2ème partie : « Accepte de tuer ou crève ! »
Annael,candidate 16, temps restant : 4 mois, 2 jours, 13h :
Lajeune femme courait aussi vite qu'elle le put dans ce large couloirbleu éclairé de néons tubulaire. Elle avait le souffle court et sacourse paraissait peu maîtrisée donnant un aperçu de ses faiblescapacités physiques. Arrivée à bout de souffle à la sortie ducorridor, elle déboucha dans une salle longue comme 3 terrain defoot. Elle analysa la situation le plus rapidement possible. La pièceétait encore une fois éclairée par ces lumières artificielles necréant aucune ombre permettant de se camoufler. Elle se présentaitsous forme d'un rectangle immense cerné de 4 murs. Cependant lapartie qu'y intéressait la jeune femme, se trouvait au-dessus desa tête. Là, à 3 mètres du sol accroché au mur droit seprésentait des îlots de plates-formes reliés par plusieurspoutrelles assez larges pour être empruntées. Le seul moyen d'yaccéder était d'y monter via la barre métallique de biaisreliant le sol à la plus basse. Elle enjamba la barre et allongersur celle-ci l'enserrant fermement avec ses cuisses se hissajusqu'à la première plate-forme. Malgré le fait qu'elle sedébrouillait plutôt bien et avançait assez vite elle n'enoubliait pas pour autant le potentiel risque de chute. Ici chaqueblessure pouvait facilement vous couter la vie. L'équilibren'avait jamais été son truc et malheureusement le harnais luiétait passé sous le nez lors de la dernière confrontation avec unmétamorphe. Les métamorphes étaient des IA (intelligenceartificielle) dans des corps mécaniques améliorés soit des sortesd'androïdes extrêmement violents voués à vous tuer. Ils étaientla principale menace de ce labyrinthe avec les salles et couloirpiégés.
Arrivéeà une plate-forme à mi-hauteur elle se coucha sur le sol et dégainal'arme plaquée dans son dos. Elle déplia machinalement le trépiedde son Hécate et y fixa la lunette. Elle entreprit d'examiner lesissues du lieu. Plutôt facile cette fois, il y avait 2 entrées surle mur sud, toutes des sorties de couloirs et 3 issues à l'opposésur la façade nord. Elle fit le vide se concentra puis attendit ensilence couchait, l'œil attentif fixant le sol 3m en dessous. Uneembuscade parfaite, quoiqu'il arrive personne ne la verrait et iln'appartenait qu'à elle de prendre partit au combat qu'y sepréparait. Une plaque, mieux, à cette hauteur elle étaitinvisible, intouchable. Il y a encore 5 minutes dans son couloir elleavait entendu un cri typique de ces androïdes mélangé à unhurlement humain. Du moins c'est ce qu'elle espérait. Environ 1mois qu'elle était là et toujours aucun signe de présencehumaine. Les seuls représentants de son espèce qu'elle avaitrencontrés furent des cadavres. Même si elle avait fini pars'habituer à survivre seule, elle était excitée et soulagée àla perspective de voir un autre Homme. Cette simple supposition luiavait fait changer son cap et aller voir de quoi il retournait.
Uncri déchira le silence présent :
HUGO, COURS... ! IL ARRIVE !
Unhomme brun avec de petites lunettes apparut dans son viseur. Il avaitl'air à bout de souffle dans un état de panique intense. Ils'arrêta et se retourna vers où il était rentré. Un autre crimétallique fendit l'air.
JORDAN, hurla l'homme à lunettes.
JOOORDAN !!!
Soudainun autre homme brun sortit du couloir. Il avait cette mêmeexpression de terreur tordant son visage. Annael vu ce qu'ellecraignait. Sur les talons du jeune homme un métamorphe, katana aupoing s'acharnait à les rattraper.
Dégage HUGO, fuis, casse-toi !
