Histoire 35
Anime » Kuroko no Basuke/黒子のバスケ Rated: T, French, Romance, Words: 3k+, Favs: 2, Follows: 7, Published: Dec 8, 2013 Updated: Dec 11, 20131Chapter 1: Stalker & se bagarrer sont signes d'amou
Pour ma première traduction, je vous propose un recueil d'OS écrit par Lolishoujo16. Les pairings y sont variés et nous commençons avec un Kagakuro \o/
Il se peut qu'il y est pas mal de fautes en ce qui concerne l'emploi du temps des verbes, c'est mon gros point faible en français et le fait que le présent et le passé se mélange dans ce chapitre ne m'a aidé. Désolé d'avance.
/!\ Suite à une relecture, j'ai remarqué qu'il y avait pas mal de faute, ça m'apprendra à poster mes chapitres tard le soir. /!\
Couple : Kagami Taiga x Kuroko Testsuya
Rating : T
Disclamer : Kuroko no Basket appartient à Tadatoshi Fujimaki & la fiction originale à Lolishoujo16
Il n'y avait rien de spécial, vraiment.
Il était mon camarade de classe. J'étais assis derrière lui. Nous étions dans le même club. Bien sûr que nous étions obligés de devenir amis d'une manière ou d'une autre. J'ai juste-je veux dire-
Soupir
Qu'est-ce qui ne va pas avec moi ?
Attendez, plus important, à qui suis-je en train de parler ?
Mon Dieu.
Eh bien, on peut revenir en arrière. Vous savez, juste pour montrez (qui que vous soyez) comment toute cette histoire folle et absolument ridicule (je doute qu'il existe un mot pour la décrire réellement) a commencé.
Vous savez, cette atrocité qu'on appelle l'amour.
(Comme vous l'avez remarqué ou non, votre narrateur – et moi en particulier – adore utiliser l'expression « vous savez », m'voyez ?)
Début
Il était facilement reconnaissable dans la foule. Eh bien, il était grand, bien bâti & émettait cet aura qui criait « JE SUIS UN DELIQUANT ET JE VAIS TE CASSER LA GUEULE ! »
Son visage était le point de chute de son corps. Il n'était pas laid mais ce n'est pas exactement l'idée qu'une fille se ferait du prince charmant. Et il était trop féroce pour être un cool & mystérieux garçon ténébreux. Il dégageait un air effrayant. En gros, les étudiants (même les plus âgés et certains enseignants), fille comme garçon, le fuyait comme la peste. Bizarrement, je fus attiré à lui de la même manière qu'un papillon guidé par la lumière d'une lampe. J'étais très fou, même si je ne l'avais encore réalisé à l'époque…Mais, eh bien…
Je l'ai traqué.
Se retrouver derrière lui en cours n'était qu'une coïncidence & rejoindre le club de basket après l'avoir vu s'inscrire en était également une autre. Comme devenir son partenaire de laboratoire, son tuteur & le baby-sitter de sa petite sœur…
Je crois que c'était à cette époque qu'il m'a attrapé par le col pour me demander si je le suivais ou non.
(Je ne m'attendais vraiment pas à devenir le baby-sitter de sa soeur. Ma mère m'a simplement demandé de la garder, je ne savais vraiment rien. Je le jure.)
Je n'ai pas nié en jouant la carte de la timidité. Oui, j'étais peut-être, légèrement, un chouia stalker mais au moins, je n'avais rien à voir avec les autres qui sont bizarres ! (Vous savez, ceux qui s'introduisent dans votre maison quand vous n'êtes pas là pour renifler vos sous-vêtements & faire d'autres dans le genre. Eww, c'est tellement dégoûtant.). Mais si je l'admettais, il allait mal l'interpréter vu la façon dont je tournais autour de lui alors j'ai fais la meilleure action qui me venait à l'esprit.
J'enfonçai mon poing dans son ventre en déclarant "Tu es un idiot."
Inutile de préciser qu'il m'a donné un fantastique cocard & que je l'ai laissé avec le ventre broyé.
Une note plus positive: ce fut le début de notre toujours proche & étrange amitié.
