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Chapitre 8 : Sauveur et Torturé.

Enfin, après quelques minutes d'attente, l'homme se décide à prendre un couteau. Il y passe la lame sur une bougie qu'il avait allumée, pour la chauffer. Après une trentaines de secondes à le voir chauffer cette lame, il pose la pointe de celle ci maintenant bouillante sur le milieu de mon torse. Il longe vers le bas dessinant une droit verticale sur ma chemise mais aussi ma chaire qui maintenant me brûlait. Je pouvais la sentir criait et tant bien que mal essayer de guérir.

Des personnes commençaient à bouger, je pouvais l'entendre malgré l'imposante personne face à moi. Quelqu'un avait pénétré le bâtiment. Je suppose, vus l'agitation. Mais, le tortureur casse ensuite ma concentration en se mettant bien face à moi gâchant mon champ de vision. Il me plante violemment le couteau dans la cuisse. Je cris, de surprise mais aussi de douleur. Putain ça fais mal !! Mes yeux avaient envie de pleurer et pourtant je leurs interdisaient toute tentative de sortie.

Laissant la lame sur ma cuisse, il commence à la tourner dessinant un rond sur ma chaire hurlant. Il me déchire la cuisse, j'avais tellement mal que mon corps se mit à transpirer montrant qu'il n'en pouvait déjà plus. Je dois encore réviser ma douleur. J'arrive pour le moment à contenir mes larmes, le sourire aux lèvres. Ce sourire déplaît fortement au gars, il me fout une patate en plein visage qui ne ce décale que simplement le nez saignant légèrement. Par chance, mon corps est quand même robuste et solide face aux coups.

Les bruits d'agitation arrivaient toujours en masse. L'agitation était de plus en plus forte me faisant rapidement comprendre que la personne infiltrée se rapprochait, ce qui ne dérangait le moins du monde ce creuvard. Attend que je me détache et je t'égorge. Malgré ma douleur actuelle, ma seule pensée est le meurtre. Le meurtre de ce type que je vais éventrer !

C'est alors que, après avoir mis la pince dans ma bouche et attraper l'une de mes dents qu'il tire pour arracher, il s'arrête, net. La porte ouverte assez violemment on y découvre une silhouette. Je la connait... Oh oui je la connait plus que bien même... C'est Gakushû, mais qu'est ce qu'il fait là ? Le coeur remplis d'incompréhension, je le regarde. J'étais ravis qu'il soit venue mais je me demande à la fois qu'elle idée lui est passé par la tête...

PDV Gakushû :

Cette image était excellente. Le sang tapant dans ma tête je souris d'une manière sadique. Voir Karma aussi... Faible ? Était un luxe que seul les rares pouvaient s'offrir. Il était assis sur cette chaise plutôt ancienne qu'il avait à coup sûr tenté de briser, les mains attachées à l'arrière, les muscles de son triceps n'en ressortait que plus magnifiques, ce corps rougis par la douleur ainsi que ces vêtements déchirés le rendrait plutôt excitant. Le visage de Karma pourtant, montrer de l'irritation mais aussi de la motivation à tenter quelque chose pour se libérer.

C'est à ce moment que je sens quelque chose me percuter de plein fouet. J'en tombe en arrière, le crâne tapant contre le béton dur de ce sol sal. Le gars m'étais complément rentré dedans pour me coucher. Confus, mes yeux voient troubles, les coups de cette personne, dirigés à mon ventre brise le silence de mes lèvres pour en laisser échapper des grognements. Revenus à moi après plusieurs coup je tente d'attraper la cienture de celui ci pour avoir quelque chose de résistant à tirer. Je tire donc ce corps plutôt lourd en m'aidant de mes jambes pour le faire partir au dessus de moi et ainsi l'éloigner.

Je me tourne rapidement, me retrouvant à 4 pattes, face à lui. Je me relève avec une vitesse fulgurante en touchant mon ventre qui, pour le moment me faisait atrocement souffrir. Je mordille ma lèvre détruisant cette muqueuse parfaite pour ensuite foncer sur le gars qui fait de même. Je reproduis par la suite, la technique de Nagisa à la perfection le laissant donc être attiré à terre, totalement confus. Je fini par donner un violent coup de pied sur le visage de celui ci pour le faire tomber dans les pommes.

Une fois mon travail terminé je me tourne vers Karma. Son visage avait l'air inquiet mais, quand mon corps se retourne face à lui, il change prenant un air moqueur. Il est irremplaçable, c'est ça que j'aime tellement chez lui, jamais je ne pourrais le laisser à Nagisa. Il en est strictement interdit. Je lèche ma lèvre, cette lèvre qui a déjà guéris.

