tu ne vaut pas mieux qu'eux, puisque tu penses comme eux!''

Sébastien baissa les yeux au sol. Arthur n'avait pas tort. Dès qu'il avait su qu'il vendait son corps, il avait perdu tout le respect qu'il lui avait jadis donné. Mais ce n'était pas uniquement pour cela qu'il avait perdu son respect. C'était aussi car il avait compris se faire manipuler par lui. Il défie Arthur des yeux. Il restait un profiteur.

''Je ne t'en veux pas d'être escorte, Arthur. je suis en colère contre toi, car tu t'es servi de moi. Tu m'as fait croire être désirer alors que ce n'était pas le cas. J'ai payé pour un service que je ne savais même pas. Je tes donner ma protection et je t'en veux pour ça.''

Arthur le dévisagea un instant. Il observa les le visage de l'homme plus grand que lui. Sa rage se calma quelque peu.

''De quoi tu parles Seb. Je ne mentirais pas que j'appréciais te savoir de mon camps, mais je ne t'ai pas fait ses choses pour gagner ta faveur, mais car tu me donnais envie.''

''Ne viens pas faire semblant de t'intéresser à moi. Je n'ai jamais intéressé personne depuis mon ex.''

Soudain, Arthur partit à rire sans prévenir. Toute méchanceté sur son visage venait de s'envoler et son merveilleux sourire taquin était de retour. Même ses yeux pétillaient de malice en cherchant les siens. Qu'est-ce qu'il avait dit?

''Seb, c'est une farce rassure moi? Tu es juste trop aveugle pour ne pas le remarquer. Tu es un sex symbol! Tu transpire la virilité! On te voit et on ne peut s'empêcher de bander."

Arthur rit de plus belle devant l'horreur qui se peignit sur le visage de Sébastien. Il exagérait un peu quand même. Le costume aidait à beaucoup, sinon il se trouvait très ordinaire.

"Tu crois que je t'ai fait de l'œil pour le plaisir. Juste être à côté de toi créer une réaction dans mes pantalons. Les autres ont juste trop peur de te l'avouer. Tu inspires le respect et la crainte. Ils ont peur des conséquences de leurs actes, mais pas moi. Moi je l'ai assumes totalement, voilà pourquoi j'ai foncé sur toi."

Ce garçon était visiblement trop honnête. S'écoutait-il seulement parler? Sébastien soupira avant de répondre.

"Ok. Merci. Je l'ignorait, mais ça ne change pas que tu m'as proposé..."

"Grave erreur de ma part. Je te l'accorde. Tu ne peux pas savoir à quel point je me retiens de venir te rejoindre dans ton lit tous les soirs. En vrai, ton fric je n'en veux pas. C'est ton corps qui m'appelle."

Sébastien ne savait plus quoi dire, décidément, il était loin du compte avec le blond et ce, même s'il ne pouvait nier être attiré par lui. Il avait peut-être réagit trop fort en le rejetant après la découverte de son métier.

"Bien. Maintenant Arthur, je te demanderais de prendre sur toi. Tu ne peux pas faire tout ce que tu veux quand tu veux. Ce que tu fais le soir dans la rue ne regarde personne d'autre que toi, mais ici, tu dois te plier aux règles."

Arthur fit des yeux doux à Sébastien.

"Tout ce que tu veux mon beau. Sinon, tu as envie que je te montre un des mes plus charmant talent?"

De nouveau Sébastien soupira d'exaspération.

"Je ne paie pas pour du sexe. C'est ainsi que moi je me respecte."

"Qui t'a dit que je te ferais payer? Moi je te veux. Tant que tu me prends, je te demanderai plus jamais d'argent."

"Non. Je dois t'avouer que ça me dérange quand même un peu que tu couches avec plein d'inconnus qui pourraient avoir des maladies ou peut-importe."

Arthur le dévisagea avant de rire de nouveau et de venir se blottir dans ses bras. Sébastien ne savant comme réagir le laissa faire.

"Ne soit pas stupide. Je me protège. Aucune relation sans protection. Et si le nombre de mecs avec qui j'ai couché te dérange tant que ça, tu vas être déçu. Tes chances de tomber sur un puceau un jour sont faibles. Même toi tu as déjà eu tes petites expériences. Ça ne veut pas dire que tu ne vaux plus l'intérêt."

Arthur vient agripper la cravate de l'homme d'affaires et jouer avec en passant sa langue sur ses lèvres de façon subjective. Sébastien se mordit la joue avant de repousser Arthur. C'était dangereux cette situation là. Le garçon lui faisait beaucoup trop d'effets.

"Il y a une différence entre avoir déjà fait l'amour à quelques personnes et l'avoir fait avec minimum une centaine de personnes différentes."

En signe de rempart et pour ne pas perdre le contrôle de ses émotions, Sébastien leva les mains pour créer une barrière entre eux. Arthur ignora totalement les mains dressées devant lui pour venir offrir un baiser chaste à Sébastien.

"Un jour je t'offrirais mon pucelage."

"Arthur, tu ne l'ai plus."

"Si. De devant. Tu crois que les gens paient pour se faire défoncer le cul? Malheureusement non."

Sébastien ouvrit la bouche devant les propos dit avec tant de nonchalance et observa Arthur quitter sa chambre. Ce garçon le rendait fou de toutes les façons imaginable. ll devait se contrôler. Ne pas laisser ses émotions de côté. Lorsqu'il était en mission, il arrivait à se départir de toute compassion où humanité en lui. À 16 ans, c'était sa seule façon de ne pas devenir fou après avoir tué son premier homme de sang froid. Pourtant, dès qu'ils n'étaient pas sur un pied de guerre, ses émotions revenaient en flèche. Surtout ceux de l'amour. Il tombait trop facilement amoureux. Beaucoup trop vite.

Bon, visiblement pour vous faire parler je dois poser les questions 🙄

Comment vous trouvez Arthur? 😏

Ceux qui disent mieux qu'Hugo, je l'ai trucide 😱 j'ai rien contre mon Arthur. En fait à la base, je l'aimais pas, mais plus j'écris l'histoire, plus je m'attache à lui 🥰

Mais personne passe devant Hugo 😠

D'ailleurs, pour ceux qui ont lu Latte, Moka, Espresso, vous en pensez quoi si je me rends avec cette histoire jusqu'à l'autre histoire pour que vous ayez le point de vu de Seb 💁‍♂️ Je propose l'idée. Si ça n'intéresse personne, je le ferai pas 😏

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