L'hommeque la jeune femme crut être Jordan dégaina un pistolet et essayanttant bien que mal de viser tira sur la créature. Il paraissaitangoissé mais mieux se maîtriser que son coéquipier et apparemmentil connaissait le fonctionnement de son arme. Hugo resta pétrifiéderrière le tireur. La balle toucha par miracle l'épaule du métamais ne suffirait pas à l'achever. Il en tira une deuxième allantse planter dans sa jambe gauche. Mais rien n'y faisait l'androïdeétait trop robuste. Le défaut de Jordan ne fut pas de mal visermais de mal absorber le recul de son arme déviant la balle. Latroisième balle se planta dans le mur en face. Annael décidad'intervenir. Elle arma, visa, expira, inspira et tira. Si audépart elle avait eu un problème elle aussi avec le recul de sonarme ceci n'en était plus un aujourd'hui. La balle vientperforer parfaitement le cou du méta explosant son processeur aupassage. Celui-ci tomba HS sur le sol. Elle avait eu de la chance,les conditions permettant sa réussite étaient optimales, si elleavait été dans le cas de ce Jordan elle l'aurait pour sûre sentipasser.
Hugoet Jordan ne comprenaient rien. Ils avaient pourtant entendu unedétonation bien plus forte que celle de Jordan. Ils avaient vu laballe transpercer l'IA. D'où venait-elle ? Ils n'étaientpas seul alors. Ils n'étaient pas seuls ! A cette perspectiveHugo fut pris d'une angoisse. Il se rappelait soudainement de leurviolente altercation avec cet autre joueur psychopathe. Ils luiavaient échappé de justesse et non sans dommages. Quelqu'un lesregardait, quelqu'un les avait aidés. Mais dans quel but.Devaient-ils se méfier ? Etaient-ils en danger ? Encore,serait-ce étonnant, n'était-ce pas au final une fatalité ici. Ohmerde, pensa-t-il. A ce moment déchirant le silence, il entendit un« clic » typique d'une arme. Il se retourna vers le murest et eu la bonne idée de relever la tête. Ses yeux se posèrentsur une forme humanoïde en combinaison noire, debout sur uneplate-forme à 3m du sol. Hugo discernait très bien le sniper dansson dos. C'était une femme brune, cheveux courts, plutôt jeune etmaigre. Hugo n'eut pas le temps de prévenir son ami que Jordanavait déjà sorti sa tabscan et braquait son arme chargée prêt àtirer sur elle. Il analysait la candidate en face de lui. Si elle serévélait être une menace même minime soit-elle il n'hésiteraitpas une seconde à la tuer. Il se l'était promit, il sortirait Hugode ce merdier vivant quitte à devoir se sacrifier. La jeune femmefit de même, loin d'elle l'envie de mourir, humain ou métaqu'importe, tout ce qui se révélait être une menace contre sasurvie devait mourir. Elle se l'était jurée, elle avant tout.Cependant la tabscan, une sorte de tablette composait seulement d'unécran de verre hyper résistant pouvait éviter les confrontationsdirectes sans réflexion. Elle permettait d'analyser les stats descandidats que vous rencontriez. C'était encore le moyen le plussûr de savoir à qui on avait à faire dans ce bordel apocalyptique.
Hugo,candidat 6, temps restant : 4 mois, 29 jours, 23h
Jordan,candidat 4, temps restant : 2 mois, 10 jours, 1h.