Je me dirige vers Karma pour venir m'asseoir sur les jambes, pourtant douloureuse, de celui ci l'odeur de son sang attaquant mes narines. Je caresse du bout de mon index la joue de Karma qui n'a pas l'air de rigoler. Pourtant cette position de gagnant me plaisais, même si se n'étais pas la première fois.

Je mordille sensuellement ma lèvre avant de me lever et venir derrière le rouge pour ainsi détacher ses mains, qu'il utilisent d'une rapidité étonnante, pour m'attraper le col et me plaquer au mur. Il était froid et humide. Le visage de Karma indiquait de la colère mais aussi et toujours, des soupçons. À cet instant je sens un courant d'air passer mon ventre. Il a soulevé mon haut, sans doute pour voir mes hématomes, malheureusement pour lui je n'ai rien. C'est alors que son visage se transforme, de la colère il passe à la surprise.

"- K.. Karma qu'est ce que tu fais ?"

"- Ça se voit pas... Comment c'est possible qu'aucune marque ne te sois resté de l'affrontement !"

"- Et toi, comment ça se fait que tu ai la force de ma plaquer contre un mur..."

"- Je ne rigole pas Gakushû... Ma patience à des limites et tu m'en fais voir la fin.... Après ta demande, tu me sauve avec, normalement, des séquelles, et finalement tu n'as rien... Mes doutes ne font que grandir... Et..."

Pour le faire taire, mais aussi par pur envie, je dépose mes lèvres attirées, sur celles attirantes et sucrées de Karma. Je longe ensuite le dos de celui ci pour rejoindre ces hanches avec des formes assez attirantes pour moi, de ma main.

PDV Karma :

Je me met à écarquiller les yeux. Coupé dans mon discours par des lèvres si douces je me met à rougir. Ces lèvres que j'attendais depuis si longtemps m'était enfin offertes. Même si ce n'étais que pour me faire terre mon coeur battait la chamade. Je pouvais par la suite sentir une main rejoindre mes hanches et ces lèvres bouger. Je plisse légèrement les yeux plongés dans ceux de Gakushû qui n'avait bien sûr fait ça simplement pour me faire taire.

De force, je coupe le baiser mon coeur s'emballant beaucoup trop à mon goût. Je n'arrive même pas à débattre corporellement, mes forces étant beaucoup trop faible. Je tiens ma tête et recul ne voulant me "disputer" d'avantage avec Gakushû. Il me rend fous de rage avec son sourire moqueur et sûr de lui. Je n'ai qu'une envie, le lui arracher avec un couteau.

Je sens ensuite mon téléphone vibrer et décide le regarder. Je vois les messages nombreux de Gakushû et souris de satisfaction avant de voir celui de Nagisa. Étrange, je soupire et lis le message. Il s'inquiétait pour moi, d'après se qui est écrit sur le message. Étrange. Je sens mon portable me glisser des mains. Gakushû venait de me le retirer, pourquoi ? Il regarde le message et arque une sourcil. Je le vois par la suite taper sur mon clavier et envoyer un message. J'arque un sourcil attrapant rapidement mon téléphone. Il vient de supprimer le message pour en recevoir un personnellement. Je croise les bras et, assez irrité ainsi que le ton élevé je prononce :

"- Hey... Qu'est ce que vous foutez tout les deux.. ?"

"- Quoi ?.. Mais rien pourquoi on ferait quelque chose... ?"

"- Parce que tu viens simplement de lui envoyer un message avec MON téléphone, que tu t'es empressé de supprimé pour ne pas que je le vois. Après ça, tu reçois un message et y répond à toute vitesse.."

"- Heu... C'est une crise que tu me fais ? Simplement parce que je parle à Nagisa ???..."

"- T.. Tu es sérieux la ?.. Roaaah mais c'est pas possible... Je me tire.."

Gakushû sourit ayant réussi à retourner la situation. Suivant Karma qui se dirigeait chez lui il pose une question :
"- Sinon... Tu leurs as fait quoi pour qu'il t'enleve et te torture ?..."

"- Je sais pas vraiment, j'en ai fais à tellement.."

"- Sérieusement ? Le faible que tu es ?"

"- C'est moi que tu traite de faible l'intello ?"

"- Tu vois quelqu'un d'autre ici à part nous deux ?..."

Irrité, les bras croisés, je sors rapidement du bâtiment à la recherche de liberté. Je souris sentant le vent fleuret ma peau et le soleil lui donner une légère teinte, réveillant mes légères brûlures. La liberté de ses mouvements est une chose injustifiable. Mon sourire aux lèvres, je ferme les yeux laissant simplement mon corps profiter de cet instant qu'il n'a pas eu depuis une journée entière.

