Chapitre 10 : Frontières Floues (Partie 1)
La bibliothèque de Georgetown était plongée dans un silence presque surnaturel, uniquement rompu par le bruissement occasionnel des pages tournées et le cliquetis discret des claviers d'ordinateurs. L'odeur des vieux livres et du bois ciré imprégnait l'air, créant une atmosphère à la fois studieuse et intime.
Lily leva les yeux de son livre, clignant des paupières pour ajuster sa vision. L'horloge murale indiquait minuit passé, et la fatigue commençait à se faire sentir. Son regard dériva instinctivement vers Ethan, assis en face d'elle.
Il était penché sur un épais volume d'histoire, ses sourcils froncés dans une expression de concentration intense. La lumière de la lampe de bureau sculptait son visage, accentuant ses traits anguleux et projetant des ombres qui lui donnaient un air presque dangereux.
C'est alors qu'elle la remarqua : une fine cicatrice qui courait le long de sa joue gauche. Ses yeux glissèrent vers ses mains. Ses phalanges étaient encore rouges et gonflées.
"Ethan," murmura-t-elle, brisant le silence.
Il leva les yeux, son regard intense la transperçant. "Quoi ?"
Lily hésita un instant, puis se lança : "C'était toi, n'est-ce pas ? L'attaque de l'entrepôt... les morts dont tout le monde parle."
Le visage d'Ethan se ferma instantanément. "De quoi tu parles ?"
"Ne fais pas semblant," insista Lily, sa voix à peine plus qu'un murmure. "Ta cicatrice, tes mains... Je ne suis pas stupide, Ethan."
Un silence tendu s'installa entre eux. Ethan la fixait, son visage un masque impénétrable. Puis, lentement, il se pencha en avant.
"Et si c'était le cas ?" demanda-t-il, sa voix basse et dangereuse. "Qu'est-ce que tu ferais, Lily ?"
Le cœur de Lily s'accéléra. Elle savait qu'elle jouait avec le feu, mais elle ne pouvait s'en empêcher. Sans réfléchir, elle tendit la main et effleura du bout des doigts la cicatrice sur la joue d'Ethan.
En un éclair, Ethan saisit son poignet. Son emprise était ferme, mais pas douloureuse. "Tu ne devrais pas faire ça," gronda-t-il, ses yeux brillant d'une lueur dangereuse.
"Pourquoi ?" souffla Lily, son cœur battant la chamade.
Ethan se pencha encore plus près, son souffle chaud sur son visage. "Parce que ça fait trop longtemps que je n'ai rien fait," murmura-t-il, sa voix rauque. "Je pourrais bien te plaquer sur ce bureau et te prendre ici et maintenant."
Lily sentit une vague de chaleur l'envahir, un mélange de peur et d'excitation. "Tu n'oserais pas," dit-elle, mais sa voix manquait de conviction.
Le regard d'Ethan s'assombrit encore. "Ne me tente pas, princesse."
Le regard d'Ethan s'assombrit encore. "Ne me tente pas, princesse."
Ces mots frappèrent Lily comme une décharge électrique. Une partie d'elle était choquée, révoltée même. 'Il est vraiment malade de dire des choses comme ça,' pensa-t-elle, son esprit rationnel luttant pour reprendre le contrôle. 'Il doit avoir un sérieux problème pour menacer de... de faire ça dans une bibliothèque.'
Pourtant, malgré l'indignation qu'elle ressentait, Lily ne pouvait nier la réaction de son corps. Elle sentit une chaleur familière monter en elle, son entrejambe se mouillant malgré elle. Une simple phrase d'Ethan suffisait à éveiller en elle des images intenses, des scènes qu'elle n'osait même pas s'avouer en plein jour.