(Si vous appelez "amitié" le fait de se disputer 24h/7j)
Nous avons échangés nos numéros de téléphone. Et nous allions mangé de temps en temps à l'extérieur et jouer au basket, s'inviter chacun chez soi pour jouer et à jouer des tours aux aînés que nous n'aimions pas et prendre soin d'un chien abandonné et étudier la veille des examens et rentrer à la maison après l'entraînement et jouer à des matchs et-et-et
Je commence à ressembler à un idiot, stupide, mièvre (et doncdégoûtant) héros de roman d'amour donc je vais m'arrêter.
...mais ça va être dur, hein.
Milieu
Cupidon faisait vraiment une fixation sur moi. Il m'a donné ces foutus trucs-papillons qui se manifestaient à chaque fois que je le voyais ou touchais ses doigts (ses doigts, pour l'amour du ciel !). Ensuite, Cupidon a décidé de m'humilier encore plus en me transformant en cet...cet horrible, dégoûtant, atroce, dégradant, embarrassant tête rougissante.
L'horreur...oh mon Dieu, l'horreur & l'humiliation !
J'étais tellement heureux d'être inexpressif la plupart du temps. (Je suppose que c'est parce que j'ai grandis avec ma tante qui était joueuse de poker et qui m'a appris deux ou trois trucs.Note : penser à lui acheter un nouveau jeu pour son prochain anniversaire). Sinon je pense que j'aurais sûrement éclaté. Mais il y avait eu cet incident qui a laissé sortir au grand jour cet horrible (et encore une fois, humiliant) rougissement. Il me hante encore aujourd'hui (et fait battre mon coeur une fraction de seconde plus rapidement, mais,ohmaisquisesouciedeçaounon !)
Ça s'est passé comme ça :
L'entraînement de basket venait juste de se terminer et nous étions tous les deux assis sur un banc, épuisé par toutes les choses que nous avions faîtes (pas de sous-entendus sexuels là-dedans). Notre entraîneuse était furieuse et elle décida de passer toute sa frustration sur nous. ("Bordel, courrez plus vite !"). Donc nous étions écroulés, haletant & suant de partout (encore une fois, il n'y a aucun sous-entendu sexuel).
Et nous étions chargés de ranger le matériel.
Soupir
"Hé..."
Je levai les yeux de ma bouteille d'eau pour le regarder. Son regard était intense et sexy-je veux dire, ignorez mon dernier mot, c'est trop pour moi. J'avais l'impression que mon coeur allait s'arracher de ma cage thoracique ou quelque chose comme ça. Je détourna mes yeux de lui, éloigna la bouteille de mes lèvres et répondit un truc du genre "Hmmm ?"
Puis, il avait, genre, commencé à se pencher vers moi.
Se pencher verts quelqu'un est une chose sérieuse, je vous le dis. C'est un signe de séduction et de passion qu'on peut traduire par "JE VEUX TE DRAGUER".
C'est différent de se pencher en avant car ce n'est rien d'autre qu'une action banale nécessaire à l'être humain pour accomplir certaines tâches quotidiennes comme par exemple, se pencher pour mieux voir ce qu'il y écrit au tableau.
M'voyez ?
Mais cette fois, il se penchait vers moi.
Son visage se rapprochait lentement de moi mais j'essayais de garder mon regard impassible de d'habitude. Je ne pouvais pas parler cependant & j'avais des sueurs froides.
Charmant, je sais.
Puis il m'a arraché à ma transe en attrapant ma bouteille d'eau et éclater d'un rire rauque. Après avoir bu, il me souri & me dit "Hé, tu m'aimes ou quoi ? Je veux, sérieusement, tu es si-"il imita la face d'un mec transit d'amour, ce qui le fit rire encore plus.
J'étais passablement énervé alors j'ai attrapé ma bouteille d'eau et verser le contenu sur lui "S'il te plait, ne sois pas aussi arrogant, Mr Tigrou".
Il me frappa à l'estomac & je répliquai.
Peut-être que cet incident ne semble pas important. Mais si vous ne l'aviez jamais vu, vous ne pouvez pas comprendre mon dérapage. Vous vous souvenez de ce que j'ai dis au début ? Qu'il n'était pas un prince charmant, ni un cool & mystérieux garçon ténébreux.
A présent, je réalise ce qu'il est vraiment.
Il est un féroce animal sauvage.
Et il me dévore petit à petit.
Ainsi à commencer la complexification des sentiments que j'éprouve pour lui.