Par la suite, toujours accompagné de l'homme qui me faisait chavirer si vite, je me dirige chez moi. Des policier ? Qu'est ce qui se passe ? Je peux voir, devant chez moi, un gang qui cherche ma tête et les policier qui aquiescait tout simplement. À ce moment là, je sais dans quelle merde je suis et je décide donc de ne pas aller chez moi prenant le sens inverse. J'entends Gakushû prononcer des mots et mon visage se retourne vers celui ci pour mieux l'écouter.

"- Karma.. Tu peux pas aller chez toi, je te propose de venir dormir quelques temps chez moi... Juste un moment, le temps que ça s'arrange un peu..."

"- Je suis OK ! N'en profite pas pour me faire des attouchements.. Je suis assez... Sensible.."

"- Hum.. Je ne garantis pas qu'il ne se passera rien.. Bondépêchons nous, je vais aussi te cacher de mon père alors tu resteras tout le temps dans la chambre.. Je te ramènerais à manger le soir et le matin, pour aller au lycée tu devras passer par la fenêtre... Il n'aime pas vraiment la visite.. Encore moins celle de la classe E..."

"- Venant de toi la proposition me parait bizarre mais je n'ai pas vraiment d'autre choix.. Je ferais donc se que tu me dis... Alors je te suis passe devant.. {De derrière j'aurais tout le temps d'observer ce corps si bien fournis pas la nature~}"

Je regarde Gakushû s'éloigner me mettant donc à le suivre. Il marche plutôt rapidement se qui me force à accélérer le pas. Chaque pas était des plus attirant contractant le moindre de ses muscles parfaitement redessiner avec son uniforme. Cet uniforme qui, sur lui, me plais beaucoup.

Je regarde aussi les ruelles défiler et les maison collées une à une dessiner le paysage. Un quartier de riche je te le fais pas dire. Ce quartier est d'une beauté sans pareil. Les pelouses sont toute de la même tailles, les maison ont un écart totalement proportionnel. Elles sont si propre que j'ai l'impression de venir des bas fonds.

Je vois enfin la porte d'une des maisons. C'est la plus belle. Les couleur sont d'une cohérence monstrueuse et la porte possède de magnifiques gravures. Étonné de l'intérieur, je souris entrant, la porte me laissant libre accès. L'intérieur est encore plus magnifique que l'extérieur. C'est d'une modernité à tomber par terre. L'harmonie des couleur est exquis pour le regard. Le tapis est fais d'une fourrure si douce, que je laisse mes pieds, que j'ai au préalable remis à nue, glisser et s'entre mêler dans ce tapis des plus agréable. Je finis par m'asseoir. Il est confortable, le canapé prenais compte de ma forme pour en être des plus agréable. Tout a l'air parfais ici, son père sais se qu'il fait. Gakushû m'a laissé seul pour faire je ne sais trop quoi.

Pour profiter de ce moment, je pars rapidement dans la chambre du concerné voulant y trouver quelque chose d'intéressant. Sa chambre aussi était des plus élégante et raffinée, à croire que le dicton "Tel père, Tel fils" est vrai en les regardant. Je ne sais pas où chercher. Je n'ai aucune envie de briser la décoration si parfaite de cette chambre.

À l'affus, mon oreille rougit au son de Gakushû à mon dos. Je me retourne une légère peur au ventre. Un sourire apaisant et mignon, je regarde le roux les yeux doux. Il me pousse jusqu'à se que je tombe sur le lit en rejoignant ma chute. Nous tombons donc tout les deux. Je me retrouve en dessous, la position du soumis, lui au dessus. J'essaye de m'extirper, impossible, sa force était tout bonnement monstrueuse.

Sans que je ne comprenne rien, il tombe sur moi... Endormis ? C'est vrai qu'il m'avait l'air fatigué mais de là à m'utiliser comme matelas.. Il a son lit. Je soupire et, ne pouvant rien faire d'autre qu'attendre, la force de Gakushû étant imposante même endormis, embrasse le front de celui après y avoir posé ma main pour dégager ce front magnifiquement bien dessiné de ces cheveux plutôt bordéliques.

Je le regarde. M'endormir sous ce paysage m'est impossible. Il dort. Son regard est si tranquille qu'il me fais fondre. Il a l'air si bien. Tout à coup, après ce moment calme et plaisant, je sens ma chemise devenir humide. Une tache. Je regard Gakushû qui a son visage posé sur mon torse, la bouche ouverte. Il vient de me baver dessus !!! -.-'

//To Be Continued~//  

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