Chapitre 32
«Car, vois-tu, chaque jour je t'aime d'avantage. Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. » -Rosemonde Gérard-
-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-.-
Ses lèvre étaient contre les miennes... Épicées... Sucrées... C'était étrange... Ce n'était pas... Désagréable contrairement à ce que les baisers avaient toujours été pour moi.... C'était extraordinaire... Encore mieux que toute les fois où je l'avais rêvé... Plus que les baisers que je lui avait volé pendant son sommeil... Mon Coeur... Battait si vite... C'était comme si.... Tout le reste avait disparut... Comme si... Nous n'étions que tout les deux... Quel était ce sentiment étrange ? Je l'aimais tellement... Je manquai de sursauter... J'amplifiai le baiser... Je ne répondais pas, je ne le pouvais pas... J'étais paralysé... Et ce n'étais pas comme si je le voulais... Elle ne répondais pas, mais c'était un baisers volé... Je n'avais plus de force, je ne pouvais que le laisser faire... Mon Coeur manqua un battement... Il... Il força le passage de sa langue, lorsque j'entrouvris la bouche pour respirer... Le baisers devenait plus intense, je voulais lui démontrer mon amour par ce geste... Je voulais lui transmettre tout ce qu'elle ne comprenait pas avec des mots... Je voulais qu'elle comprenne qu'elle était la personne la plus importante de l'univers à mes yeux... Je me sentais submergée par quelque chose d'étrange et puissant... J'avais... Des papillons dans le ventre... Je ne pensais plus... Qu'à l'instant présent. C'était comme un feu d'artifice... Dans mon Coeur... Dans ma tete... Je n'avais jamais ressentis ça... C'était tout mon être qui était en fête... Combien de temps cela faisait que j'attendais ce moment ? Pourquoi... ? Il était un garçon... Alors pourquoi ? Pourquoi les couleurs ne fondent pas pour colorer le monde de noir et de blanc ? Pourquoi les couleurs était plus belles que jamais ?Je n'avais plus mal à cet instant... Je ne voulais pas que ça s'arrête... À chaque fois que je tentais de respirer il rendais ce baisers plus intense... Jamais...Mais à bout de souffle... Nous nous séparâmes.
Je le regardais, rouge comme une tomate... Je ne comprenais pas son geste...J'étais plus que choquée...
Mais, brisant tout cela... D'un seule coup... Je ressentis à nouveau la douleur dans tout mon corps.
«Angela je... »
Mais tout ce mit à tourner autour de moi... Je perdais l'équilibre...
«Angela !! Entendais-je les enfants crier. »
Mais je tombais...
?
Une main ferme me rattrapas.
Tout devins noir.
Et alors que je m'étais évanouie... Je ne pus m'empêcher de repenser à ce qui c'était passé... Lorsque j'ai était engouffré dans la drôle de planète...
🐍🐍🐍🐍
Il y avait... Un champ de fleur...
Puis... Une forêt...
Et au fond de cette foret... Une maisonnette...
Et puis par le fenêtre...
Par le fenêtre... Il y avait une gentille famille.... Le père et le mère discutaient sur un canapé... Et deux petite filles jouaient plus loin. Elles se racontaient des histoires qui devenaient vite leurs grandes aventures. L'une des petite filles me ressemblait comme deux gouttes d'eau... Non... C'était moi... Puisque ce n'était pas comme dans un rêve... J'étais vraiment en train de me remémorer quelque chose... Et encore... Ce n'étais pas tout à fait cela... Il y avait quelque chose en plus... Mais cela, je m'en fichais à ce moment.... Je voulais juste... Savoir... Comprendre....
Je me suis donc souvenue.... Où j'ai vu... Un jour... La femme et l'homme accompagnés de leur fille aux cheveux blanc sortaient de la maison... Lorsque la petite aux cheveux brun accourut vers eux, essayant de leur en empêcher....
« Maman, papa, onee-chan ! Ne partez pas... ou... Laissez-moi au moins venir avec vous ! »
Mais les trois interpellés se contentèrent de lui sourire tristement...
