Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 20 - Madeline

J'avais regretté beaucoup de choses dans ma vie. Mais je devais dire que ce moment resterait gravé pendant longtemps dans mon esprit.

J'avais découvert une nouvelle facette d'Edgar. Un Edgar sensible et amoureux. Brut et touchant. Finalement sincère et toujours si entreprenant. A ses côtés, ressortait la meilleure partie de moi-même. Je n'avais jamais été si naturelle et décontractée avec lui. C'était comme une évidence, maintenant. Nous étions réellement faits pour être ensemble. Il avait comblé le vide dans mon cœur et ma tête.

Adieu le chirurgien cardiaque, Edgar avait réparé la machine à lui tout seul. Malheureusement il en était désormais le maitre, il pouvait coudre ou découdre à souhait les fils délicats de mes cicatrices. Et c'était quelque chose qui me faisait peur. A vrai dire, les lendemains avec Edgar me terrifiaient. Je n'avais, de toute façon, pas appris de mes erreurs car un mot, un geste et je ressautais à pieds joints dans l'assiette, espérant qu'elle ne se casse pas.

Je chassais les idées noires qui commençaient à envahir mon esprit et me reconcentrait sur les iris bleu nuit qui me scrutaient depuis tout à l'heure.

— Tu penses à quoi ? me demanda Edgar.

— A rien de spécial, lui mentis-je.

Ma mère avait essayé de m'appeler deux fois, ce soir. Elle voulait sûrement prendre des nouvelles de mon premier jour de travail. Tout s'était enchainé tellement vite que je n'avais pas eu le temps de la rappeler. J'avais finalement éteint mon téléphone, souhaitant qu'aucune autre personne de mon entourage ne me gâche ce moment céleste avec la personne que j'aimais.

Je m'étais enfin décidée à lui avouer ce que je ressentais vraiment. Je n'avais jamais fait preuve d'autant d'audace et pourtant, ça sonnait tellement naturellement entre mes lèvres que je m'étais risquée à lui dire autant de fois que je pouvais durant notre moment d'intimité. J'avais été libérée d'un poids qui me pesait. Ce n'était pas du tout évident de vivre avec du ressenti. Avec des émotions enfouies, sans être capable de s'en défaire. Quand je lui avais dit, son regard s'était adoucis, sa bouche s'était fendue d'un sourire jusqu'aux oreilles et je su à ce moment que je ne voulais plus le quitter.

Cette simple idée me remit du baume au cœur. Edgar ne laissait rien transparaitre depuis quelques minutes, alors je pris l'initiative de lui poser quelques questions.

— C'était comment Londres ? Tu ne m'as jamais dit, au final.

Ok c'était peut-être un peu fort comme première question, mais je me la posais depuis longtemps, maintenant.

Il me regarda surpris et plongea dans ses pensées.

Je pensais réellement qu'il allait changer de sujet mais il se lança finalement dans une explication assez complète.

— C'était dur au début. Je débarquais chez ma grand-mère dont je n'étais pas si proche, je vivais seul depuis un moment alors la cohabitation n'a pas été simple pour commencer ! J'ai beaucoup parlé avec elle, j'ai aussi beaucoup réfléchi. J'ai écrit, je me suis fait des potes en chantant dans les parcs, puis j'ai travaillé un peu dans un bar. J'aurais pu rester là-bas, mais je savais que quelque chose manquait à ma vie.

Je rougis légèrement. Parlait-il de moi ? De sa mère ? De Paris ?

— Tu me manquais, Maddy, répondit-il à ma question silencieuse. Je m'en suis rendu compte en composant. Presque tout ce que j'écrivais tournait autour de toi. Et même si j'avais merdé, je devais te revoir.

— Ah bon ?

Là, je venais de passer cramoisie. Heureusement que l'obscurité autour de nous cachait les différentes teintes que prenait mon visage. Je ne retenais que la première partie de sa phrase. Il avait composé sur moi.

