J'en peux plus je deanbul dans la rue depuis une dizaine de minute la musique dans les oreille les clefs dans les min pour se défendre au cas où la casquette sur la tête pour se protéger du regard des gens. Je me dirige vers mon petit apart miteux il est plus très loin et pourtant j'ai l'impression que plus je m'en approche plus il s'éloigne, les gens me regarde je crois je sais c'est peu être qu'une impression je sais pas vraiment sa me dérange. Je suis enfin arrivée devant mon appartement j'essaye de taper le code mais je tremble trop alors pour me déconnecté un peu plus du monde je monte le son de ma musique ma respiration est saccadé je panique je crois je sais pas mon cerveau ne marche plus je crois, je suis devant ma porte j'hésite à sortir les clé pour ouvrir j'ai peur que mon voisin sorte mais bon si je veux l'éviter il vaudrait mieux que je rentre alors je sort mes clé j'ouvre et je rentre chez moi. Je suis fatigué, fatigué de tout mais surtout fatigué de se corp. Devant le miroir je me regarde j'ai des sein et rien en bas pourquoi, pourquoi rien est comme il devrait l'être chez moi. Je reste à me contempler devant le miroir pendant encore plusieurs minute tout un ta sde question dans la tête, question pour les quelle je n'est aucune réponse. Manon voici mon nom de naissance mais mon ami m'appelle nathanaël j'aime bien. Je vais dans ma chambre et m'effondre sur mon lit la musique à fond dans les oreilles de simple parole qui résonne dans mes oreilles mais qui pourtant me décrit tellement, tellement que sa me tue petit à petit de l'intérieur.

"mais l'amie tu avais avait dit que tout allait mieux que toute tes tentative rater c'était pour provoquer c'est vrai j'ai menti mais sois gentil suis les règles du jeu si tu y crois tout le monde y croira et je ferais des envieux, mes penser s'enferme en silence dans cette tour d'Ivoire ou dors mes idées noir et où s'acharne tout mes espoirs.

Je m'endors sur ces paroles mes court cheveux brun me tombant sur le visage là musique toujours à fond dans les oreilles.