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Chapitre 10 : La Famiglia...

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(T/p), en sortant du bain avec Levi.
Relation avec Levi : Running around the bush.
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Levi me donne des affaires propres et sèches à mettre, dont un caleçon.

— Tiens princesse.

— Le caleçon va pas être grand un peu ?

— Avec ton gros cul ? Ça passe tranquille.

Je lui mets une claque derrière la tête, qu'il me rend. Je m'habille en lui tournant le dos. Quand je me retourne, il est toujours torse nu. Il met une crème spéciale sur son tatouage et enfile un t-shirt noir simple. Il va sur le lit et me fait signe d'approcher. Je finis de fermer la chemise qu'il m'a donné et vais sur lui. Il hausse un sourcil. Je ricane et joue avec son visage.

Il a la peau douce le boug...

Je m'amuse et le couvre de baisers. Il a un très léger sourire aux lèvres. Je pose mon front contre le sien et le regarde dans les yeux. Il caresse ma joue. Je pose son autre main sur ma cuisse. Il entrouvre les lèvres. Je souffle et remonte sa main à l'intérieur de ma cuisse, tout doucement.

Espérons qu'il comprenne le message et que...il n'y aille pas trop fort.

Il me fait passer au dessous de lui. Je plisse les yeux.

— Qui t'a dit que tu pouvais faire ça clochard ?

— Qui t'héberge et t'habille déjà ?

Je lui mords la joue. Il me tape la tête pour me faire lâcher mais j'abandonne pas. D'un coup, j'ai chaud. Je sens une pression énorme au niveau de mon bas-ventre et un gémissement sort tout seul de ma bouche.

Fichtre.

Levi réussit à dégager sa joue et me regarde, amusé. Je vois qu'il a juste son pouce entre mes jambes. Je rougis d'un coup.

J'ai autant réagi...pour un doigt ?

Je le regarde droit dans les yeux. Je ne vois que lui. Il a les roues légèrement rouges et le regard embrasé par l'excitation. En posant ma main sur la sienne, l'air amusé sur son visage devient encore plus sexy. Il prend un air et une attitude de dominant. Il n'a pas besoin de me tenir en place, je peux pas bouger quand j'ai un tigre au dessus de moi. Je le regarde dans les yeux. Il n'a plus sa raie sur le côté habituelle, ses cheveux lui tombent devant les yeux. Ils sont toujours un peu mouillés et ondulent un peu. Je les touche aussi. Je souris légèrement.

Je suis complètement accro à lui et tout ce qu'il est. Tout.

Il me murmure à l'oreille :

— Tu sais... Si on t'entend, ce sera plus la peine d'être si sérieuse devant nos pères...

— Alors vas-y amuse-toi... T'arriveras pas à me faire mouiller. Je vais juste simuler pour ton plus grand plais-

Il appuie plus fort entre mes jambes. Je me mords fort la lèvre et plante mes ongles dans sa peau. Il n'aura plus droit à un son de ma bouche. Ça lui ferait trop plaisir à ce con.

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Levi, sur le balcon.
Relation avec (T/p) : Can't sleep, won't sleep.
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Je viens de finir de soulager les ardeurs de (T/n). Elle est allongée dans le lit, emmitouflée dans la couette. J'essuie mes doigts, une cigarette entre les lèvres. Je me pose sur la chaise dans mon balcon et regarde dans le vide.

Clairement, ce que j'ai ressenti en la satisfaisant il y a peu, c'était pas seulement de l'attirance physique. J'étais heureux de voir que c'était moi qui la faisait réagir ainsi. J'étais heureux de la voir apprécier ce que je lui donnais. J'étais comblé quand elle me collait à elle, quand elle essayait de me rendre la pareille. Mais c'est pas si simple quand on est aussi sensible qu'elle et que c'est la première fois qu'on touche à un appareil reproducteur masculin. Mais...j'ai tout fait pour qu'elle comprenne que...je ressentais quelque chose pour elle. Je ne sais pas si c'est de l'amour, je ne l'ai jamais ressenti. Mais...j'ai l'impression que ce couple ne va pas casser à la fin du contrat entre nos darons.
Je l'espère en tout cas.

Je me soulage seul en fumant. J'entends la Belle couiner. Je la regarde. Elle a sorti la tête de la couette et me fixe. Elle me tend les bras comme un gosse qui a fait un cauchemar. Je soupire, remets mon caleçon en place et vais la voir. Je vais dans ses bras. Elle me force à m'allonger et me caresse le bas du ventre tout doucement. Je frissonne et la regarde. Elle sourit :

— Laisse-moi te soulager... Ce serait injuste si je te rendais pas la pareille.

