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Chapitre 3 : La Paix...?

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(T/p), en soirée.
Relation avec Levi : C'est trop compliqué
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Je me perds dans l'appartement de Johan et son frère. Je vais dans un lieu calme avec Levi. Je lui tiens la main et le tire dans une chambre. Je m'assois sur le lit pendant qu'il sort une cigarette. Je soupire et me laisse tomber sur le lit. Je commence à lui parler, un peu fatiguée :

— Faut qu'on trouve un moyen de se supporter Levi.

— Pourquoi ? On s'en sort bien pour le moment non ?

— Dans un mois, ce sera plus la même chose. On va s'entretuer. Tu vas m'en mettre un et je vais me défendre. Une fille va prendre la confiance et appeler la police pour violences conjugales parce que je marque vite et que mes bleus sont bien visibles, tu va mal finir, l'alliance va péter et le monde avec.

— Certes. Tu voudrais qu'on fasse quoi alors ?

— On doit se trouver des qualités.

Même moi j'y crois pas à ça.

— Ah. Bah vas-y commence. Y'a quoi de bien en moi ? Demande-t-il sans aucune forme de classe ou de tact.

— Tu vas droit au but. Tu cherches pas la douceur ou à tourner tes phrases dans tous les sens. T'as pas de temps à perdre, complimenté-je en me redressant. À ton tour. Y'a quoi de bien chez moi ?

— T'es réfléchie. Toutes tes actions ont un sens, un but. Tu mets tes efforts là où il faut de sorte à ne rien regretter après. Tu cherches à te mettre en sécurité avant tout. Et ça, c'est pas si mal.

Je souris légèrement.

On vient tout juste de transformer une des choses qu'on détestait le plus envers l'autre en bon point.

Il finit son verre et me regarde, l'air satisfait.

— T'es mignon quand t'as pas l'air de vouloir tuer tout le monde, le Clochard.

— Et toi t'es adorable quand t'es pas en train de juger toute la population, la Belle.

Il sourit en coin. Moi aussi. Il s'assoit à côté de moi et souffle la fumée de sa clope.

— Si on fait ça plus souvent, On finira par pouvoir se saquer Levi.

— Ouais... Tous les soirs, on devrait faire ça. Ça nous forcera à apprendre à se connaître et à être plus crédibles.

— Pour se connaître, faudrait qu'on se parle dans l'appartement. Mais une chose à la fois. On se supporte puis on se connaît.

Il lève les yeux.

Manque plus qu'à faire un plan pour être crédible auprès de Johan et c'est bon. Notre couverture sera bien installée.

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Levi, en soirée.
Relation avec (T/p) : Ça se détend...?
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Je suis assis avec d'autres gens sur un canapé. (T/p) s'est assise sur moi. Elle a sa tête sur mon épaule et une main sur mon torse. Son souffle calme et chaud dans mon cou me chatouille légèrement. Son parfum n'est pas un parfum comme les autres. Quand on ne fait pas attention, on pourrait dire qu'elle se contente de mettre un parfum floral acheté dans une grande parfumerie. Mais quand on fait attention...c'est plutôt un mélange d'odeurs diverses et variées qui, mélangées, donne une odeur bien spéciale. 

Et elle l'a complètement prévu et calculée à la perfection.

La douceur des fleurs calme l'acidité des agrumes, mélangé à la force de la noisette. Elle sent comme une odeur d'indépendance. Elle respire la liberté et la liberté émane d'elle par ses gestes, ses paroles et son parfum.

Elle ne rigole pas.

Sa main sur mon torse me caresse tout doucement. Elle défait deux boutons de ma chemise et touche ma peau. Elle glisse ses ongles sur moi. Je frissonne, sans pouvoir me contrôler. Sa simple main sur ma peau me fait oublier la raison de notre présence ici. J'ai juste l'impression d'être dans un pré, au soleil, en train de siroter un thé froid pendant que ma petite amie dort contre moi.