«Mais tu ne peux pas Aiko... Tu n'a pas le droit de sortir... Déclara d'un tond désolé sa mère.
-Mais... Mais... L'enfant commençait à pleurer. Je veux venir avec vous, moi ! Pourquoi ne puis-je donc jamais sortir ? Pourquoi je reste tout le temps à la maison alors que vous partez...? »
Je me souvenais... J'étais tellement triste.. Je restais tout le temps enfermé chez moi... Je n'avais même jamais mis un pied sur l'herbe de mon jardin... Tout ce que je savais du monde extérieur était ce que je voyais par la fenêtre ou ce que me racontaient mes parents et onee-chan.
Le père s'accroupis à la hauteur de l'enfant en larme, en souriant. Il lui caressa gentiment la tête et lui répondit :
«C'est parce que tu es spéciale.»
Seulement... L'enfant baissa la tête, insatisfaite de la réponse donné par son père adoré...
«Mais papa... Par rapport aux autres... Maman et onee-chan aussi sont différentes ! Elles ont les yeux rouge et maman a même des écailles... Moi, je ressemble à toutes les autres petites filles....
-C'est ce que tu crois, mais tu es encore plus différentes qu'elles ne le sont... Mais nous ne savons pas encore pourquoi... Nous t'aimons plus que tout toi et ta sœur... c'est pourquoi nous préférons que tu reste à la maison, en sécurité... C'est important pour que tu vive mon ange... Tu le sais, non ?
-...
-Nous allons y aller, dit la mère, reste bien à la maison.
-... Oui maman...
-Je reviendrais avec pleins d'autres histoires à te raconter ! Souri la sœur. »
C'est ainsi que tout les trois partaient, une fois de plus ?
Que faire dans cet maisonnette, seule pendant des heures ? Alors qu'elle avait l'interdiction formelle de jouer dehors ?
Et bien la petite fille avait un secret...
Elle courut jusqu'au greniers. Arrivée, elle ouvrit la fenêtre. Le vent s'engouffra immédiatement dans la pièce faisant virevolter ses cheveux. Elle adorait ça.
Et ce qu'elle aimait encore plus.. C'était la vue qu'elle avait d'ici... Elle voyait... Une foret... Un champ de fleure... Elle passait de long moment à imaginer ce que cela ferait d'y aller...
Et après ça...
« Les amis !!! Vous venez ???! cria-t-elle par la fenêtre. »
C'est vrais... J'avais des amis... Je m'en étais fait sans même avoir à sortir de chez moi....
Au loin, une masse noir sortis de la forêt... La fillette souris...
Elle courut au fond du greniers et un serpent la rejoins.. Puis deux, trois, dix, cent... Jusqu'à que les compter devienne trop dure.
Les serpents se mirent à grimper sur elle, qui riait aux éclats... Ses yeux devirent rouge.
Quelques serpents fusionnèrent pour former un autre enfant, un camarades de jeux. Ce n'était pas des serpents comme les autres...
Les heures passaient, des heures de fous rires et de jeux dans la maisonnette... Jusqu'à que la jeune enfant en eut marre.
Elle était assise sur un fauteuil, les yeux fermés. Les serpents gigotaient partout autour d'elle, ce qui pour elle était normal...
« Dites... Fit-elle. Vous promettez de sauver les enfants serpents, si ils sont en danger de mort ?»
Je pensais à Noroi, Kamahi et Kuro à ce moment...
Et puis....
.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.°.
Bonjours à tous ! Je voudrais juste vous prévenir... Hier soir, je me suis fait volée mon téléphone à une fête et j'écris donc à partir de l'ordinateur d'une amie en ce moment... Donc, je ne pourrais pas publier de chapitres aussi souvent que je le souhaiterais... L'attente seras plus longue jusqu'à que j'ai un autre téléphone... Désolé... >.<
Et merci infiniment de lire cette histoire !!! ^o^
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro