Chapitre 39
"Même sans espoir, la lutte est encore un espoir. " -Romain Rolland-
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Aujourd'hui était une journée de plus séquestré.
Il était temps pour moi de lutter. J'avais déjà essayer nombre de fois de partir d'ici seulement je n'avais jamais pû ne serait-ce que m'approcher du but. Quand bien même je lutterais. Je n'avais pas le droit d'abandonner tout le monde.
Je ne pouvais pas faire grand chose mais je ferais tout ce qui était en mon pouvoir.
Ce que j'avais décidé ? Pour commencer découvrir le «projet top secret» de mon frère. Que cela m'aide ou non à sortir d'ici, je pouvais peut être m'en servir pour le jeter à nouveau en prison si mon témoignage ne suffisait pas... En tout cas ce qui était certain, c'était que mon instinct me disait qu'il y avait une certaine importance à découvrir ce fameux projet.
je me trouvais dans la salle principal. Une odeur de renfermé commencer à s'installer même si je ne pouvais pas vraiment m'en rendre compte puisque j'évoluais sans arrêt dans cet environnement. La maison était complétement vide aujourd'hui. Pas un bruit ne se faisait entendre, seule l'ambiance pesante ajoutait quelque chose d'autre que le vide et les meubles ancien et vides.
Je me dirigeais cependant à pas de loup vers le bureau de mon grand frère. Je tourne la poignet et celle-ci s'ouvrit, preuve que mon petit manège avait fonctionné. En effet, j'avais discrètement entrouvert la porte lorsque mon frère y était et avait glissé un papier plutôt rigide de sorte à ce que la porte ne puisse pas se fermer comme il faut. Et comme mon frère était une personne stupide et qu'il était si sur de lui qu'il ne regardais jamais en arrière même pour voir si la porte était bien fermée... J'étais à peu près certaine que ce plan vieux comme le monde et ne fonctionnant normalement plus de nos jours, fonctionnerait avec lui, cet abrutit pervers et arrogant.
Je découvris alors la pièce si mystérieuse. Le sol était en parquet, les mur était blanc. Au fond de la pièce se trouvait une fenêtre et en dessous, un grand bureau de bois. Plusieurs ordinateurs et une tonnes de papiers étaient entreposés.
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Le soleil brillait, celui de ma liberté. Un sentiment brulait, celui de la rage.
Une nouvelle mission.
Je rentrais chez moi, je le devais j'en était certaine maintenant. Je devais les protéger. le dangers arrive. Je dois le tuer.
"tu n'est pas encore libre "
Mais je ne suis plus entre les salles pattes de mon ignoble 'frère'.
Deux jours ont passés depuis mon évasion. Je me souviens de la colère et du choque si violant qu'ils en avaient brisés toutes les fenêtres... Jamais je ne laisserais faire ça, jamais !
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