Chapitre 16 : Père et Fils.
PDV Gakushû :
La vision actuel me perturbais mais le nom qu'avais prononcé mon père rendait mon regard remplis d'incompréhension.. Il avait parlé de Karma... Pourquoi ? Des paroles assez colériques et stressées échappaient les lèvres de mon pére. La plupart parlant de Karma. Pourquoi pose t-il ce genre de question ?... C'est alors qu'une conversation entre Gakuhô et le torturer début.
"- Quoi ?.. Comment ? Vous êtes en train de me dire que vous avez encoooore échoué à votre mission !? Elle n'est pourtant pas compliquée.. C'est un humain rien de plus normal !"
"- Il sait ce qu'il fait, il sait aussi très bien se défendre ! Il est actuellemet prit entre deux de nous... Ils ont peut être un chance cette fois.."
"- Je l'espère... Je pense que me voir en colère n'est pas dans votre liste des choses surprenantes à voir.. Finissez ont en au plus vite ! Il tourne la tête à mon fils et je ne supporte plus !"
C'est à ce moment précis que mon coeur fait un bond. Il parlait bien de Karma et je pense avoir exactement compris de quoi il s'agit. Je pars rapidement pour aller dans chambre et prendre de quoi m'habiller pour partir du manoir ayant maintenant quelque chose d'urgent à faire. Dans ma course. Je croise mon servant.
"- Bonjour maître.. Vous m'avez l'air pressé, vous allez quelque part ?"
"- Oui ! Et bien évidement que je suis pressé alors décale toi !"
"- Non ! Je suis là pour vous aidez ! Suivez moi."
Ayant mon bras prit fermemant, je suis rapidement l'homme mystérieux qui me tire. Bizarrement, on arrive plutôt rapidement devant la bâtisse pour ensuite entrer dans une voiture. Je m'installe donc et il se met à rouler en direction de la ville. Après plusieurs minutes, je n'aperçois aucune maison ni route ou encore quelque chose qui me rappelle la ville. Une simple forêt.
Je déglutit avant de regarder mon "servant" qui avait, lui, un sourire aux lévres. Je comprend donc rapidement le problème et le pourquoi mon père m'a ordonné de lui donner toute ma confiance. Ce que, comme un idiot, j'ai fais pensant que mon père était devenus bon.
Je me retrouve, je ne sais trop comment, attaché, les mains derrières, sur une chaise assez dur. Je grogne et sert les dents avant que celui ci ne me montre tout un club d'instruments à torture. Je les regardent, il en prend une et s'approche. Il place l'aiguille vers le coin de mon oeil et, quand il se prépare à taper, quelqu'un entre. Sûrement quelqu'un qui va retarder mes futurs cries de douleur.
Finalement, je soupire le visage de mon père entrant dans cette maison. Le plan venait donc de lui et le "servant" n'aurait en aucun cas torturé mon corps. Avant que mon père ne puisse ouvrir la bouche je pose une question assez froidement, le regard menaçant.
"- Qu'est ce que tu as fais à Karma ?... Tu tentes de l'éliminer.. ? Je t'ai pourtant dis que je ne voulais en aucun cas que tu interfère entre lui et moi.. Tu m'a demandé de faire confiance à un servant qui me trahi le premier jour."
"- Tu ne comprend pas les enjeux de ta position.. Tu ne peux avoir l'esprit occupé par lui comme tu l'es maintenant.. Je dois donc m'occuper de la menace en détruisant la source."
"- Ce n'est pas une réponse qui me suffis... Tu vas appeller tes hommes qui le chasse actuellement.. Et ne plus jamais l'approcher ou ne serais ce qu'interferer avec lui..."
Je regarde mon père s'avancer pour ensuite baisser son buste et poser ses deux mains sur les deux bras de la chaise, le front collé au miens. Il avait un regard sanglant et appeurant mais, après ce qu'il m'a dit plus tôt je sais que je peux faire du chantage.
"- Dans ta position actuel tu penses pouvoir faire quelque chose ?... Tu es attaché à une chaise... Et moi détaché... Et Karma seul.."
"- Si tu fini par réussir tes envies.. Et que tu m'enlève Karma, je ne prendrais ta succession... D'autre le feront gentillement à ma place."
Mon visage d'inférieur change en un visage sûr de lui et provocateur alors que celui de mon père devient mécontent.
"- Tu oserais remettre en question ta succesion pour une personne qu'à la base tu ne considérais simplement comme un rival..."
"- Et ma vie ne te regardes pas... Tu n'as donc aucun droit d'y interférer.. Je te l'ai dis... Ne touche à rien qui viens de MA vie.. Occupe toi de la tienne, si j'ai bien compris tu vas bientôt partir alors, passe le temps qui te reste à trouver un moyen pour toi et oublie moi..."
"- Si je n'agit pas tu vas te laisser manger par ce garçon... Il t'as mis en colère et t'as fais du mal mais tu insistes à vouloir le fréquenter et même me mettre au défit.. Moi, ton père, pour lui..."
"- Exactement... Rien de mieux que commencer jeune l'entraînement pour prendre ta succession non ?"
"- Tu ne sais pas ce que tu dis. Tu es jeune et insoucient, tu me remercira.."
"- Je t'ai dis... De ne pas le toucher... Alors ne le touche pas... Est ce clair ? Ou je dois te prouver de ma parole ?"
Un regard très sérieux, les deux Asano se regarde. Quelques goutes de sueur se forme le front du père voulant que Gakusû craque sans vraiment de résultat. Il soupire, attrape son téléphone et envois un message, ce qui fait sourire Gakushû de satisfaction. Sous la colère, et juste avant de partir, Gakuhô giffle son fils le laissant attacher sans même laisser le servent.
Je me retrouve donc seul, attaché sans rien pouvoir faire. J'ai faim mais personne ne m'apporte à manger. Va compter sur "mon servant" tiens. J'ai été tellement idiot de croire et avoir de l'empathie pour cet homme qui et malheureusement mon père. Je tire sur mes poignets espérant casser les liens. Bien évidemment.. Je n'y arrive pas.
Le servant entre un plateau en main ! De la nourriture ! Il pose le plateau sur mes cuisses, attrape un couteau et un fourchette pour couper la viande et commencer à me donner à manger mes mains étant toujours attachées. Il caresse mon avant bras rapprochant son corps du miens, rejoignant sa main à la mienne. J'arque un sourcil quand celui ci retire ma chevalière et se relève.
Je le regarde sortir et ouvrir la porte. En flippe, je jette le plateau au sol et me recule rapidement. Le sourir sur le visage de cet homme étair sadique et amusé puis, il ferme la porte et part. Ma rage montait et je voulais rentrer...
Je regarde ensuite la nourriture mon ventre gargouillant. Je l'ai jeté par terre mais je regrette... Même aussi dégueulasse je serais capable de le manger tellement ma faim est grande. Je regarde ce bout de viande embrassant le sol pour ensuite diriger mes yeux vers une flaque qui montrant l'eau que j'avais renversé. Je soupire comprenant que j'allais rester ainsi toute la semaine.
\\To Be Continued~\\
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