Alexchargea comme elle pouvait son arme et se retourna vers le cristrident. Elle ne perçut rien si ce n'est un très long couloirblanc sans fin visible. Un autre cri retentit. Il fallait bougerd'ici et vite. Elle commençait à courir, s'éloignant duhurlement qui se rapprochait. De légers craquement métalliquesrésonnèrent dans tout le corridor la faisant accélérer. Soudainle bruit se fit plus pressent, plus proche. Alex courait commejamais, s'épuisant de plus en plus. Ses jambes semblaient voler netouchant presque plus le sol, mais avec de si grands efforts ellesfiniraient par la lâcher. Son corps n'était pas prêt pour ça,la seule chose la motivant encore à avancer et tirer dans sesdernières réserves fut l'adrénaline coulant à flot en elle. Lapeur de mourir, Alex n'y avait jamais été confronté jusqu'àprésent. Et elle détestait ça. Elle perdait le contrôle de lasituation et n'en voyait pas le bout. C'était fini alors. Elleallait mourir comme ça, après 5 minutes de survie ici. Bouffé parune espèce de monstre de métal. Ici, tout candidat pouvait voir savie s'arrêter comme ça, sans plus de fioritures, il fallait alorsaccepter cette fatalité. Oui mais pas sans se battre et donner sesdernières forces. Elle redouble de plus belle et prit son arme enmain. Elle sentit une légère griffure sur son épaule et des bruitsjuste derrière elle. Elle ne voulait pas se retourner, elle savaittrès bien qu'il était tout proche, trop proche. La douleurengendrait par la griffure se fit ressentir l'affaiblissant encoreplus. La tête lui tournait, elle ne savait pas comment en échapper.Il lui fallait du temps, de la marge. Ce qu'elle n'avait plus.Ici le temps était un luxe que personne n'avait. Elle le savaitc'était la fin, elle perdait trop de terrain et ce monstreinfatigable en gagnait à chaque seconde. Une seule solution restait.Elle leva l'arme avec une seule main derrière son dos déjà trophésitante. Elle n'en avait jamais tenu une de sa vie. Et savaitencore moins s'en servir. Elle avait bien vu son amie se servir d'unefactice et lui montrer mais à ce moment là prise dans la paniquerien ne lui revenait. Elle se prépara à tirer du bout des doigts entremblant. Elle visait la forme humaine déformée la poursuivant ettoute tremblante tira. Un clic retentit mais aucune détonation. Lagâchette s'était bloquée. « Pourquoi ? » Si sonamie avait été là, elle lui aurait dit, « Alex lasécurité. ».
About, elle trébucha et se laissa tomber sur le sol, épuisée, elleétait morte de peur. Elle ne voulait pas abandonner mais son corpsne répondait plus. C'était la fin. Elle ferma les yeux tentantd'échapper à la terrible vérité. Une balle siffla toute prochede son oreille. Une plainte horrible retentit dans tout le couloir etrésonnait dans la tête d'Alex. Silence. Alex rouvrit les yeux, lecouloir blanc apparut de nouveau, les lumières électriquesl'éblouissant, elle était en vie. Comment ?
Bienvenue dans last resort, lui dit une voix féminine à l'accent asiatique. N'est pas peur, tu n'as rien à craindre, plus maintenant en tout cas on l'a neutralisé.
Alexreleva la tête et ouvrit les yeux encore sous le choc. Ils posèrentsur des yeux sombres bridés appartenant à une femme plutôt petiteaux cheveux très courts, noirs et au sourire sincère, compatissantet presque maternelle. Elle n'aurait su lui donner un âgecependant elle la savait déjà assez jeune.
Tu ne dois pas être ici depuis très longtemps sinon tu te serais immédiatement servi de ton flingue et tu te serais enfuis en courant en nous voyant. Mais bon ceux sont des réflexes qui te viendront bientôt. La voix était sortie de derrière son dos.
L'hommequi lui avait parlé l'a pris par les épaules pour la relever etattrapa son bras gauche au passage. Il regarda intensément soncompteur et les chiffres défilant.
Ouais, 10 minutes à tout cassé, t'es une noob, tu as vraiment beaucoup de luck d'être tombé sur nous. Ici les gens ne sont pas amicaux avec les autres candidats. Ils sont stupides mais ils pensent qu'en éliminant un maximum de monde ils auront plus de chances de survivre. Pour les autres ceux sont des psychopathes cyniques pensant avoir tous les droits entre ces murs.
Nous, nous marchons sur l'entraide pour tous survivre et trouver la sortie. Plus on est à réfléchir et pour se défendre plus les statistiques sont de notre côté. Mais d'ailleurs quelle impolie je fais, je suis Manon, candidate 11, 25 ans et maintenant environ 1 mois et demi que je suis là.
