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🍋Chapitre 4🍋

Sébastien était sur le balcon du penthouse une cigarette à la mains. Il observait la ville s'étendre sous ses pieds et les lumières offrir leur spectacle de mille couleur. Quelqu'un vient le rejoindre à la rembarde et lorsqu'il se tourna, il aperçut Arthur en train de s'allumer un joint. L'un de ses poignets était sous une attelle de fortune. Aussitôt Sébastien était sur le pied d'alerte.

"Qui ta fais ça?"

Arthur tourna son regard vers lui intrigué. Il fixa son attelle avant de comprendre d'où la question venait.

"Je me suis trop branler."

Sébastien leva un sourcil dubitatif et Arthur ne put retenir son fou rire plus longtemps.

"Un client un peu... violent." Dit-il sans plus d'intérêt.

Sébastien fronça les sourcils en essayant de ne pas respirer la fumé traitresse du joint. Il devait rester fort malgré cette tentation à moins d'un mètre de sa bouche.

"Tu n'as pas d'arme à feu?"

Arthur parut surpris de la question.

"Une fusil? Non. Pourquoi faire?"

Sébastien s'excita. Devait-il lui expliquer que l'extérieur était dangereux?

"Pour te défendre. On ne sais jamais sur qui ont peu tomber. Surtout en pleine nuit avec une liasse de billet de nos clients. Tu dois avoir une arme, Arthur."

Le blond partit a rire ce qui déboussola totalement Sébastien. Arthur tenta de calmer le jeu.

"Seb, je crois pas que mes clients vont être intéresser par moi si je me trimballe avec un fusil à ma ceinture."

Mais Sébastien tenait son point.

"Tu ne sais jamais sur qui tu vas tomber. J'ai déjà attaquer un dealer tellement j'étais en manque. S'il n'avait pas eu un couteau pour se défendre, j'aurais pu le tuer pour avoir ma dose."

Les yeux du blond sondait ceux sombre de l'homme d'affaire. Un sourire mesquin apparut sur le visage d'Arthur.

"Comme ça monsieur à déjà été en manque de drogue? Et bien, il fut un temps où on devait s'éclater avec toi."

Sébastien fronça les sourcils.

"C'est tout ce que tu retiens?"

"Oui. J'ai fait le saut hier. J'ai appris que tu avais 20. Je t'avais donner 26-27. Plus que moi en tout cas. Tu es tellement mature."

"Arthur. Une arme. Pour ta protection."

Mais le blond ignorait totalement ses propos.

"Ah, mais ses pour ça que tu es si mal à l'aise en ma présence! J'ai quasiment toujours un joint dans les mains. Toi qui combat la sobriété ça doit pas être évident."

Arthur tira une dernière bouffé avant de jeter son joint à moitié entamer par dessus la rembarde. Puis il souffla loin du visage de Sébastien avant de revenir à lui un sourire aux lèvres.

"Voilà! Plus de raison d'être inconfortable. J'arrête de consommer juste pour toi mon beau."

Sébastien ouvrit la bouche surpris. Il ne savait même pas quoi dire face à la situation. Par chance, Arthur n'avait pas besoin d'aide pour entretenir une conversation.

"Ah moins que la raison soit tout autre. Je te fais assez d'effet pour qu'une érection pointe dans tes pantalons à toute heure de la journée?"

Pour appuyer ses propos, il vient rouler des hanches et se coller sur Sébastien qui recula d'un pas. Arthur ne connaissait visiblement pas l'utilisation du filtre, car il continuait dans son délire.

"Toi aussi tu me fais de l'effet, mais ça c'est pas une surprise pour personne, non?"

Il vient embrasser le cou de Sébastien figé de stupeur devant le garçon un peu trop entreprenant. D'ailleurs celui-ci souffla son haleine dans le cou avant de faire sa proposition.

"Si tu veux t'amuser, rejoins-moi dans ma chambre."

Puis Arthur se décolla pour quitter le balcon en roulant ses hanches. Sébastien, rendu seul sur le balcon, tentait de réguler ses pulsions cardiaques et le sang qui se dirigeait vers son entre-jambe. Oui, il ne pouvait nier que le garçon lui faisait de l'effet, mais ce ne serai sage de... et puis merde. Il devait arrêter de tout analyser. Apprendre à se relâcher. Comme lorsqu'il était jeune. Mais garder le contrôle pour ne pas empirer son cas.

