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Chapitre 18 : Explications.

Le regard posé sur celui de mes parents, je peux voir de la surprise et de l'incompréhension dans leurs yeux. La poigne du Directeur se desserre à chaque seconde de plus. Je mordille ma lèvre me trouvant dans une situation plus que délicate. Le père de Gakushû qui vient me faire des menaces pour que je n'approche plus son fils, l'excuse que je vais devoir trouver à mes parents pour leur expliquer d'une, ce que fait le Directeur chez moi mais aussi pourquoi il me tiens par le col avec une envie débordante de meurtre.

Je soupire avant de pouvoir tranquille respirer. Mes parents ouvrent leur bouchent pour poser des questions en sur nombres sans même s'arrêter. Le visage de Gakuhô devient sérieux mais aussi irrité. Il prend rapidement la parole avec un ton sec et dictateur ce qui fait taire immédiatement mes parents.

"- Calmez vous je vous pris. Vous pensez que poser ce genres de questions sans même laisser intervenir le concerné est intelligent ? J'apprends juste à votre fils ce que pourrais lui faire des gens dans les rues qu'il emprunte pour rentrer chez lui. Oui c'est exact, il prend des quartiers mal famé et s'est déjà fait agressé. Bien qu'évidement il les ai battus dans un combat à main nus, on trouve toujours plus fort que nous. Essayez donc d'être plus présent pour lui et de ne pas manquer à son éducation sinon, ce genre de jeune ne vont jamais très loin. Sur ce.. Je vous laisse."

D'un pas assuré et sûr de lui, Gakuhô prend la porte me laissant donc seul, avec les deux personnes que j'aurais aimé ne plus jamais revoir. Pourquoi ils sont revenus ?.. Et maintenant en plus, sérieusement j'ai assez de galère à gérer comme ça... Pas besoin d'une de plus. Je pense que je vais sortir dès qu'ils seront là... J'ai vraiment pas envie de les voir.

Déjà irrité, je monte dans ma chambre pour aller m'habiller d'un pantalon ample noir décoré de chaine sur le côté, d'une chemise blanche, ouverte jusqu'au milieu de mon buste. Après ça, j'enfile ma longe veste tombant juste au dessus de mes genoux et pars dans le salon pour rejoindre ma porte d'entré et enfiler mes chaussures tout en ouvrant la porte.

Mais avant que je ne puisse passer le pas cette porte qui m'avais l'air si loin maintenant, ma mère attrape mon poignet pour me tirer assez violemment à l'intérieur de la maison. Je reste surpris de cette violence et celle ci me donne une gifle au visage qui se décale violemment la joue maintenant irritée et rouge. Mes yeux restaient grand ouvert assez choqué de cette frappe inappropriée. Je sers ensuite les dents ainsi que mes mains tournant mon visage face au sien. Il était froid et colérique. Il l'inspirait la peur d'être tué à la moindre de mes paroles. Vite fais, je décalle mes yeux derrière l'épaules de celle ci pour voir le visage de mon père enjoué et satisfais avant d'être ramené sur terre avec la voix de ma mère qui m'avait presque était oublié.

"- J'espère que ce qu'il dit est faux ! Je veux bien que tu passes par des quartiers mal famés si ça te chante, mais que tu te fasses remarqué et que ton Directeur vienne en personne à la maison pour régler le problème de tes violences ! Quelle image vas tu leur donner ! Tu dois être irréprochable et le meilleur dans toute les disciplines ! Même au niveau du comportement !"

"- Me fais pas rire. Tu oses me faire des reproches mais t'as même pas était là pour m'élever... Tu veux que je sois ton toutou parfais mais j'ai rien à te devoir moi ! Si t'es pas contente de la tournure que j'ai pris t'avais cas être présente pour moi et mon éducation ! T'as pas le droit de me faire la moral parce que j'ai un comportement qui te plait pas.. Je l'ai forgé tout seul et si je me fais pas bouffer par les autres c'est bien évidement parce que je suis comme ça !"

