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Chapitre 6 : Femme fatale...

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(T/p), dans la voiture.
Relation avec Levi : En attente.
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Je conduis en silence. Levi a l'air de s'être endormi contre la vitre. Il a l'air paisible. Je le regarde, quand on arrive au péage. Je prends doucement sa main et la serre.

Je l'aime bien...malgré ses airs de clochard.

Je pose sa main sur ma jambe doucement, mais ne vais pas plus loin.

Ça ne me gênerait pas tant que ça que ce soit...avec lui que je couche... Je sais qu'il fera attention à moi un minimum, il n'ira pas se vanter après, il serait même doux avec moi...sauf si je lui demande de m'étrangler en me tringlant.

Je paye le péage et fonce. Il me serre la jambe, instinctivement. Je me mords la lèvre.

Je me plaindra pas s'il remontait sa main sous ma robe...

Je soupire et me gare devant notre immeuble. Je regarde Levi et pose ma main sur la sienne. Je détache ma ceinture et réfléchis, sans le lâcher du regard.

Hanji a sûrement raison. Je suis tombée amoureuse de lui, d'où nos disputes, nos comportements et le fait que j'ai très, très envie de lui donner ma personne alors qu'on ne se connaît que depuis quelques vieux mois. Mais...est-ce que lui m'aime ? Ou alors il n'est attiré que par mon physique ? Je veux pas forcément coucher avec si les sentiments ne sont pas réciproques. Mais pourtant...c'est le meilleur mec pour moi actuellement. Et mes sentiments, je pourrai les effacer facilement si mon avenir dans le monde de l'ombre est en jeu. Une femme fatale ne laisse pas ses sentiments l'abattre.

Je soupire et le secoue. Il grogne et ouvre les yeux. Il me regarde.

— On est arrivé, clochard.

— Tch.

Il voit sa main sur ma jambe. Il m'embrasse la main avant de sortir de la voiture, non sans boiter. Je l'aide à avancer et aller dans sa chambre.

— Retire ton pantalon et tes chaussures, je vais te soigner, ordonné-je.

— Hm.

Je prends tout le matériel pour soigner sa cheville et le retrouve, lui et ses cuisses de feu. Je le pousse à s'allonger sur le lit, remonte ma robe et m'accroupis devant lui. Je m'occupe de sa jambe en silence. Il me caresse les cheveux. Je le regarde rapidement et reprends ce que je faisais. Je lui mets un bandage et de la glace puis me redresse. Il me tire contre lui et me serre. Je le regarde, les sourcils haussés. Il pose sa main sur ma nuque, sans me lâcher du regard.

— Dis-moi, (T/p). Tu comptes faire quoi par rapport à... Par rapport au fait qu'on doive coucher ensemble ?

— Me laisser vivre. Si on finit par le faire avant la fin de notre supercherie, bah tant mieux. Sinon, tant pis.

— Et tu comptes faire comment pour ton père ? Ta mère va vraiment tout faire pour pas que ton daron vérifie que je suis passé sur toi ?

— Oh toi tu connais pas ma daronne. C'est une folle. Elle a l'air douce comme ça mais en vrai, elle est pire que moi. Elle a aucune pitié à partir du moment où on touche à ceux qu'elle aime. C'est mon modèle.

— Je vois le genre.

Je joue avec sa chemise et lui retire doucement. Il me laisse faire en silence. Je lui embrasse l'épaule tendrement, tout en le déshabillant.

J'arrive pas à résister.

Il soupire. Je lui retire complètement sa chemise. Je le regarde en souriant et lui caresse la joue. Il embrasse l'intérieur de ma main.

Il est tendre...

— T'es en robe et moi en caleçon... C'est pas très équitable..., murmure-t-il.

— Tu veux que je me pète une cheville aussi ?

J'ai pas mis de soutif. Ce sera pour plus tard ça.

— Non t'as pas mes capacités physiques, handicapé ou non... Ce serait te tuer.

Je lui pince la joue. Il me mord le doigt. Je retire vite ma main.

— Fils de pute, insulté-je en me tenant la main.

— Tu l'as dit bouffi.

Je hausse un sourcil.

Il en a pas honte ? Pas mal...

Il se redresse et croise les bras en me regardant. Je m'assois à califourchon sur lui. Il pose ses mains sur mes fesses.

