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Tac

Tw: Scène à caractère sexuel 


Ils s'étaient retrouvés dans l'herbe. Au milieu du métal, du béton et du Tic Tac incessant, ils avaient trouvé un coin de paradis qui semblait hors du temps.

Mais voilà, son paradis, Hyunjin l'avait trouvé dans les yeux de Minho. Ainsi quand il s'était enfuit, il ne voulait plus croire en rien.

Ce dernier caressa la joue du plus jeune en effaçant une larme qui s'y était échouée.

- Je suis parti pour arrêter de te faire pleurer aussi...

Le noiraud leva les yeux vers lui. Ils brillaient, sans doute autant de bonheur que de tristesse.

- Pourtant je ne l'ai jamais autant fait que lorsque tu n'étais pas là.

Minho le prit dans ses bras et son amant enfouit son visage dans son cou.

Chaque jour la culpabilité le rongeait, monstre de l'esprit qui grignotait les souvenirs. Et il l'espérait mieux, loin de lui, il souhaitait que ses rêves soient devenus réalité.

Souvent d'ailleurs, il se demandait comment ses songes avait survécu tout ce temps dans un monde comme celui-ci.

Sans doute était ce aussi cela qui lui plaisait. Il était doux Hyunjin, bien trop pour cette vie d'ailleurs. Lui, il méritait des plages, des océans à pertes de vue, des étoiles qui brillaient chaque soir. Il aurait pu lui donner toutes les histoires du monde, les plus beaux poèmes, des rimes qu'il aurait rendues éternelles.

Minho, il l'aimait trop fort et c'était probablement ça qui aurait causé la perte du plus jeune un jour ou l'autre.

- Comment je me fais pardonner alors ?

Des mots bien banals, de belles paroles, que des choses en l'air.

Ah quel beau parleur ce Lee Minho. Il savait manier la langue française avec ses subtilités et Hyunjin avait toujours aimé cela, sachant pourtant pertinemment que cet amour des mots était à double tranchant.

Mais ce soir, dans ses yeux ne brillait ni malice, ni ruse. Dans ses iris, il n'y avait que Hyunjin, Hyunjin et encore Hyunjin.

- Dis-moi parce que je sais que tous les « je suis désolé » du monde ne saurait te suffire.

- Mon problème Min, c'est qu'il est trop tard, mon cœur l'a déjà fait. Alors en attendant que mon esprit le fasse, embrasse-moi jusqu'à ce que le souffle te manque.

Sans attendre, Minho posa ses lèvres sur celle de son amant avec une fragilité délicate, comme s'il avait peur de briser ce moment.

Ils s'aimaient tous les deux, et sans doute que le monde n'avait pas inventé assez de mots pour le décrire. C'était tellement puissant, leurs émotions étaient prêtes à exploser. Parce que Hyunjin il aimait Minho si fort, qu'il allait mourir et que ses sentiments débordaient. Alors ils s'enlaçaient comme des fous, pour essayer de rattraper le temps qu'ils avaient laissé filer.

Minho lui embrassait le cou et caressait la naissance de ses cheveux dans la nuque, c'était doux, c'était beau, et ça ne pouvait être qu'agréable parce qu'il le connaissait par cœur. Ils s'étaient déjà tout donné ces deux-là, et pourtant leur amour avait jamais fané.

C'était tellement fort, tellement passionné, un sentiment comme celui-là, ça s'éteint jamais. Alors il le caressa lui laissant des marques violacés tandis que son amant soupirait. Délicat son de la luxure qui faisait pulser les veines de ses hommes trop longtemps séparés.

- Putain comment j'ai fait tout ce temps sans toi

Et c'était honnête, tellement sincère. Minho chaque soir il se demandait si c'était la bonne solution, s'il avait bien fait de partir même si tous les deux souffraient.

Alors il voulait rattraper toutes ses nuits de torture à penser, comme si de simple baisers pouvaient tout effacer.

Ils avaient bien l'air idiot tous les deux, à s'aimer plus fort qu'ils ne le pouvaient. C'était désordonné, un peu pressé mais c'était simplement que leurs sentiments les dépassaient.

Certains couraient après le temps, ce monstre infernal qui retournerait l'esprit des hommes les plus valeureux. Mais eux, à cet instant, ils n'en avaient plus rien à foutre. Le Tic Tac avait disparu, le temps était désormais rythmé par leurs expirations.

Hyunjin étouffait ses soupirs sur les lèvres de son ainé. Jamais leurs baisers n'avaient été aussi fiévreux, les années écoulées avaient sans doute rendu son corps avide de son toucher.

Ah qu'il l'avait aimé Minho, et qu'il l'aimait encore d'ailleurs. C'était pas son âme sœur, loin d'eux l'idée de destin, qu'auraient-ils fait pour mériter un monde comme celui-ci sinon ?

Non Minho c'était son tout, parce que sans lui il n'était rien. Alors voilà, il se sentait complet ce soir, pour finir en beauté son équation était complétée, doux oxymore retrouvé.

Soupirs incontrôlés, respirations éreintées. Sentir son souffle sur son épiderme le faisait frissonner. Leur contact semblait insuffisant, ils ne cessaient de chercher à se rapprocher comme s'ils n'étaient pas déjà assez près.

Hyunjin il avait Minho dans la tête,

Minho il avait Hyunjin dans la peau,

Tous les deux, ils avaient l'autre dans le cœur.

La chaleur qui émanait de leur corps suffisait à réchauffer toute la bulle dans laquelle ils s'étaient plongés.

Hyunjin laissait ses mains redécouvrir le corps du brun dans ses moindres détails. Et Minho, ses lèvres ne se lassait d'effleurer la peau de son amant.

- Elles sont nouvelles ses cicatrices ? il avait chuchoté contre la clavicule du plus jeune.

- Un mec dans un bar quand je distribuais des tracts qui avait un peu trop bu. Rien de grave.

- J'aime pas l'idée que quelqu'un t'ai touché tu sais.

- Mais t'es parti alors t'as rien à redire.

Et il l'embrassa à nouveau pour clôturer cette conversation qu'il n'avait pas envie d'avoir maintenant. Pas quand il était là, à faire enfler chacun de ses muscles d'envies avec ses lippes.

Non, ce genre de discussion était réservé au couple, à ceux qui s'aimaient vraiment. Mais eux, n'étaient que des âmes fatiguées par le temps qui s'étaient retrouvés un instant.

Il n'y avait pas d'éclairage, seulement les artifices d'une lumière qui les laissaient deviner la silhouette de l'autre dans la pénombre. Et même s'il ne le voyait pas complètement, Minho savait que jamais Hyunjin n'avait été aussi beau que ce soir.

De toute manière il ne cessait de s'embellir au fil des saisons.

- Putain t'es beau Hyunjin. Les dieux avaient des Muses et moi je t'ai toi. Si tu savais comme...

- Arrête t'es conneries j'ai plus le temps pour ça.

Hyunjin était beau parce qu'il était vivant, parce que les rêves ne semblaient jamais trop grand avec lui. Il avait le bonheur du rien, la joie du tout, alors que Minho lui était épuisé. Sa force de vie s'était fané face à la vision de son monde dépravé.

Et même si elle ne pourrait jamais revenir, Hyunjin avait le don de lui faire un peu croire aux songes. Il se disait que finalement l'univers était déplorable mais qu'avec lui, il semblait un peu plus supportable.

Hyunjin était une œuvre d'art qu'il apprenait à redécouvrir. Il dessina les contours de son corps avec ses lèvres en enlevant délicatement les couches successives de ses vêtements.

Et le noiraud froissait le t shirt de son ainé à trop vouloir s'approcher de lui si bien qu'il le fit passer promptement par-dessus sa tête.

Il se pencha vers le plus âgé et, n'arrivant plus à penser devant la confiance de Hyunjin, Minho demeurait silencieux, incapable de penser. Il se laissa déshabiller tandis que continuait le suave mouvement de leur lippes ensemble.

C'était surprenant et délicat, le temps s'était arrêté.

Ils se retrouvaient tous les deux, face à face, dépourvus d'artifices ils n'étaient plus qu'eux, dans toutes leurs faiblesses.

Minho se mit alors à embrasser son cou et sa poitrine qui s'étendait devant lui comme un appel à l'euphorie. Et Hyunjin soupirait, caressait sa nuque en s'accrochant à ce moment miraculeux. Il se pressait contre son amant, attaquant ses lèvres auxquelles il donna une couleur de sang.

Ils connaissaient déjà tous de l'autre, la courbure de leur dos, la ligne de leur muscles, les cicatrices qui les parcouraient. Alors ils savaient aussi reconnaitre le désir dans leur yeux et bien que la luminosité fut faible, aucun ne doutait.

Hyunjin laissa trainer sa main sur le ventre de Minho dans une lenteur lascive, tandis que ce dernier commençait à le caresser en toute intimité. Son corps s'abaissait et se levait au rythme de ses expirations laissant sa silhouette danser dans la pénombre.

Désormais leur âme s'amusait sur une mélodie nouvelle qu'ils n'avaient plus entendues depuis bien longtemps.

C'était fort, leurs corps semblaient sculptés pour se retrouver, leurs lèvres dessinées pour ne jamais se séparer. C'était contre nature de les voir loin de l'autre, mais dans leur monde, la nature avait été ravagé...

Que restait -il donc d'eux ?

Leur corps dénudés frissonnant à chaque contact,

Leurs espoirs fatigués mais l'envie de s'aimer une dernière fois,

Leurs « je t'aime » silencieux qui se perdaient contre leur lèvres.