Le fait que seul nous deux (oui, juste nous deux) soyons amis n'arrangeait pas les choses. Nous étions en train de devenir très proche, si bien que nos deux familles ont commencés à se connaître. C'est troublant & gênant pour moi d'avouer cela mais je me sentais ridiculement heureux de la tournure que prenait notre relation. Il a même dit que nous étions meilleurs amis ! (C'était après quelques taquineries et coups de votre serviteur qu'il murmura ses mots. Eh bien, il était adorable donc je ne plaignis pas). Et pourtant quelque chose en moi fit rouler mes yeux et me chuchota : Tu ne vas pas sérieusement laissez les choses se terminer ainsi ?
Bien sûr, je ne voulais pas être l'éternel meilleur ami. Mais je suis intelligent. Je suis sensible. Je suis fort. Je suis invincible.
Donc, je devais tout cacher et laisser faire...
Du moins, à l'extérieur.
Mais dans mon coeur ?
Je suis sûr que c'est médicalement, physiquement, mentalement & émotionnellement impossible.
Croyez-moi, je suis un ingénieur.
(Mon père l'est, en fait).
A cet angle de la route où vous savez que vous être proche de votre destination.
Nous sommes maintenant dans la situation actuelle.
Et par situation actuelle, je veux dire moi les yeux grands ouverts, une main sur ma bouche, mon corps tremblant et suant de partout.
C'est probablement la réaction la plus expressive que j'ai eu ces dernières années.
"Tu...quoi ?"
"Je n'ai rien dit. Maintenant, si tu veux bien m'excuser..."
Comme j'essayai de marcher nonchalamment, il me saisi par le bras et me plaqua (un peu durement, je dois dire) contre le mur. Mon visage se tordit de douleur quand mon dos s'écrasa contre le mur.
Contrairement à ce que vous pouvez vous imaginer, il n'a certainement PAS mit ses deux bras de chaque côté de mon corps pour m'emprisonner ou attraper mes poignets ou tout autre action perverse, sadique qui vous imaginer derrière vos petites têtes romantiques. Il se tenait juste en face de moi (dans toute sa grandeur, ce qui est très terrifiant et intimidant) et ses yeux (son regard profond, fumant, brûlant) me fixaient. Je déglutis nerveusement et trouva soudainement le sol très, très, très intéressant. Un silence régna dans l'air pendant quelques minutes puis il dit d'un ton bourru "Répète ce que tu dis. Maintenant."
C'est vraiment tordu de ma part de penser à ça dans un tel moment mais putain:
Sa voix est incroyablement attractive.
Et séduisante.
N'oublie jamais la séduction.
Ah, je viens de perdre la dernière partie de ma santé mentale.
"Excuse moi ?"
Je n'ai pas dit ça à voix haute quand même ?
"Ma voix ? Attractive ?
Oh, je l'ai fais.
FUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU-
"Encore une fois, tu sautes aux conclusions. Ce que j'ai dis avant -et ce que tu viens d'entendre- sont de simples lapsus. Ne te préoccupe pas de ça. Maintenant, s'il te plait, excuse-"
Je déteste être interrompu. Je suis sérieux. C'est la chose la plus agaçante au monde pour moi et c'est ma grande bête noire. Je veux dire, quand quelqu'un veut parler, vous le laissez faire et vous l'écoutez.
Et vice-versa.
Mais je suppose que ce n'est pas si mal d'être interrompu surtout quand c'est par une paire de lèvres rugueuse et légèrement gercée au goût d'hamburger, que vous lui aviez offert pendant le repas, qui se pose sur les vôtres.
Je pense qu'aller à l'église tous les jours en valait la peine, après tout.
"C'est drôle, vous ne pensez pas ?"
"Qu'est-ce qui est drôle ?"
"Ce truc guimauve qu'est le coup de foudre. Je veux dire, tomber amoureux d'une personne lorsque vous la croisez pour la première fois, c'est totalement stupide."
"Vraiment ?"
"Ouais, je ne penser que l'amour soit aussi simple que ça. Tu ne peux pas avoir soudainement des sentiments pour quelqu'un..."
"Je suis d'accord. Je ne savais que j'étais amoureux de toi jusqu'au jour où tu m'as frappé au visage."
"..."
"..."
"..."
"..."
Et meeeerde.
"Tu...quoi ?"
Et voilà \o/ J'espère que ça vous a plus. Si vous avez quelque chose à reprochez à mon style littéraire ou des fautes à relever, n'hésitez pas à m'en faire part dans les reviews.
On se retrouve la prochaine fois pour un MidoTaka.
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