— Tu sais quoi Levi ?

— Hm ?

— Je t'aime bien. Ta présence m'énerve de moins en moins.

— C'est réciproque.

Je souris en coin et pose mes bras sur ses épaules.

— Est-ce que c'est parce que tu t'es rendue compte que t'avais quelque chose à gagner dans cette mission qu'on nous a donné ? Murmure-t-il en frôlant ma peau avec ses lèvres.

Il a une vue plongeante sur mon décolleté et n'en rate pas une miette. Je bouge mes hanches contre lui.

— Tout dépend..., réponds-je. Je ne sais pas ce que tu pourrais m'offrir sauf une protection et du bon temps. T'as autre chose à proposer ?

Je remonte son menton d'un seul doigt et le regarde dans les yeux.

— Je suis plein de surprise Princesse... Et tu finiras par perdre ce petit air condescendant que tu as.

Je souris en coin. Il passe au dessus de moi. Il se colle à moi. Je retiens mes ardeurs comme je peux.

Il me fait un de ces effets... Je peux pas lui montrer pour l'instant.

Il me regarde dans les yeux, un air nouveau au visage. Il n'a pas l'air arrogant, ni énervé, ni blasé ou encore excité.

Il a l'air d'un loup prêt à dévorer sa proie. Et ça me donne particulièrement chaud. En un regard, il me tue de l'intérieur. Je ne bouge plus, je ne fais plus rien pour le provoquer. Je suis à sa merci complète.

Je penche la tête sur le côté, tout en douceur. Il pose ses douces lèvres sur mon cou brûlant. Il remonte doucement vers ma bouche, dont le rouge à lèvres n'a pas forcément tenu. Il m'embrasse sans hésiter. 

Et je le colle à moi sans même me contrôler.

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Levi, le jour après.
Relation avec (T/p) : Sex >= Emotions ?
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Je n'ai pas dormi de la nuit. L'autre en attendant, elle est en plein sommeil réparateur contre moi. On est pas allé très loin pendant la nuit. Elle a une trace de mon passage sur le cou et elle m'en a laissé une aussi.

Et c'est tout. J'ai dû calmer mes ardeurs seul. Elle ne m'a pas laissé lui retirer ses caches-tétons.

Je soupire et me redresse légèrement. Elle se blottit instinctivement. Je prends mon téléphone et regarde l'heure.

< 11h30 >

Je ferme les yeux et réfléchis.

Est-ce que je l'aime ou c'est que de l'attirance physique ? Toutes ces disputes ne sont clairement que des excuses pour se parler. Je suis carrément accro à elle. Qu'elle mette sa main sur mon torse pour marquer son territoire dans un couloir ou qu'elle me mette une énorme claque, c'est un contact non négligeable. Ce contact est passionné, passionnel et surtout sincère. Jamais elle n'a menti en me crachant à la gueule ou en m'embrassant en public. Jamais. Plus depuis la soirée de Johan en tout cas.. Et j'adore ça, bizarrement. Ça voudrait dire quoi alors ? Je tombe amoureux au point de me laisser faire ou que je suis tellement blasé que je n'ai plus peur de son poing dans mon ventre ?

J'ouvre les yeux.

En plus, elle n'a pas réagi quand j'ai pas nié le fait que ma mère était une pute. Ça voudrait donc dire deux choses : elle a fait des recherches sur moi et toute ma famille ou elle s'en fout. Et honnêtement, je pencherai plus sur un mélange des deux. Elle ne gagne rien à me juger pour ma mère mais savoir qui je suis l'aide quand même.

Je la porte jusqu'à sa chambre, en faisant attention à ma cheville. Je la dépose dans son lit et la mets bien. Elle réagit et ouvre les yeux. Je hausse un sourcil.

Elle a vraiment réagi quand je l'ai laissé ?

Elle me regarde et fronce les sourcils. Elle allait parler quand elle reçoit un message. Elle reste figée devant le message. J'allais voir ce qu'elle avait reçu quand elle verrouille son téléphone.

Et jamais je ne pourrai voir ce message. Elle serait la première à m'arracher la peau pour ça. Je prendrai pas ce risque.

— T'as quoi toi ? Demandé-je.

— Rien. Sors de là.

Je lève les yeux et sors. Je vais me préparer pour aller en cours cet après-midi.