Peut-être que...ce sera elle ma petite amie en vrai. Je peux pas nier le fait qu'elle me fait de l'effet. Mais...j'aime pas quand elle fait semblant de me cala. Et en même temps, j'ai de plus en plus envie de la voir sourire, bouder, faire une grimace quand je l'embête... Je veux la protéger, l'honorer et lui donner une raison d'avoir confiance en moi. Mais ses plans...je m'en passe avec la plus grande des insolences.

Je la vois attraper un verre sur la table et le descendre.

Je suis pas essentiellement sûr que ce soit du jus d'orange par contre.

Je lui murmure à l'oreille :

— T'es pas censée conduire pour nous ramener...?

— J'ai eu une idée...pour donner un peu plus de crédibilité à notre couple.

— Je t'écoute.

Elle colle sa joue à la mienne et parle tout bas, en faisant attention à ce qu'on nous entende pas. Elle utilise un argot de mafieux pour pas qu'on nous comprenne. Je fais la traduction dans ma tête direct. Elle me décrit son plan :

— On va dormir ici tous les deux. Je vais faire semblant de me mettre une bonne grosse race. Je vais boire de l'alcool jusqu'à ce que je sois bien pompette mais toujours un peu maîtresse de moi-même. Puis tu me feras des verres qu'avec des trucs sans alcool et je ferai semblant d'être ivre. Faudra que tu forces pour qu'on dorme dans une chambre seuls... On se colle l'un à l'autre, pas très habillés. On laisse la porte ouverte et on attend que Johan nous voit...

Je hoche la tête, en guise d'approbation. Elle m'embrasse la joue et se remet dans sa position initiale. Je ferme les yeux et me repose un peu. Entre la musique, les gens qui crient et la princesse sur mes genoux, je suis vite fatigué. Mais je dois suivre le plan et ne pas me laisser abattre si vite.
Je laisse (T/p) descendre des verres et des verres, jusqu'à être semi-morte. Ensuite, c'est moi qui lui fais les verres. Je lui mets rien d'alcoolisé mais elle feint une ivresse assez violente. Elle hésite même pas à aller bouger ses fesses avec les autres filles sur du Nicki Minaj.

Et j'avoue que j'ai adoré ça. Je vais pas le cacher. Voir sa jupe dangereusement remonter jusqu'à ses fesses et elle qui vient bouger ses hanches contre moi... Ça me fait de l'effet. Carrément.

Elle vit sa meilleure vie pendant que je fais semblant de m'inquiéter. Elle fait semblant de trébucher. Je l'attrape et la colle à moi. Elle rit et se blottit contre moi. Elle me regarde dans les yeux et m'embrasse le cou. Je la laisse faire et l'emmène au calme. Je lui tiens la tête et discute avec Johan :

— T'as pas une chambre pour nous deux ? Elle va pas tenir plus longtemps. Elle commence déjà à péter un câble.

— J'en ai une mais y'a que un lit une place.

— C'est bon t'en fais pas. Amène-nous à la chambre.

Il nous ouvre une porte. On entre tous les deux et on se déshabille.

Et la jeune femme est incroyablement belle. Elle est juste magnifique. Elle n'est pas parfaite et refaite comme les Kardashian. Elle a accepté ce que certains pouvaient voir comme un défaut chez elle. Elle s'affirme et est à l'aise dans son corps.
Et ça la rend encore plus magnifique.
Elle n'a gardé que ses sous-vêtements et sa jupe. Elle me fait signe d'ouvrir ma braguette mais de ne pas enlever mon pantalon. Je le fais et vais ouvrir la porte. Je me mets torse nu devant elle et la rejoins dans le lit. Elle me colle. Je sens ses tétons contre ma peau et clairement, on va pas se mentir, c'est agréable. Elle me regarde et soupire :

— Profite. C'est la seule fois où ça va arriver.

— J'en suis conscient. Je fais pas ça par plaisir non plus.

— Pourtant t'as l'air d'apprécier...

Elle joue avec l'élastique de mon caleçon. J'attrape sa main et l'empêche d'aller plus loin.

— T'es bourrée jeune fille. Abuse pas, empêché-je.

— Alors avoue que t'as envie de me sauter. Tu me détestes mais mon cul tu l'adores.

Elle me regarde dans les yeux. Ça crève les yeux qu'elle a du mal à contrôler ses paroles. Ses verres devaient être assez chargés en alcool, voire purs.

Mais pourquoi elle aurait descendue autant d'alcool ? C'est pour supporter l'idée de devoir se coller à moi comme ça ? Mon ego en prend un coup.

Elle met sa jambe sur la mienne et me caresse les cheveux en souriant. Je reste neutre.

— Allez Levi... Admets le fait que tu me trouves magnifique et je te laisse...

Je lève les yeux et cherche un moyen pour la faire taire.

Je lui dirai JAMAIS que je la trouve belle. Hors de question. Elle serait trop heureuse et c'est clairement pas mon but de la rendre heureuse actuellement. J'en ai envie mais non. elle va prendre la confiance. Mais...Je pourrai lui montrer.

Elle continue de dire n'importe quoi. Je finis par craquer et l'embrasser, pour qu'elle se taise. Elle écarquille les yeux et me rend le baiser. J'y prends vite goût et elle aussi, clairement. Elle vient à califourchon sur moi et me regarde dans les yeux. Elle me caresse la joue.

J'aime bien... J'avoue, j'aime bien quand elle est proche de moi.

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(T/p), en soirée avec Levi.
Relation avec Levi : No comment.
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C'est ça ma fille. Fais semblant d'être bourrée avec lui. Tu pourras l'embrasser sans aucune forme de regret et il mettra ça sur le dos de l'alcool. Tu pourras lui dire tout ce que tu penses et mettre ça sur le dos de l'alcool.

J'y ai pris goût à sa voix fatiguée et ses yeux perçants. Il est dangereux pour moi. Il me donne envie de faire des folies alors qu'on ne peut même pas passer 2 heures sans se monter en l'air quand on est dans l'appartement.

Peut-être que...ce moment-là va faire changer les choses...?

Je lui caresse les joues. Il me laisse faire en se mordant la lèvre. Il soupire quand j'embrasse son cou. En plus, il y a une musique sensuelle en fond.

Ça me met encore plus d'humeur joueuse. Mais on va pas abuser. Il reste un bourrin sans cervelle. Je vais pas le laisser m'avoir comme ça.

Je me laisse tomber sur lui. Il laisse ses mains sur ma taille et m'embrasse la joue. Je ferme les yeux en souriant.

Tu feras genre que tu ne te souviens plus de ce moment demain matin s'il te demande...

Je laisse ma main sur son cœur. Je le sens battre tranquillement. Bizarrement, ça me détend. Ça le rend...bien moins agressif. Le savoir calme me met de bonne humeur, comme si je m'inquiétais pour lui. Il est mignon comme tout. Il me tient contre lui comme si j'étais vraiment importante pour lui et il me regarde comme un mec regarderait sa petite-amie bourrée.

Et ce regard ne me laisse clairement pas indifférente.

J'arrive pas à lui rendre cette tendresse inopinée. C'est plus simple de m'énerver contre lui, l'insulter de tous les noms que d'être tendre avec ce fou. Il est là à me regarder sans rien dire, à faire attention à mes cheveux, ma jupe et mon maquillage léger. Il se comporte en véritable petit-ami et ça me perturbe.

J'avais pas prévu qu'il y prenne autant goût à cette situation.

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(T/p), le matin même.
Relation avec Levi : Mensonge, illusions et interrogations.
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On a pas dormi de la nuit. On était trop occupés à voir si l'autre allait bien et s'embrasser sans raisons.