— Comme tu voudras princesse...

Elle rougit un peu et glisse sa main dans mon caleçon. Je lui caresse la nuque, pour la calmer un peu. Elle souffle et lâche la pression. Je souris en coin et la laisse s'amuser avec moi.

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(T/p), le jour suivant.
Relation avec Levi : Going well.
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Je m'habille avec des vieux vêtements de Levi, n'ayant toujours pas de fringues. Je sens son parfum si masculin et propre sur son pull. Je mets un de ses vieux pantalons. L'héritier Ackerman vient contre moi, dans mon dos. Il me serre doucement.

— Pas besoin de mettre un pantalon... Le pull est bien oversized, ça te fait une robe.

— On est en hiver Levi.

— On peut te fournir un collant.

— Ouais amène ça. Mais je veux qu'un collant ! Pas une tenue complète !

Plutôt crever que de perdre l'opportunité de me pavaner avec son pull.

Il lève les yeux et m'embrasse le cou avant d'y aller. J'attends qu'il sorte de la chambre pour m'assoir sur le lit et sentir l'odeur du pull encore et encore. Je ferme les yeux et laisse mon imagination me jouer des tours. Je vois Levi dans les plus grandes situations clichés. Mais qu'est-ce que c'est bon.

Levi qui tue un ennemies de sang froid, en costume noir et rouge.
Levi qui me surprend avec une soirée pizza-catch.
Levi qui satisfait mes ardeurs avec sa simple main et m'aide à faire de même avec lui.
Levi qui prend ma main et me dit qu'il m'aime, dans l'oreille.
Levi qui me couvre à la fin de ma prestation de pôle dance, jaloux mais excité.
Levi qui jalousent sur les autres mecs quand je regarde leurs culs de feu, sans même faire attention.

Levi qui me comble de bonheur sans même remarquer. Il ne fait pas ça par obligation, sinon j'aurais dormi par terre, pas contre lui. On n'aurait pas passé une délicieuse nuit, on aurait pas gagné la course-poursuite et Johan serait toujours libre de ses dépenses et plus sous mon contrôle.

Il me montre à sa manière son affection pour moi. Et je ne le remercierai jamais assez pour rendre ma vie un peu plus agréable depuis qu'on a appris à se supporter.

Je sens quelqu'un me secouer. J'ouvre vite les yeux et sors de ma rêverie. Levi me tend des collants. Je les enfile, mets un de ses caleçons par dessus pour que le collant tienne, cache tout ça avec le pull, mets une ceinture autour du pull et mes chaussures. Levi m'attrape avant même que j'ai le temps de me maquiller. Il m'embrasse sans même m'expliquer ses raisons d'un tel attrait. Je le laisse faire, curieuse. Je le regarde sans rien dire. Il laisse sa tête dans mon cou.

— Ne te prépare pas si vite... On a encore deux bonnes heures avant de partir. On a annulé un de nos cours.

— Ah bon ?

— Ouais regarde tes mails. Mais tu sais ce que ça veut dire ?

Il me regarde dans les yeux. Je souris et laisse mes mains sur son torse. Je le pousse sur le lit et me laisse tomber sur lui, lui coupant la respiration au passage. Il me pince la nuque, je ris et le câline. Je le laisse embrasser mon cou et ferme les yeux. Il me caresse la nuque en silence. J'entends la porte s'ouvrir. Je fais semblant de dormir, par flemme de communiquer. Heureusement, j'ai le visage du côté du balcon, on peut pas voir mes yeux ouverts en entrant dans la chambre.

Seul Levi peut. Et je sais qu'il a remarqué.

— Tu veux quoi ? Crache-t-il à la personne qui entre.

— Rien de spécial. Juste te voir.

Ah tiens. Je connais pas vraiment cette voix.

Bah c'est bon. Tu m'as vu, retourne sucer mon père.

— C'est comme ça que tu parles à ta belle-mère ?

— Je sais très bien ce que tu veux et ce que tu attends de moi. Mais tu peux toujours crever pour que ça arrive.

— Et à ton avis je veux quoi ?

— Moi dans ton lit et mes couilles dans ta gorge. Je t'ai vu essayer de faire clamser le vieux pour que tu sois tranquille avec moi. Mais non. Ça marche pas.

— Tu ne devrais pas parler comme ça devant elle. C'est l'ennemie malgré tout. Elle pourrait te la mettre à l'envers.

— Sauf que je m'en fous, elle dort. Et que tu n'as absolument pas nié ce que j'ai dit.

— T'es mignon Levi... Tu ne m'échapperas pas. Tu le sais ça ?

