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Le regard du soldat ne cessait de passer de sa feuille à moi, après plusieurs minutes il appela son capitaine lui incitant à s'approcher :

-Que se passe-t-il? demanda-t-elle.

-Chef, je ne le trouve sur aucun des registres.

-Vous êtes sûr ? Laissez moi regarder.

Elle lui arracha la feuille des mains, ses yeux passez d'une ligne à l'autre puis elle reprit.

-Bien, il est possible que les Thalmor ne soit pas si bien renseigné qu'ils le suggèrent, remarquez c'est un nordique , il y a de forte chance qu'il soit l'un des leurs, faîtes le rejoindre le groupe nous n'avons pas de temps a perdre.

-A vos ordres capitaine, il attendit qu'elle se soit écartée, je suis vraiment désolé, je ferais en sorte que votre corps soit ramené à votre famille, avec un regard compatissant il me fît rejoindre le groupe.

Malgré toutes les politesse dont faisaient preuve cet homme cela ne changeait rien, j'allais me faire exécuter que je le veuille ou non. Apercevant Ralof un peu plus loin, je dus jouer des coudes pour m'approcher mais personne ne broncha ,ils n'allaient sûrement pas se plaindre que quelqu'un les doubles alors qu'ils allaient ce faire exécuter. Enfin à sa hauteur je lui demandais :

-Qu'attend-t-ils ?

-Ils récitent des banalités, ils nous recommandent aux dieux et osent nous souhaiter bonne chance dans l'au-delà. Ils souhaitent se faire valoir au nordique qu'ils dirigeront pour éviter une résistance, mais si vous voulez mon avis je ni crois pas, notre peuple est trop fière pour accepter d'être humilié de la sorte.

Soudain l'un des sombrages se dégagea de la file et se dirigea droit vers le billot en lançant :

-Assez de politesse et qu'on en finisse, il s'installa derrière le billot et un impériale vînt mettre sa nuque bien en évidence pour le bourreau. Mes ancêtres me sourient impériaux, pouvez vous en dire autant ?

Ce furent ces dernières paroles. Après cela une grande clameur débuta, des cris et des insultes fusaient, à chaque tête tranchée de pareil cris surgissait de la foule, même si les voix se faisaient de moins en moins présentes.

-Vous là, à votre tour, le capitaine qui avait ordonnée plutôt mon exécution me pointa du doigt.

Pour eux j'étais un problème que l'on règle comme on écrase un moustique, un porc destiné a l'abattoir. Deux soldats impériaux approchèrent et me saisir chacun un bras, je me redressais fièrement, autant mourir avec honneur pensais-je. Le capitaine me lança un regard sournois avec un léger sourire en coin, je lui rendit un regard noir de haine. Pendant qu'ils m'installaient sur le billot je récitait quelques prières, attendant le coup fatidique. Quand soudain un cri à vous faire vriller les tympans fendît l'air. Tout les visages se redressèrent et nous vîmes tous la même chose, UN DRAGON.

Il approchait si vite que des bourrasque de vent vinrent nous fouetter le visage. D'un gris sombre il faisaient la taille d'une auberge, et le fracas assourdissant lorsqu'il se posa sur une des tours nous conforta dans cette idée, il rugit si fort que tous vacillèrent et plaquèrent leurs mains sur leurs oreilles, pour les sombrages qui avaient, tout comme moi, les mains liée dans le dos, c'était une torture. Puis, le massacre commença. Il décrivait des cercles autour de la ville crachant des langues de feu venant mordre le visages de ses victimes incendiant tous sur son passage, ses griffes puissante fendaient les bâtiment aussi facilement que si il coupait des bûches et ses cris faisaient pleuvoir la puissance des élément. Une tempêtes se leva, ses vent violent obligèrent toutes les personnes présentes à se battre pour rester debout, avec cela une pluie de rocher en flamme commença a tomber du ciel. La mort et la destruction étaient partout. Par chance le dragon semblait s'attaquer au archer, me laissant dans une précaire sécurité moi et toute les autres personnes qui n'étaient pas sur les remparts.La poigne de Ralof me stoppa à mes observations :

-Ne restez pas plantez là, dans la tour aller !

Sans même prendre le temps de lui répondre je m'élançais à sa suite comme si j'avais un démon derrière moi, et c'était bel et bien le cas. Je me jetais à l'intérieur et Ralof ne perdît pas de temps pour fermer la porte. Tout autour de moi des sombrages avaient un aire aussi ahuri que le mien, parmi eux certains n'avaient pas eux la chance d'être épargné par la rage ardente du dragon. Ulfricc aidait l'un de ses hommes avec un bandage de fortune puis il se redressa et vînt vers nous :

-Jarl Ulfricc ! Qu'est donc que cela? Les légendes auraient-elle dit vrai ? commença Ralof.

-Les légendes n'incendient pas des villages entiers ! intervînt Ulfricc.