"- Roh !? Est ce que tu t'entends parler !? Tout ce tu as pus t'acheter, si tu n'es pas actuellement dans la rue à chercher de quoi manger c'est parce que je suis partis pour travailler et te ramener de l'argent. Tu étais seul ? Pauvre chou, tu n'avais qu'à te faire des ami(e)s. Je sais que tu as rejoins la classe E mais je ne t'ai rien dit car tes notes valles celles des Vertuoses, mais si ton comportement empiète sur tes notes et te font descendre au classement je t'assure que je me chargerais de ton éducation à partir de maintenant... On ne reste pas longtemps alors j'espère pour toi que tu ne nous obliger pas à rester plus que nous le devons est-ce clair ?"

La colère de ma mère est si grande que son étreinte à mon poignet était douloureuse et pouvait même être dessinée. Je soupire, les belles paroles de celle ci m'agace et je donne donc un coup de main pour la faire lâcher complètement saoulé de celle ci mais aussi de mon père derrière qui ne fais que rire sadiquement.. Je sais au moins d'où je tire cette partie de mon caractère.

J'ouvre la porte et la claque en sortant bien décidé à me faire sortir de cette vie assez cruelle désormais. Je pars donc vers l'arcade où j'espère ne trouver personne qui pourrait me déplaire. Sur la route, j'écoute ma musique, les écouteurs dans mes oreilles ignorant toutes personnes interférant avec moi. Ce qui avait malheureusement le dont de les énerver.

Je me fais donc tirer l'épaule en arrière pour me prendre un point assez violemment au visage qui, sur le coup me fais tomber à la renverse. Je touche mon visage et, celui ci devenant très en colère et sadique je me relève mais, je me fais interrompre très rapidement par quelqu'un qui les couchent avec une facilité halucinante et de quoi me rendre jaloux.

Les yeux rivés sur ces cheveux roux et brillant je soupire comprenant donc qui est devant moi. Je range les mains dans leur maison, mes poches, avant de me tourner dos à Gakushû et partir au sens inverse de celui ci qui m'arrête aussitôt. Pourquoi aujourd'hui tout le monde m'arrête et m'emmerde. Je veux juste aller à l'arcade pour penser à autre chose !

C'est alors que le corps que je rêve de caresser se colle au miens. Ses bras enlace ma taille et je rougis instinctivement. Le menton du roux posé sur mon épaule, je regarde le visage de celui ci qui m'avais l'air ravie mais aussi inquiet. Je mordille nerveusement ma lèvre avant de prendre la parole.

"- Qu'est ce que tu fais là ?..."

"- Et bien j'ai eu un mauvais pressentiment.. On va dire que, pour faire bref, j'ai sentis que tu avais un problème..."

Lui faire la tête était tellement impossible quand Gakushû me fait ce genre de choses. L'amour peut être magnifique lorsqu'il est réciproque mais... Quand il est interdit il peut être ravageur.. Avec les menaces de son père je ne sais pas vraiment quoi faire et s'il est bon de continuer à le voir... Mon coeur est trop brisé et en souffrance pour avoir quelqu'un d'autre pour lui faire du mal et l'abandonner de nouveau. Il se mit de nouveau à parler. Cette voix si sensuelle et hautaine pouvait faire de moi l'homme le plus perdu.

"- Et bien quoi ? Tu ne dis plus rien.. Tu dois sûrement me faire la tête à cause de mes messages et du fait que je ne t'ai avertis de mon départ..."

"- C'est bien, tu réfléchis à ce que peuvent penser les autres maintenant ?"

"- Karma... C'est compliqué, ma famille n'est pas comme tu le penses et je ne peux pas toujours faire ce que j'ai envie.. De plus, ce jour , je voulais te le dire le soir même mais tu n'es jamais revenus..."

"- Ta famille est compliquée ?.. Et tu penses que la mienne ne l'est... Je comprend et j'assume se que j'ai fais... Je regrette aussi ne pas être venus cette nuit là... Mais je pense quand même que tu aurais pus m'en parler.. J'ai essayé de te demander ce qui se passait et tu m'as simplement rembaré comme si je n'étais qu'un pentin avec lequel tu t'étais lassé de jouer..."