Alexla regarda avec incertitude. Elle ne savait plus quoi penser. L'hommemaintenant son poignet gauche releva la tête et lui sourit en coin.
On va essayer de t'apprendre ce que l'on sait. Tu peux nous suivre ou survivre seul. A toi de voir mais généralement les sains d'esprit prennent la deuxième solution. Les autres sont dans le refuge, on est 9 en tout.
Alexjurerait l'avoir déjà vu quelque part. Il était grand, musclé,châtain très clair et manifestement sa barbe et ses cheveux raidesavaient bien poussé. Mais ce qui l'avait interpellé était sonregard. De grands yeux bleus clairs la fixaient.
Au fait je m'appelle Damien, cela fait 2mois et 30 jours que je suis ici.
Ils avaient marchaient pendant 10 bonnes minutes passant de couloirs blancs en couloirs blancs toujours éclairés de cette lumière électrique insoutenable, Alex les avaient suivit sans savoir véritablement où ils se rendaient. De tout façon avait-elle eu vraiment le choix ? Soit elle restait seule et continuait sa route soit elle s'assurait une probabilité de survie plus élevée. Ici rester seule sans connaissance des dangers était plus que risqué. Elle commençait à avoir mal à la tête et sa blessure la lançait de plus en plus.
Ne t'en fait pas les blessures infligées par ces métas ne s'infectent pas seulement elles sont très douloureuses et handicapantes. Si tu avais été dans la partie sud là tu aurais dû t'inquiéter, leurs extrémités sécrètent une sorte de poison. Cependant n'oublie pas chaque blessures ici peut te coûter cher, le mieux c'est encore de toutes le éviter.
Manons'était retournée vers elle voyant l'état de son épaule, Elle serapprocha de la jeune fille et lui donna une pilule orange,
- C'est pour la douleur, ça va te calmer. Au fait, quel est ton nom, lui demanda-t-elle.
Alexandra, répondit-elle en avalant sec la pilule,
Tu as quel âge ?
21 ans. Et toi qui es-tu concrètement ?
Ah, je vois ce que tu veux dire, alors Manon mais ça tu le sais déjà, je suis en doctorat de lettres modernes appliquées à la Sorbonne à Paris, comme toi ma famille a vécu dans la terreur les premières parties de ce test et la diffusion de la liste mais j'ai eu la malchance de ne pas être seule dans mon malheur. Mon petit ami a suivi derrière moi,
Désolé de l'apprendre. Ca doit être dur comme situation.
Tout est dur et cruel ici, Oh moins, l'un de nous n'est pas à se morfondre du sort de l'autre dans son canapé à attendre de voir son nom s'afficher sur la liste des décès. C'est une maigre consolation mais la seule. De plus Damien est là alors c'était inévitable, le sort nous en voulait, ils l'ont fait exprès.
Terracid, murmura Alex doucement pour elle-même, c'est lui.
Oui c'est moi, lui répondit-il avec un faible sourire, Mais malheureusement, le youtubeur que tu as connu n'est plu, Ce test nous change à jamais, il teste nos limites Alexandra et tu ne seras pas épargnée. J'aurais préféré te rencontrer dans d'autres circonstances mais en tout cas merci pour l'intêret que tu m'as porté.
Ca fait 5 mois maintenant, ça petite amie est morte ici dans les premières candidates au test. Il n'est plus vraiment le même depuis. Etre ici pour lui c'est comme venger son âme sœur et défier ceux qui l'ont tué. Il a la haine et un but précis là où nous nous ne pensons qu'à survivre, lui dit-elle tout bas pendant que Damien continuait à marcher,
Alors tu es la petite amie de, de . . . Laink, pardon Thomas.
Oui, malheureusement. Si tu savais je donnerais ma vie pour qu'il reparte à la maison, Je l'aime tant, je ne peux supporter l'idée qu'il soit là et jamais je ne voudrais vivre ce qu'à vécu Damien. Ce n'est pas envisageable,
Mais ce monde est cruel. Il y a un moyen de connaître les candidats présents dans le complexe ?