Il finit sa cigarette et partie à la recherche de la chambre d'Arthur. Il le trouva torse nu et dansant sur une musique triste avec beaucoup trop d'entrain. Les bras dans les airs et le corps mou, il dansait avec une certaine grâce, mais sans aucun ryhtme. En apercevant Sébastien, il rougit, mais au liru de tout arrêter, il commença à se déhancher de façon subjective en parcourant son torse de ses bras.

"Avoue que j'aurais fait une belle pute de poteau."

Sébastien observa le mouvement de son bassin et se mordit la lèvre. Arthur voyait très bien l'effet qu'il avait sur lui et continua donc a l'attiser en dansant. Regardant le garçon ainsi jouer de son corps Sébastien rit face à la situation. Comment pouvait-on être aussi désinvolte et déterminé que lui?

"Dis Seb, pourquoi tu portes encore tous ses vêtements?"

Le blond s'approcha de lui pour venir desserrer sa cravate et déboutonner sa chemise. Pendant l'opération, Sébastien vient passer ses mains autour de ses hanches. La peau de son amant était brûlante. Une chaleur anormale se dégageait de l'homme qui le départit de son haut avant de venir embrasser ses pectoraux. L'attelle de son poignet frottait rugueusement sur la peau du brun qui ne dit rien. Les fins doigts qui sortaient du bandage parcouraient son torse en laissant des traînées de feu derrière lui. Arthur dirigea l'autre homme vers le lit sur lequel Sébastien s'assit pendant que le blond embarquait sur lui pour l'embrasser. Il envoyait même quelques coups de bassin pour attiser son sexe qui se réveillait tranquillement.

Arthur rompit le baiser pour s'enlever de sa victime et vient s'agenouiller devant lui. Il eu plus de difficulté à enlever ceinture et bouton du pantalon que la chemise et Sébastien finit par l'aider ayant pitié de son bras handicaper. Arthur le remercia d'un sourire charmant avant de venir pomper le sexe de Sébastien en libérant son souffle chaud sur le membre devant lui. Sébastien frémit. La bouche d'Arthur était si prêt de son sexe, que tout son corps criait de la prendre en bouche.

"Alors Seb. Vas-y, je t'écoute. Dis moi tout tes secrets"

L'interpeller observa l'homme qui le masturbait un moment. De quoi parlait-il?

"Des secrets?"

La langue du blond vient parcourir sa verge avant qu'Arthur lui lance un nouveau sourire d'innocence.

"Oui. Tu dois en avoir plein, pour avoir réussi à être si proche des faveurs de monsieur Labrecque."

Puis s'en attendre plus, il engloutit la queue du garçon qui poussa un soupir en rougissant. Il y avait longtemps qu'on ne l'avait pas prit en bouche ainsi. Pas depuis ses 15 ans et son ex.

"Je n'ai pas de secret. Je lui ai juste prouvé ma valeur."

Pendant un moment, Arthur continua la fellation sans rien rajouter, mais en garçon curieux il s'arrêta dans ses mouvements pour continuer son interrogatoire.

"Et comment a 20 ans on prouve sa valeur à cet homme?"

Puis il passa sa langue sur le gland avant de venir l'embrasser et de reprendre les va et viens de sa main.

"Ah~ j'ai juste... risquer ma vie pour lui."

"C'est tout? Une balle et voilà une promotion?"

"Six~"

"Six?"

"Six balles. Et Jules à parler en ma faveur."

Arthur sourit face au rougeur de son partenaire et engloutit de nouveau son sexe en le pompant de sa bouche. Le corps de Sébastien se contracta un peu plus et il passa une main dans les cheveux du blond en se mordant la lèvre. Pendant un moment, Arthur n'interrompit pas la fellation pour poser d'autre question et Sébastien se permit d'éteindre son cerveau pour profiter de chaque plaisir que son corps lui procurait. Il n'allait plus tenir longtemps. Il fit signe à Arthur d'arrêter, mais celui-ci lui envoya ce fameux sourire que Seb enjoué et angélique.

"Retiens toi pas. Tu peux jouir dans ma bouche. Je m'en fou. Je suis habitué de toute façon."

Ayant la permission de son partenaire Sébastien poussa un soupir en se relâchant. Sa respiration était rauque et difficile, ses yeux clos et un mince sourire sur ses lèvres. Lorsqu'il réouvrit les yeux, Arthur était de nouveau assit sur ses genou et venait effleurer de ses lèvres les siennes. Avait-il avaler ça?

"Alors ça ta plut?"

"Oui..."

Arthur le gratifia d'un baiser collant son torse nu à celui de Sébastien. D'ailleurs celui-ci descendit une main vers l'entre-jambe du garçon pour lui rendre l'appareil. Arthur l'arrêta en chemin.