Ils tremblaient et plus la sensation de leurs touchés les animaient, plus ils frissonnaient.

Minho était haletant face à l'enveloppe charnelle de son amant ainsi dépravée et offerte au désir. Il sembla entendre son nom s'échapper des lippes du noiraud mais en réalité plus rien n'avait d'importance que de le voir rougir de plaisir.

C'était délicat mais leur sang pulsait tellement vite qu'il rendait presque leur geste pressés. Chaque mouvement de Minho contre lui avait le don de rendre Hyunjin encore un peu plus fiévreux qu'il ne l'était.

Et pourtant, quand le paroxysme de la luxure semblait atteint, le temps sembla se ralentir, comme pour offrir une chance de conserver ce moment à jamais dans leur pensées.

Sans doute sera-t-il le dernier...

Mais ce n'était pas assez, et souhaitant toujours plus, dans leur folie de rêves infini, Hyunjin s'éleva un peu pour se rapprocher de son amant. Un râle mourut contre les lèvres de ce dernier. Trouvant un rythme qui leur convenant, leur âme étaient désormais prête à danser la plus enivrante des chorégraphies.

Minho connaissait chaque détail de lui, savait qu'il aimait quand il lui caressait le bas du dos, s'attardant sur ses courbes délicates. Il avait le cœur grisé de le retrouver et les iris colorés d'observer à nouveau ses fins traits.

Les paupières du noiraud se fermaient quelques fois, profitant plus intensément de l'amour qui leur restait. Leur respirations devenaient de plus en plus saccadées et pourtant s'accordaient entre elle comme si la vie en dépendait. Et les doigts du plus jeune ne cessait de parcourir le corps de brun en faisant frissonner encore un peu plus sa chair griffée.

Hyunjin pencha un peu plus la tête en arrière et son ainé effaça une larme sur sa joue dans un ultime geste divin. Une explosion de sensation attaqua le corps de ce dernier et un cri rauque s'échappa alors des lèvres du noiraud pour aller se perdre dans la nuit qui les entourait.

Apothéotique jouissance qui parcouru en un instant la chair des deux amants. Ils semblèrent narguer les étoiles, se retrouver sur une plage au bord d'un océan de sentiments. Des astres qui se retrouvaient, des comètes qui s'embrassaient et leur corps qui s'embrasaient dans un apogée de passion lascif.

Et puis plus rien.

En un instant le silence repris, ils ne restaient que leurs corps nus étouffant et la sueur qui couvrait la chair usé des deux hommes. Leur respirations saccadées comme seul souvenir de ce moment concupiscent et les marques laissées par la force de leur baiser.

Il n'y avait rien, une solitude absolu qui donnait presque l'impression qu'une infinité de possibilité s'offrait à eux. Mais le rappel à la réalité était trop insistant, trop brutal.

Ils avaient encore le gout des lèvres de l'autre, l'odeur un peu nostalgique d'un amour fini trop tôt. Les iris de Minho étaient bloquées dans celle du noiraud, il ne pouvait se décider à tourner le regard comme par peur qu'il ne s'enfuit.

Et une larme glissa le long de sa joue avant de le quitter pour s'échouer sur les lèvres du plus jeune. Il savait que c'était trop tard, qu'il n'aurait jamais dû le laisser et que cette situation n'était que de sa faute.

Alors dans un excès de courage, il laissa craquer ses faiblesses.

- Jamais le souffle ne me manquera pour t'embrasser tu sais ?

- Pourquoi te l'aurais-je demandé sinon ?

Il le prit dans ses bras attrapant son sweat au passage pour l'enfiler à son amant et se couvrir de son t shirt. Son nez chatouilla la nuque du jeune homme qui ne put empêcher un rire de s'enfuir de ses lèvres.

- Alors je vais te confier mon dernier secret.

- Tu en as tellement que j'ai arrêté de les compter. avait-il dit en levant les yeux aux ciel et passant ses bras derrière la nuque du brun

Pourtant jamais il ne lui en avait voulu. Minho était mystérieux et c'était tout ce qu'il devait savoir, lui aussi avait des defaults finalement. C'était ses fêlures qui les rendaient beaux et c'était sans doute grâce à elle qu'il s'était rencontré.

- Il y avait un autre poème.

« Tu avais les yeux motifs espoir,
Rêves inespérés teintés de douceur,
Ô magnificence d'une couleur noire,
Ponctuée sans dessin d'arrogante lueurs.

Tu avais l'amour fort, cœur valeureux,
Puissance de sentiments incontrôlés
Tel la sublime sculpture d'une dieu,
Tu m'invites à une danse remplie de lascivité.

