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WoodSayr.

Le chef des serpents me fait monter brutalement à l'arrière d'un pick-up, tandis que deux de ses sbires me tiennent en joue pour éviter que je fasse quelque chose d'inconsidéré. De force, il me met ensuite un sac en toile sur la tête pour m'empêcher de voir où ils m'amènent. Sauf que je peux entrevoir la lumière du jour et essayer de me repérer si je parviens suffisamment à me concentrer.

C'est ainsi que je quitte le sanctuaire, livrée à moi-même, mais surtout devenue otage d'un groupe encore pire Negan. Même si j'ai dû mal à le croire, il y a pire que ce tortionnaire et ils portent un nom : les serpents.

- AU SANCTUAIRE - 

Une fois les serpents partis, Negan rentre dans une colère noire. Il se met à tout casser autour de lui, criant d'une rage folle, ressentant de la haine face à ce qu'il vient de se passer, mais surtou, parce qu'ils lui ont volé quelque chose. Quelqu'un.

– Retrouvez-moi ces fils de pute ! hausse-t-il, la voix serrée mais autoritaire. Quand ce sera fait, ramenez-moi leur chef. Je le veux en vie.

– On devrait plutôt les buter un à un et finir par ce connard, les mains posées sur son bassin.

– Tu contredis mes ordres Simon ? s'approchant dangereusement de lui.

– Non. Je dis juste que...

– Alors ne dis rien, le coupe-t-il sèchement. Ne pense pas. Ne réfléchis pas. Obéis, dit-il, approchant son visage près du sien, le menaçant du regard.

– Bien, répond-il, la mâchoire crispée avant de se retirer.

– Dwight. Amène-toi.

– Qu'est-ce qu'il y a Negan ?

– Tu vas partir en éclaireur pour tenter de suivre leur trace. Prends Gomez avec toi.

– Gomez ? répète-t-il, surpris.

– Bordel, c'est vrai. Tu l'as encore jamais rencontré. Gomez ! hurlant son nom. Viens par là.

– Negan, répond celui-ci après l'avoir rejoint.

– Tu vas partir avec mon pote pour une mission. Dwight.

– Bien, fixant Negan, avant de serrer la main de Di pour le saluer.

Dwight répond à sa poignée de main sans broncher.

– Prenez ce qu'il faut à la réserve. Des armes, des munitions. Ramenez-moi ce gros bouffeur de tacos en vie, c'est clair ?

– Oui, dit Gomez.

– Parfaitement, surenchérit Di. Qu'est-ce qu'on fait pour blondie ?

– Pour le moment, rien. On doit d'abord trouver où se cachent ces enfoirés.

– Ils ne doivent pas être bien loin, poursuit l'acolyte du leader.

– Comment ça ? demande Negan, attentif.

– On est rentré hier avec blondie. Ces gars ont forcément dû nous suivre, au moins quelques-uns pour voir où ll'on se rendrait après les avoir semé. Et ils sont venus assez vite pour nous trouver.

– Dwight a raison. Ces mecs doivent être planqués dans les alentours et si ça se trouve, ils nous surveillent peut-être même depuis un moment déjà. Leur attaque était coordonnée et très bien organisée. C'est pas des débutants. Ce sont...

– Des putains de mercenaires, les coupe Negan, furax. Okay. Perdez pas de temps, le jour est déjà là, il serait préférable que vous soyez rentrés avant la tombée de la nuit. Mon instinct me dit que ça ne fait que commencer.

– Bien. Allez Gomez. Suis-moi.

Les deux hommes partent donc en direction de l'armurerie afin de s'équiper pour partir sur les traces des serpents, si tant est qu'ils y parviennent, car, apparemment, ces sales chiens, n'en sont pas à leur premier coup d'essai.

