Chapitre 15
Hugo se réveilla avec une étrange sensation et frigorifié. Il ne lui fallut que quelques seconde se rendre compte qu'il était nu et attacher au plafond par des poignets. D'ailleurs ceux ci lui fit extrêmement mal. Il avait du pendouiller dans le vide par eux tout le long de son inconscience. Il chercha le sol de ses pieds. Il put le trouver en se mettant sur la pointe des pieds et commença à analyser la situation.
Il se souvient que des hommes c'était présenter chez Sébastien et puis plus rien. Où il était maintenant? Pourquoi il était nu? D'ailleurs c'était hyper gênant. Il n'était pas particulièrement pudique, mais s'il pouvait éviter de montrer son début de ventre, il était ravit. Mais là c'était pire que tout. Même son membre pendait à la vu de tous. Il n'était pas particulièrement gros, en fait il le trouvait petit et le complexait un peu. C'était l'une des raisons qui faisait qu'il voulait attendre le bon pour se montrer. Être sûr que la personne avec qui il le ferait ne se moquerait pas de sa taille.
Bon il devait se concentrer. Où est-il. Dans une cave visiblement, mais il faisait trop sombre pour voir quoi que se soit. Il tenta de déprendre les chaînes à ses poignets, sans grand succès. Il se faisait plus mal qu'autre chose. Hurler? En vrai, il doutait que quelqu'un vient le sauver et il ne voulait pas non plus avertir ses ravisseur qu'il était de nouveau conscient. Bordel, dans quoi il c'était foutu? Pourquoi on l'avait enlever? Qu'est-ce que c'est gens avait l'intention de lui faire?
Il eut sa réponse deux heures plus tard, car une porte s'ouvrit pour laisser entrer un homme. Il alluma la lumière, ce qui éblouit Hugo qui ferma les yeux. Il entendit un rire cruel et retient ses larmes. Il allait en baver. Il finit par réouvrit les yeux une fois ceux ci habituer à l'éclat des néons. La cave aurait pu être banale sans les chaines qui pendait du plafond, le matos de vidéo devant lui et le poêle à bois que l'homme commençait à remplir. Avait-il mentionner qu'il y avait une table avec différent objet effrayant dessus. Rien pour rassurer.
"Monsieur, s'il vous plait. Détacher moi. J'ai mal au poignet. Je vais pas m'enfuir, je veux juste vérifier qu'il vont bien."
L'homme d'une cinquantaine d'année l'ignorait. Bon il avait estimer une cinquantaine d'année, mais depuis qu'il avait rencontrer Sébastien, il doutait de son talent pour trouver l'âge des gens. Jouons prudent. L'homme qui avait visiblement plus de quarante ans l'ignorait.
"Monsieur, s'il vous plait. J'ai vraiment mal. Je crois qu'il y en a un de casser."
Lorsque le feu dans le poêle fut bien parti, l'homme vient placer le bout d'une barre de fer dedans, puis abandonna le bâton là. Il vient se rapprocher de sa victime pour l'observer plus en détail.
"Je ne te libérerais pas. C'est à Labrecque de le faire. Lui et sa bande de merdeux décideront de ton sort."
"Monsieur Labrecque? Je le connais pas. On sait jamais parler lui et moi."
"Je te crois, mais tu connais son associé."
"Vous leur avez demander une rançon? Pourquoi? Je ne suis pas sûr d'être si important que ça à leur yeux monsieur. Libèrez-moi."
"Tu es poli petit. Je t'enlève et je m'apprête à te torturer et tu m'appelle monsieur."
"Me torturer?"
"Bien sûr."
Si Hugo s'empêchait de ressentir de la peur au début, maintenant c'était complètement impossible. Son coeur et sa respiration accèlera et les larmes mouillait ses yeux.
"S'il vous plait monsieur. Ne faites pas ça, c'est illégale. Laisser moi partir et je dirais rien à personne."
"Tes amis on énerver le grand patron. À jouer ainsi dans nos plats de bande, il faut riposter."
"Votre grand patron? Ils ne peuvent pas discuter tranquille autour d'un café? On est pas obligé d'en venir la. Imaginez la réputation de votre patron si ça se sait."
"Mais ça ne se saura pas."
"Bien sûr que si! Plus je suis absent, plus les chances que Sébastien ou mes parents appelle la police sont grande. Il va y avoir une enquête. Ils vont regarder les vidéos de surveillance."
"Je doute que ton copain fasse ça. Il metterait en jeu son employeur."
"De quoi vous parlez?"
L'homme observa un moment Hugo avant d'éclater d'un rire saccadé et effrayant.
"Ne me dis pas que tu ignores que tes grands amis traine dans les affaires douteuse."
Les affaires douteuse? S'il parlait de la fausse tentative de kidnapping de Seb, c'était faux!
"Sébastien est un homme d'affaire honnête! Il ne m'a jamais rien fait."
"Tu as du courage gamin, mais ce n'est pas de ça que je parlais. La compagnie de monsieur Labrecque semble légal en apparence, mais ne fait que cacher tout les réseaux de prostitué, drogue et traffic illégale de tout genre. Et ton cher Sébastien est l'un de ses précieux bras droit qui complote à ses côtés."
"Vous mentez! Sébastien est gentil et bon!"
"Vraiment? Je ne serais pas surpris de savoir qu'il sait intéresser à toi au début pour ta valeur sur le marché noir. N'a-t-il jamais agit bizarrement. Un peu parano, à comploter en secret avec d'autre gens? T'a-t-il parler de son travail où est-il sans cesse évasif sur le sujet?"
Hugo déglutit se rappellant l'arme à feu dans le tiroir de sa commode ainsi que le deuxième qu'il lui avait pointer dessus, il pensait que c'était quelqu'un d'autre. Non, c'était impossible. Sébastien n'aurait jamais fait ça. Il était doux et gentil. Il l'aimait. Il ne s'embarquerait jamais dans ce milieu.
"Tu tiens ta langue tout d'un coup? Bien. Ça prouve que j'ai raison et malheureusement pour toi, les affaires vont mal dans les deux camps. Ils sont venu jouer sur le territoire de mon patron et ils vont le regretter. On verra s'il tient à ta peau. Si la réponse est non, au moins je me serais amuser un moment à te briser chaque os avant de te tuer."
Un sourire sadique apparut sur le visage de l'homme devant lui et les larmes quitta finalement le nid doueillet des yeux d'Hugo pour parcourir leur vie sur ses joues.
"S'il vous plait. Je suis au courant de rien. Laissez moi partir."
Mais l'homme avait un toute autre plan en tête.
Bon à partir de là, il va y avoir des chapitres de torture qui ne feront pas vraiment avancer l'histoire. C'était juste moi qui voulait me défouler 😈
Vous n'êtes pas obliger de les lires, même si je me doute que vous allez le faire 😏 bande de psycho que j'aime ❤
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro