Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

~ Chapitre treize ~


Señorita ♪..... De Shawn Mendes, feat. Camilla Cabello.

~~~~

Dave consulta sa montre avant de décider à répondre son ami :

- Je ne sais pas si elle partie maintenant, mais je l'avais laissé dans un profond sommeil.

Logan parut surpris un instant puis se ressaisit avant de dire :

- Je comprends pourquoi tu avais l'esprit ailleurs, c'est parce que tu as laissé ta chérie seule dans ton appartement.

- Logan...

- Et je te conseil frérot de ne pas trop t'y habituer, dit-il plus sérieusement, ce genre de femme...

- Change de comportement de temps à autre, finit Dave pensivement.

- C'est dur, mais c'est la stricte vérité frère, garder l'espoir qu'elle te reviendras un jour, finira par te briser, je sais de quoi je parle.

Dave ne disait plus rien, à quoi bon ? Malgré son amour infini pour elle, son ami avait un peu raison, son cœur se déchira un instant en pensant à cela, mais faudrait bien qu'il passe à autre chose. Il était vrai qu'il la désirait plus que tout au monde... Que son cœur ne voulait qu'elle, mais ressentait-elle la même chose pour lui ? C'est sûr que non, Dave aurait aimé que ce soit une autre réponse, que toute cette attente en valait la chandelle, mais il n'eut peut rien, ce doute subsistait toujours au fond de lui et d'un autre côté malgré son envie de l'oublier, de cesser de l'aimer, Rosa restera toujours dans son cœur et il l'aimerait malgré tout... Aucune femme jusqu'ici n'arrivait à rivaliser avec elle, aucune femme ne faisait battre son cœur autant lorsqu'il la voyait ou juste entendre sa douce voix, ou encore voir son joli sourire... Dave mit fin à ses pensées en se mettant au travail.

°°°°°

Les parois de l'ascenseur s'ouvrirent et Sammy sortit de la cabine en se dirigeant vers la secrétaire.

- Bonjour Cata.

- Bonjour Sam, comment tu vas ? Demanda-t-elle avec un sourire chaleureux.

- Super bien et toi ?

- Bien.

- Mais où est Rosa ? Dit Carla en venant vers eux, salut Sam.

- Salut Carla. Rosa n'est pas encore là ?

- Non, elle est introuvable.

- Et injoignable, rajouta Catarina, je tombe à chaque fois sur son répondeur.

- Et ça fait déjà une heure que la réunion à commencer sans elle.

- Elle serait déjà là si elle comptait venir, dit Sammy, ce n'est pas dans ses habitudes de venir aussi en retard.

- Ce n'est pas dans ses habitudes de ne pas venir à l'entreprise aussi, Rectifia Carla.

- À moins qu'elle est en voyage d'affaires, dit Catarina.

- Et ce n'est pas le cas.

- Elle a sûrement quelque chose, fit Sammy, allé on part continuer la réunion, à tout à l'heure Cata.

- À tout à l'heure Sam.

°°°°°

Maëlle se leva de son lit, elle s'étira tout en bâillant, et émit un grognement à cause de sa migraine, elle remit la tête sur l'oreiller et remarqua le bout de papier sur la table de nuit, elle s'empara du mot et lu ce qui était écrit.

- « On aura une petite discussion ce soir. »

Elle grogna des injures comme réponse et descendit pour de bon du lit.

- Un petit « Salut mon amour, bien dormi ? » n'aurait fait de mal à personne.

Elle se plaça devant le miroir et trouva un autre bout de papier qui était collé à celui-ci, Maëlle l'arracha.

- « Je suis très sérieux et aussi très en colère. »

- En plus d'être très strict, il me connaît très bien celui-là.

Elle jeta le papier à la poubelle, pour ensuite faire sa toilette, et lorsqu'elle termina, Maëlle sortit de sa chambre en se rendant dans la cuisine.

- Salut, tu as bien dormi ?

- Salut, répondit Alicia, pas vraiment et toi ?

- Moi non plus.

Alicia lui tendit un verre d'eau avec un paracétamol.

- Merci, fit-elle en avalant le comprimé, dis-moi Quentin t'a laissé un mot du genre qu'il aurait une petite discussion avec toi ce soir ?

- Non pas du tout, j'imagine que c'est William qui t'a laissé ce mot.

- Mouais qui d'autre à part lui, soupira Maëlle, je me demande pourquoi il n'est pas comme Quentin.

- Maëlle...

- Quoi ! Je t'avoue que parfois je ne le supporte pas avec son air sévère, mon Dieu ! Qu'il peut être énervant quand il le souhaite, il m'étouffe, s'exclama-t-elle.

