Parenthèse écriture
Ce petit texte n'est pas en rapport avec GDCP ! Ne vous y méprenez pas ! Je voulais juste écrire ce moment, et n'ayant pas d'autres livres où j'aurais pu la publié, cette histoire restera ici !
***
Il allait beaucoup trop loin ! Dans un cri rageur, je lui asséna un coup de poing en pleine figure. Il se frotta la joue, en me regardant, étonné.
- Tu n'étais pas contre la violence, toi ?
- Pas quand un petit con veux jouer à plus fort que moi !
Je vis quelques élèves se rapprocher, heureux d'assister à cette discussion.
- Tu peux parler, Lucie ! Mais au fond, tu es pitoyable. C'est le seul coup de poing que tu as donné de ta vie, te laissant faire à chaque fois. Plus personne ne te respecte. Même tes soi-disant amies pensent du mal de toi. Tu es incapable de te défendre ! La voilà la vérité !
Je ne sais pas pourquoi ses paroles me faisaient mal, pourtant, j'en eu les larmes aux yeux. Je regardais les élèves, qui s'amassaient de plus en plus autour de nous, se moquer ouvertement de moi. J'entendis malheureusement des bribes : « C'est une idiote ! » « Il a raison : elle ne vaut rien ! » « Elle est faible ! ». Cette dernière parole me fit plus mal que les autres. Parce qu'elle venait de celle que je prenais pour une amie. Je vis mon adversaire rire de mes larmes, que j'étais incapable de retenir.
Alors je laissa la fureur prendre le contrôle ! Un second coup de poing vint frapper au même endroit que le premier, je l'attrapa ensuite pour lui filer un coup de genoux dans le ventre. Je fini avec une gifle monumentale. Il m'attrapa, me fit une balayette et me frappa au visage, alors que j'étais allongée par terre. Je réussi à retourner la situation, échangeant nos positions. Mais je l'aida à se relever, avant de m'éloigner, voyant les autres élèves venus regarder, s'écarter sur mon passage. Seulement, cet idiot m'attrapa en enroulant son bras autour de mon cou, m'étranglant à moitié. Il me fit basculer en arrière, et je retomba au sol.
- Tu as cru que j'allais te laisser partir comme ça ? Je disais bien que tu étais idiote !
Il m'enfonça son poing dans le ventre, me faisant échapper un cri de douleur. Je me plia en deux tellement la douleur était intense. Je tremblais, sous les rires de mon assaillant. Des larmes de rage perlèrent sur mes joues. Il allait voir ce qui en coûtait aux imbéciles qui osaient s'en prendre à moi. Je le retourna brusquement, avant de lui faire une prise très compliquée qui lui arracha un cri. J'en profita pour lui murmurer à l'oreille :
- Le seul idiot ici, c'est toi.
Sur ce, je le relâcha, avant de m'éclipser. Il était trop faible pour me rattraper.
***
Eh voilà ! Gros bisous elfiques !!!
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