Un fracas retendit sur la tour faisant vaciller toutes les personnes présente et une chaleur intense se dégagea alors de la porte.

-Il faut y aller maintenant ! ordonna Ulfricc

-Par la tour aller !

Nous entamâmes l'ascension, arrivé plus haut un sombrages tentait de déplacer les rochers qui bloquaient le passage, mais un choc soudain ébranla la tour et le mur ou se trouvait l'homme plutôt laissa place à un trou béant où le dragon passa sa tête, Ralof me tira en arrière et l'instant d'après l'endroit où je me trouvais plutôt disparaissait sous un flot de flamme. Le temps de bafouiller quelques remerciements le dragon disparu de notre vision, probablement pour s'élancer sur une autre proie. La suite de l'escalier était complètement bouchée mais le vide laissait par le dragon nous donner une nouvelle opportunité de nous échapper.

-Vous voyez l'auberge de l'autre coté? Sautez sur le toit et continuez. Allez-y on vous suit dés qu'on le peut !

Les ravage occasionnés par le dragon avaient laisser un trou dans la toiture, sans plus réfléchir je pris mon élan et m'élança a travers l'espace libre puisant dans des forces insoupçonnés. J'atterris, non sans mal, dans le couloir de l'auberge, me dirigeant vers l'escalier mais un incendie en attaquait déjà la base, et la chaleur commençait à se propager au reste du bâtiment. Regardant autour de moi pour trouver un autre chemin je vois une partie du plancher affaiblis par les flamme. D'un saut je bondis sur la zone calcinés créant un trou dans le plancher, et après  quelques pas supplémentaire je me retrouvais en dehors du bâtiment en flamme. Une fois à l'extérieur je vis un homme blessé au milieux de la route appelant à l'aide, j'allais me lancer à son secours quand soudain le dragon se posa à ses pied, et on aurait pût discerné un sourire sur le visage de la bête avant qu'elle le carbonise sur place. Je récitais quelques prières pour le défunt, personne ne méritait de mourir ainsi. Non loin je vis le soldat impériale qui m'avait demandé mon nom plus tôt, il était avec un enfant et un autre homme, en regardant l'expression sur le visage du garçon, l'homme qui se trouvait plutôt sur la route devait être sont père. Je décidais de m'approcher d'eux, lorsque le soldat me remarqua et m'adressa aussitôt la parole :

-Encore en vie? Restez près de moi si vous voulez que ça continue.

Je ne me fît pas prier et ensemble nous traversâmes la ville tentant d'éviter le dragon qui ne cessait d'attaquer la forteresse malgré les nombreuses tentative de défense des impériaux. Certains archer semblait faire mouche mais cela ne faisait que rendre le dragon plus furieux. Nous arrivâmes près du bâtiment centrale de la ville, en pierre il résistait tant bien que mal aux assauts incessant du dragon. A cet instant Ralof, qui se trouvait non loin nous rejoins, les deux hommes ne semblé pas s'apprécier : 

-Ralof espèce de traître! Hors de mon chemin !

-On s'enfuit, Hadvar, et vous ne nous arrêterez pas, cette fois.

-Très bien. J'espère que ce dragon vous enverra tous à Sovngarde.

Les deux hommes s'éloignèrent se dirigeant chacun de leurs cotés. Hadvar courut rejoindre ses compagnons qui tentaient d'attaquer la bête. Même si c'était un impériale on ne pouvait nier le courage dont il faisait preuve.

-Vous, là! Venez, dans le fort !m'enjoigna Ralof

Je le rejoignis et nous ouvrâmes la lourde porte qui fermait la forteresse et pour nous retrouver dans une salle circulaire. Ralof s'avança et trouva l'un de ses confrères gisant sur le sol, il était mort depuis peu . Il s'arrêta un instant et revînt vers moi.

-On dirait que nous sommes les seuls à en être sorti, il avait une mine défiguré. Aucun doute cette chose était un dragon. Comme ceux des légendes et des conte pour enfant...Les hérauts de la fin des temps. On ferait mieux de partir. Venez là, laissez moi voir si je peux défaire ces liens.

Sortant une dague il trancha mes liens me laissant enfin pleinement libre de mes mouvements je le remercias d'un signe de tête.

-Et voilà. Prenez l'équipement de Gunjar, tant que vous y êtes. Il n'en aura plus besoin.

Je pris la cuirasse, les bottes et la hache du défunt. Enfin en la possession d'une arme et d'un armure convenable je pouvais mieux discerner la suite, j'observais l'ouvrage du forgerons qui avait façonné le métal pour aujourd'hui me permettre de mieux me défendre lorsque des voix de l'autre coté d'une des portes parvinrent jusque nos oreilles.

-Ouvrez cette porte !Et ne traînez pas !


Je reconnu tous de suite la voix du capitaine qui m'avait envoyer au billot, je raffermît ma prise sur la hache et d'un signe je prévins Ralof du combat a venir. J'allais faire regrettez sont choix à cette impériale.

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