Je pourrai pas faire genre que je ne me souviens pas de cette nuit. Flûte.

J'ai pris goût aux caresses qu'il me faisait dans le dos. Et j'ai l'impression que les caresses dans le cou, du bout des ongles, sont son point faible. Il m'énerve déjà un peu moins que d'habitude. On a passé 4 heures sans s'insulter ni même se parler sérieusement. Il m'a juste raconté ce que m'a dit Jake. J'ai répondu avec un baiser sur sa mâchoire plus aiguisée que des couperets. Mais j'ai quand même eu envie de lui mettre une grande gifle quand il gigotait ou quand il faisait du bruit.

Faut qu'on ai un plan pour que Johan ou Jake pense qu'on a couché ensemble. Ou qu'au moins, la soirée s'est bien finie pour nous deux. Ils ne sont pas venus voir ce qu'il se passait dans la chambre. Ils sont un peu moins tordus que je pensais. Mais j'avais de quoi douter entre la drague pas du coup appropriée du blond et ce que Le Brun, décédé à la vodka pure, a dit à Levi...

Je me redresse et regarde mon mafieux. Il lève les yeux vers moi en silence.

— Tu veux quelque chose ? Demande mon faux petit-ami.

Je hoche la tête puis pose mes lèvres sur l'espace entre son cou et sa clavicule. Je lui lâche mon plus beau suçon et lui fais signe de m'en faire un. Il le fait.

Son obéissance est sans failles... Soit c'est un mec qui n'est pas fait pour mener une troupe, soit il a une confiance aveugle en moi.

Je tressaille et me colle un peu plus à lui. Il prend tout son temps pour me faire ce fichu suçon.

Il en veut encore. Mais je le laisserai pas avoir plus. 

Je mets sa chemise et sors. Il fronce les sourcils et me suit. On voit pleins de gens complètement torchés allongés au sol en train de dormir comme des clochards. Je regarde Levi, amusée. Il me lance un regard mauvais.

Il a vite compris ce que j'allais dire le bourrin...

Je passe mon bras sur sa taille pendant qu'il remonte sa braguette. Je caresse sa peau.

Ça y est. J'y ai pris goût. Je saurai plus si j'agis par envie ou nécessité quand je serai tendre avec lui et ça va rendre les choses ambiguës jusqu'à ce que nos parents nous disent d'arrêter les bêtises et nous séparent. Nique sa mère.

Je le regarde, sans même savoir pourquoi. Il me voit le fixer, du coin de l'œil. Il m'embrasse la joue tout doucement. Je ferme les yeux et lui caresse le torse lentement. Il frissonne. Je laisse ma main sur ses abdos bien dessinés et cherche un des jumeaux.

La mafia quand on est mercenaire ça paye bien... Entre ses jolies fesses bombées et ses abdos de feu... J'ai carrément envie qu'il me menace de me sauter jusqu'à ce que je m'évanouisse en me tenant la gorge contre le mur.

Je vois Johan. Je vais lui faire la bise. Il pose sa main sur ma taille, un peu brutalement que d'habitude. Levi pose sa tête sur mon épaule et se colle à moi, faisant resserrer sa prise à Johan.

Je sais ce que tu veux. Et tu n'auras rien.

Il regarde Levi en souriant :

— Je vois que la soirée a été sympa...

Si Levi a un minimum de matière grise, il va réagir au commentaire. Et si j'ai de la chance, il va remarquer que Johan est un peu tendu.

— En effet elle l'a été..., répond parfaitement Levi en me récupérant. Mais toi ça va ? T'as l'air un peu tendu par rapport à d'habitude.

Je retiens un sourire et laisse Levi mettre sa main où il veut sur moi. Je ferme les yeux contre lui. La fatigue commence à frapper. Mais c'est moi qui conduit ce matin.

— Oh non ça va. Juste eu un réveil un peu difficile avec tout le bruit qu'il y avait encore à 7 heure...

