Chap 9 : La fin de la quete (2)
Passant la porte dorée mains dans la mains, les deux enfants du soleil vire s'etendre devent eux plusieur bassin au multiple couleur et forme. Au milieux de la salle se trouvait le plus grand, il en sortait des jet d'eau splendide, le tour estait en orichalque decoré de millier de diament comme ceux d'Ophir sans le pouvoir de geurrion. Sept des petits estaient liée au sage, un autre liée a la princesse et tous les autres a des individu inconu des deux enfant surement des Atlente vivant encore quelque part dans le monde, peut etre meme des olmecque.
Les deux amis s'eprocherent des fontaite que leur avait decrite Rana'Ori avent de les laisser revenir dans ce monde fou, ils allerent tout a gauche de la salle pres de bassins forment ensemble un soleil a sept branche . Sept fontaine en formait les rayon et un cecrle sont centre. Chaque fontaine portait la couleur de son propriétaire jaune pour la princesse qui estait le cercle et des triangle pour chacun des sept sage des deux contient perdu.
D'un comain accord sellé par un doux regard echanger, les deux enfants se lacherent la mains et attraperent se qu'ils gardaient dans leur poche depuis le retour sans en avoir souflé un mot. Ainsi ils sortairent deux bourse de tissu doré le meme que les voile de Kumlar. Ils ouvirent avec mille precaution les fin sachet et en sortirent deux longue fiole gradué contentent un liquide rougoyant et brillant.
Les deux amis de toujours se serparent et entrepris de verser une dose dans chacune des huit fontaines devent eux, sois quatre dose par enfant. Quand il eurent fini ce fastidieux travail, il resta a chacun une dose du liquide qui leur permetera dans des siecle de se libre eux aussi de la malediction de la vie eterenelle.
Les deux enfant rengerent les deux precieuse dose dans leur bourse et en sortir a la place deux flacon de christal et s'approcherent du bassin central pour les remplire du liquide christalien qu'il buverons avent de mourir pour permetre au futur elu de remplire ce qui fut leur mission a eux.
Une fois cella fait, les deux ament maudis sortire de ce qui vu sa taille aurait put etre une salle de bal si il n'y avait pas des bassin dans tous les coin mais une fois l'eblouhisement du au soleil de passé, Zia resta quelque seconde hebeteravent de comprent ce qui venait de se passé.
"Ça ne peux pas se finir ainsi!" Cria de toutes ses forces la jeune fille.
Elle regarda, une pure terreur dans les yeux son monde qui s'écroulait. Ses compagnons, ses amis, son amour, ils n'estaient plus avec elle. Esteban, son grand amour qu'elle savait impossible estait mort au moment meme ou ils sortirent de la salle doré, flacons de jouvance a la mains, mort a cause de cet ordure de Zares qui les attendait tapis dans l'ombre au milieux des cadavre de leur proche.
Elle tenta de ravaler ses larme difficilement, s'empechent mentalement de regarder ce qu'elle avait aimé, sa famille enfin se qu'il en restait. Elle sursauta quand une voix résonna près d'elle, Ambroisus, il ricanait. Il allait gangier, de toutes façons que pouvait faire une simple gamine seule et terrorisée? Rien, enfin c'estait ce qu'il pensait.
L'homme adulte prenait du plaisir a tortué la jeune fille, terorisée qui plus il parlait plus elle tremblait se demendent ce qu'il allaient faire d'elle, apres tout il n'avait plus besoin d'elle il avait ce qu'il voulait non.
Voyant la fin qui tardait a arrvéé, la filette deglutit et dans un ultime élan de courage fit voler jusqu'à elle le double médaillon et le pendentif de celui qu'elle avait aimée sans pouvoir le lui dire une dernière fois.
Les pendentif en main, elle courut, jusqu'à la mer toutes proche poursuivit par l'homme aux cheveux roux. Qui lui criait dans son dos.
"Idiote! Tu ne sais pas ce que tu fait!"
Cella elle en etsait consistante mais sa décision estait prise, arrivée au bord de l'Océan qui s'étendait devent elle, L'Atlantique, elle y jeta les trois clef des Mystèrieuses cités d'or. Les clefs de la legande estait désormais perdues pour ce qu'elle espérait toujours, car désormais elle le savait les secrets du passé doivent y rester pour l'éternité.La jeune femme ne voulait que plus jamais quiconque parte à la recherche de ces cités de malheur, recherche qui mène qu'a la misère, qu'à la désolation... Qui n'apporte selon elle que la tristesse et la douleur.
Zia jeta un dernier regard à l'Océan sans le moindre regrets, elle se savait avoir fait le bon choix.
Zares qui semblait avoir vielli de mille ans a la vue de l'acction de la jeune elue, lui attrapa le poignet et la secoua comme un poiré lui crient au visage comment elle estait idiote, une imbecile d'enfant qui l'empecha de faire ce pourquoi il estait la et encore d'autre chose peu agreable.
De colere, de dedain, il la pousa dans la l'ocean toute proche et couru jusqu'au corps de l'elue masculin et lui aracha la fiole de jouvance des main et l'avala sous les yeux horifier de Zia ne pouvent rien faire depuis son poste d'observation mouiller et salé.
Elle se releva impuissante, elle ne pouvait pas meme detruire l'imortalité du roux pas sans les medaillon, pas sans les clefs de ce lieux sacré qui lui avait temps couté, elle ne pouvait rien faire si ce n'est rester la a regarder son monde brisé en un jours et pour toujours.
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