Elle se vit plaquée contre le bureau, les mains d'Ethan parcourant son corps, ses lèvres sur les siennes, avides et exigeantes. L'idée aurait dû la terrifier, la dégoûter même. Mais au lieu de cela, elle sentit son cœur s'accélérer, son souffle devenir plus court. Les images dans son esprit devinrent plus explicites : elle imagina Ethan glissant sa tête entre ses cuisses, sa langue la léchant avec une habileté qui la faisait frémir, ses mains l'agrippant avec force, maintenant ses cuisses écartées.
Lily pouvait presque sentir les doigts d'Ethan s'enfoncer dans sa chair, le plaisir intense qu'il provoquait en elle. Elle se mordit la lèvre en se représentant cette scène, ressentant une vague de désir la submerger. Sa respiration devint haletante, son corps répondant à ces images interdites.
Elle réalisa avec horreur que ses sous-vêtements étaient encore plus trempés à cette pensée. 'Si cela continue, ça va dégouliner,' se dit-elle, une rougeur couvrant ses joues. 'C'est moi qui ai un problème,' réalisa-t-elle, horrifiée par sa propre réaction. 'Comment puis-je être excitée par quelque chose comme ça ? Par quelqu'un comme lui ?'
Lily était déchirée entre son désir physique et sa conscience morale. Elle savait qu'Ethan était dangereux, qu'il avait probablement fait des choses terribles. Et pourtant, elle ne pouvait s'empêcher d'être attirée par lui, comme un papillon par une flamme mortelle.
Elle se mordit la lèvre, essayant de reprendre le contrôle de ses émotions et de son corps rebelle. Mais le regard intense d'Ethan, la tension palpable entre eux, tout cela rendait la tâche presque impossible.
'Je suis en train de perdre la tête,' pensa-t-elle, luttant contre l'envie de se rapprocher encore plus de lui, de le provoquer davantage pour voir jusqu'où il irait. 'C'est de la folie pure.'
Malgré tout, une partie d'elle, une partie qu'elle n'osait pas reconnaître pleinement, se demandait ce qui se passerait si elle cédait à cette folie, ne serait-ce qu'un instant...
La tension entre eux était palpable, électrique. Lily pouvait sentir la chaleur du corps d'Ethan, entendre sa respiration légèrement accélérée. Elle savait qu'elle devrait avoir peur, qu'elle devrait s'éloigner. Mais quelque chose en elle voulait se rapprocher encore plus.
Juste au moment où il semblait que l'un d'eux allait craquer, un bruit de pas les fit sursauter. Ils s'écartèrent brusquement l'un de l'autre alors que le gardien de nuit apparaissait au bout de l'allée.
"La bibliothèque ferme dans cinq minutes," annonça-t-il, les regardant avec suspicion.
Lily sentit ses joues s'enflammer. Elle commença à ranger ses affaires avec des gestes maladroits, évitant le regard d'Ethan. Son corps tout entier vibrait d'une énergie frustrée.
Alors qu'ils quittaient la bibliothèque, Lily ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil à Ethan. Son visage était impassible, mais elle pouvait voir la tension dans sa mâchoire, la façon dont ses poings étaient serrés à ses côtés.
"Ethan," dit-elle doucement alors qu'ils atteignaient la sortie.
Il s'arrêta, se tournant vers elle. "Quoi ?"
Lily hésita, puis demanda : "Est-ce que... est-ce que tu regrettes ? Ce que tu as fait ?"
Ethan la regarda longuement, son expression indéchiffrable. Puis, sans un mot, il tourna les talons et s'éloigna dans la nuit, laissant Lily seule avec ses questions sans réponses et un désir frustré qui la consumait de l'intérieur.
Le soleil de fin d'après-midi baignait le campus de Georgetown d'une lumière dorée, projetant des ombres allongées sur les pelouses bien entretenues. L'air était chargé du parfum des fleurs printanières et du bourdonnement des conversations estudiantines. Mais sous cette apparence idyllique, une ombre grandissante s'étendait, imperceptible pour la plupart, mais bien réelle pour ceux qui savaient où regarder.