— Du bruit ? On entendait que la musique depuis la chambre.

— Oh vous avez raté la récompense des filles pour les mecs disons...

Ça y est. Je déteste officiellement ses soirées. Misogynie à son paroxysme en plus de croire qu'on est des putes. Allez azy, plus aucune pitié pour lui. Je vais lui vider son compte en banque et le forcer à se plier à moi et Levi.

J'ai pas forcément besoin d'une récompense d'une autre fille. On a pas raté grand chose, relativise Levi.

Je le regarde, légèrement surprise.

Il...est sincère ? Non sûrement pas. Il joue son rôle de mec. C'est tout. Rien de plus. Il a dû apprécier une meuf presque à poil contre lui et ce soir, c'était moi. Ça devait être ça. Ça doit être ça. Il pouvait pas...être sérieux en m'embrassant toute la nuit et...en étant démonstratif alors que ça crève les yeux qu'il est...pas très social...et en...me serrant contre lui...pour pas que j'ai froid...

Je souris un peu plus et me colle à lui. Je regarde le blond. Il fixe la main de Levi dans le bas de mon dos. Je descends la main de Levi légèrement, pour embêter Johan. Le noiraud discute avec lui :

— Merci pour l'invitation en tout cas. C'était sympa.

— Vous êtes les bienvenus !

— Tu diras à Jake de faire des verres un peu moins chargé. Ça lui fait dire n'importe quoi.

— Oh ça c'est normal. L'alcool lui va pas trop.

— J'ai remarqué.

— Vous avez besoin d'un taxi ? Un café ? À manger ?

— Si t'as un thé noir et un/une (b/c)... On dit pas non.

Je souris bêtement et lui embrasse les lèvres doucement.

Il a remarqué que je prenais des (b/c) le matin... Il s'en est souvenu...

J'attends les boissons pendant qu'il va vérifier qu'on a tout récupéré dans la chambre. Et connaissant ses envies de nettoyage, il sûrement dû ranger un peu aussi. Il revient avec nos vestes et me met la mienne sur les épaules. Je savoure mon/ma (b/c) pendant qu'il boit son thé noir d'une manière tellement atypique que j'arrive pas à décoller les yeux de sa main sur sa tasse.

Il a peur de casser la anse ?

On met les tasses dans le lave-vaisselle et on remercie Johan avant de partir. Je prends les clés et vais place conducteur. Levi va à côté de moi. Je souffle et le regarde.

— Levi... Ce...qu'il s'est passé cette nuit. Tu compte faire comme si de rien était ou vivre avec ?

— Vivre avec. J'ai... J'ai aimé ce moment avec toi, honnêtement. Et en plus, on a réussi à même pas s'embrouiller alors qu'on a passé littéralement 4 heures collés l'un à l'autre chez un inconnu. Je pense que...on a mal débuté.

— Clairement. On a laissé les préjugés nous contrôler.

Il hoche la tête et me tend la main.

— On fait la paix ? Propose-t-il.

C'est old school tout ça.

— On essaie, accepté-je en serrant sa main.

Et bien sûr, il a une poigne non négligeable et a failli me broyer la main.

— Mais merde Levi fais doucement avec ta main là ! T'as failli me briser les os !

— T'avais qu'à être plus résistante. J'y peux rien si t'es une princesse fragile.

— Comme si le fait d'être un clochard sous adrénaline était une bonne chose.

Je démarre la voiture et conduis.

— Tu recommences encore avec ça ? Mais t'as déjà vu un clochard ou tu restais enfermée dans la plus haute tour de ton château en permanence ? Attaque-t-il.

— Bien sûr que j'ai déjà vu un clochard. Mais c'est sûr que tu dois t'y connaître mieux que moi à force de les côtoyer en permanence, riposté-je.

Et une énième dispute éclate, alors qu'on venait à peine de faire la paix.

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