- WOODSAYR -

Nous nous arrêtons déjà alors que nous n'avons pas roulé autant que ça. Si c'est pour une pause, ça ne présage rien de bon. En revanche, si nous sommes déjà arrivés, ça veut dire que ces gros enfoirés ne sont pas loin du sanctuaire. Ma réponse ne se fiat pas attendre quand les deux hommes dans le pick-up me soulève violemment avant de me jeter hors du véhicule, comme une mal propre. Je tombe durement sur le dos, écrasant mes mains au passage que j'entends craquer avant de ressentir une vive douleur. Je pense que l'une d'elle vient de se casser ou au moins quelques doigts.

– Quelle bande de connards, murmuré-je, toujours le sac en tissu sur ma tête.

Soudainement, une main puissante et violente me relève avant de me retirer le sac du visage. Quand j'ouvre les yeux, la lumière du jour m'aveugle. Il me faut quelques secondes pour m'y habitue. Je reste comme une conne, faut dire ce qui est, face au spectacle qui s'offre à moi.

En effet, je me trouve devant une grande étendue de verdure, quelques bêtes dans des enclos, trois puits; mais aussi beaucoup d'arbres. Un peu plus loin, j'aperçois deux tours de guets avec des gardes postés, armés et prêts à tirer s'il le faut. Sans parler de la baraque délabrée qui trône en plein milieu. Un endroit super protégé, mais protégé de quoi ? De qui ? Il n'y a rien, si ce n'est les bêtes pour la nourriture, les puits pour la flotte et une maison en ruine prête à s'effondrer à tout moment.

– Qu'est-ce que c'est ce que ce délire ? soupiré-je, curieuse.

– Ça, pétasse. C'est l'avenir, répond le chef, me tenant fermement le bras.

– C'est un blague ? Il n'y a rien ici.

– Tu ne regardes pas au bon endroit, me poussant pour me faire avancer.

Nous marchons en direction de la bâtisse et plus nous approchons, plus je peux percevoir des choses. En effet, non loin des bêtes, à travers les arbres, je vois des panneaux solaires dissimulés. Il faut vraiment être attentif ou connaître leur emplacement pour les voir. Je dois bien avouer qu'il y en a un sacré paquet. Ces gars ne font pas dans la demi mesure. Au contraire, ils savent parfaitement ce qu'ils font. Ils sont entraînés, sûrs d'eux et bien armés. Il ne fait aucun doute qu'ils appartiennent à la pire espèce. Ce sont des mercenaires avec des idées bien arrêtées et un comportement que je ne peux même pas qualifier, si ce n'est la cruauté des actes du leader. Ce gars n'a aucune compassion. Aucun ressenti, ni remords. Il est vide à l'intérieur. La description parfaite du sociopathe.

Après plusieurs mètres à marcher, nous nous arrêtons devant le perron de la maison.

– Prépare-toi au spectacle pétasse, murmure-t-il près de mon oreille.

Nous rentrons à l'intérieur du bâtiment. Nous nous stoppons ensuite dans le hall lorsque deux serpents soulèvent un tapis pour y découvrir une trappe dissimulée.

– Les choses sérieuses vont enfin pouvoir commencer, me fixe le chef, un sourire diabolique sur les lèvres.

Nous descendons alors des marches jusqu'à nous enfoncer profondément dans ce qui semble être un abri sous terrain. Le long couloir que nous traversons n'est pas beaucoup éclairé, jusqu'à ce que nous arrivons dans des pièces un peu plus grandes, et beaucoup plus illuminées. J'en reviens pas. Cet endroit n'y parait pas, et pourtant il est immense.

Je continue d'avancer sans rien dire, me contentant de scruter les alentours pour repérer une éventuelle issue de secours afin de pouvoir m'échapper de ce trou maudit. Il y a comme des sortes d'appartements, sans aucune porte aux murs. Je peux voir des hommes, des femmes mais aussi des enfants. D'après ce que je constate, c'est endroit est presque civilisé. Il y a le courant, visiblement de l'eau chaude et pleins d'autres choses encore. Ils ont même des serres, cultivant eux même leurs propres fruits et légumes en forçant les gosses à travailler, sous la menace de gardes armés. Ce type. Ce serpent est de la pire espèce. Negan à côté de lui est un enfant de cœur. Son sarcasme et son comportement commence à me manquer cruellement.