— Tu me prends vraiment pour un con.

— Faux. Tu es tout simplement un bijou qui mérite mieux qu'une petite princesse comme fausse copine.

— Ah oui c'est sûr qu'une meuf qui ne veut que l'argent et la gloire c'est cool. Je préfère encore une princesse à toi.

— Laisse-moi te dire une chose Levi.

— Quoi encore.

— Méfie-toi. Le danger est plus proche que tu ne le crois.

— Tch.

Elle part. Je lève la tête, un sourcil haussé.

— Sérieusement ? Soupiré-je ? Ta belle-mère a un crush sur toi ?

— Et essaie d'utiliser son autorité sur moi depuis que mon daron l'a ramené ici.

— Mais elle a quel âge pour ça ? C'est ta belle-mère, elle doit bie-

— Elle a ton âge.

— ...Dis-moi que le mariage était légal.

— T'as vu mon père ? Même ma conception n'était pas légale. Tu t'attends à quoi de plus ? J'ai pas une famille complète de gens badass. Mes cousins le sont, tout autant que moi. Mais le baron et sa pute, bah non.

— Putain... Ça doit être tellement chiant.

— Ça va surtout l'être pour toi. Elle va te tester et te provoquer pour que tu rages et qu'on s'engueule.

— On a pas besoin d'elle pour ça.

Il souffle du nez pendant que je joue avec sa lèvre inférieure.

— On s'engueule bien assez tous les deux..., commencé-je.

— Et on se réconcilie de la meilleure des manières..., complète-t-il.

Je l'embrasse quand la porte s'ouvre. Je tourne la tête et vois ma mère, qui sourit.

— Oups ? Lance-t-elle comme si c'était normal.

Je me redresse direct et rougis. 

J'avais pas prévu de me faire choper en train d'embrasser mon mec dans sa chambre par ma mère.

— Ne t'en fais pas (T/s), je ne dirai rien à personne sur votre amourette. Par contre...tu te souviens quand je t'ai dit que j'essayais de garder tes frères hors de tout ça ?

— Ouais ?

— Giorno a décidé de te traquer à l'université et Jon sera votre chauffeur attitré pour tout le temps que vous passerez ici. Mais tu sauras tourner ça à ton avantage n'est-ce pas ?

— C'est ma définition ça.

— Je vois ça. Jolie marque sur le cou d'ailleurs ! Pense à couvrir ça, ça fait très gamin.

Je cache ma gêne comme je peux. Ma mère me lance un sac avec des habits et ferme la porte. Levi me fixe, un sourcil haussé :

— Donc ta mère vient sérieusement de dire...petite amourette ?

— On... On dirait bien...

Je détourne le regard. Il soupire et se redresse. Je le regarde sans rien dire, les mains sur son ventre. Il me caresse la tête.

— Tu... Tu veux faire passer ça au stade supérieur ? Murmure-t-il.

— Comment Levi...?

— Des bracelets que l'on s'offre l'un à l'autre. Certes, c'est niais. Mais ça prouverait que...tu es ma petite-amie à moi.

Je souris bêtement et le serre contre moi. Je murmure à son oreille :

— Je préfère un tatouage...

Il ricane et hoche la tête.

— Partons sur ça alors...

=====
Levi, devant la voiture, seul.
Relation avec (T/p) : Trouver le tatoueur.
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Je m'appuie contre la voiture qui nous emmène à l'école. Je déballe une sucette et la mets entre mes lèvres. Je vois un grand mec arriver avec les clés de voiture. Il ressemble à (T/p). Il me regarde de haut en bas et me fait signe d'entrer dans la voiture.

C'est l'heure de convaincre le beau-frère.

Je le suis et le regarde, les bras croisés. Il verrouille les portes et me fixe.

— Alors comme ça, c'est toi qu'elle appelle tous les soirs quand vous n'êtes pas ensemble, introduit le fameux « Jon ».

— Ouais. Ça pose un problème ?

— Tout dépend de ce que tu veux d'elle.

— Rien d'éthiquement incorrect.

— Tu sais très bien que je te croirai pas tant que je n'ai pas la preuve que tu dis la vérité. Oh et si jamais, je suis au courant pour votre mission de merde. Toute notre famille est au courant même.

— Alors pourquoi tu t'inquiètes pour elle ? Tu crois vraiment que j'allais la faire souffrir quand mon avenir en ce monde en dépend ?

— Quoi ? T'as peur que je te tue ? Sourit-il.