— C'est ce qu'on disait un peu plus tôt avec les autres. Théo a envoyé mes démos à plusieurs productions et on a un rendez-vous la semaine prochaine. On verra bien comment ça se passera.

Je méditais sur ses paroles un moment. Je crevais d'envie d'écouter ce qu'il avait bien pu écrire sur moi, maintenant.

— Je... Je te ferais écouter quand tout sera fini. C'est encore trop brouillon.

Décidément il lisait en moi comme dans un livre ouvert.

— Ok, je veux bien, lui répondis-je en lui souriant et lui caressant lentement le visage et les cheveux.

— D'ailleurs, les cheveux bonds, c'était pour quoi ? Parce que là, ça vire au vert et j'aime plus trop, pouffais-je.

Il rigola et se passa une main dans ses cheveux emmêlés.

­— Un défi que m'avait lancé un pote, là-bas, pour mes vingt et un ans ! Je vais chez le coiffeur demain. Faut que je sois présentable pour le producteur.

Je me sentis bête, d'un coup. Je ne savais pas qu'Edgar avait fêté son anniversaire en Angleterre. Je ne connaissais même pas sa date de naissance ! Il avait atteint la majorité absolue alors que j'étais tout juste majeure.

— C'était quand ton anniversaire ?

— Le dix-neuf Mai.

— Je ne savais pas...

— Mais je ne te l'avais pas dit, en même temps. Et je doute que tu aurais eu envie de me le souhaiter, de toute façon...

Il sourit et m'embrassa furtivement les lèvres.

— Je me sens toute « jeune » d'un coup, lui révélais-je, sans faire attention à sa petite pique.

Il rigola franchement et caressa le bout de mon nez.

— Tu auras dix-neuf ans dans quoi ? Deux ou trois mois ?

Je réfléchis rapidement et acquiesçais. C'était bête, je n'avais pas vu le temps passer.

— Donc deux ans d'écart, Madeline, ce n'est pas la mort.

— Ouais, deux ans et demi.

— Que veux-tu ? J'aime les petites filles ! rigola-t-il.

— Perv...

Il me stoppa dans ma parole en m'embrassant. C'était parti pour un second round.


Je retombais essoufflée sur mon oreiller. Comment réussissait-il à m'offrir autant de plaisir à chaque fois ? La respiration saccadée et le corps moite, je me recollais à lui, voulant le garder le plus près de moi, le plus longtemps possible.

Il m'embrassa le front et me poussa légèrement pour se débarrasser une nouvelle fois de sa capote et aller se rafraichir dans la salle de bain. Mon appartement ayant été au soleil toute la sainte journée, il faisait une chaleur à crever. Et nos activités du soir rendaient l'ambiance encore plus chaude.

— Putain, j'aime pas ces trucs.

Je l'entendais bougonner dans la pièce d'à côté.

— Tu n'aimes pas quoi ? lui demandais-je affalée dans mon lit.

— Les capotes.

— Ah.

Je ne savais vraiment pas quoi répondre à ça.

—Tu... Tu as fait des tests récemment ? me demanda-t-il.

— Des tests ?

Je ne comprenais pas où il voulait en venir.

Il laissa sa tête dépasser de l'encadrement de la porte et me regarda.

— Tu sais, les tests, genre dépistages et compagnie ?

— Oh, je vois. Ma mère m'a poussé à en faire quand... Enfin oui, je dirais il y a trois/ quatre mois.

— Et tu n'en as pas refait depuis ?

— Et bien tout allait bien donc je ne vois pas pourquoi j'aurais dû en refaire.

— Tu veux dire que tu n'as pas ... Enfin je pensais... Avec toutes les...

Je le regardais perdre ses mots. Qu'insinuait-il au juste ? Je ne m'offrais pas si facilement. J'en avais embrassé des mecs pendant cinq mois, mais je n'étais jamais allée plus loin, contrairement à d'autres.