Que faire face à cette douce amertume,
Je t'admire tandis que tu ruines tes jours,
Pour un peu d'espoir, reflet de Neptune,
Dans tes yeux noyés de rêves de velours,
Tu chéris mes mots tel Calliope.
Mais ils ne peuvent suffire alors que te dire ?
Comme si de pauvres vers peu développée
Sauraient exprimer les regrets d'un empire.

Tu es de ceux qui ne cesse d'accorder,
Des sourires, des honneurs, du temps à revendre,
Monstre affublant qui ne semble te manquer
Histoire souillé finissant en cendre.

J'ai le désir en rupture et ton regard,
Saurait allumer la vie dans les rivières du Styx.
Mais à parler de sentiments souvent on s'égare,
Semblable au contrepoison des artistes.
Les beaux mots content les histoires grandes,
Comme si les poèmes les rendaient éternelles.
Avec toi les jours semblaient tendre
Ainsi je t'offre ses sentiments passionnels.

A tes joies et tes rêves inépuisables,
Qui m'ont fait croire en ce monde dépravé,
A nos soupirs et nos souvenirs inoubliables
Que le temps ne saurait effacer,
Je voulais être ton dernier amant,
Ton dernier espoir, ta dernière histoire,
Mais voila j'ai joué avec le temps
Il ne reste de nous que de triste aux revoir.»


Une larme échouée sur sa joue, sans doute la seule eau salé qu'il lui fut donné rencontrer. Il avait la respiration coupé, un peu comme si ses sentiments l'étouffaient

- Pourquoi ?

Le regard interloqué de Minho demandait plus de précision. Il le prit dans ses bras en s'allongeant à ses côtés face au ciel sombre. Ainsi il était presque poétique, il semblait infini.

- Mais pourquoi tout Minho. Pourquoi les sentiments ravage plus qu'un océan se déchainant ? Pourquoi les sourires sont plus douloureux que les larmes ? Pourquoi la vie est ainsi faite, dépourvue d'humanité. Pourquoi on a tous l'espoir usé alors qu'on rêve juste d'une société moins dépravée ? Pourquoi on nous jure d'être à notre place et que j'en crois pas un mot ? Sa respiration était rapide comme si ses pensées se bousculaient trop vite pour sortir ordonnée. Je sais pas si c'est moi qui ait perdu l'envie, si c'est ma faute ou celle de ce monde sans vie. J'ai mal Minho, chaque jour je souffre de vivre ici mais j'ai pas la moindre idée de comment l'expliquer. Je sais pas pourquoi je suis là, ni même pour qui. La seule chose que je peux affirmer c'est que je ne suis pas la de ma propre volonté, le monde ne m'a pas créé pour moi, sinon je m'aimerai sans doute un peu plus que ça.

Et le silence lui répondit. Un touché un peu froissé qui vise à réconforter parce que les mots ne sont pas assez.

Ah s'il avait su Minho, aurait il fait autrement ?

Est-ce qu'il l'aurait aimé plus fort ? Cela n'était sans doute pas possible mais probablement qu'il lui aurait plus dit. Il aurait embrassé chacune de ses blessures pour les rendre dorées. Il aurait tous fait pour qu'il s'aime, au moins un peu, pour qu'il voit la beauté en lui qu'il admire tant chez les autres.

Il lui aurait dit des mots avec légèrement plus de sens, après tout la poésie c'est pour ceux qui se croit grand avec leur sentiment. Il lui avait jamais dit des mots vraiment sincère, c'était toujours un peu travaillé, pour que ca sonne bien. Mais c'est ça les poèmes, c'est mettre de jolie métaphores autour de récit trop fort, alors ça perd en sensualité quand les émotions sont modelées.

Il avait rien dit Minho, parce que le silence c'est parfois la plus délicate des réponses. C'était enivrant, un peu angoissant, mais à deux le vide éternel devient juste plus chatoyant.

Il avait caressé les cheveux de son amant en retenant quelques une de ses larmes. Et Hyunjin s'était endormis dans les bras de l'homme qui l'avait fait rêver, qui lui avait briser le cœur autant qu'il l'avait fait vibrer. Il en avait oublié le Tic Tac, plus rien n'avait d'importance, il ne restait qu'eux, dans toute leur simplicité.

L'ainé soupira parce qu'il y a des mots qui déchirent le cœur, mais comment faire autrement quand la puissance des sentiments devient une douleur ?

- Je t'aime Hyunjin et mon regret est de ne jamais avoir eut ni la force, ni le courage de te le dire...

Et leurs soupirs s'écrasaient l'un contre l'autre dans un ballet aussi calme que reposant jusqu'à ce que celui de Minho se retrouve seul à danser.


Mais avait-il entendu,

Les mots d'un cœur sénile

Qui se perdent, répandu,

Dans leur amour fébrile.


๑------๑

Et bonjour au revoir, je pars dormir parce que j'assume pas trop ce que j'ai écrit mdr.

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