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'Bruised'

Courir. Je criais dans mon esprit tandis que les trois silhouettes sombres fondaient dans la lumière et couraient dans notre direction. Mais je ne pouvais pas bouger. Soit j'étais paralysé par la peur soit par la méticuleuse anxiété qu'il y avait en moi, mais je ne pouvais bouger. " Sam !" Une main forte me saisit par mon poignet endolori et me tira, la douleur soudaine que je ressentis et l'urgence de la situation me sortirent de mon hébétement.

Mon cœur battait toujours aussi fort dans mes oreilles, mais je courais, entraîné par Nick. Je n'ai pas osé regarder en arrière. " Entre." Siffla-t-il et il faillit me pousser sur le siège avant. Ma respiration est devenu courte alors je regardais par la fenêtre. L'homme blond avec le pistolet le pointa vers le ciel alors qu'il se rapprochait et criait quelque chose, mais je pouvais dire quoi. J'ai entendu une portière claquer. Le moteur tourna et soudain la voiture se mit à bouger, les mecs qui couraient vers nous se fondant dans l'obscurité.

***

Nick

Je ne la regardais pas tandis que je retirais la voiture de la rue. Je jetais un coup d'œil par dessus mon épaule, juste pour m'assurer qu'ils ne nous suivaient pas. Mon regard menaçait de se diriger vers Sam, mais j'avais peur de ce que je verrais, alors je me concentrais plutôt sur le sang de mes phalanges. La plupart des membres du groupes de la ruelle étaient maintenant inconscients sur le sol, mais j'étais sûr que la peau de mes phalanges s'était fendue.

Je ne pensais à rien quand je vis Terence la tenir contre le mur, je savais juste ce qu'ils auraient pu lui faire si je n'avais rien fait. Mon corps a réagis, une soudaine montée de colère et d'adrénaline a couru dans mes veines. Mais la colère que j'avais ressentie s'était transformée et déformée en quelque chose de nouveau, quelque chose qui m'a retourné l'estomac.

Sam n'a pas couru, elle n'a pas essayé de le repousser de ce que j'ai pu voir, elle s'est juste tenu là avec de grands yeux alors qu'ils attrapaient son corps. Si je n'avais pas été là, ils auraient pu la droguer, ou pire, la violer. Cette pensée me fit serrer la mâchoire et mes yeux brillèrent d'une colère nouvelle. Maintenant, c'était à cause de Sam. J'ai appuyé sur le frein aussitôt qu'on fut assez loin de la ruelle. Je l'entendis haleter doucement à côté de moi, mais je ne pouvais toujours pas me tourner vers elle. Je me perdrais.

"- Mais à quoi tu pensais ?" Grognais-je. J'attendis une seconde une réponse, et quand il n'y en eut pas, je forçais mes yeux à se détacher de la rue sombre pour la regarder elle. Mes yeux s'élargirent quand je vis une de ses mains serrer les côtés du siège en cuir, l'autre couvrait sa joue droite. Elle tremblait, et sa respiration était saccadée, luttant pour se calmer.

Sans réfléchir, ma main attrapa sa joue pour la tourner vers moi, fermement mais gentiment, et son souffle était attelant. Sa main se libéra finalement de sa joue, et elle baissa les yeux de défaite. J'ai aspiré un souffle quand j'ai vu les éraflures rouges vives qui ont été dessiné sur sa joue droite, et mon estomac se retourna.

"-Sam.." Croassais-je en déglutissant, ne voulant pas continuer, mais ne lâchant toujours pas ma prise sur sa mâchoire. Ses yeux me regardaient, un flou d'émotions traversant son visage pâle. Confusion, colère cachée, embarras, peur. " Où est-ce que tu es blessé encore ?"

Elle s'était un peu calmée maintenant, sa respiration n'était pas saccadée, et ses mains ne tremblaient plus autant, mais elle ne disait toujours rien, elle secoua la tête. J'étais de plus en plus irrité par son silence, désespéré qu'elle me dise ce qu'ils avaient fait d'autre pendant que je n'étais pas là, et j'ai enlevé ma main. " Mon dieu, Sam, as-tu la moindre idée de ce que ces gars auraient pu te faire ?" Lui grognais-je, mes yeux écarquillés de colère, et un muscle de ma joue se contracta.

Me prenant par surprise, elle se tourna vers moi et me dit : " Et pourquoi ça t'intéresserait ?" Dit-elle à voix basse, mais le ton aigu était toujours là.

"- C'est ce qui s'appelle être un humain décent." Dis-je, mais je n'avais pas finis. " Pourquoi tu t'es enfuis comme ça, à quoi tu pensais ?"

"- Emmène moi chez moi." Sa voix chevrotait, et elle tremblait de nouveau. Mais je secoua la tête.