Ethan se tenait adossé à un arbre centenaire, son regard froid balayant la foule d'étudiants insouciants qui passaient devant lui. Il observait leurs visages, cherchant des signes de faiblesse, de vulnérabilité. Chaque rire, chaque geste, chaque interaction était potentiellement une information à exploiter.
Ryder apparut à ses côtés, son appareil photo pendant négligemment à son cou. Pour tous ceux qui les regardaient, ils n'étaient que deux étudiants discutant entre les cours. Mais leurs yeux racontaient une toute autre histoire.
"Alors ?" demanda Ethan, sa voix à peine plus qu'un murmure.
Ryder sourit, un sourire froid qui n'atteignait pas ses yeux. "J'ai tout ce qu'il nous faut," répondit-il, tapotant son appareil. "Ces gosses de riches ne savent vraiment pas se tenir. J'ai des clichés qui feraient rougir leurs parents et pleurer leurs avocats."
Ethan prit l'appareil, faisant défiler les images. Chaque photo était une bombe à retardement : étudiants sniffant de la cocaïne dans les toilettes, couples dans des positions compromettantes, tricherie flagrante aux examens. C'était un catalogue de vices et de faiblesses, chaque image une arme potentielle.
"Parfait," murmura Ethan, un sourire satisfait aux lèvres. "Envoie-moi les meilleures. Je vais commencer les visites."
Pendant les jours qui suivirent, Ethan parcourut le campus comme un prédateur en chasse. Il ciblait ses proies avec soin, choisissant des moments où elles étaient seules et vulnérables.
Sa première victime fut Mark, le fils d'un juge fédéral. Ethan l'approcha alors qu'il étudiait seul à la bibliothèque.
"Salut, Mark," dit Ethan, s'asseyant en face de lui avec un sourire faussement amical. "Belle journée, n'est-ce pas ?"
Mark le regarda avec méfiance. "On se connaît ?"
Ethan sortit son téléphone et fit glisser une photo vers Mark. Le visage de l'étudiant perdit toute couleur en se voyant clairement en train de sniffer de la cocaïne.
"Maintenant, on se connaît," dit Ethan, sa voix dure comme l'acier. "Et je pense qu'on va devenir de très bons amis."
La conversation qui suivit fut brève et unilatérale. Ethan dicta ses termes, et Mark, tremblant et au bord des larmes, n'eut d'autre choix que d'accepter.
Ce scénario se répéta encore et encore. Ethan tissait sa toile à travers le campus, piégeant un étudiant après l'autre. Certains pleuraient, d'autres le suppliaient, quelques-uns tentaient même de le menacer. Mais à la fin, tous pliaient sous la pression.
Un jour, il approcha une étudiante brune, Victoria. Elle était grande, avec une silhouette voluptueuse qui attirait les regards partout où elle allait. Ses longs cheveux bruns encadraient un visage délicat, mais c'était son corps qui attirait le plus d'attention : une poitrine généreuse et des hanches larges, soulignant une allure sensuelle et affirmée.
Mais aujourd'hui, c'était la peur qui déformait ses traits alors qu'Ethan lui montrait les photos compromettantes. Ses mains tremblaient légèrement et elle évitait de croiser son regard.
"S'il te plaît," supplia-t-elle, sa voix tremblante. "Je ferai n'importe quoi. Supprime ces photos."
Ethan sentit un sourire carnassier étirer ses lèvres. L'excitation qui l'avait submergé lors de sa rencontre avec Lily dans la bibliothèque bouillonnait encore en lui, cherchant une issue. Il n'hésita pas cette fois. Il avait besoin de se vider les couilles, de se défouler et d'évacuer toute cette tension accumulée.
"N'importe quoi ?" demanda-t-il, sa voix basse et dangereuse. Il posa une main sur sa cuisse, sentant la chaleur de sa peau à travers le tissu mince. Elle frissonna sous sa touche, ses yeux se remplissant de larmes.
