La journée c'est super bien passer, Elena quitte la maison de Caroline pour rentrer cher elle.

En rentrant enfin cher Elle, Elena monte à sa chambre, munie de son sac bordeaux sur son épaule elle entre dans sa chambre pour défaire ses affaires mais à la vue d'un bout de papier sur sont lit, la curiosité la prend de haut.

La jeune fille le regarde et le lis attentivement.

Ma belle, je te trouve ravisante. Tu pourrais tellement faire mieux qu'une misérable vie comme tu as.

Rejoint mes côtés, et nous vivrons le meilleur futur possible.

Personne n'a signer le bout de papier.

Mais qu'est-ce donc? Se demande Elena.

Qui a peu écrire ça? Et puis de quoi parle t'il?

Sens doute une mauvaise blague. La brune pend donc la mûre décision de jeter son papier à la poubelle et d'aller se mettre au lit.

...

Il est temps pour nos héros de se réveiller...

Le petit matin s'installe dans la ville réveillant petits et grands.

C'est le week- end alors Elena se permet de faire la grâce matinée, mais son téléphone retentit à la première heure et ce n'est autre que son amie Caroline.

La brune est donc forcé de répondre en s'attendant au moment de bonheur qu'elle a eu avec Stephan le soir dernier.

-Allo? Demande Elena avec sa voix du matin.

-Elena? Ah... Je suis contante que tu décroche. Il faut absolument que je te parle de quelque chose.

-Oui dit moi?

-Je ne t'en ai pas parler hier parce que je n'étais pas sûr de mon coup mais là je ne serais plus me retenir.
Tu te souviens du beau et ténébreux Damon Salvatore?

-Comment oublier? Dit Elena en se redosant à son lit.

-Et bien je le trouve mille fois plus beau que Stephan et plus dynamique avec du savoir faire. Je veux me le faire.

-Caroline... Non mais tu te rend conte de se que tu dit.

-Oui, mais c'est clair que Stephan n'a pas de sentiments pour moi. Il a pas arrêter de te regarder au bal. En temps normal je t'aurais tuer mais heureusement que il y a Damon. Alors je te laisse le petit et je prend le grand.

-Heum... Tu peux allé avec le grand, mais je ne prend pas le petit. Stephan est mon ami et rien de plus. Bon je te laisse, je dois aller manger et faire les devoirs de demain. Bisou.

-D'accord, fait comme tu veux, mais vous iriez tellement bien ensemble. Bon appétit. Bisou.

Je raccroche et me lève en ronchonnant.

Je passe devant la chambre de Jenna qui est déjà réveiller et celle de Jeremy qui abrite un adolescent mal dans sa peau et sûrement encore en train de dormir.

-Ou est ton frère? Demande Jena a Elena qui entre dans la cuisine.

-Sûrement encore en train de dormir. Comme d'habitude.

-Et toi ça va? Demande Jena a Elena.

-Oui, pourquoi ça n'irais pas?

-Tu as l'air ailleurs. Ça ne serais pas un garçon par hasard?

-Bien sûre que non! Qui voudrais tu que se soit?

-Bah je sais pas moi... Le dénommé Stephan, tu sais celui qui est venue à la maison l'autre fois.

-Comment t'es ah courent? S'étonne Elena. C'est vrais, Jena n'était pas à la maison quand il est venu.

-Voyons Elena, je sais tout. Rigole la tante.

Les deux filles ricanes ensemble puis Jenna sert deux pan cakes à Elena qui les dévores en moins de deux minutes.

Soudain, la jeune fille reçoit un message.
Encore Caroline...! Elle ne lâchera donc pas l'affaire?

Son message veut tout dire.

Elena... J'ai eu une idée, je vais inviter les frères Salvatore à venir dîner. J'invite Matt et Bonnie aussi. J'espère que ça ne te dérange pas si ton ex est là? Sache que je tiens à se que tu vienne. Tu peu même te pointer cher moi vers deux heures histoire de venir l'aider à cuisiner.
Tiens moi au courant...

-Qu'a-t-il donc? Demande Jena.

-C'est Caroline. Elle veut que j'aie manger cher elle ce soir.

-Il n'y a pas école demain?

-Non, congé pédagogique. Je peu y aller?

-Oui bien sûre mais ne rentre pas trop tard. Je te trouve fatiguée en ce moment.

-Je contait rentrée tôt de toute manière, je voudrais travailler sur un sujet pour mardi.

