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Chapitre 38 - De l'Union du Phénix à l'Armée de Dumbledore

Vendredi 12 Décembre 1997 :

« -La Salle-Sur-Demande ? répétai-je, en lançant un regard circulaire autour de moi, afin d'observer les détails qu'offrait l'impressionnante pièce dans laquelle nous nous trouvions.

-Peu de personnes connaissent son existence, expliqua Ginny Weasley, en réponse à mon étonnement. C'est une salle qui n'a pas d'apparence fixe, elle se transforme en ce dont nous avons besoin, quand nous en avons besoin. Il suffit de le lui demander. »

Je restai silencieuse un long moment, ne pouvant m'empêcher d'être émerveillée d'apprendre l'existence d'un tel endroit entre les murs du château. Poudlard ne cessera donc jamais de m'étonner !

« -Et donc... vous utilisez cette salle pour vous réunir ? demandai-je finalement en reprenant mon sérieux, en reportant mon attention sur les trois étudiants de sixièmes et septièmes années. »

Neville approuva d'un signe de la tête.

« -Lorsque nous sommes entre ces murs, personne ne peut nous localiser. C'est pourquoi nous en avons fait notre repère. C'est ici que nous nous retrouvons, une fois par semaine pour s'entraîner et pour... disons organiser quelques projets destinés à mettre à mal Rogue et les Carrow. (Il lança un regard entendu avec Ginny et Luna.) En tant qu'ex-membre de l'Union du Phénix, vous connaissiez l'existence de l'AD, n'est-ce pas ? »

Je hochai la tête à mon tour, en signe d'affirmation.

« -J'ai fait partie de ceux qui ont participé à la Bataille du Ministère, soufflai-je, en me remémorant douloureusement de la mort de Sirius, il y avait maintenant plus d'un an.

-Je m'en souviens, affirma Luna d'une voix incroyablement douce, bien loin de la voix affirmée de Ginny ou celle confiante de Neville. Vous nous avez aidé à sortir du Ministère. »

Je ne pus retenir un bref sourire, soulagée qu'elle se souvienne de ma mince contribution lors de ce triste épisode. Sourire qui fut bien vite remplacé par une grimace de chagrin, alors que le souvenir des membres de l'Union dévastés m'annonçant la perte de Sirius refaisait surface. Mon cœur se serra automatiquement.

« -Pourquoi ne faîtes-vous plus partie de l'Union ? dit Ginny sans faiblir. Est-ce à cause de la mort de Dumbledore ? »

Je relevai la tête dans sa direction, mais ne dis rien, à court de mot. Je ne sentais pas particulièrement de méfiance venant des trois jeunes à mon égard, seulement un désir de démêler le vrai du faux et ce, pour avoir à leur disposition toutes les armes pour se battre.

« -Nous avons entendu beaucoup de rumeurs, insista Neville. Et nous avons besoin de savoir la vérité, nous avons besoin de savoir si nous pouvons vous faire confiance. »

Les regards des trois étudiants étaient braqués sur moi. Sauf qu'il ne s'agissait pas de regards d'étudiants auxquels j'étais confrontée à cet instant. Il s'agissait de regards d'adultes, de combattants, de rebelles. Les trois sorciers devant moi n'étaient plus de simples élèves, ils avaient renoncé à leurs études pour se battre contre la tyrannie qui oppressait leur monde et ce, en ayant pleinement conscience des risques qu'ils prenaient. L'AD n'était pas qu'un simple groupe d'élèves rebelles qui n'acceptaient pas les règles qu'on leur imposait. Et tout cela, j'en prenais conscience maintenant, en scrutant leurs yeux luisant de détermination et de courage. Cette constatation me poussa à leur raconter une partie de la vérité - je ne pouvais évidemment pas tout leur expliquer, au risque de mettre en péril la couverture de Severus :

« -L'Union m'a banni le jour où Dumbledore est mort car ils pensaient que j'étais de mèche avec Rogue.

-Pourquoi pensaient-ils cela ?

