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Chapitre 1 - Un goût d'Enfer

Hey hey,
C'était juste pour dire, laissez des commentaires et dites moi si la mise en page est agréable à lire.
Bonne lecture !

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Ça c'est sûr, il aurait pas dû revenir. C'est six années d'enfer, de masque, d'insultes gratuites. Alors oui, la meilleure arme des peureux est l'attaque, mais il sait qu'il n'est pas peureux. Il est faible.

Seul.

Résignés.

Mais surtout amoureux.

Le père n'est pas là, la mère n'est plus que l'ombre d'elle même, le fils meurs à petit feu. Belle famille que les Malfoy. Ses yeux sont devenus ternes. Il ne peut pas les faire brillé de supériorité, de génie ou même de joie, pour tromper les plus attentifs. Mais qu'est-ce donc ? La joie ? Drôle de mot. Non Draco, malgré les aprioris ridicules, n'a jamais, ni connu la joie, ni la sensation d'être aimé. Aimer quelqu'un ? Ooooooh si ça il connaît. De la pire des façons qui soit. Mais être aimé ? Ça non. Pas même le stade amitié. Vous pensez vraiment que tout ces idéaux fanfictionnique (NDA: oui oui j'ai inventé x) ) sont vrais ?! Et non ! Chez les Serpentard c'est pas la grosse éclate en mode "Youhou ! On porte tous des masques Et dans notre maison c'est la teuf !!! Tous à poil putain!!". Malheureusement pour la plus part c'est vraiment des personnes arrogantes et pourrie jusqu'à la moelle. Des enflures du premier ordre. Pansy est gentille, malgré son masque de folle de lui, elle l'était pas le moins du monde. Et c'est tout. C'est la seule qui l'aidait. Avant.

Avant qu'elle ne meurt.

Pourquoi ? Ah ! Si seulement il le savait ! Il leur fallait un traître ? Bah oui, choisissons la fille qui essaye temps bien que mal de cacher son honnêteté mais qui est définitivement beaucoup trop gentille pour être une Mangemort. Quel bonne idée ! Il est donc maintenant seul. Seul avec sa tristesse, ses blessures, ses démons et son amour inconditionnée pour Potter.

Oh Potter. Grand saint Potter. De ses yeux verts il t'envoute, de ses cheveux il te fait volée au gré du vent, et de ses courbes masculines et robustes il te fait voyager à travers ses trais de fusain. Oh oui ce qu'il l'aime Potter. Pourtant, un masque ça gâche vite la vie, entre l'arrogance et la fierté, il devait en faire baver à quelqu'un. C'est Potter. Désigné par le destin dès le premier jour. Le jour de la poigne comme il l'appelle. C'était pourtant pas ce qu'il voulait. Il voulait vraiment un ami, un vrai je voulais dire. Et puis dans toute les erreurs permises il fallait en plus qu'il devienne Mangemort. Il avait le corps dans un état abominable suite à ça. Déjà qu'il était pire qu'un tortionnaire avec lui (NDA: le corps, ouais c'est chelou, hé hé), alors maintenant imaginez un tissu dans de l'eau de javel. Il l'avait tester d'ailleurs. Il en fut déçu, pas assez efficace. Du genre pas assez pour détruire ce corps qu'il hait tant. Effectivement, il aurait dû en prendre soin pour son ou sa compagne, mais qui voudrait de lui ? Un ancien Mangemort, déchirer par la réalité et l'irréel, et dévoré par ses démons.

Aujourd'hui, le seigneur des ténèbres est mort et il lui reste une année a Poudlard. Autant dépérir la bas que chez lui, seul. Évidemment qu'il est seul ! Sa mère n'est plus qu'un fantôme ! Il du faire ses achats seul, encore et toujours seul. Le train fut qu'une image volatiles. Il se retrouva seul, en retard avec finalement encore une charrette qui l'attendait. Le sombral se retourna et henni doucement d'un son sombre et lointain. Une fois installé, Draco caressa distraitement la croupe du sombral et celui ci fouetta sa queue et parti sans se presser sur la route du château.