Je n'arrive pas à croire ce que je vois. Ces mecs ont construis un bunker de la taille de deux stades de football, si ce n'est plus. À moins que c'était déjà là avant. Comment savoir ? C'est hallucinant de voir comment ils ont pu réussir à se construire une petite vie bien tranquille, même si elle est sous terre. On peut très bien ressentir l'air des ventilateurs pour le conditionnement et ainsi permettre de ne pas étouffer dans cet endroit.

Soudain, le chef s'arrête devant une énorme porte, tandis que les sbires qui nous accompagnent partent chacun de leur côté, sans doute rejoindre un poste qui leur a été assigné. Ce que je ne comprends pas vraiment. D'un coup, je ressens la panique m'envahir. Une panique que je ne me connais pas et ça ne me dit rien qui vaille.

– Que le spectacle commence, lance le chef, ouvrant la porte devant nous. Avance sale garce, me poussant violemment vers l'intérieur.

– Où est-ce qu'on est ? demandé-je inquiète.

– Tu verras, retirant mes liens d'un coup de couteau vif et précis, me coupant un peu au passage.

Je prends mes poignets afin de les masser et ainsi vérifier l'étendue de la plaie qu'il vient de me faire.

Je continue de marcher devant lui, une arme pointée dans mon dos, dans ce couloir immense et sans fin, quand soudain, une pièce attire mon regard. En effet, une fois à l'intérieur, je peux voir à travers une espèce de vitre, des hommes assis sur des chaises, assez bien fringués et visiblement en parfaite santé, attendant visiblement quelque chose, mais je ne sais pas quoi encore.

– Qu'est-ce que c'est ?

– Ça. C'est le business.

– C'est-à-dire ?

– Je pose les questions, haussant le ton, me poussant davantage vers la vitre. Regarde ce qui t'attends, m'attrapant violemment par les cheveux avant de venir plaquer méchamment mon visage contre la vitre.

Je pose mes mains devant moi par réflexe pour me protéger de l'impact, mais c'est trop tard, mon visage est déjà venu s'encastrer dedans, m'éclatant l'arcade sourcilière gauche. Soudain, un bruit sourd retentit, et là, devant ces hommes avachis, se lève un rideau. Derrière se trouve une femme, vêtue d'une robe très légère, au décolleté plus qu'exagéré, à moitié consciente, voir carrément droguée. Je viens de comprendre ce que ce connard fait dans ce trou infâme. Il vend des nanas au type le plus offrant. Une fille contre des armes, de la nourriture ou des médicaments. Tout ce qui peut être utile à sa bande de dégénérés. Dieu seul sait ce qui leur arrive une fois vendue.

– Vous n'êtes qu'un malade, serrant les dents et les poings.

– Ne sois pas mal polie, écrasant davantage mon visage sur la vitre de sa main puissante tandis que l'autre caresse l'arrière de ma cuisse jusqu'à remonter à ma taille puis enfin ma poitrine, tandis qu'il plonge son nez dans ma nuque afin de me renifler.

– Lâchez-moi ! me débattant avant de lui mettre un violent coup de coude dans la face arpès lui avoir fait face.

J'en profite alors pour m'échapper, mais à peine ai-je fais quelques pas, que deux serpents surgissent devant moi, l'un me donnant un puissant coup dans le nez, me faisant tomber à terre, somnolant.

– T'aurais jamais dû faire ça pétasse, m'attrape le chef, me relevant par les cheveux. On dirait que tu as besoin d'une autre leçon, me tirant avec lui à travers les couloirs jusqu'à m'amener dans une autre pièce.