"- Alors tu penses donc que je me joue de toi ?... Dans ce cas, penses tu réellement que je t'aurais emmené chez moi avec le père que j'ai.. ?"

"- C'est simple de dire ça... Tu penses être le seul à faire des sacrifices ?.. Rien que te parler actuellement est dangereux... Depuis que je te parle ou reste avec toi ma vie est devenue mouvementé mais aussi dur... J'ai pas envie de donner ma personne pour quelqu'un dont je ne suis sûr de rien.."

"- Tu te fous de moi ?.. Certes tu n'as que des problèmes depuis que tu traines avec moi mais, tu penses réellement que c'est de ma faute.. Si c'est le cas j'en suis désolé mais accepte mes excuses..."

"- Des excuses ?... Pour moi les excuses en tout genre ne valent rien... Tu ne fais pas quelque chose, dont tu as songer à l'avance, par simple coup de tête.."

"- Et que veux tu que je te dise ? Tu veux arrêter de me fréquenter c'est ça ?"

"- J.. J'ai pas dis ça non plus mais pour le moment.. Je veux arrêter de réfléchir et prendre simplement du bon temps avant de me lasser de ma vie.."

"- Te lasser de ta vie ?.. Je ne permet de penser ainsi.. Il t'est arrivé quelque chose pendant ma semaine d'absence pour te rendre ainsi.. Tu sais, garder pour soit n'est pas bon et si tu veux je suis pour t'ecouter..."

"- Hum.. Franchement, là tout de suite je veux parler à personne d'autre qu'à ma conscience... J'ai envie d'aller jouer à l'arcade alors laisse tranquille..."

Sans même chercher à regarder le visage de Gakushû je desserre son étreinte à mon bassin pour rapidement me diriger vers l'arcade et me divertir de toutes ces informations dans la même journée. Je n'avais pas envie de rester avec lui ni même de rester avec quelqu'un d'autre.. Simplement seul avec ma machine.

Arrivé à l'arcade je me dirige rapidement vers un jeu, m'y installe et joue tranquillement pendant des heures. Ayant les écouteurs et la musique du jeu à fond dans mes oreille je ne me rend même pas compte que la pluit tape sur les mur de l'arcade. J'ai l'impression de me comparer au temps. Quand il pleut c'est que je suis triste et le ciel aussi... Quand le ciel est radieux c'est que je suis content et lui aussi, mais quand la nuit tombe, c'est que je reprend mes pensées négatives.. Le vent est comme un souffle, comme quelque chose qui passe et qui reviens.. Comme moi auprès des gens... La neige ou bien la glace c'est quand je ne veux plus parler à personne et être dans mon coin et quand il fait chaud, comme un brasier, c'est quand je suis bien décidé à faire ce dont j'ai envie et que je donnerais tout pour.

Finalement, après des heures d'arcade je décidé de sortir. Arrivé à un pas de l'entré le ciel pleurait à flot sans s'arrêter. Je soupire n'ayant prévus ça et décidé donc de marcher sous la pluit. Les goutes de pluits s'entremêlant à mes larmes, je renifle. Mes yeux rougir et mes dents agressaient ma lèvre. J'ai froid et je n'ai plus envie de rien faire. Je pose donc mon dos contre un mur pour ensuite me laisser glisser au sol me retrouvant donc assit, en boule, à pleurer comme le ciel pleurait.

Je reste comme ça des heures et des heures mais finalement j'attrape mon téléphone quand la pluit se calme. N'ayant aucunement envie de rentrer chez moi, j'appelle quelqu'un pour qu'il vient me chercher la voix tremblante. La sonnerie ne sonne pas longtemps avant que le contacté ne réponde. Je savais qu'il répondrait et je voulais maintenant le voir. Je sais je sais, je suis indécis...

//To Be Continued~//

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