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|| Septième Morsure || Revisite ||

Un nouveau rire s'échappa de mes lèvres, amusante est le seul mot qui la défini correctement. Du haut de ses un mètre et demi, elle ne payait pas de mine, elle tentait de se faire respecter mais hélas, Usagi ...

C'est peine perdu.

Aah, Teddy ~

Les dés sont lancé, la partie ne fait que commencer.




Mes pas était d'une lenteur incroyable, je me sentais essoufflée, mon cœur tambourinait irrégulièrement dans ma poitrine, ma peau était que trop pâle, tout était flou. Tout tremblait, tout tournais. J'avais un mal de tête incroyable et je me sentais lasse.

Voilà que je faisais de l'anémie.

«Qu'il me le paiera pour avoir abusé de moi.»

Faiblement et lourdement je m'écrasais sur le sol du couloir et toussait, toujours et encore. Je n'arrivais presque plus à respirer, et mes forces s'évaporaient.

«Quelle bande de tarés.»

Ma main droite était plaquée sur mon cœur, comme si cela pouvait l'aider à reprendre une vitesse normale. Mais comme toujours, ma conscience ne partait pas et je ne pleurais guère.

«Foutu fierté mal placée.»

Mon corps était prit de spasme et je sentais ma respiration se couper, ma voix était sifflante et ma gorge sèche.
Au bout de longues minutes de souffrances, je vis enfin une paire de pied se tenir devant moi. Mes doigts se crispèrent et ma tête se leva.

Le binoclard était là, face à moi, un jus de je-ne-sais-trop-quoi dans les mains, qu'il me força à avaler.

Un gémissement de surprise et de stupeur s'échappa du fond de ma gorge alors que j'avalai rageusement sa mixture parfaitement ignoble.

Quand il daigna retirer son "truc" de mes lèvres, je me mis à tousser une nouvelle fois.

«C'est ... dégueulasse ...»

Reiji me fixait, comme si je n'étais qu'une bête de foire, puis il me souleva de façon à ce que je le regarde droit dans les yeux.


«-Tu vas mieux ?

-En quoi ma santé t'intéresse ?»


Ses sourcils se froncèrent alors qu'il se mit à soupirer. Puis il me lâcha avant de partir aussi rapidement qu'il était venu. 

«Moins têtu que le taré celui-là ...»

Je m'accrochai du mieux que je le pouvais à l'une des commodes, et débutait mon périple et ma visite dans ces lieux des plus étranges.
Rapidement, je retrouvai mes forces et ma santé.

«Je devrai, peut-être, remercier le binoclard ...»

Mais bannissais cette idée de mon esprit, je ne serai jamais à leur merci. J'ai déjà trop donné. Mon sang et ma faible gentillesse.

Mes pas me menèrent cette fois-ci prêt d'un escalier, curieuse, je descendis. Les murs étaient couvert de mousse, étaient d'une pierre sales et répugnantes. Et l'escalier était dans le même état.

Arrivé au bas des marches, je vis un énorme hall, où de nombreuse poupées à taille humaine, habillées toutes en mariées, se tenait.

Chacune avait des coupes sophistiquées, des robes parfaitement blanches et nettoyées, des postures élégantes et raffinées. Mais toutes avaient des expressions de marbre ou de terreur, contrastant avec leurs maquillages frais et élaborés.


«-C'est quoi cet endroit ... ?

-Je vois que tu as trouvé mes poupées, Laideron.»


Mon corps se raidit et je me retenais, le Souillon se tenait face à moi, son éternel ours entre les bras, et ce fichu sourire aux coins de lèvres.

C'est de «ça» dont il parlait ? C'est «ça» ses poupées ?
Il serait fétichiste ?

Mais quel damne, il est complètement fou !

Ces poupées, n'étaient quand même pas ...


«-... Vivantes ?»


Son rire maladif me répondit, mon visage se tordit dans une grimace.

Qu'est-ce que j'aimerais avoir une nouvelle fois autant de crans ... Elle souffrirait de la même manière au moins ...

Mais je me rendis enfin compte d'une chose, il me voulait dans sa collection ?


«-Je suis sûre et certain que tu irais bien ici ~ Nee, Teddy ?

-La ferme ! Je ne ferais pas partie de ta collection !

-Crois-tu vraiment avoir le choix ?»