"- Pas comme ça." Dis-je simplement. " Nous devons d'abord te nettoyer, ta mère va paniquer si elle te voit comme ça."

"- Ce que ma mère pensera ne te regarde pas." Cassa-t-elle, puis dans une voix plus basse elle dit : " S'il te plaît. Ramène moi chez moi."

Nous nous tendîmes tous les deux quand nous passons assez près de la ruelle, mais il n'y avait plus personne, et j'espérais que personne ne me reconnaîtrait, bien que je connaissais que trois gars, et de quoi était capable le reste. Fermant les yeux, je me suis souvenu du message sur mon téléphone. Nous avons ton shit si tu changes d'avis. Dans la ruelle entre 70 Bowman Street. Nous quittons la ville demain, c'est à toi de voir. -Rouge.

"- Nick. Qui étaient ces types ?" Demanda-t-elle, essayant de dissimuler l'expression terrifiée sur son visage une fois que tout ce qui s'était passé fut analysé par son esprit. " Et s'ils reviennent ?"

"- Ils ne le feront pas." Pour l'instant.

"- Comment le sais-tu ?"

"- Je le sais c'est tout."

Elle resta silencieuse jusqu'à ce que nous arrivions chez elle, mais quand elle ouvrit la porte pour sortir, je sortis aussi, au cas où ils seraient encore là. Elle m'a regardé, et a plissé ses lèvres en une fine ligne pour éviter de dire quelque chose. Elle se retourna, trembla, et tendit la main vers la poignée de porte. Je lui saisis le poignet avec précaution pour la faire reculer. " Sam. Ils sont partis." J'ai baissé la voix presque en un murmure. "Ils ne te feront pas de mal." Je l'ai rassurée après un long moment, ne sachant pas si c'était exactement ce que je voulais dire.

Elle semblait lutter contre l'envie de se moquer de façon sarcastique, et un regard dans ses yeux me disait le contraire: Ils l'ont déjà fait. Des larmes se formèrent dans ses yeux, mais elles ne se répandirent jamais, elle relâcha son poignet de ma prise et ouvrit la porte.

Je suis retourné à ma voiture avec une sensation de malaise dans le ventre, et j'ai donné un coup de pied dans un caillou perdu sur le trottoir, incapable de retirer tout ce qui s'est passé ce soir de ma tête.

"- Je t'ai dit que ce n'était pas prudent de se promener la nuit." Murmurais-je dans l'obscurité vide.

***

J'ai attendu. Je ne savais pas pourquoi exactement j'attendais. Mais le lendemain matin, quand je me suis précipité à la clairière, mes yeux vacillaient partout. Je m'attendais à voir Sam courir derrière moi, avec ce même regard agacé quand elle me voyait. Mais elle ne s'est jamais montrée.


Quand je suis rentré hier soir, mon esprit a continué à rejouer ce qui s'était passé. Ce que je lui avais dit juste quelques instants avant qu'elle ne parte, et l'expression de peur sur son visage quand elle était dans cette ruelle. Je pensais aussi à comment elle semblait ne pas pouvoir bouger ou parler, elle n'a pas réagi jusqu'à que je l'entraîne à ma voiture.

Je savais que j'étais fâché contre elle pour s'être enfui, mais encore plus contre moi-même pour lui avoir dit ce que j'avais fait. Tu ne te sens coupable. Ce n'est pas de ta faute. Je me disais à moi-même, mais ça ne m'a guère rassuré.

"- Allez mec, on va surfer ou quoi ?" Ben à poussé mon bras avec impatience, faisant tomber la pomme dans ma main par terre.

Je grognais et le repoussais, il retomba sur le siège à côté du mien alors qu'il riait. " Qu'est-ce qui t'a rendu de si mauvaise humeur aujourd'hui ? "

"- Je ne suis pas de mauvaise humeur, idiot." Je secouais la tête, mais je ne pouvais m'empêcher de rire sous mon souffle. " Tu es juste chiant."

J'attrapais mon sac à dos et le passais par-dessus mon épaule pendant qu'il parlait." Tu vois, tu dis toujours ça, mais nous savons tous les deux que je suis à peu près le seul gars de l'équipe de foot que tu peux supporter."

"- Peu importe. " Ai-je dit. "Allons-y."

Du coin de l'œil, une rouquine que je reconnus me fit un signe, mais je grattais ma nuque et continuais à marcher, ne me souciant pas vraiment de si elle avait remarqué que je l'ignorais ou non. Une fois que nous étions sortis de la cafétéria, Ben secoua une main devant moi et me regarda avec de grands yeux. " Mec !" Je roulais des yeux, sentant déjà où ça allait nous mener. " Je ne sais pas si tu le sais, mais la rousses la plus chaude en deuxième année nous a fait un signe."

"- Tu veux dire m'a fait un signe." Je souriais et lui donnais une tape dans le dos en léger réconfort quand son visage s'est durci.