Elena continue de manger sous le regard satisfait de Jena. Sa nièce se prive de l'amusement pour aller travailler. Ce n'est pas se que sa tante était avant. Au fond Jeremy et Elena lui ont changer le cour de la vie. Sens eux elle serait encore une femme en plaine étude gagnant que très peu de pourboires et passent ses journées entières à boire au coter d'un homme ne la méritent nullement.

...

Elena arrive enfin cher Caroline une fois prête. De nouveau devant la grande maison des Forbes la brune sonne à la porte munie de son sac à main.

La blonde court ouvrir à son amie.

-Elena. Dit Caroline en la faisant entrée. Je suis contante que tu puisse venir.

-Je n'allait pas manquer t'as grande technique de drague. Au fait les frères Salvatore peuvent venir? Demande Elena.

-Oui... Aussi non ma soirée n'aurais rimée à rien. Damon a acceptée avec joie mais Stephan était hésitant.

-Mais il...

-Oui il viens Elena. Rigole Caroline. Il me semble que ça t'intéresse.

-Oui. Stephan est mon ami. Et si Bonnie ne sais pas venir, je e veut pas rester seule à vous regarder vous embraser à plaine bouche.

-Bonnie viens, Et puis Matt aussi.

-Ah oui, j'avais oublier. C'est rien, nous somme amis.

-Je suis sûre qu'il te considérera comme une amie un jour. Laisse lui un peu de temps.

Elena fait un petit signe de tête et part déposer son sac au salon.

L'après midi se passe à merveille. Les deux filles cuisines à merveille au coter de Matt qui les a rejoints peu de temps après. L'ambiance est amicale et laisse apparaître un sourire ravisant sur le visage de Elena.

Les Salvatore arrivent vers dix-huit heures et demi avec tout deux un joli bouquet de fleures à la main.

-Entrée. Dit Caroline en ouvrant la porte. Ils échangent un bon soir se qui fait sourire la blonde.

-Merci pour l'invitation. Dit Stephan.

-Avec plaisir. Bon donnez moi vos manteaux je vais vous débarrassez.

-Merci. Dit Stephan en lui tendant le sien.
Damon quand à lui laisse choir son éternelle veste en cuir sur une chaise et sens aucune gêne s'assied dans le fauteuil.

Elena entre en scène au coter de Matt qui part serrer la main des deux frères.
Elena se contente de leurs échanger un simple bon soir et s'assied à son tour.

Durant l'apéritif, Caroline ne quitte pas Damon des yeux. Celui ci l'a d'ailleurs bien remarqué. Le vampire est bien conscient de  sa beauté.
Elena quand à elle se tourne les pousses sens toucher à son verre de vingt, Matt ne sais quoi dire et Bonnie viens tout juste d'arriver.

-Bon et bien où sont t'es parents? Demande Damon à Caroline pour briser le silence.

-Ils sont divorcer, mon père ne vie pas ici et ma mère est le shérif de la ville. Les horaires sont plus tôt dure. Elle n'est pas la de toute la soirée alors je me suis dit... Pourquoi pas organisé un petit repas.

-WoW, le shérif de la ville. Impressionnant. Et toi Elena. T'es parents que font t'ils?

La jeune fille qui n'écoutait pas une seule seconde la discussion fut tirée de ses pensées. Elle fait de grand yeux pour montrer son incompréhension.

-Je te demandais se que font t'es parents dans la vie. Répète Damon en comprenant la détresse de celle ci.

Elena devient écarlate. Elle le s'attendais pas  à une telle question.

Les autres la regardent tous et toussote, Stephan intervient.

-Damon...

-Mes parents sont mort il y a peu. Rattrape Elena. Ma mère était médecin et mon père gérait le conseille de la ville.

-Je suis terriblement dessoler. Dit Damon. Je ne savais pas.

-C'est rien je comprend. Je suis désoler pour les tiens.

Damon me regarde avec de grand yeux.
C'est vrais que Stephan m'a Parler de la mort de ses parents mais Damon n'était clairement pas au courant.
Je le vois échanger un regard avec son frère.

-Elle est au courant. Affirme Stephan.

-Oh je suis terriblement dessoler. Dit Caroline sur un ton théâtrale.

Je hausse un sourcil. Elle est beaucoup trop collé à Damon. Elle vas quand même pas l'avoir der le premier soir?

Mais je n'en n'ai rien à faire. Si elle veut se faire une telle réputation se sera de sa faute.

-Bon! Et si on passait à table. Dit Bonnie en frappant des mains.

Nous nous levons tous du salon pour rejoindre la grande table, je vais quand à moi aider Caroline à apporter les plats.

Quand soudain un bruit retentit dans la cuisine se qui m'arrache un petit cri étouffé.