— Tu sais pertinemment que ça n'arrivera pas. T'es sur tes gardes depuis qu'on est seuls dans cette voiture car tu sais que je peux la faire exploser sans même que tu aies le temps de me toucher avec une arme.

— T'es perspicace pour un Ackerman.

— T'es pas si égoïste pour un (T/n).

On plisse les yeux tous les deux.

— Je te prouverai pas ma valeur Ackerman.

— De même. C'est pas toi qui scelle cette alliance. Je m'en fous si tu ne m'aimes pas ou si tu penses que je ne veux que sauter ta sœur et me casser.

— Ah donc c'est vraiment ce que tu veux ?

— Non.

— Alors tu lui veux quoi ?

— Le même avenir que moi.

Il hausse un sourcil puis sourit en coin.

— Tu es bien trop direct pour ce monde Levi... Bien trop honnête. Faut quelqu'un pour t'apprendre les bonnes manières de mafieux.

— Dis celui qui me fait un faux interrogatoire depuis 10 minutes.

— T'as besoin qu'on te dresse comme le chien de garde que tu es. Tu es bien trop sauvage pour être un mafieux.

— Oh quel dommage. Tu n'arrives pas à me faire parler en ta faveur donc tu boudes... Sauf que t'as oublié que j'ai eu le droit aux embrouilles de ta sœur pendant des mois.

Il serre le volant et me regarde à travers le rétroviseur. Je reste neutre et ne montre rien.

— Tu comptes faire quoi du coup Jon ? Faire en sorte que ta sœur me déteste ? Bonne chance, il en faudra bien plus pour ça.

— Ne t'avoue pas vainqueur si vite. Tu ne sais jamais ce qu'il peut arriver et ce qu'elle a préparé pour toi à la fin de ce contrat entre nos deux pères.

Je lève les yeux.

— Tu t'inquiètes pour rien, vraiment. Déjà, c'est une mafieuse qui n'a pas peur de se salir les mains. Elle survivra dans tous les cas. Ensuite, je suis avec elle et je suis littéralement né pour tuer mes ennemis. Si toi tu es sur tes gardes alors qu'on est censés être alliés, imagine les autres familles.

— Hm. Je verrai si tu es digne d'elle.

— Si ça peut te rassurer, je n'ai pas couché avec.

Mais le reste...

— Elle te plaît pas ?

— Au contraire. Je la trouve magnifique. Mais elle veut prendre son temps.

— Pas mal... T'es pas comme tous les autres qui forcent. Et t'as des concurrents ?

— Disons que je fais assez confiance à ta sœur pour ne pas trop m'inquiéter de ceux qui s'intéressent à elle.

— T'es pas jaloux.

— J'ai confiance en elle surtout. Je sais que tous les mecs qui voulaient la sauter sont à ses pieds, leurs identifiants bancaires envoyés par mail sur son portable. 

— Et de son côté à elle ? Elle a de quoi s'inquiéter ?

— Elle a pas de souci à se faire. J'ai pas de meufs à mes pieds. Je n'ai que ta sœur en vue.

— En vue... Tu voudrais que ça aille plus loin ?

— On est déjà allé plus loin que tu ne le crois.

(T/p) toque à la fenêtre. Je me pousse et lui ouvre. Elle m'embrasse puis embrasse la joue de son frère. Je les laisse discuter entre eux, ma copine la première :

— Mais t'es sérieux de voir nous emmener ?

— Bah ouais je voulais te voir. Depuis que tu es avec Levi, on te voit plus !

— Mais je rentre les week-ends !

— Tu passes tes nuits à l'appeler. Je sais que c'est lui que tu appelles mens pas. Mais Gio est surexcité à l'idée de te voir.

— Et de se taper des gosses de riche en se servant de mes contacts.

— Ça ne pourra qu'alléger ta peine, celle de Levi et votre couple.

— Pas faux... Mais il veut surtout nous fliquer.

— Il mettra pas son genou sur ta nuque pour te tuer, si ça peut te rassurer. C'est ni un connard, ni un chien, ni un mec qui mérite de crever ou toute autre insulte qu'un policier raciste mérite.

— Ah bah il a pas intérêt surtout.

Il sourit en la regardant à travers le rétroviseur. Elle lui fait un grand sourire.

— Allez valet, emmène nous jusqu'à notre université, ordonné l'héritière.

— Eh oh c'est pas parce que t'as gagné l'héritage que tu vas me parler mal.

— On t'a jamais demandé de nous amener. Casse pas les couilles.

Il lève les yeux et démarre la voiture. Mademoiselle pose sa tête sur mon épaule. Je prends sa main et lui caresse. On ferme les yeux tous les deux, bercés par la musique à la radio.

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