Il ouvre une porte, énervé, avant de me jeter au sol comme une merde et referme ensuite à clé derrière lui.

– Tu vas apprendre à m'obéir, défaisant sa ceinture, la serrant d'une main.

Je me relève péniblement, prête à me défendre, lorsqu'il se jette sur moi. Je n'ai pas eu le temps de riposter que je me retrouve une fois de plus à terre, ma tête étant venue cogner contre le coin de la table basse. Je saigne et je commence à faiblir.

Il m'attrape ensuite de nouveau par les cheveux, afin de venir m'asseoir sur une chaise, m'attachant les mains et les chevilles avec des cordes, tandis qu'il se sert de sa ceinture pour m'attacher la taille sur la chaise avec afin de complètement m'immobiliser.

– Putain, fixant ses mains pleines de sang avant de les essuyer dans un foulard accroché à son jeans. Au fait. Moi, c'est Tyg et comme t'as pu le deviner, c'est moi qui commande ici. Je ne sais pas comment ça fonctionnait là où t'étais avec ce connard de Negan. Mais sache qu'ici, je n'aime pas les fouilles merde, ni les brebis galeuses.

Je le fixe et crache par terre pour lui montrer ou il peut se carrer le respect que je n'ai pas pour lui.

– Je vois. T'es une forte tête toi. Tu vas vite déchanter, s'approchant de la cheminée, pour y prendre ce qui ressemble à un tison.

– Qu'est-ce que vous faites ? demandé-je, inquiète, me débattant sur ma chaise comme une forcenée avec le peu de force qu'il me reste.

– Tu vas adorer, j'en suis sûr, un sourire sadique sur les lèvres avant de prendre le chalumeau posé sur le rebord d'un meuble.

Il prend ensuite une chaise et s'approche de moi avant de s'installer juste en face.

– Je vais te raconter une histoire, posant ses objets de torture à ses pieds, tirant brutalement ma chaise vers lui. Tu vois ça, me montrant son tatouage sur sa nuque. Ça se mérite. Tous ceux que tu as pu croiser avec ce tatouage marqué à l'encre de chine, c'est parce qu'ils l'ont mérité et qu'ils me sont complètement dévoués.

– Par dévoués, vous voulez dire soumis.

– Si tu préfères. Quant aux autres, ceux qui ne comprennent pas, on leur grave notre signe au fer chaud pour leur rappeler qui nous sommes et qui ils doivent être. Cette marque leur rappelle en permanence la douleur qu'ils ont enduré mais aussi le fait qu'ici, il n'y a qu'un seul chef. Moi ! haussant le ton, le regard haineux.

– Je ne ferais jamais partie des vôtres espèce de malade, crachant mes mots d'une voix remplie de haine.

– C'est ce qu'elles ont toutes dit, posant ses mains sur mes cuisses, les remontant peu à peu.

– Ne me touchez pas ! me débattant furieusement. Sinon je...

– Sinon quoi !, me coupe-t-il, m'attrapant fermement le bas du visage tandis que l'autre est passée à l'intérieur de mes cuisses. Qu'est-ce que tu feras ?

Il me sourit sadiquement, plaquant ses lèvres voracement sur les miennes, essayant d'y enfoncer sa langue, alors sans réfléchir, je le laisse faire et la lui mords sans aucune once de pitié.

Je peux l'entendre crier comme une fillette, lorsqu'il se lève brusquement, s'essuyant la bouche pleine de sang avant de cracher.

– Espèce de garce ! me donnant un revers tellement fort que ma chaise bascule par terre. Tu vas regretter amèrement ton geste pétasse.

Il relève brutalement ma chaise pour me redresser et se rassoit face à moi. Il déboutonne ma chemise, déchire mon tee-shirt, tandis que je me débats de toute mes forces malgré les coups reçus. Il ne dit pas un mot, allume son chalumeau et y chauffe le tison pendant plusieurs minutes avant de l'approcher de moi.