Elle acquiesça, les yeux baissés, visiblement mal à l'aise. Ethan déplaça sa main vers ses hanches, puis vers sa poitrine imposante, savourant la sensation de pouvoir et de domination.
"Alors, montre-moi ce que tu es prête à faire," murmura-t-il, sa voix rauque de désir.
Elle hocha la tête, résignée, et se prépara à obéir. Ethan sentit un frisson d'anticipation le traverser alors qu'il prenait ce qu'il voulait, cherchant à oublier Lily et tout le reste, ne serait-ce que pour un moment.
Il arracha son haut d'un geste brusque, révélant sa poitrine généreuse. Il agrippa ses seins fermement, les léchant avec une avidité presque animale. Son souffle se fit plus rapide, ses gestes plus pressants. Puis, sans un mot, il attrapa sa tête et la fit s'agenouiller devant lui. Il sortit son sexe, le présentant à ses lèvres tremblantes.
Elle prit une inspiration profonde les larmes aux yeux avant d'ouvrir la bouche pour l'accueillir, ses yeux se fermant à demi sous l'intensité du moment. Ethan poussa avec force, savourant la sensation de domination et de pouvoir. Ses mains tremblaient légèrement, son corps frémissant sous la montée de l'excitation. Sa respiration se fit plus irrégulière, chaque geste amplifiant la montée de son désir. Le corps de la jeune femme tremblait sous le poids de la situation, tandis que ses propres émotions se mêlaient à l'adrénaline de l'instant.
Il la tira brusquement, la redressant avec une force brutale. Sans douceur, il la repositionna à quatre pattes devant lui. Le mouvement fut rapide et déterminé, chaque geste traduisant une intensité presque brutale. La tension dans l'air était palpable alors qu'il prenait position derrière elle.
Son regard se fit plus intense, presque féroce, alors qu'il observait la vue devant lui. Il pouvait voir clairement son excitation, sa chatte humide, ses réactions trahissant l'intensité du moment. Avec une assurance dominatrice, il tira sur la culotte trempée de Victoria, l'écartant avec une main ferme. Sa bite encore pleine de salive pulsait d'excitation.
Sans aucune douceur, il s'enfonça brutalement dans son cul , chaque mouvement accentuant le pouvoir qu'il exerçait. Elle poussa un cri de surprise et de protestation les larmes aux yeux, "NON ! pas là !", une étincelle de désir sauvage traversa ses yeux. Ce refus, loin de le freiner, l'excita encore davantage. Le son se mua rapidement en gémissements alors qu'il ne cessait de la pilonner avec une intensité inébranlable.
Pour accentuer sa prise, il lui donna de fortes claques sur le cul, chaque coup laissant sa peau devenir rouge vive. Les marques de ses mains se dessinaient clairement, accentuant l'intensité de son autorité.
L'atmosphère dans la pièce était chargée d'une énergie explosive, chaque mouvement et chaque respiration contribuant à intensifier l'excitation et la passion brute. L'air vibrait avec une chaleur palpable, chaque instant amplifiant le désir et la tension entre eux.
Alors qu'Ethan continuait ses mouvements avec une détermination implacable, il ressentit le corps de Victoria trembler et se convulser sous lui. Les contractions spasmodiques de ses muscles témoignaient de l'intensité de ses sensations, ajoutant à la montée inexorable de son propre désir. Sa propre excitation grandissait de manière presque incontrôlable, chaque poussée se faisant plus pressante et plus déterminée.
Dans un éclat de violence , Ethan se déversa en elle avec une force explosive, chaque pulsion amplifiée par l'intensité du moment. Les cris de plaisir de Victoria résonnaient dans la pièce, leur intensité augmentant à chaque seconde alors que son propre plaisir se déversait en abondance.