-Parce que... »

Je marquai un temps d'hésitation, malgré moi. Les images d'Alastor, Kingsley et Remus m'annonçant l'assassinat de Dumbledore refirent surface et bientôt, mon cerveau fut submergé de souvenirs que j'avais jusqu'alors pris soin de refouler : la mort de Sirius, suivie de celle d'Emmeline, de mes parents, de Dumbledore, ma capture, la douleur, la peine...

« -Professeure ? Professeure Lynch ? »

La voix inquiète de Londubat me ramena brusquement à la réalité et je me rendis compte que, durant un court instant, j'avais fermé les yeux, espérant certainement faire taire toutes les images qui m'étaient brutalement revenues. J'inspirai longuement, chassant la boule de détresse dans ma gorge et referment soigneusement la petite boite noire dans ma tête qui recueillait toutes les horreurs que j'avais vécues durant ces derniers mois. Et, comme je m'étais forcée de faire à chaque fois que la panique me gagnait, je remplaçai ma détresse par une détermination froide qui me permettait chaque jour de tenir tête à la vie.

Je captai le regard de Neville et repris :

« -L'Union pensait que j'étais de mèche avec Rogue, parce qu'il fut un temps où j'étais suffisamment proche de lui pour le considérer comme mon ami. J'ai fait l'erreur de croire en lui et, maintenant, je suis sous sa coupe. Mais je compte bien prendre ma revanche, et prouver à l'Union qu'elle s'est trompée à mon sujet. »

J'avais prononcé ces phrases avec une froideur dont je ne me serais pas cru capable. Il fallait bien l'admettre, à force de jouer un rôle, ce dernier commençait peu à peu à me devenir familier. Je frémis à cette idée mais chassai aussitôt le sentiment désagréable qui s'empara de moi pour me concentrer sur l'instant présent.

« -Donc vous nous assurez qu'on peut vous faire confiance ? demanda Ginny, intransigeante. Vous nous assurez qu'une fois cette rencontre terminée vous n'allez pas en informer Rogue ? »

Ginny Weasley n'avait plus rien de la jeune fille en larmes que j'avais enlacée au Square Grimmaurd lorsque son père s'était fait attaquer au Ministère. Aujourd'hui, c'était une femme forte et pleine de ressource. Je ressentis un mélange de fierté et de peine en la voyant car je ne pus que constater la jeunesse courageusement sacrifiée qu'elle incarnait, un sacrifice pour le plus grand bien.

« -Vous pouvez me faire confiance, affirmai-je. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour vous aider. »

Neville glissa quelques mots à l'oreille de Ginny, tandis que Luna, un peu à l'écart, me regardait fixement en souriant. Je répondis à son sourire, tout en me demandant ce que le jeune Gryffondor pouvait dire à sa consœur me concernant. Une minute plus tard, la rousse hocha la tête et Neville reporta son attention sur moi.

« -Nous vous faisons confiance, professeure Lynch.

-Elladora, rectifiai-je soulagée par leur décision. Vous pouvez m'appelez Elladora.

-Très bien... Elladora. Alors que voulez-vous savoir nous concernant ? »

Je réfléchis un instant, avant de poser la question qui me paraissait la plus évidente, parmi toutes celles qui tentaient de se frayer un chemin jusqu'à ma bouche :

« -Concrètement, que faîtes-vous ?

-Nos objectifs sont multiples, poursuivit le Gryffondor. Premièrement, nous sommes ici pour apprendre à se battre non seulement contre les Carrow, mais aussi contre les autres Mangemorts que nous devrons vraisemblablement affronter d'ici la fin de l'année. Certains d'entre nous ont déjà participé à de vrais duels et enseignent donc comme ils le peuvent aux novices. Deuxièmement, nous nous battons contre la tyrannie qui règne entre ses murs. Hors de question de laisser les Carrow terroriser et maltraiter les premières années, ni Rogue de se croire directeur de cette école. A leurs yeux, nous ne sommes que de pauvres imbéciles inoffensifs mais nous allons leur montrer de quoi nous sommes capables. Et troisièmement, nous tâchons de rester informé des évènements qui ont lieu dehors, par d'autres moyens que la Gazette du Sorcier qui est, avouons-le, un tissu de connerie. »