- Tu ne l'aurais pas aimé s'il était comme Quentin, et de toute façon c'est pour ton bien, il s'inquiète juste pour toi, comme un copain qui s'inquiète pour sa copine quoi !

- Lui il fait tout un plat.

- C'est de William que tu parles.

- C'est vrai que tu as raison, je sais qu'il s'inquiète mais il est trop strict, même avec lui il se comporte ainsi.

- Il est comme ça O.K. et d'autant plus que tu es follement amoureuse de lui.

- C'est ce qui m'a charmé, dit-elle toute souriante.

- Tu vois.

- Et bien sûr qu'il est beau, il a de jolis yeux et une bouche...

- Maëlle épargne moi tout ça s'il te plaît.

- Quoi ? Dit-elle en faignant l'innocente.

- Rien du tout, tu m'aides à préparer le petit déjeuner ?

- Tu sais que je déteste cuisiner.

- Vraiment Maëlle, il n'y a pas de mal à cuisiner, ce n'est pas la fin du monde.

- Tu détestes faire les courses non ? Moi je déteste cuisiner.

- Contrairement à toi je fais quelque chose, même que je n'aime pas faire les courses au moins j'aime cuisiner, mais toi tu n'aimes faire ni l'un ni l'autre.

- Arrgh laisse-moi tranquille tu veux ?

- O.K. votre altesse, fit Alicia en s'inclinant devant elle.

Maëlle lui fit une grimace et elles rigolèrent, avant qu'Alicia retourna à ses préoccupations. Une fois le déjeuner prêt, Maëlle se rendit utile en mettant les couverts, ensuite elles s'asseyaient autour de la table et mangèrent. Après le petit déjeuner, Alicia fit la vaisselle et Maëlle s'occupait de les essuyés et rangea à leur place, et une fois la vaisselle finit, Alicia s'essuya les mains et rangea le torchon.

- Après tu diras que je ne sais rien faire. Je pars regarder un film, annonça-t-elle.

- Au lieu d'aller regarder un film, pourquoi tu ne m'aides pas à faire le ménage.

- T'es sérieuse ?

- Oui. Très sérieuse même, allé Maëlle, juste le ménage après je te laisse vraiment tranquille.

- Je ne vais pas me laisser embobiner par ta petite voix et ton regard de chien battu.

- Mais...

- Laisse tomber Ali, tu ne m'auras pas.

Alicia roula des yeux, et Maëlle referma la porte de sa chambre derrière elle, elle grimpa sur le lit, attrapa son ordinateur portable et l'ouvrit, pour ensuite regarder un bon film romantique.

°°°°°

Après un long sommeil Santa se réveilla enfin, elle n'avait plus mal à la tête et se sentait mieux que ce matin, elle se leva donc de son lit et partit dans la salle de bain, où elle prit une douche froide. Et ensuite lorsqu'elle termina, elle sortit s'habiller d'une robe verte à manche courte et d'un petit soulier plat de couleur noir, elle se brossa les cheveux et les attacha, puis ensuite se fit un maquillage très léger. Santa descendit dans la cuisine, prit une pomme et sortit prendre l'air. Elle franchit le seuil de la porte et respira une bouffée d'air frais et s'élança dans sa petite promenade. Elle profita aussi pour téléphoner à sa meilleure amie.

- Vous êtes sur le répondeur...

- Bon sang ! Ça commence à devenir une habitude chez elle, dit Santa en raccrochant.

Deux heures s'étaient écroulés, Santa avait maintenant l'estomac qui gargouille, signe qu'elle avait faim. Et comme par magie elle vit un restaurant juste en face d'elle, elle contenta de sourire et regarda s'il n'y avait pas de voiture et traversa la rue, et entra puis partit s'asseoir à une table, un serveur lui apporta donc le menu.

- Vous avez déjà fait votre choix.

- Oui, en effet, dit Santa les yeux toujours rivés dans le menu, je prendrai du...

- Toi.

Surprise, Santa leva les yeux vers lui et remarqua qu'il la fixait comme une personne qu'il connaissait déjà.

- On se connait... Par hasard ?

- Tu ne t'en souviens pas, c'est ça ?

- Et... Me souvenir de quoi au juste ?

Il prit place en face d'elle, sans même lui demander son avis et Santa referma le menu et le déposa sur la table.

- Euhm... Je suis vraiment désolé mais je crois que tu me prends pour une autre personne, on ne s'est jamais croisé, toi et moi.

- Tu étais si soûler que ça, que tu ne t'en souviens pas. Logan ça te rappelle alors quelque chose ?

- Je suis désolé, mais non pas du tout.

- Je peux peut-être te rafraîchir la mémoire ?

- Vas-y je t'écoute.

                                ***

Il ne savait pas forcément le nombre de verre qu'elle avait pris, mais ce dont il était certain c'est qu'elle n'avait pas toute sa tête. Il la vit se diriger vers le bar, la boîte était encombrant, à peine si les gens pouvaient bouger sans se frotter avec quelqu'un, et il faisait énormément chaud, il réussit à se faufiler dans la foule pour aller jusqu'au bar la retrouver, la fameuse Santa que son ami lui avait décrit.

- Un verre de whisky, entendit-elle crier au barman à cause de la musique qui jouait super fort.

Le barman acquiesça, puis se retourna et après quelques secondes lui tendit le verre de whisky en question.

- Merci, dit-elle en prenant le verre.

Sauf qu'elle ne s'y attendait pas à ce qu'on lui prenait le verre, elle suivra des yeux le verre qui atterit dans la bouche d'un homme qu'elle ne connaissait ni d'Adam ni d'Éve, il buvait si sensuellement son verre qui lui était destinée, qu'elle se perdit à regarder ses lèvres sans détacher ses yeux ou même protester.

- Vous avez trop bu, vous ne pensez pas ? Dit-il en déposant le verre et lui planta ses yeux dans les siens.

- Comment osez-vous ? Je fais ce que bon me semble, vous n'avez pas à me dire quoi faire.

- J'ai pensé une seconde que vous étiez muette.

- Un autre verre, s'adressa-t-elle au barman.

- Surtout ne l'écoutez pas.

- Vous allez me servir ce verre ou sinon je viens vous arrachez les yeux.

                                 ***

- C'est pas vrai je ne lui ai pas dit ça.

- Alors c'est moi qui l'ai dit.

- J'étais sûr que je ne lui dirais pas une chose pareille. Pas vrai ?

- Voilà que je te raconte ce qui s'est passé, et toi maintenant tu me traite de menteur.

- Désoler tu peux continuer.

                              ***

Vaincue par Logan, elle laissa tomber et se contenta de regarder devant elle.

- Que me voulez-vous ? Demanda-t-elle enfin au jeune homme, qui l'observait longuement depuis un moment sans détacher le regard.

- Rosa...

- Quoi Rosa ? Questionna-t-elle, ne captant pas un seul mot que lui disait Logan à cause de l'ambiance agitée dans la boîte.

Et l'instant d'après, il eut une bousculade et Santa se retrouvait dans les bras de Logan qui l'a rattrapé.

- Vous n'avez rien ?

- Non... Merci, balbutia-t-elle à cause de leur proximité. Donc vous disiez ? Je n'ai pas pu entendre à cause du bruit et...

- Je vous ai dis que votre amie est rentré.

- Rosa ? Mais avec qui ?

- Dave.

- Ah ! Je vois. Et vous, vous êtes ?

- Logan.

- Joli comme prénom, moi c'est...

- Santa, je sais.

- Mais comment vous savez mon nom ?

- Je ne compte pas vous le dire.

- Et c'est comme ça vous draguez les femmes ?

- Je suis loin de vous draguer Santa. Vous êtes loin d'être mon genre de femme.

- Comme si vous me plaisez aussi, rétorqua-t-elle.

                             ***

- Mouais admettons que tu as raison...

- Je ne suis pas un menteur.

- Arrête de te justifier, et prouve moi plutôt que tu dis la vérité.

- La voiture tu la récupères quand ?

- Quelle la voiture ?

- Celle que je te ramener chez toi et que la petite dame m'a emprunter.

- Et bien pourquoi pas demain à dix-neuf heures ?

- Ça me branche, à dix-neuf heures, je t'enverrai l'adresse ce soir.

- Logan ramène tes fesses, on a besoin de toi, lui crit un autre serveur.

- J'arrive donne-moi juste cinq minutes.

- Deux, sinon je viens te chercher.

- Bon je ne vais pas te retenir plus, dit Santa, mais avant est-ce que tu sais au moins où est Rosa ? S'il te plaît donne-moi au moins une bonne nouvelle.

- Et bien la seule chose que je sais, c'est qu'elle est chez mon ami.

- Encore ?

- Ça te surprend ?

- Euhm ou... Ce qui veut dire qu'elle n'est pas allé travailler, bon sang ! J'hallucine ou quoi ?

- C'est bien ça.

- Mon Dieu !

- Bon je te laisse à ta petite réflexion, moi j'ai du boulot.

- Attends, mais tu n'as pas pris ma commande.

- Je sais ce que les genres de femme comme toi commande.

Et puis il disparut.

- Les genres de femme comme moi. C'est fou, je le déteste déjà ce con.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro