Chapitre 1
Les vacances ont commencé... Enfin pas pour moi, je suis obstinée à vouloir trouver la source de ces dons étranges, de ces souvenirs, de ces visions qui me hante et qui font éco dans ma mémoire.
Je longe la promenade du bord de mer... J'habite à Sept-Îles, jute en face de l'île Anticosti. Ce n'est pas bien grand mais assez pour ce faire connaître.
J'aime beaucoup marcher au bord de l'eau... déjà il y a le silence, pas une seule pensée, une seule émotion me martyrise la tête.
C'est vraiment le seul lieu où je n'ai pas de migraines constantes. Ce que j'aime sur la plage, c'est que je peux me recentrer sur moi. je m'assois sur le sable et observe tranquillement les vague qui s'échoue. Je me demande bien qui je suis réellement. J'aimerai parler de mes particularités à mes parents, mais j'ai bien peur qu'ils réagissent mal.
Il a un rêve qui me revient souvent en ce moment ... Pour du moins assez perturbant
C'est une jeune femme, très belle et grassieuse, cheveux blonds et yeux bleus, elle aux cotés de d'autres personnes, ils portes tous une sorte de diadèmes, des costumes élégants avec des rubans, des dentelles, des pierres précieuses ... Elle a l'air tellement joyeuse, gentille. Elle m'a tout l'air d'être une à qui on peut faire confiance. Mais la scène d'apres, tout devient sombre et la jeune femme se retrouve par terre, dans une pièce sans fenêtre, poings liés, les yeux fermés comme si elle dormait, la peau livide comme si elle était gravement malade. Elle a maintenant un air amaigrit, affaiblit. Son visage et ses bras sont couverts de cicatrices et de brûlures. Devant elle se tient quelqu'un que je ne peux distinguer. Vêtut de noir... Il rit aux éclats, un rire qui résonne contre les murs de la pièce.
J'ai de la peine pour elle, j'ai l'impression de la connaitre ... De l'avoir toujours connu. C'est juste une impression de déjà-vu.
Je me lève et continue de marcher. Un groupe de mouette au loin se disputent un poisson... Une brise s'élèvent et au loin une tempête s'annonce, c'est la saison. D'ailleurs les vagues s'agitent de plus en plus je ferais mieux de rentrer. Je me dirige vers l'embarcadère. Les gens se pressent. Le ciel bleu devint vite gris mais je ne me presse pas ... J'aime l'orage ...
Je vois le barman du bistrot de la plage rentrer les tables et les parasols. Le gardien du phare monte le pavillon rouge. Je traine les pieds dans le sable portant mes yeux sur la mer. Je les détourne ensuite sur la ville et sa colline qui se dessine dans une brume habituelle. Lors des journées de tempête c'est toujours ainsi. Des enfants cours se mettre à d'abris alors que la pluie commence à battre le sol. Je ferme les yeux et profite. L'eau m'attire comme le vent. Créant en moins un sentiment étrange d'attraction. Au loin le tonnerre rugis telle une bête affamée . je soupire et me dirige dans la rue principale.
Les gens courent dans tous les sens. Je ne comprend pas pourquoi ils n'aiment pas se faire mouiller par la pluie. J'arrive chez moi. Je sors la clé et entre. Je suis seule à la maison mes ''parents et mes frère et soeur '' sont en déplacement ... Tant mieux.
Enlève ma veste et mes chaussure et monte à ma chambre . comme il est doux ce silence. Je rentre dans ma chambre et attrape mon carnet ... Un journal intime où j'écris tous Ces souvenirs, visions et rêves étranges... Ainsi que la description des pouvoirs que j'ai ... Ces informations peuvent me conduire à savoir qui je suis ...
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