"- Dommage pour toi, mec. Ne soit pas déçu quand je finirais par coucher avec elle, et pas toi. "

J'ai juste haussé les épaules." Et bien, vas-y je t'en pris fais toi plaisir."

"- Tu n'as pas.." La bouche de Ben s'ouvrit et je ris. "Merde, mec, tu as toujours les plus sexy."

Un sourire est apparu sur mon visage. " Fonce, mon pote. Ça fait combien de temps que tu n'as pas que tu n'as pas couché avec une fille, de toute façon ?"

"- J'ai déjà une fille en tête, mec." Dit-il, choisissant d'ignorer ma question." Elle va m'adorer avant la fin du mois."

"- Ahh, qui est la pauvre fille ? "

"- Samantha Rosewood. " Je m'arrêtai de marcher et lui lançais un regard fatigué." Quoi ? De 1: elle est sexy. De 2: elle ne parle pas beaucoup. De 3: elle est sexy."

"- Ouais, bonne chance avec celle-là. " Un rire jaillit de ma gorge, mais il semblait forcé.

"- Tu dis que je ne peux pas l'avoir ? Je sais que Jacob a le béguin pour elle, mais allez. Moi contre Hatcher ? Victoire facile. "

"- Je dis que vous ne devriez même pas essayer. Hatcher et toi." M'a voix sortait plus comme un grognement que ce à quoi je m'attendais, mais je me repris. " Ne perds même pas ton temps, il y a une douzaine de filles plus sexy qu'elle. " Je détournais le regard et continuais à marcher, plus vite maintenant. Ben soupira à côté de moi.

"- Si tu le dis."

Une fois que nous avions atteint la sortie, la cloche a sonné et les couloirs sont devenu bondés de gens à nouveau. J'ai regardé par-dessus mon épaule avant de quitter l'école, mais c'était inutile. Je savais qu'elle n'était pas là.

***

Samantha

Je tressaillais alors que la serviette mouillée frôlait l'éraflure sur ma joue. Les coupures ne saignaient plus et elles ne faisaient plus mal, après tout, ça faisait déjà deux jours depuis ce qui c'était passé. Mais une entaille tenace était plus profonde que les autres, et une petite ligne de frais à brillé après que je l'ai griffé accidentellement. Je me regardais dans le miroir, une sensation de malaise envahissant mon estomac quand je regardais mon visage éraflé et enflé. Ma joue droite était couverte d'éraflures écarlates, mais, heureusement, certaines avaient un peu disparu.

On frappa à la porte. " Chérie, tu as besoin d'aide ?"

"- Non, maman, c'est bon, je me lave le visage." Je tapotais rapidement mon visage avec une serviette, mais la porte s'ouvrit quand même. Ma mère se tenait sur le seuil avec un froncement de sourcils sur son visage et de la crème ou pommade dans sa main. Mes yeux se posèrent rapidement sur mon poignet et j'enfilais le pull à manche longue que je portais, juste pour m'assurer que le cercle violacé qui l'entourait était couvert.

"- Je ne comprends toujours pas comment c'est arrivé, Sam. Comment as-tu pu accidentellement foncer dans un mur et érafler ton visage de la sorte ?" Dit-elle en frottant doucement de la crème qui sentait mauvais sur ma joue.

"- Maman, je te l'ai déjà dit. " Dis-je d'une voix tremblante. " C'était un mur très dur et il faisait sombre quand je suis rentré, donc je ne pouvais pas vraiment le voir. "

Elle soupira mais accepta mon explication boiteuse. " D'accord, et bien, tu n'as plus de fièvre ? Tu sais je n'aime pas quand tu manque l'école, et tu as déjà manqué deux cours. " Mon regard s'abaissa, je devais vraiment arrêter avec les mensonges. Ça ne m'est pas venu facilement, du moins pas avec ma mère.

"- Ouais, mais je pense que je vais me coucher un peu, peut-être que demain je me sentirais mieux. " Marmonais-je dans ma barbe. Chaque mot qui sortait de ma bouche me faisait mal et laissait un arrière goût amer dans ma bouche.

Ma mère me planta un baiser sur le front et coinça une mèche derrière mon oreille. " D'accord, je vais voir si je peux rester à la maison demain pour m'occuper de toi."

"- Non." Lui dis-je rapidement. " Ne sois pas bête, c'est juste une stupide fièvre." Je forçais un sourire et elle sourit.

"- Et c'est juste une stupide journée de travail." Me défia-t-elle en haussant un sourcil. Son regard devint doux. " Tu sais, si jamais tu veux parler ou autre, je suis toujours là." Je savais de quoi elle parlait. Mon anxiété. Depuis que j'ai ce problème, elle me surveillait constamment, me demandant comment je me sentais, et toutes les autres questions que le docteur lui avait suggéré de me poser.