Les animaux sont intelligents. Ils comprennent les véritables sentiments des personnes, il suffit de leur laisser l'attention nécessaire. Ils savent beaucoup plus de choses qu'ils en montrent. Leurs agissements change vite selon ce qu'ils arrivent à lire en les individus. Draco l'avait appris puis compris. Hagrid est définitivement pas aussi bêta qu'il le laisse paraître, il avait réussi à voir ce que les autres n'avaient pas réussi à voir chez le Serpentard. Sa peine, sa tristesse, et surtout, son regret. Tous ces mots non dit, ces paroles venimeuses prononcées. "Toujours satisfaire le plus grand nombre", lui avait appris sont père. Hagrid l'avait réaliser en troisième année, lors du cours avec l'hippogriffe Buck. Celui-ci n'avait pas refuser de se laisser toucher par Draco mais avait compris, au regard du blond, le jeu que celui ci devait jouer. Il l'avait aidé. Draco était revenu plus tard, le cœur lourd, et hippogriffe était venu s'allonger au côté du malheureux, pour l'aider à oublier ces peines trop grandes et trop nombreuses pour un enfant de 13 / 14 ans. Ils sont restés là longtemps, reposé l'un sur l'autre, pour l'un caressant distraitement le plumage d'oiseau et pour l'autre réchauffant le pauvre enfant gelé. Le géant les avait trouvé comme ça. Comme le plus parfait des tableaux. Il avait ensuite proposé (quand il dû, malheureusement, les bouger) de lui faire des cours particuliers avec les bêtes. Draco accepta volontiers. Voilà son échappatoire à la vie ! Il se découvrit un talent certains avec les êtres vivants purs, contrairement aux humains perfides, et passa ses temps libre avec les animaux magique ou non.

Le trajet se passa sans encombre. Peu avant l'arrivée de la calèche, les tas d'oiseaux en tout genre et les agréables petit rongeur, préalablement poser sur ou autour du Serpentard à l'écouter siffloter et chantonner, partirent. Le blond ne fit pourtant pas attention au petit furet blanc comme neige qui s'était glissé dans sa robe de sorcier premier prix (NDA: oui oui Malfoy avec une robe premier prix). Il arriva sans que personne ne le remarque et s'assit à l'extrémité de la grande table, presque vide des pertes de la bataille final, le plus proche de la porte possible. Et oui. Sa maison n'est plus qu'une grande table vide, ayant reçu le plus de dégâts. Il y avait toujours les premiers années, les deuxième et troisième puis à vu de nez une centaine de survivants des dernières années. Vers le milieu du repas il se risqua un léger coup d'œil à la table des rouge et or. Il fut surpris d'y trouver le trio d'or. Ils avaient pourtant fait leurs preuves et étaient dispensés de cette année. Il ne chercha pas plus loin, déjà fatiguée des prochaines altercations des deux. Il se leva et tel un fantôme disparu dans sa chambre. Il fut étonné d'être encore préfet et il allait oublier les premières années ! Il repartit aussitôt chercher les nouvelles recrues pour les conduire à leur repère. Il aimait bien l'appeler comme ça le dortoir. C'était quand même le plus grand regroupement de futurs sorcier mal tourné du monde ! Une fois sa tâche de préfet accompli, il se dirigea vers sa chambre, pour enfin atterrir dans sa salle de bain. Il se défait de ses accoutrements, et se regarde, avant de re-vomir son repas. Quel laideur ! Son torse était couvert de cicatrices fraîches. Cela fait plus de deux mois qu'il essaye, tant bien que mal, d'arrêter, mais le revoir lui a fait si mal qu'il s'inflige plus de coupure, passant par des sorts horribles et tranchants. Soulagé partiellement il va se coucher épuisée. Mais depuis longtemps maintenant, ces nuits ne sont plus que des amas de cauchemars plus atroces les uns que les autres. Il se réveilla, le lendemain. Enfin.

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