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(T/p), seule dans la voiture, garée devant un magasin.
Relation avec Levi : En chargement.
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J'appelle ma mère, complètement perturbée par ce message qu'elle m'a envoyé :

— Maman ?

Oui chérie ?

— Je dois sérieusement faire ça pour lui ?

Pas pour lui, pour toi. Si tu fais ce que je te dis de faire, il sera littéralement à tes pieds, fou de toi. Et surtout, tu ne passeras pas inaperçue dans ton école. Et nos clients potentiels te courront après.

— Je vais surtout passer pour une fille facile pour eux.

Sauf que tu as 4 mois pour leur faire comprendre que t'es surtout une femme fatale, comme ta mère.

Je souris légèrement.

— J'espère que ça va marcher...

Ça marchera. Crois-moi. Tu n'es pas n'importe qui.

— T'as déjà fait ça toi ?

À ton avis, qu'est-ce qui a fait que ton père m'a choisi quand il avait un harem ?

— Mais Levi il a pas de harem.

Empêche le d'en avoir un si vous cassez.

— Non ne t'en fais pas. Je...pense pas qu'on cassera.

Plus rien. Puis un cri de joie.

VRAIMENT ?! TU L'AI-

Eh eh doucement... Faut pas qu'on t'entende...

— Ne t'en fais pas pour ça, jamais on ne m'entend. Mais du coup, tu as des sentiments pour Levi ? Et tu penses que c'est réciproque ?

— Oui... Je sais pas si c'est réciproque. J'ai du mal à analyser ses émotions. Il les cache bien. Sauf quand il est énervé.

C'est les Ackerman ça... Ils sont un tout petit peu trop professionnels. Tu n'as qu'à l'énerver pour qu'il parle. Tu penses que ta mission suffira pour ça ?

— Le rendre jaloux, ça c'est sûr. Il tient bizarrement beaucoup à moi. Mais l'énerver...

Cache lui tes activités alors. Quand il va faire son sport, va faire ce que tu dois faire. Il réagira peut-être pas de manière brutale mais il sera bien piqué.

— Okay... J'irai m'inscrire dans un club de pole dance.

T'es bien ma fille ! Tu me dis si tu t'en sors. Je te laisse, j'ai un manoir à remettre en ordre.

— Remettre en ordre ?

Oui il y a quelques envahisseurs qui profitent de l'absence de ton père pour nous prendre en otage. Mais moi et ta fratrie on va leur montrer que ton père n'est pas le seul cerveau du clan.

— Okay. Bonne chance ?

Me souhaiter bonne chance pour une formalité pareille serait une insulte chérie.

— Crève du coup ?

Je préfère. Bisou chérie !

J'entends des coups de feu. Je raccroche et soupire.

Ça va être long avant d'être aussi stylée et courageuse qu'elle...

Levi arrive avec deux paquets de cigarettes, peu de temps après. Il m'en lance un autre. Je l'attrape et range le paquet.

J'en allumerai une si j'ai besoin de me donner un genre.

Levi soupire et en allume une direct. Il regarde dans le vide en ouvrant les fenêtres.

— Y'a quoi, Ackerman ?

— Rien de bien grave, répond-il en soufflant la fumée de la cigarette.

— Alors pourquoi t'es pensif comme ça ?

— Parce que ton pantalon te fait des jambes d'enfer et je peux rien faire avec.

Une ouverture. Je peux le faire languir, profiter et marquer ma supériorité sexuelle sur lui. Et je vais rater ça pour rien au monde.

Je souris en coin et mets une cigarette entre mes lèvres avant de le regarder dans les yeux. Je m'assois à califourchon au dessus de lui et pose le bout de ma cigarette contre le sien. Je laisse les braises emflammer ma cigarette. Il sourit en coin légèrement, ses mains sur ma taille. Je pose ma main dans ses cheveux doux et les tire d'un coup en arrière. Il grogne et lève la tête, sous la traction.

Grogne autant que tu veux Levi... Ça me donne envie de te soumettre encore plus à moi. Te voir te défendre et tout faire pour être le dominant du couple est adorable, clochard.

Je le regarde dans les yeux, un sourire provocateur aux lèvres. Il me toise et me plaque contre lui. Une bataille de regards intense commence entre nous deux.