Pas vraiment, nous avons les tablettes mais elles ne peuvent te donner la liste en entier, juste les personnes mortes durant le test et celles que tu as déjà rencontré. Seulement à ce moment tu sais à qui tu as à faire. La seule chose que je sais c'est que nous sommes 20 en tout, cadavres compris,
La gorge d'Alex se serra. - Ca cad, cadavvvres ?
3 sont déjà morts, le 10ème candidat, un certain Eric ; la 20ème, Annie et la 14ème, une dénommée Nathalie. Les deux premiers sont morts à cause des salles piégées et des métas, la dernière est décédée par la menace fantôme qui nous guette tous. Elle était Time Out. Sans préavis, sans raison ni blessure, elle n'avait juste plus assez de temps.
Elle avait dit ça d'une voix si détachée qu'Alex surprise en eu des frissons dans l'échine.
MANONNNNN, DAMIENNN !!! cria une voix masculine,
Un homme au regard particulièrement sombre plutôt petit et maigre, les cheveux bruns bouclés s'approcha d'eux. Elle le reconnut tout de suite, Thomas Itturalde courait vers eux.
Vous allez bien heureusement, on a entendu des tirs vers l'est, j'ai eu si peur que ce soit vous. Une autre survivante, salut toi, lui-dit-il une fois arrivait à leur hauteur.
Alex n'avait pas même pas remarqué qu'ils étaient arrivés, Un refuge, c'était un refuge où en tout cas c'était ce qu'indiquait la plaque de signalement. Ils rentrèrent tous et la porte se referma derrière eux. Damien eu juste le temps de lui dire qu'ici elle ne craignait, la seule menace étant un pétage de plombs d'un des survivants que déjà autour d'elle 7 paires d'yeux la fixaient.
Un homme perché sur une plate-forme à 9m de hauteur regardait attentivement caché dans l'ombre la scène se déroulant 10m devant lui. Avec sa lunette il regardait Damien Laguionie serrant son ami Thomas Itturalde dans ses bras, sa prochaine proie.
"Bonjour à tous pour ce chapitre plutôt long (2880 mots), alors en premier lieu merci beaucoup pour l'accueil très agréable que vous avez fait à cette nouvelle fic. C'est hyper plaisant. Je vous adore et plein de câlins. ^ . ^
2ème chose, certains auront peut-être remarqué que la mise en page a changé et est beaucoup moins plaisante à la lecture. Et bien Word, le logiciel "payant" sur lequel je travaillais avant vient de me lâcher (bon je voulais pas payer alors j'ai étiré l'abonnement jusqu'à la fin, bouhh c'est fini. Mais si on réfléchit c'était soit word soit le sub de wankil qui partait ; pensait bien que le choix fut très TRES vite fait). Maintenant je traite sous office qui grâce à son interface inchangé depuis 98 est un véritable plaisir pour gérer la mise en page. Bon je vais tout faire pour y remédier le plus rapidement possible. Merci pour votre indulgence. XD
3ème chose, ce chapitre aurait dû sortir dimanche dernier et aujourd'hui celui de l'autre fic mais en raison de deux petites choses j'ai du revoir mes plans. En effet en demandant à une amie je me suis rendue compte que j'avais mis une boulette monumentale dans le chapitre de mon autre fic. Ceci fait je dois réécrire tout une partie du chapitre mais du coup je la publierais dans la semaine. Promis. De plus et le raison de sa publication aujourd'hui et non la semaine dernière, "tu as free tu n'as pas de wifi".
Sur ces coups de gueule je vous laisse et vous dit encore un grand merci et espère que vous avez pris plaisir à lire ce chapitre. A dans quelques jours j'espère. Bisous : 3 (Ps : c'est de cette musique que me vient l'idée de cette fic. D'où son nom.)
Bien à vous.
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