Ce fut le troisième point qui attira tout particulièrement mon attention. Mon cœur s'accéléra automatiquement dans ma poitrine. Avaient-ils trouvé un moyen d'entrer en contact avec l'Union ? Dans ce cas, j'allais enfin pouvoir avoir des nouvelles de mes congénères ! Cette idée me rassura en même temps qu'elle me terrifia : qu'allais-je apprendre ? Qu'était-il advenu d'eux depuis mon départ ? Mille-et-une choses avaient pu se produire et être dans l'ignorance depuis si longtemps me paraissait maintenant insupportable. Seulement, Severus voulait me garder en sécurité et m'épargnait donc de tous les détails concernant ce qu'il se passait à l'extérieur des murs de Poudlard et ce n'était pas Minerva, qui peinait à m'accorder sa confiance, qui allait me conter ce qu'il se passait au sein de l'Union.

« -Quels autres moyens ? demandai-je en tâchant de paraître calme, malgré l'angoisse qui grandissait dans mon ventre. »

Ginny et Neville partagèrent un regard circonspect, alors que Luna répondit d'un ton parfaitement naturel, comme l'on engagerait n'importe quelle conversation routinière :

« -Potterveille, bien sûr.

-Potterveille ? répétai-je en usant de la même voix étonnée pour la seconde fois depuis le début de cet entretien. »

Visiblement, j'avais raté beaucoup de choses depuis que j'étais revenue à Poudlard. La frustration d'avoir été ainsi gardée dans l'ignorance depuis plusieurs fois vint un instant prendre le pas sur mon stress.

« -Vous ne connaissez pas Potterveille ? demanda Ginny, partagée entre l'étonnement et la suspicion. »

Je secouai la tête en signe de négation.

« -Il s'agit d'une radio clandestine, m'expliqua Neville dont la voix gardait le même ton patient depuis le début des échanges. Elle est utilisée par l'Union afin de relayer des informations aux sorciers et sorcières qui s'opposent au régime imposé par Voldemort. Ils nous tiennent au courant des dernières nouvelles et nous donnent des conseils pour nous assurer un minimum de sécurité.

-Quel type de nouvelles relayent-ils ?

-La plupart du temps, il s'agit soit de morts, soit de disparitions. »

Je restai un instant sans parler. Avais-je envie de savoir ? N'était-ce pas rassurant d'être dans le déni, de ne pas avoir à supporter la cruelle réalité ? Cette petite voix à l'intérieur de moi était en combat avec une deuxième, plus forte. Il fallait que je sache, me disait-elle. Il le fallait, je devais savoir. De toute façon, la vérité allait me retomber dessus à un moment ou à un autre. C'était inévitable. J'inspirai longuement.

« -Y a-t-il eu des morts récemment ? Parmi les membres de l'Union ? »

Je n'eus pas besoin d'attendre une quelconque réponse orale pour comprendre la réponse. Le simple regard lourd de sens que partagèrent Ginny et Neville suffit à m'arracher des frissons. Ce fut comme si une chappe de plomb s'était abattue sur mes épaules. Qui ? Qui cette fois-ci ? Remus ? Alastor ? Kingsley ? Qui ? Ce mot résonnait à une fréquence régulière dans mon esprit, à une fréquence si régulière que ma tête se mit à tourner. Qui ? Qui ? Qui ?

« -Qui ? »

Ma voix était à peine perceptible lorsque j'osai enfin exprimer à voix haute ce que je pensais tout bas.

« -En début d'année, il a fallu rapatrier Harry au Terrier juste avant ses dix-sept ans. L'Union avait tout prévu mais ils ont été pris en embuscade par les Mangemorts. Et... »

La voix de Ginny se brisa.

« -Fol-Œil n'a pas survécu. Son corps n'a jamais été retrouvé. »

Neville avait passé un bras autour des épaules de Ginny tout en finissant ses explications, d'une voix basse et sombre.