Ethan se redressa lentement, la satisfaction visible sur son visage. Il essuya la sueur qui perlait sur son front et prit un moment pour apprécier le calme qui suivait son explosion de plaisir. Son regard se posa sur Victoria, son souffle encore haletant, comme si elle essayait de retrouver son rythme.
Elle tourna légèrement la tête vers lui, ses lèvres encore entrouvertes. "Tu y es vraiment allé fort merde. Je n'ai pas l'habitude, surtout pas à cet endroit-là.", murmura-t-elle d'une voix essoufflée et tremblante.
Ethan se pencha vers elle, un sourire aux lèvres, son regard brillant d'une satisfaction sauvage. Il se lécha les lèvres avant de se tourner vers son téléphone. Victoria, toujours épuisée et essayant de reprendre son souffle, le regarda avec une lueur d'angoisse mêlée à une tentative de calme. « Est-ce que c'est bon maintenant ? Est-ce que tu peux supprimer les photos ? »
Ethan consulta l'écran de son téléphone avec un air de réflexion. Il se tourna vers elle, l'air détendu, il remarqua les traces de son passage— son sperme encore visible sur ses cuisses, une preuve palpable de l'intensité du moment. D'un geste assuré, il captura la scène. "Je crois que je vais plutôt ajouter celle-ci à ma collection" dit-il froidement, en montrant la photo qu'il venait de prendre.
Le visage de Victoria se décomposa instantanément, une peur palpable traversant ses traits. Son regard passa de l'incrédulité à une terreur évidente, et Ethan trouva ce changement de masque délicieux. L'extase qu'il éprouvait en voyant son pouvoir sur elle le fit durcir de nouveau.
" Tu n'as pas le droit, tu m'avais promis ! ", cria Victoria, le visage blême.
Ethan éclata de rire, un rire froid et impitoyable qui résonna dans la pièce. Il la regarda avec un amusement cruel, "Si tu pensais vraiment que j'allais tenir ma promesse, c'est que tu es plus conne que je le pensais."
Victoria, désemparée, chercha des mots, mais la terreur et l'humiliation semblaient l'étouffer. Ethan, savourant sa domination, continua de la regarder avec un sourire cruel. Il savait que ce moment exacerberait encore plus l'angoisse et la vulnérabilité de Victoria, alimentant son propre plaisir et renforçant le pouvoir qu'il exerçait sur elle.
"Quand j'aurai besoin de quelque chose, tu seras là. Compris ?"
Elle hocha la tête, terrifiée.
Alors que les jours passaient, l'atmosphère sur le campus commença à changer. Les rires semblaient plus forcés, les conversations plus tendues. Des regards méfiants suivaient Ethan et ses acolytes partout où ils allaient.
L'administration, d'abord aveugle à ce qui se passait, commença à réagir. Ethan remarqua des caméras de sécurité supplémentaires installées dans les coins stratégiques. Des réunions à huis clos se multipliaient entre les professeurs et le doyen.
Un jour, alors qu'Ethan traversait le campus, il surprit une conversation entre deux professeurs.
"...ne pouvons pas laisser cela continuer," disait l'un d'eux à voix basse. "Les étudiants ont peur, les parents commencent à poser des questions."
"Je sais," répondit l'autre, l'air grave. "Mais que pouvons-nous faire ? Nous n'avons aucune preuve concrète."
Ethan passa devant eux, un sourire froid aux lèvres. Ils n'avaient aucune preuve, et ils n'en auraient jamais. Il était trop malin pour ça.
Pourtant, alors qu'il continuait sa route, Ethan ne put s'empêcher de sentir une pointe d'inquiétude. Ils marchaient sur une ligne fine, et un seul faux pas pourrait tout faire s'écrouler.
Mais pour l'instant, ils étaient intouchables. Le campus était leur terrain de jeu, et Ethan comptait bien en profiter au maximum. Quoi qu'il en coûte, quelles que soient les conséquences.
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