Et celui qui flanche croulera sous la domination de l'autre.

Il se lèche les lèvres et ricane. Il remonte ses mains dans mon chemisier. Je lui tire encore plus les cheveux. J'ai une vue plongeante sur son cou parfait. Il ferme un oeil, par réflexe. Je ricane et lui embrasse le cou, ma cigarette à la main.

J'ai gagné.

Sa main glisse dans mon pantalon et me colle à lui, non sans force. Je tressaille mais calme vite les sons gênants que ma bouche voulait émettre. Je prends une voix douce et sensuelle.

— J'ai gagné cette fois-ci, clochard.

— J'ai pas dit mon dernier mot, ma Belle...

Patiente quelques mois et je serai là à me déshabiller pour toi.

Je lui laisse une trace de mon rouge à lèvres sur le cou et les lèvres avant de m'asseoir à ma place. Il regarde le toit de la voiture et fait découvrir la fenêtre. Il regarde les étoiles sans rien dire. Je le fixe, la musique à la radio ne nous fait pas du bien.

Elle pose une ambiance sensuelle et complètement propice au sexe dans une voiture, quand je m'étais jurée en cours qu'il ne pourrait pas me déflorer avant nos six mois de faux couple.

Mais je peux faire avancer les choses en attendant...

Je soupire et prends sa main. Il me regarde du coin de l'œil. Je la fais lentement glisser le long de mes courbes, sous mon chemisier. Je garde ma cigarette entre mes lèvres et recule mon siège. Il vient devant moi et me regarde dans les yeux. Je souffle ma fumée sur ses lèvres. On partage la fumée pendant qu'il déboutonne mon haut. Je dépose ma cigarette dans le cendrier de la voiture et ouvre la fenêtre.

— T'as pas peur qu'on t'entende ma belle ?

— T'arriveras pas à me faire hurler clochard.

Je souris en coin en voyant son sourcil haussé et son regard devenir noir de désir en me déshabillant. 

Eh oui. J'ai pas mis de soutien-gorge cette fois-ci. Et...je suis assez à l'aise pour que tu les vois.

Il lève les yeux vers moi et retire la cigarette d'entre ses lèvres. Il m'embrasse langoureusement et penche le siège en arrière. J'enroule mes jambes autour de lui.

Et disons que j'ai réveillé la bête et qu'elle n'a pas pu se défouler ce soir.

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Levi, en cours, le jour suivant.
Relation avec (T/p) : Sex or Emotions ?
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Je regarde (T/p) écrire devant moi. Elle réfléchit, écrit, rectifie ce qu'elle a écrit et recommence jusqu'à être satisfaite. Le soleil tape légèrement sur sa douce peau, ses lèvres maquillées et les quelques bijoux qu'elle porte. Elle s'étire. Son parfum envahit mon nez.

Elle sent la puissance. Elle sent la femme fatale. Son apparence de princesse est en totale contradiction avec qui elle est et ce qu'elle dégage. Ça crève les yeux que l'héritière des (T/n) va transformer le monde de l'ombre.

En bien ? En mal ? Qui suis-je pour le décider sauf le pouvoir exécutif dans la monarchie que cette alliance va indirectement instaurer ?
Les Ackerman ne sont pas connus pour leurs décisions mais pour leurs actions et leurs alliances. Et c'est clairement l'inverse pour sa famille. Nous sommes faits pour nous allier. Nous sommes complémentaires.

Et nous allons régner sur ce putain de monde de mes deux.

Elle a quand même réussi à me convaincre de lui lécher la poitrine dans la voiture, en pleine soirée, garée devant un magasin avec la fenêtre ouverte. Moi qui m'étais juré de me tenir à carreaux.

Elle me voit et sourit. Elle me souffle un baiser. Je lui rends sans même réfléchir. C'est devenu instinctif. Elle se retourne vers moi et me tend sa feuille. Elle me pose une question. J'y réponds tranquillement, appuyé sur ma main depuis le début du cours. Elle lève les yeux vers moi. Je la vois zone out. Je la laisse faire. Elle finit par se réveiller et rougir un peu en voyant que je n'ai pas cherché à la réveiller. Je lui embrasse le front.

Mes sentiments prennent le dessus sur ma raison on dirait. Je craque pour elle. Et surtout, je ne chercher même pas à m'en empêcher.

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