Etrangement, l'information mit longtemps avant de prendre un réel sens dans mon esprit. Quand elle fut intégrée par mon cerveau, je fus en proie à une succession anarchique d'émotions : la tristesse était succédé par la culpabilité qui fut elle-même remplacée par une vague de colère. Finalement, ce fut cette dernière qui prit le pas sur toutes les autres. Je me focalisai sur ce sentiment puissant, afin de ne pas céder à l'abattement. Car je savais, même si mon esprit refoulait vaillamment l'idée, je savais qu'Alastor ne serait pas le dernier à mourir. La guerre ne faisait que commencer.

***

Jeudi 19 Décembre 1997

La semaine suivante, je fus de nouveau conviée dans la Salle-Sur-Demande, par les bons soins de Luna Lovegood cette fois-ci qui glissa un message dans la copie qu'elle me rendit durant un cours. Tous les étudiants affiliés à l'Armée de Dumbledore étaient présents et je fus impressionnée par leur nombre. Certes, si l'on raisonnait en proportion par rapport à l'intégralité des élèves de l'école, cela ne faisait pas beaucoup mais le groupe était tout de même suffisamment répandu pour insuffler de l'espoir. Ils étaient majoritairement de sixièmes et septièmes années et il n'y avait aucun Serpentard. Les Gryffondors étaient en plus grand nombre et Poufsouffles et Serdaigles étaient au coude-à-coude. Malgré ce que l'on disait, le stigmate des maisons était bel et bien présent dans cette organisation clandestine.

Ils s'entraînèrent sans relâche pendant une bonne heure. Les plus expérimentés d'entre eux, parmi lesquels se trouvaient sans surprise Ginny, Luna et Neville, aidaient leurs camarades à maîtriser tel sortilège ou tel maléfice et des éclairs multicolores traversaient la pièce, frappant avec plus ou moins de force les pantins qui explosaient en morceau, étaient réduits en cendre, prenaient feu ou étaient expulsés avant de reprendre leur apparence et leur position initiale. Je passai cette heure à les observer, passant entre les rangs et écoutant attentivement les conseils que distribuaient les étudiants entre eux. C'était impressionnant. Et je devais l'avouer : le niveau était bon, brillant même. Les voir ainsi, unis et déterminés, me rendait plus confiante quant à la suite. Car, même si de prime abord, une bande d'adolescents gringalets qui ne maîtrisaient pas même la moitié des compétences des adultes ne semblait pas peser lourd dans le combat, ils pouvaient faire la différence, puisque je doutais fort que Voldemort puisse envisager ne serait-ce qu'une seule seconde qu'il allait devoir les affronter. A la fin de la réunion, je fis un point avec le trio en charge de l'organisation et les félicitai pour ce qu'ils avaient construit. Ils me demandèrent de dispenser à mon tour des conseils aux jeunes lors de la prochaine assemblée, ce que j'acceptai avec joie.

***

Lundi 5 Janvier 1998

Pendant les vacances de Noël, il n'y eut pas de réunion, car bons nombres d'étudiants étaient rentrés chez eux et que les Carrow ayant à surveiller un nombre réduit d'élèves, il était devenu plus compliqué de les duper. Ce qui n'empêcha pas les rebelles de continuer leur propagande, à coup de messages sur les murs et tracts clandestins.

Severus enchaînait les discours demandant à tout élève ayant connaissance des « hors-la-loi » qui s'obstinaient à répandre le chaos dans les couloirs de Poudlard de venir immédiatement l'en informer mais ses interventions étaient vaines. Les Carrow viraient fous de ne pas réussir à mettre la main sur leurs opposants : ils passaient de plus en plus de temps à faire des rondes à toute heure et sévissaient pour n'importe quelle raison tout étudiant qui n'agissait pas comme bon leur semblaient. Je redoublai donc d'efforts pour soutenir mes étudiants traumatisés par les punitions injustes qu'ils recevaient.

Je ne parlai pas beaucoup avec Severus. Tout comme lui gardait secret tout évènement extérieur au château (que je parvenais quand même à connaître grâce à Potterveille), je ne lui disais rien concernant mes activités en dehors des cours, inventant des excuses pour expliquer mes absences régulières au repas. S'il se doutait de quelque chose (Severus n'était pas stupide, je le soupçonnai d'avoir déjà fait le lien entre l'AD et mes absences), il fit mine de rien savoir et je lui en étais reconnaissante.