Plus il avançait, plus je reculai, jusqu'à monté des marches et percutés un mur aléatoire, j'étais montée sur la partie la plus haute du lieu, on y voyait tout.

Et lui qui montait toujours en ma direction ...


«-Tu préférerais être ici Laideron ?» ricana-t-il


Non, non, non !

Jamais il ne me touchera !

Jamais, jamais, jamais !

Mais déjà ses mains se baladaient sur mon cou, mes épaules, mes bras, ma taille, partout.
Et encore une fois, mon corps était bloqué contre le sien.

Encore une fois il me souillait, et ce jeu l'amusait. Moi guère.
Il faisait parcourir son visage dans mon cou, faisant glissé ses lèvres et ses crocs contre ma peau. Puis les plantant violemment dans celle-ci, me décrochant un énième gémissement de douleur et de surprise.

«Le plaisir remplace toujours la douleur ~»

Sauf quand celle-ci est infligées par un vampire psychopathe pleinement conscient de ses faits.
Le plaisir remplace toujours la douleur quand on est masochiste, chose que je ne suis pas !

Et effectivement, la douleur se faisait de plus en plus aiguë et ma vision une nouvelle fois trouble.


«-Arrête ! Je vais refaire de l'anémie par ta faute !» bégayais-je au bord du suicide


A ma plus grande surprise, ce fou s'était retiré et me fixait de ses orbes violettes, toujours aussi insensible.
Je vais lui faire comprendre la douleur !

Rapidement, mon genoux frappa son entre-jambe, le faisant se replier sur lui même en un râle douloureux. Puis je pris mes jambes à mon cou, courant comme une imbécile jusqu'aux escaliers, les gravissant quatre-à-quatre, et arrivant dans les longs couloirs du manoir.

Dans mon dos, j'entendis Kanato hurler mon prénom. Pour la première fois il le disait, mais pas dans les circonstances les plus recommandables, c'est vrai.

Angoissée, je courais à petites enjambées dans le couloir à ma droite, et quand je jetai un regard derrière moi, je le voyais. Ses joues étaient rougis et ses yeux lançaient des éclairs.

«Il est rapide le bougre !»

Je manquai de m'écrouler lamentablement sur le sol plus d'une fois, nous devions être pitoyable à regarder. Cette course abrutie était lamentable, puis j'entendis à ma gauche un bruit de cadenas.

Instinctivement je courus dans cette direction, de loin je vis une chaîne et un cadenas sur le sol. En regardant derrière-moi je ne le vis pas, et courus dans cette pièce. Barricadant la porte du mieux que je pouvais.

Réajustant ma jupe et laissant ma veste retombé sur la moitié de mes bras.

Quand je me retournais je me retrouvais face à une pièce mal éclairée, mal rangée et dans un piteux états. Celle-ci était simplement illuminée par une immense fenêtre.

Je m'approchai de la fenêtre, poussant les rideaux. Et à ma grande surprise la femme était là, sur le balcon.


«-Cordelia ...»


Mes yeux s'écarquillèrent quand je la vis tombée en avant, au bord du balcon. Précipitamment, j'ouvris la fenêtre et me ruais sur le bord du balcon, mais personne.

«Crétine. Elle est morte ta Cordelia.»

J'arquai un sourcil, si elle était morte, comment avais-je pus la voir, et ne serait-ce deux fois.
Je levai les yeux vers la fenêtre se tenant face à moi. Mon reflet y paraissait, mais je n'étais pas seule. Cordelia était là, dans mon dos.

Brusquement je me retournai, mais elle avait disparue. Laissant place aux six frères, dont le plus petit qui semblait à deux doigts de me tuer.

Je prenais du mieux que je pouvais un air insensible, malgré mes tremblements dû à ma surprise.


«-Comment es-tu rentrée ici ? m'interrogea celui avec des écouteurs

-C'était ouvert.

-Foutaise ! Tu as détruit le cadenas ! Sale folle ! Je vais te tu-

-La ferme Kanato.» grogna l'albinos


J'avalais péniblement ma salive, qu'avais-je à perdre de leur expliqué ce que j'avais vu ?


«-Je suis juste rentrée ici car, effectivement, le cadenas était à terre. Et en rentrant j'ai revus ... hum ... Cordelia.» dis-je sèchement


Avais-je fais le bon choix ?...

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