– Qu'est-ce que vous faites ? tentant de me reculer, alors qu'il rattrape fermement ma chaise pour m'attirer jusqu'à lui.

– Ça, me narguant avec le fer chaud. C'est ta punition. Ton fardeau. Tu vas voir ce que c'est que de renier un serpent, s'approchant toujours plus de moi.

– Allez-y. Vous pouvez continuer de me faire mal. Me torturer si ça vous excite. Ça ne changera rien. Je ne deviendrais pas l'une des vôtres. Jamais, riant nerveusement, le fixant droit dans les yeux.

Son regard devient sombre, et d'un coup, il pose brutalement le tison brûlant sur ma peau, au dessus de ma poitrine, en appuyant comme il se doit, pour bien faire pénétrer cette merde dans ma chair. Pourtant, je ne hurle pas. Je ne veux pas lui donner ce plaisir ni cette satisfaction. Je me contente de serrer les dents, laissant couler une larme, malgré moi, le long de ma joue. Je peux sentir l'odeur de ma chair qui brûle. C'est horrible.

En décollant le fer encore chaud de sur ma peau, j'aperçois des lambeaux de peau venir avec. Cette situation me rappelle vaguement les méthodes de Negan, sauf que lui marquait les gens pour leur faire comprendre que les règles sont les règles, même s'il n'aime pas faire ça. Alors que ce connard en face de moi, prend un malin plaisir de me torturer. Il s'en amuse et pire que tout, il vient de me marquer au fer rouge, me laissant une trace indélébile. Dorénavant, je verrais toujours ce signe sur moi. Ce de serpent ancré à tout jamais sur ma peau, me rappelant ce que j'aurai vécu étant prisonnière de cette bande de psychopathes dégénérés écervelés.

– J'espère que t'aura compris la leçon cette fois-ci, m'attrapant fermement le bas du visage après avoir déposé son matos par terre.

– Vous n'arriverez pas à me faire plier. D'autres ont essayé et ont lamentablement échoué. C'est pas une coïncidence si je suis coincée ici avec vous, laissant apparaître un léger rictus sournois dans le coin de mes lèvres.

– Parce que tu n'as jamais rencontré quelqu'un comme moi petite merde, se levant avant de se diriger vers l'armoire qui est contre le mur face à moi.

Il en sort un flacon et une seringue qu'il remplit du produit avant de s'avancer vers moi.

– Je ne pourrais peut-être pas te faire plier, c'est vrai. Mais je peux au moins essayer de t'amadouer, dit-il, un sourire malsain sur le visage.

– Ne me touchez pas, serrant les dents, le regard rempli de haine.

– Tu vas voir, tu vas adorer être à ma merci et jouer le rôle de ma putain, attrapant fermement pour m'immobiliser.

Comme toujours, je gesticule et me débats comme une lionne en cage, car c'est clairement ce que je suis. Toutefois, à peine ai-je le temps d'essayer que l'aiguille s'enfonce violemment dans ma nuque, laissant le produit pénétrer à l'intérieur de mon corps.

Je ressens une sensation de brûlure, avant de me mettre à trembler, puis de convulser pour terminer par tomber dans les vapes.

Une fois réveillée, dans une pièce sombre et humide, voire carrément dégueulasse. Je constate que je suis à moitié nue, enchaînée à un mur avec de grosses chaînes et des menottes. J'essaie de me défaire de ces merdes, réunissant le plus de force possible, mais étant droguée, je me retrouve totalement impuissante. Je ne le sais pas encore, mais le pire reste à venir. J'en suis convaincue. 


P.SPour l'histoire du nom du repaire des serpents. J'ai pris un mélange de la ville de Woodbury et du sanctuaire ☺ Histoire de faire un mélange des deux aussi bien géographiquement que sur la cruauté de ces deux camps. N'hésitez pas à me donner vos avis quant à cette idée de génie ou pas lol.

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