Il revit Sébastien le samedi et dimanche matin pour ses cafés habituel. Maintenant qu'il savait que le grand café noir avec jet d'expresso était à lui, il se risqua à écrire sur le couvercle un Bonne journée ou N'oublie pas de dormir. Chaque fois que Sébastien remarquait le mots un sourire timide apparraissait sur son visage. Le reste de la semaine, Hugo se lança dans une enquête. Il regarda sur internet à savoir comment le fiancé de Sébastien avait pu décedée.

En vrai la recherche fut simple. Il tomba sur un article montrant un accident d'auto et un garçon début vingtaine et avec un sourire rayonnant. L'article mentionnait que le jeune homme était le fiancé de Sébastien Tremblay, associé de monsieur Labrecque et que tout la compagnie offrait ses plus cher condoléances à la famille de la victime. Il faisait aussi mention que l'homme d'affaire allait se retirer de l'entreprise le temps de son deuil et que monsieur Labrecque et monsieur Roy serait là pour le soutenir. Le reste de l'article parlait de l'accident. Il semblerait que les freins n'était plus en fonction et qu'étant dans l'impossibilité d'immobiliser son véhicule, le jeune homme avait percuter une bande de ciment.

À partir de là, il chercha d'autre article et photo de l'homme. Il y en avait que sa famille avait poster en hommage à l'homme décédé. Il trouva, aussi un article remontant avant le décès du garçon. En gros, on voyait Sébastien et son fiancé main dans la main se promener dans un parc.

Sébastien paraissait vraiment c'est 21 ans. Aucune rides se trouvait sur son visage souriant pendant qu'il semblait écouté ce que son amoureux lui racontait. Il était grand et costaud comme aujourd'hui, mais ses yeux ne reflétait pas la fatigue.

Son fiancé était quelques peu plus petit que lui, mais à peine. Il devait faire la même taille qu'Hugo. Il était blond et habiller d'un style plus jeune que Sébastien et ses éternelles chemise. Il avait un sourire radieux et semblait très extraverti. Hugo remarqua même des boucles d'oreille sur ses oreilles. Il se mordit la lèvre. Il avait toujours voulut se percer les oreilles, mais avec le mauvaise accueille de ses parent face a son homosexualité, il n'osait apporter la moindre modification à son corps.

L'article indiquait que le jeune associé allait se marier au début de l'été et que pour la même occasion, la compagnie pour laquelle il travaillait organiser une levé de fond pour soutenir les causes contre l'homophobie.

Hugo ferma son ordinateur et se coucha sur son lit. Comment avait-il pu passer en trois ans à un jeune adulte souriant a un vieil homme un peu marabou. Facile son fiancé était mort, mais en trois ans, les dommages de ce deuil avait vraiment fait tout ses ravages sur sa personne? Plausible s'il avait recommencer à consommer de la drogue. Hugo se dit qu'il pourrait toujours aller en discuter avec Sébastien à son appartement après l'école le lendemain.

Malheureusement pour lui, il n'y avait personne a l'appartement. Il décida malgrer tout d'entrée et de continuer son enquête. Il fouilla dans le bureau de l'homme, mais ne trouva que des papier de comptabilité. Il alla dans la chambre, mais les tiroirs était remplis de sous-vêtements et il fit le saut en tombant sur un arme a feu. Bon, on était dans un pays libres, il avait tout les droits d'avoir cette arme, c'était juste surprenant d'en voir un vrai de si proche.

Il se tourna alors vers la penderie et tomba sur une boite placer en hauteur. Il l'atteignit en se mettant sur la pointe des pieds et l'ouvrit. Jackpot. A l'intérieur il trouva des photos de couple entre Sébastien et son fiancé. Une lettre d'amour destiné à Seb et l'anneau de fiançailles qu'il avait du donner à son amoureux. Le coeur d'Hugo se serra et il fit un arrêt cardiaque quand il entendit la porte d'entrer s'ouvrir. Il remis tout dans la boite le plus tôt possible et rangea la boite à sa position initiale. Malchance, il fit tomber une autre boite qui déversa son contenu sur le sol dans un fracas. Par chance c'était une boite à chaussure.

Hugo se pencha pour ramasser, mais la porte de la chambre s'ouvrit à la volé et un arme fut pointer vers lui. Il poussa un cris strident et tomba à la renverse. Ses yeux fixer sur le canon de l'arme, il recula jusqu'à coller son dos au mur. Les larmes apparurent dans sa vision avant que le fusil soit descendu au sol. Ne craignait plus pour sa vie dans l'immédiat, Hugo releva la tête pour apercevoir Sébastien mal à l'aise.

"Désolé, je croyais que tu étais... personne."

Désolé? Il lui avait pointer un arme sur lui! Son corps tremblait toujours sous les décharge d'adrénaline que sont corps lui envoyait et il restait paralyser par la peur.

"Hugo, je suis désolé. Que fais-tu dans ma chambre? Tu fouillais dans mon garde-robe?"

Son but n'était pas de détourner la conversation, mais plus de se rassurer intérieurement.

"Pourquoi tu as un arme à feu?"

"Pour ma protection."

"Tu veux te protéger de quoi?"

"Hugo, je suis désolé de t'avoir fait peur. Je ne m'attendait pas à trouver quelqu'un ici."

Voyant que ses paroles ne semblait pas réconforter le petit, il tenta de lui prouver sa bonne foi.

"J'ai penser à toi. Tu aimes le sucrés et j'ai rien, alors j'ai acheter des choses pour si tu venais. J'ai des drumstick dans mon congélo, tu en veux?"

Les tremblements de Hugo ne diminuait pas, mais il hocha doucement la tête.

"Debout, je vais t'en donner un."

L'adolescent tenta de se ressaissir et se leva. Il suivit Seb dans la cuisine et prit le cornet qu'il lui donna. Ensuite, Seb retourna dans sa chambre pendant que le coeur d'Hugo se remettait à pomper du sang normalement. Il ressortie quelques minutes plus tard habillé d'une nouvelle chemise et cravate assortie à des pantalons propre.

"J'ai un souper important a soir. Je ne peux pas rester. Je rentrerais tard, alors ne m'attend pas. Bisous."

Puis il sortie de l'appartement. Bisous? Il lui avait dit bisous? C'était clairement inconscient, mais ça en disait long sur leur relation. De nouveau, le coeur d'Hugo s'emballa. La derniète conversation lui avait fait oublié l'arme pointer sur lui plus tôt. Bisous! Il avait eu le droit à un bisous! Et puis, Seb ne semboait pas trouver sa dérangeant de le trouver vhez lui. Il lui avait même acheter des trucs sucré à manger. Cr qu'il voulait dire qu'il s'attendait à le voir aouvent débarquer.

Sébastien lui faisait confiance et l'appréciait assez pour partager son intimité avec lui. Et lui comme un con, fouille dans ses affaires. Génial. Pour se faire pardonner, il prit le reste de la soirée à faire le ménage pour que l'appartement soit plus propre, puis alla se coucher dans le lit.