"- Je vais bien Maman." Je lui souriais, mais reculais d'un pas. " Je vais bien." Il semblerait que tous ces mensonges ne cessent de s'accumuler.

Fatigué et usé par les ecchymoses et blessé à la fois à l'extérieur comme à l'intérieur, je me suis dirigé vers mon lit, glissant sous les couvertures froides. Je n'ai jamais dit à ma mère ce qui m'était arrivé. Je ne lui ai jamais parlé des rumeurs, de mes pilules perdues ou du fait que tout ce que je pensais avoir laissé derrière moi était encore là, ouvrant les vieilles cicatrices d'il y a quelques mois, laissant de nouvelles blessures à la place.

 Le poids de tout cela faisait mal, plus que ce que je ne voulais bien admettre. Mais pour elle, je n'ai rien dit, je n'ai pas pleuré. Pour elle, je me suis recroquevillé et j'ai saigné à l'intérieur, là où personne ne pouvait le voir.

***

Le bruit de la sonnette m'a réveillé, et je m'attendais à voir la lumière du jour envahir la pièce en passant à travers les rideaux crème. Mais il faisait encore nuit et j'avais l'impression d'avoir à peine dormi. Je pouvais entendre la porte s'ouvrir. Quelle heure est-il ? J'ai regardé sur mon téléphone portable. 22h30. Avec un soupir, j'ai réalisé que j'avais dormi à peine une demi-heure.

"- Bonsoir, comment puis-je vous aider ?" Demanda ma mère à la personne qui se trouvait à la porte.

"- Bonjour, Mme Rosewood." Dit une voix trop familière. " Est-ce que votre fille est là ?" Un cri de surprise m'échappa lorsque je m'abattis sur le sol dès que j'entendis la voix Nick. Que faisait-il ici ?

Ils ont dû l'entendre, parce que ma mère soupira et dit: " Ça doit être elle. Désolé, qui es-tu ?" Sa voix s'éleva lorsqu'elle dit cette phrase, sans doute enchantée par Nick et la possibilité que sa fille puisse connaître un tel mec. Si seulement elle savait. Je me dépoussiérais et remontais sur mon lit avec de grands yeux.

Il a rit doucement. " Je suis Nick Carter, un ami de Sam, Mme.."

"- Oh, tu peux juste m'appeler Mary." Elle eut un petit rire et la porte s'ouvrit un peu plus., sa voix devenant plus forte. " Je vais aller chercher Samantha, elle est probablement dans sa chambre." J'ai presque levé les yeux au ciel." Oh rentre, rentre."

Tout de suite après, ma mère fit interruption dans ma chambre avec un sourire scotché sur le visage. " Chérie, ton ami Nick est là." Murmura-t-elle d'une voix fluette. " Pourquoi tu ne m'as jamais parlé de lui ?" Elle me donna un léger coup de coude dans l'épaule, les yeux brillants.

"- Probablement parce qu'il n'est pas mon ami." Marmonnais-je. " Dis-lui que je ne me sens pas bien, je ne sais pas pourquoi il est là." La pensée qu'il vienne et me voit comme ça ne faisait pas bonne affaire dans mon estomac. Mais au moins, je n'avais pas mentis cette fois. Je ne savais vraiment pas pourquoi il était là. Il devrait m'éviter.

Ma mère fronça les sourcils et retourna à l'entrée pour le faire partir, et je pouvais finalement rester sous mes couvertures, fermant les yeux. Jusqu'à qu'un moment plus tard ma porte s'ouvrit encore. Mes yeux toujours fermés, je murmurais: " Maman, tu l'a fait partir ?"

"- Pas exactement."

Mes yeux s'ouvrirent et j'entendais presque le sourire dans sa voix. Je me retournais et rabattais les  couvertures sur moi, bien que je sois entièrement habillé en pantalons de survêtement et chemise à manches longues.

Il se tenait là dans toute sa gloire, penchant négligemment son épaule contre la chambranle de la porte. Le Nick que j'avais vu il y a deux nuits semblait complètement différent de celui qui se tenait devant moi. La colère et la noirceur qu'il ne pouvait pas cacher cette nuit-là avaient disparu, ou caché derrière un masque pour que je ne puisse pas les voir. Sa posture était comme toujours détendue, et ses muscles étaient relâchés. Comment pouvait-il apparemment apparaître de nulle part et faire rougir mon visage de colère.

Je lui envoyais un regard meurtrier à lui et à la femme qui jetait un coup d'œil derrière lui. Elle se fit petite sous mon regard et haussa les épaules avec un air timide. " Quoi ?" Dit ma mère avec un ton innocent pas convaincant. " Il a dit que c'était vraiment important."

"- Ouais, Sam." Il sourit et maintenant c'était à mon tour de me faire petite sous son regard intense. " C'est vraiment important."

****


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