Chapitre 8
Une longue journée s'est écoulée, je suis rester dans ma chambre. J'avoue que je suis quand même un peu perturbée par tout ce qui m'arrive.
Je regarde depuis au moins une heure le lustre au dessus de ma tête, je peux dire qu'il a plus de trois cent pierres précieuses.
Quelqu'un toque à la porte je me redresse.
- oui ?
Edaline entre.
- Lyra, le conseil est revenu.
Je me lève et suis la jeune femme rousse. Les douze conseillers se tiennent debout dans le grand salon en compagnie, d'un homme aux cheveux bruns, aux yeux bleus et un homme plus tôt âgé.
- Bonjour mademoiselle Lyra. Me dit le dénommé conseiller Bronte.
- Bonjour. Répondis je poliment.
- Lyra, nous te présentons Alden Vacker et M.Forkle. intervint la conseillère Sophie.
- Enchanté.
- de même. Déclarent les deux hommes.
- Allez vous répondre à mes questions ? Demandais je, j'en ai tant ...
- du mieux que nous pouvons mademoiselle Lyra, beaucoup de choses sont encore dans le flou. Me répond la conseillère Velia.
- je voudrais savoir qui est Oralie. Depuis que je suis arrivée ici on n'a fait que me parler d'elle... Comme quoi je lui ressemble entre autre.
Il y eu un grand silence tout le monde se lance des regards, ils n'ont pas le courage de dire quelque chose.
- Oralie ... Était une conseillère. Engage alors d'une voix tremblante Sophie.
- Elle était quelqu'un de sensible et savais se battre pour les causes les plus justes même si parfois c'était avec une grande maladresse. Elle maintenait un équilibre dans le conseil car elle savait raisonner avec son coeur et son intuition chose que nous ne savions pas appliquer. Tout le monde, lui accordait une grande confiance. Tout le monde l'aimait. Elle aidait tout le monde. C'était une empathe très puissante et respectée. Continu le conseiller Terik.
- Oralie te ressemblait énormément, tu as son visage et ses cheveux seulement tes yeux te diffère d'elle. Ajoute Alden.
- pourquoi parlez vous d'elle au passé ?
- et bien ... Je ne sais pas comment expliquer ça sans être trop abrupte. Dit Sophie. C'est une longue histoire Lyra.
- expliquez moi même si cela est abrupte.
- Il faut que vous sachiez que nous luttons contre une bande de criminelle appelée les invisibles, ils sont extrêmement dangereux et sans pitié, ils sont facilement reconnaissable par leurs brassards avec un œil blanc . Cela depuis plus d'une quinzaine d'années. déclare M. Forkle. ils agissent dans l'ombre des cités perdues et cherchent à s'emparer du pouvoir par n'importe quels moyens. Je suis le chef d'une organisation appelée le Cygne noir allié au conseil, nous tentons en vint de luter.
- Concernant Oralie, elle a été une des nombreuses victimes des invisibles. me dit Sophie. Elle a été enlevé ... et on ne l'as jamais vu. Les invisibles nous ont fait par qu'ils l'avaient tué... il y a 16 ans.
- Ont ils toujours été aussi franches ? questionnais je perplexe.
- comment ? demande Emery.
- Ont ils toujours dit la vérité ?
- Et bien... commence Sophie.
- non. Répondit Zarina.
- êtes vous sure qu'elle est vraiment morte ?
Ils se lancèrent des regards incrédules.
- non... maintenant qu'elle le dit, comment avons nous pu être aussi aveugle ! s'exclame Sophie.
- Alors où est elle ? questionne Clarette.
- Peut être au même endroit que le dénommer Kenric ?
Après tout ce groupe étrange dans mes souvenirs avait prononcer son nom. Il semblerait même que ce soit les fameux invisibles.
- Ce n'est pas possible. Il est mort dans le grand brasier. déclare Alina.
- Mais l'avez vous vu mourir ?
- non.
-Il y a une forte probabilité qu'il soit le prisonnier de ce groupe. Peut être sert il pour des projets cruels... j'ai le souvenir d'une vision ou deux personnes parlaient de... Kenric, je n'ai pas compris en quoi constait leur projet pour lui.
- Nous allons faire des recherches, sur eux et sur vous. Dit Sophie, pouvez vous nous donner votre carnet afin de l'analyser en détail ?
- je...
- Nous y ferons extrêmement attention. m'assure t'elle.
- Je vais le chercher.
Je remonte dans la chambre. je m'approche du bureau et prend dans mes main mon carnet que j'observe longuement. Je dois leur faire confiance, du moins je suppose.
Un frôlement me fit tressaillir, je me retourne. Deux personnes dont le visage est caché par un masque, ils portent de longs manteaux noirs. et tiennent dans leur main des armes.
L'un deux s'approche de moi, je n'ai pas le temps de réagir, il m'empoigne. Je cri de toute mes forces et me débat, je sais ce qu'il me veut et je sais exactement qu'il n'est pas là pour parler.
- LACHEZ MOI ! hurlais je.
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