— Non, je n'ai pas, Edgar, lui répondis-je un peu grognon. Par contre toi, il faudrait que t'en fasses, si tu vois ce que je veux dire.

Il sauta sur le lit et se mit à califourchon au-dessus de moi.

— Je me débarrasserais de cette tâche à la première heure demain. Il semblait soulagé et heureux. Alors quoi ? Il aurait le droit mais pas moi ? Je ne lui en tins pas rigueur et changeais de sujet.

— Et après tu reviendras ?

— Maintenant que je t'ai sous la main, tu crois vraiment que je vais te laisser partir ?

— Mais je veux dire...

Je ne savais pas du tout comment aborder le sujet mais il fallait que je lui en parle. Il attendait patiemment que je daigne reprendre la parole et s'allongea à côté de moi en me chatouillant lentement le ventre.

— Et ta mère dans tout ça ? Tu ne dois pas rester avec elle pour prendre soin d'elle ?

J'avais tellement peur qu'il parte d'ici par obligations familiales. Je veux dire, là-dessus, il ne pouvait pas me mentir. J'étais avec lui quand on avait retrouvé sa mère et je savais dans quel état elle se trouvait. Il m'avait presque envoyée baladée pour prendre soin d'elle. J'en arrivais pratiquement à jalouser sa mère, ça devenait n'importe quoi. Je souhaitais juste savoir combien de temps il lui restait à m'accorder, avant de devoir rentrer chez lui.

— Elle est partie faire une cure thermale avec sa meilleure amie. On l'a appelée ensemble le lendemain où je suis rentré. Elle était dévastée de devoir partir alors que je venais de rentrer mais c'est pour son bien. Elle a décampé hier matin et sera de retour à la fin de la semaine. On a quand même pu passer un peu de temps ensemble et rattraper le temps perdu la semaine dernière.

Pour toute réponse, je l'encerclais de mes petits bras et posais ma tête sur son épaule.

— Je ne m'en fait pas pour elle, tu sais, elle est forte. Mais j'aurais dû l'appeler. J'aurais dû rentrer avant. J'avais juste un très gros mauvais souvenir dans cet appartement.

— Ce n'est pas de ta faute, Edgar.

Je regardais l'heure sur mon réveil, il était déjà deux heures du matin. J'avais beau ne pas bosser demain, il était clairement l'heure de se coucher. Mes yeux se fermaient tout seuls de toute façon. Edgar le remarqua et me borda tant bien que mal.

— Bonne nuit, Mad. Je t'aime.

— Je t'aime aussi.

Il m'embrassa et je tombais dans les bras de Morphée, toujours lovée dans ceux de mon amant. J'avais encore tellement de question, mais mon corps et mon cerveau avaient besoin de répits.


***

La semaine s'était déroulée plus ou moins comme ça tous les jours. Edgar était allé chez le coiffeur, comme promis, le lendemain de nos retrouvailles et était réapparu les cheveux plus courts, mais avait au moins retrouvé sa couleur initiale. Apparemment le coiffeur avait failli faire une syncope en le voyant arriver dans son salon.

Il me faisait rire. On mangeait bien, on buvait pas mal, on avait fêté ses tests négatifs en baisant comme des fous, et il m'emmenait découvrir de nouveaux coins de Paris que je ne connaissais pas, quand je ne travaillais pas. Montmartre : ses rues et terrasses pentues, son Sacré-Cœur et la vue imprenable sur la ville, Pigalle et ses magasins de musique, l'intérieur de l'Opéra, le bord de quais de la Seine. Je prenais le temps de découvrir ma ville, chose que je n'avais pas vraiment fait depuis que j'habitais ici, me cantonnant à mon quartier et aux endroits que m'imposait les soirées ou rendez-vous entre amis.

Il me faisait vivre. On avait retrouvé Elisa et Théo quelques soirs, on s'amusait beaucoup ensemble. Il n'y avait plus d'ombre au tableau, plus personne pour gâcher nos moments de bonheur.