En ce jour de la rentrée, je me hâtai de terminer mon repas, tout en tâchant de ne pas paraître suspecte, puis quittai la Grande Salle. Les membres de l'AD avaient convenu de fixer une réunion dès les vacances terminer afin de faire un point sur le nombre de participants restants. Car, les vacances étant passés, certains élèves n'étaient pas revenus au château : soit les parents avaient jugé plus prudent de ne pas les envoyer, soit... je ne préférais même pas m'imaginer la seconde option. Pourtant, le nombre de morts et de disparus augmentaient de jour en jour, tandis que la terreur gagnait peu à peu toute l'Angleterre.

Nous constatâmes avec soulagement que peu de membres avaient désertés pendant la période de Noël : seuls deux étudiants, un Serdaigle de quatrième année et un Gryffondor de deuxième année, comptaient parmi les absents. Ce fut donc avec un regain de détermination que nous entamâmes les entraînements et, cette fois-ci, je ne me contentai pas du rôle d'observatrice, aidant ça et là des élèves à réussir leurs sortilèges. L'heure passa vite et tous progressèrent : désormais, la majorité maîtrisait le sort du bouclier et trois bons quarts savaient désarmés son adversaire. Neville prit ensuite les choses en main et nous mît au courant des dernières nouvelles apprises via Potterveille :

« -Deux nouvelles majeures ont été relayées ces derniers jours. La première est que Dean Thomas, dont nous n'avions pas de nouvelle depuis la rentrée, est en réalité en fuite. Il n'a pas voulu retourner à Poudlard à cause de son statut de Sang-Mêlé. Il est en vie. »

Des murmures soulagés se firent entendre parmi les rangs, et en particulier, venant de ses compères Gryffondors.

« -La deuxième relève plus de la rumeur et des faits. Harry Potter se serait rendu à Godric's Hollow il n'y a pas longtemps. On ne sait pas pourquoi, ni avec qui, ni comment. Mais une chose est certaine : s'il y était, c'était pour une raison. Le combat continue, les amis. N'oubliez... »

Son discours fut interrompu par un fracas contre la porte de la Salle-Sur-Demande. Je sursautai violemment et, instinctivement, me munis de ma baguette, le cœur battant soudain la chamade. Certains élèves s'éloignèrent automatiquement de la source du bruit, chuchotant nerveusement entre eux, tandis que Neville, Ginny, Luna et Seamus s'avancèrent prudemment, leurs baguettes tendues devant eux. Je les suivis et, puisque j'étais leur professeure et, par conséquent, responsable d'eux, me plaçai à l'avant de leur groupe. Alors que nous n'étions plus qu'à quelques mètres de la porte, un nouveau fracas se fit entendre. C'était comme si quelqu'un lançait des objets contre les battants... sauf que la porte était invisible de l'extérieur.

Arrivée face à la porte, je lançai un regard entendu au petit groupe qui m'intima silencieusement d'ouvrir la porte. Ma baguette était fermement coincé entre mes doigts.

J'ouvris la porte.

☆☆☆

Hellooo ! Alors pour ceux concernés votre rentrée s'est bien passée ? Je vous souhaite de la réussite pour cette nouvelle année, en espérant que vos études vous plaisent ^^

Je saaaaais... encore du suspens ! Mais il en faut bien un peu, de temps en temps, afin de rendre l'attente encore plus insupportable :) donc des théories concernant la fin ? Que vont découvrir Ella & l'AD de l'autre côté de la porte ?

Sinon, Elladora découvre le fonctionnement de l'AD, ainsi que l'existence de Potterveille et par conséquent, la mort de Fol-Œil... Severus ne peut plus la laisser dans l'ignorance, elle est prête à se battre ! Mais à quel prix ?

Vos avis sur ce chapitre ? Envie de découvrir la suite ?

On se donne rdv dimanche prochain pour la suite ! Merci pour votre présence, encore et toujours ♡

Prenez soin de vous,

PetitKoala

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