"Celle-là était pour moi. Pas besoin de me remercier."

Sébastien n'était pas trop sûr de ce que l'autre garçon voulait dire, mais le voilà qui se relevait déjà. Dubitatif, il lui demanda:

"Tu ne veux pas que je m'occupe de toi?"

Arthur lui répondit par un sourire simple.

"Non, ça va. Je me suis déjà fait plaisir avant de te rejoindre sur le balcon. Avoir su j'aurais attendu, mais j'ai déjà ma satisfaction."

Il eu un petit rire enfantin avant de se diriger vers la salle de bain.

"Bien sûr, si tu veux me rejoindre sous la douche, rien ne t'en empêche."

Puis il disparu derrière la porte. Sébastien observa la chambre un moment. Une douche ne serrait pas de tord, mais était-ce prudent? S'il faisait ça, il se rapprocherait du garçon d'une toute autre façon et il ne pourrait plus le considérer comme un simple histoire d'un soir. Il se mordit la lèvre. Après le désastre de son premier couple, il avait compris qu'il était stupide devant un garçon qui lui plaisait. Il avait tendance à tomber amoureux trop vite et ne voir que le bon côté des gens. Il devait prendre sur lui. Arthur consommait et s'il le fréquentait, il allait inévitablement rechuter pour lui plaire.

Sa décision fut donc prise. Il quitta la chambre pour gagner la sienne. C'était bien, il c'était amuser, mais ça ne devait pas continuer. De toute façon, il était marier a son travail. Ça ne servait à rien d'espérer quelque chose de plus.

***

Monsieur Labrecque observait le jeune homme devant lui. Son protéger avait beaucoup changer depuis leur rencontre dans la rue. Il était passé d'un gamin maigrichon et mal propre à un homme respectable, musclé, vif d'esprits et complètement docile. Sébastien se tenait devant lui, le dos droit, la tête haute et bien habillé. Il aurait du être sur le terrain assigné à un de leur groupe de prostitué et veiller à leur sécurité, mais il était devant lui sous les ordres de son associé Jules.

"Je ne suis pas sûr. Il est jeune, peu expérimenter. Là où nous allons, il risque d'y avoir une fusillade."

"Et moi je te dis, Labrecque, qu'il est prêt et veux le faire. N'est-ce pas Seb."

L'homme hocha la tête sans quitter son patron du regard. L'homme observa le gilet par balle quelques peu dissimuler sous le veston de son vis-à-vis et l'arme à sa ceinture.

"Mais pouvons-nous lui faire confiance?"

"Oui. Sébastien est un bon. Il ne nous trahiras pas et il a beaucoup trop de respect en vous pour tenter quoi que se soit en votre encontre."

Le chef se tourna vers son associé en levant un sourcil. Il est vrai que Jules et Sébastien c'était rapidement lié d'amitié, mais justement, ne l'avait-il pas fait un peu trop vite? Jules avait néanmoins des bon points, s'il était vrai que les origines russe du garçon lui permettait de parler couramment cette langue, il pourrait remplacer leur directeur des communications à ce niveau, malheureusement décédé le mois passé.

"Bon, je l'essai. Je ne suis jamais trop en manque de garde-du-corps après tout. On part dans 10 minutes. Prouve moi que je n'ai pas tord de te faire monter les échelon Sébastien."

L'homme tourna le dos et partie vers ses appartements pendant que Jules félicitait son ami.

"Tu n'as pas à t'inquièter. Il ne devrait rien se passer de grave, juste une discutions entre deux tête forte du milieu. Mais l'ennemis va se présenter au rendez-vous avec un tas d'homme armé, alors on fait pareil. Ils ont leur gorille intimidant et nous t'avons toi."

"Jules, je te remercie de l'intérêt que tu me porte, mais je ne suis pas si sûr qu'aller à ce tendez-vous soit une bonne idée."

"Seb, on ne te paie pas pour que tu poses des questions, mais que tu agisses. Tu es prêt. Peut-importe ce qui ce passera, tu es prêt."

Jules lui lança un clin d'oeil et Sébastien haussa un sourcil. Si Jules était relaxe, lui avait un mauvais pressentiment. Une rencontre banale, mais qui pouvait à tout moment tourner en fusillade. Même le grand patron l'avait dit. Devrait-il donner sa place à quelques d'autres? Juste au cas? Non. Darius l'avait sortie de la rue. Il lui avait donner un foyer et des amis. Il l'avait guérit de sa dépendance. Peut-importe ce qui arriverait à cette rencontre, il n'hésitera pas. Il donnerais sa vie pour lui.

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