Il me rendait belle. Sa façon de me regarder, sa manière de me toucher, tout avait changé. Il respirait la joie et je crois que je ne l'avais jamais vu rire autant. Sa beauté me touchait, son bonheur m'atteignait et j'avais l'impression que rien ne pouvait plus nous arriver.

J'avais tendance à oublier tout ce qu'il se passait autour de moi quand j'étais heureuse. Et le problème c'est que je mettais de côté ma famille et Noé. Pour me faire pardonner, j'avais déballé à ce dernier, tous les secrets de ma vie intime et privée durant une de mes pauses et l'avais invité à passer une semaine avec moi à Paris pendant les vacances. Il n'avait plus qu'à choisir la date. Edgar n'avait pas forcément été ravi de cette nouvelle, car cela devait dire que Noé dormirait dans mon lit, avec moi, mais j'étais bien déterminée à les faire se rencontrer, officiellement, et il était de toute façon évident qu'il ne se passerait rien avec mon meilleur ami. Beurk. Rien que d'y penser, mon ventre se retournait.

Pour mes parents, c'était autre chose. J'avais eu ma mère au téléphone le lendemain de mon premier jour, mais était restée évasive sur comment j'occupais mon temps libre. Ma mère m'avait tellement ramassée à la petite cuillère après « l'épisode Edgar » que je n'avais osé lui dire qu'il était rentré, ni même que nous reformions un couple. Même si cette fois-ci, je le savais, c'était du solide !

M'endormir dans les bras d'Edgar tous les soirs de cette semaine m'avait semblé utopique et pourtant, c'est ce qui était arrivé.


***

Sur mon petit nuage, je rêvais encore de la nuit torride que je venais de vivre. Dimanche matin : grasse matinée tant attendue et bien méritée. J'avais bossé jusqu'à vingt heures hier, en renfort, avant de rejoindre Elisa et la bande dans un bar branché de Paname. Edgar m'avait retrouvé sur la route et nous étions arrivés main dans la main, sous les approbations du reste de la troupe. La soirée avait vite dérapé en mètres de shooter et danses sur les tables. On était rentrés joyeusement vers trois heures du matin à l'appart, et pas endormis avant au moins cinq heures. J'aurais voulu ne jamais m'endormir à ses côtés. J'avais cette fureur de vivre, cette peur que la nuit nous enlève des moments précieux à deux.

Mais la raison et surtout la fatigue avaient repris le dessus et cette grasse matinée dans ses bras, c'était tout ce que je demandais. Sa mère rentrait ce soir, je voulais en profiter jusqu'au bout car je savais qu'il partirait pour l'accueillir.

Onze heures trente. Alors que je tentais de réveiller mon bellâtre par quelques caresses intéressées, la tête encore à moitié endormie, dans le creux de son cou, des bruits de pas s'intensifièrent dans le couloir de mon immeuble. On frappa indiscrètement à ma porte.

Putain. Qui pouvait bien sonner à cette heure-ci chez moi ?

Sans avoir le temps de vraiment réagir, la porte s'ouvrit dans un fracas de clés. Mon regard croisa celui d'Edgar qui venait de se réveiller en sursaut et passait de son corps nu, aux intrus dans mon entrée.

­— Maman ? ... Papa ??

S'en suivi quelques hurlements des deux côtés. Mon père était parti se réfugier dans le couloir, tandis que ma mère était restée planté dans l'entrée en se cachant pauvrement les yeux. J'avais jeté le drap sur Edgar et avais attrapé les premiers vêtements qui me tombaient sous la main. Le t-shirt de mon amant et mon petit short de pyjama. Edgar s'était crapahuté tant bien que mal dans la salle de bain, le corps enroulé dans mon drap fin.

Il avait fallu moins d'une minute à la scène pour se dérouler.

— Vous pourriez prévenir, non ? criais-je à mes parents une fois habillée et Edgar caché.

— On essaye de te joindre depuis hier soir, figure-toi, lança mon père en passant sa tête par l'encadrement de la porte. Qui était ce jeune homme ?

J'attrapais mon téléphone à la volée et constatais les dires de mon paternel.

— Mais qu'est-ce que vous faites là ? Qu'est-ce que vous faites à deux surtout ? Quelqu'un est mort ?

Mes parents à deux, ça relevait du miracle. Surtout depuis que ma mère avait annoncé ses fiançailles à ce dernier.

— Non. On n'a pas le droit de venir voir notre fille ? me demanda alors ma mère.

— Non. Si. Mais pourquoi ? Pourquoi aujourd'hui.

— J'ai reçu les notes de tes examens à la maison. Tu as eu ton année ! Et comme c'est un petit miracle vis à vis de l'année épouvantable que tu as subit à cause de tu-sais-qui, on a pensé te faire une surprise en t'emmenant déjeuner, m'expliqua ma mère. Je ne pensais pas que tu serais accompagnée.

Mon père qui était finalement entré, visiblement gêné et agacé de se dire que sa fille pouvait avoir une vie sexuelle, manquait cruellement de tact.

— C'est qui ce garçon qui est avec toi ?

— C'est hum... un ami.

— Hum hum. Est-ce qu'il peut sortir de son antre ? demanda mon père assez fort pour être entendu, tout en se raclant la gorge.

Si la situation n'était pas aussi gênante, j'en aurais presque rit de voir mon père essayer de tenir son rôle... de père.

La porte de la salle de bain s'ouvrit lentement. Heureusement Edgar avait réussi à choper son sac avec des vêtements propres dans le feu de l'action. Il était donc habillé pour se présenter à mes parents.

Il s'avança vers mes parents, bras tendu, prêt à leurs serrer respectivement la main. Je croisais les doigts derrière mon dos, mais j'étais persuadée que ça ne se passerait pas aussi facilement qu'espéré.

— Désolé, je ne pensais pas vous rencontrer dans ces circonstances. Edgar Laville, enchanté.

Le sourire de ma mère s'effaça à la seconde où elle entendit son prénom et elle ne daigna même pas attraper la main qu'il lui tendait.

— Sortez d'ici ! lui cria-t-elle en lui montrant la sortie.

Je n'avais jamais vu ma mère aussi furieuse. Je pensais bien qu'elle ne serait pas ravie de cette situation vu l'état dans lequel elle m'avait retrouvée il y a quelques mois mais ça dépassait tout ce que j'imaginais.

— Mais non, t'es f... Il reste avec moi ! réussis-je à sortir pour contrer son attaque.

— Il part, Madeline, c'est sans discussion.

— Je... Je vais y aller, ta mère à raison, chuchota Edgar.

— Non, tu n'as pas le droit de faire ça, répondis-je à ma mère.

— Madeline, tu devrais écouter ta mère, lança mon père sur un ton que je ne lui connaissais pas. Même lui était froid et distant avec la personne que j'aimais.

Sous le choc, je n'avais pas trouvé les mots pour le retenir et faire face à la colère de ma mère. Elle avait le sang chaud, le sang des pays du sud et même si elle sortait rarement de ses gonds, une fois qu'elle avait pris sa décision, il était difficile de lui tenir tête. Quelques larmes menaçaient de s'échapper mais je les contenais comme je pouvais.

Edgar se retourna rapidement vers moi, me regarda avec une mine contrite et s'enfuit par la porte, sans demander son reste.



****************************

Bon bah ça aura duré une semaine. Sadique je suis....

A votre avis, comment va évoluer leur relation ? 

Est ce que la mère de Madeline va se détendre ? Ou restera-t-elle catégorique sur cette relation ?

Vous comprenez sa réaction d'ailleurs ? Ou alors c'est pas ses oignons à Rose ?



Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro