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Chapitre 31 - Nouvelle position

Mercredi 2 Juillet 1997 :

Le cri de douleur sur le point de franchir ma bouche mourut sur mes lèvres, tandis que la révélation de Severus fut accueillie par un long silence. Je cessai de parler et, aussitôt, la douleur s'atténua, jusqu'à ne devenir qu'un tiraillement musculaire désagréable mais tout de même supportable. Soulagée que la torture s'arrête, je me laissai tomber sur le parquet, n'ayant pas la force de me relever. Ma vision était brouillée, si bien que le paysage se réduisait à des points vagues qui dansaient devant mes yeux - les larmes qui perlaient encore le long de mon visage n'aidaient pas à rendre ma vue plus claire. J'entendis Severus bouger et, tournant la tête, je devinai qu'il venait de s'asseoir sur l'un des fauteuils du salon. La tête entre les mains et les épaules voûtées, il paraissait fatigué et faible.

Au bout d'un certain temps, je réussis tant bien que mal à me redresser en position assise. Mon dos me faisait mal à cause de ma chute mais j'empêchai un gémissement de douleur de franchir mes lèvres. Au lieu de ça, je balbutiai, d'une voix rauque :

«-Qu'est-ce... qu'est-ce que tu... racontes ?»

Les mots avaient du mal à sortir de ma bouche, tant j'étais encore sous le choc de l'ensemble des révélations qui m'étaient tombées dessus en moins de deux heures. Le sorcier releva la tête, sans toutefois croiser mon regard, et répondit :

«-La vérité.»

Sa propre voix n'était qu'un murmure, comme si lui-même n'avait plus assez de force pour parler. Sur son visage, se lisait une lassitude, une usure que seule une atroce douleur morale pouvait créer. Pourtant, la petite voix sceptique en moi décida d'intervenir avant que je n'ai pu la taire :

«-Si... tu crois... que je v... je vais gober... ça... tu p... peux toujours... crever !»

Cette fois-ci, Severus plongea ses yeux dans les miens, assez longtemps pour que je puisse y discerner la même blessure visible sur son visage. Il souffla :

«-Tu n'as qu'à vérifier.»

Il eut un bref geste dans ma direction et je constatai après plusieurs secondes qu'il me tendait sa baguette. Je mis quelques secondes supplémentaires pour comprendre ce qu'il attendait de moi.

D'un mouvement lent, qui m'arracha une grimace de douleur, je m'emparai de son arme, pressant fortement ma paume contre le manche, empli de la chaleur de sa propre main. Je sentis une drôle de sensation au creux de mes doigts qui étaient enroulés autour de la baguette et celle-ci se répandit peu à peu en moi, atténuant étrangement mes douleurs et mes tourmentes. Je regardai l'arme sombre dont le manche était délicatement gravé, d'un air surpris. Que venait-il de se passer ? J'avais senti comme une connexion se créer entre cette baguette et moi... pourtant, ne disait-on pas qu'un tel instrument n'était fidèle qu'à un sorcier ?

Je rafermis ma prise sur la baguette de Severus et, secouant la tête pour chasser mes interrogations, me tournai vers le sorcier. Je brandis l'arme en direction de son visage qui me fixait, impartial. Il ferma les yeux lorsque je prononçai d'une voix distincte :

«-Legilimens

Bien que je sentais toujours le sol sous moi, j'eus l'impression d'être soudainement projetée en avant et, quand j'ouvris mes paupières - que j'avais fermé par réflexe - je n'étais plus à l'Impasse du Tisseur, mais dans le bureau de Dumbledore.

Severus et le directeur de Poudlard conversaient, une tension palpable entre eux rendant leur échange presque surnaturelle. La voix d'Albus Dumbledore était calme, tout comme son comportement - à l'opposé du Maître de Potion qui, lui, semblait nerveux et agacé.

«-... C'est vous qui devrez me tuer.

-Vous voulez que je le fasse maintenant ? Ou souhaitez-vous que je vous accorde quelques instants de répit pour composer une épitaphe ?

-Oh, nous ne sommes pas pressés. J'imagine que l'occasion se présentera le moment venu. Étant donné ce qui s'est passé ce soir, on peut être sûr que cela arrivera d'ici un an.

-Si mourir ne vous gêne pas, pourquoi ne pas laisser Drago se charger de vous tuer ?

-L'âme de ce garçon n'est pas encore trop abîmée. Je ne voudrais pas qu'elle soit ravagée à cause de moi.

-Et mon âme à moi, Dumbledore ? La mienne ?

-Vous seul pouvez savoir si le fait d'aider un vieil homme à échapper à la douleur et à l'humiliation affectera votre âme. Je vous demande cette grande et unique faveur, Severus, car la mort vient à moi aussi sûrement que les Canons de Chudley arriveront derniers du championnat cette année. Je dois vous avouer que je préférerais une sortie rapide et indolore plutôt que longue et répugnante si, par expemple, Greyback s'en mêlait - j'ai entendu dire que Voldemort l'avait pris à son service ? Ou encore si j'avais affaire à cette chère Bellatrix qui aime bien jouer avec la nourriture avant de la manger.

Silence. Enfin, le professeur de Potions acquiesça lentement.

-Merci, Severus...»

Le bureau du directeur se troubla et, un battement de paupières plus tard, j'étais de retour dans le salon de Severus. Ce dernier était dans la même position dans laquelle je l'avais quitté : les yeux toujours clos, il était assis dans son fauteuil, son corps figé dans une posture qui laissait entrevoir la tension qui le dévorait. La scène à laquelle je venais d'assister continuait de se jouer en boucle dans mon esprit, encore et encore. Alors que la signification de cet échange prenait tout son sens à mes yeux, mes poings se desserrèrent machinalement et la baguette que je tenais dans ma main droite tomba au sol. Le bruit mat du bois travaillé qui s'entrechoqua contre le parquet eut le mérite de tirer Severus de sa transe. Il ouvrit lentement des yeux, qui allèrent presqu'instinctivement trouver les miens, comme si nos deux regards étaient aimantés. Je soutins difficilement ses pupilles gorgés d'émotions et, lorsqu'il se détourna pour regarder sa baguette tombée au sol, je dus battre plusieurs fois des paupières pour lutter contre l'émotion qui me prenait. J'avais du mal à assimiler ce que je venais d'apprendre. Mon esprit, sur le qui-vive, enclencha derechef le mode "défensif".

«-Qu'est-ce... qui me p... prouve que ce souvenir est... réel ? balbutiai-je avec prudence, sentant encore mes muscles me tirailler quand j'esquissai un mouvement pour me remettre debout.»

Je réussis tant bien que mal à retrouver un certain équilibre sur mes jambes, alors que Severus m'observait du coin de l'œil. Sa réponse mit un moment à venir.

«-Rien, avoua-t-il à mi-voix.»

Ses propos ne satisfirent pas mon esprit sceptique. Aussi, je continuai de l'interroger, tâchant d'adopter une voix posée :

«-P... pourquoi aurait-il f... fait une chose pareille ?»

Severus haussa les épaules, comme pour se conférer une nonchalance qui ne sonna pas crédible.

«-Parce que le Seigneur des Ténèbres a demandé à Drago Malefoy de tuer Dumbledore et que ce dernier ne souhaitait pas qu'un de ses élèves ne commette l'irréparable. Parce que, de cette façon, je gagnais définitivement la confiance du Seigneur des Ténèbres. Parce que Dumbledore était sur le point de mourir, de toute façon.»

Il avait annoncé ceci d'une traite, sans marquer de pause, comme s'il souhaitait se débarasser rapidement de ces paroles peu plaisantes.

«-Sur le point de mourir ? répétai-je, hébétée.»

Severus soupira, avant de lever le regard sur moi. Ses yeux accrochèrent les miens, pour ne plus les lâcher.

«-Peu avant le début de l'année scolaire, il a été grièvement blessé par un artefact de Magie Noire, m'expliqua-t-il. Ses jours étaient comptés.»

Un silence suivit sa déclaration, un silence dura lequel nous nous toisâmes du regard. Ce fut ce contact prolongé qui finit de me convaincre : Severus avait tué Dumbledore, sous ses ordres. Si l'idée que Severus n'avait finalement pas trahi la confiance de Dumbledore - mais l'avait plutôt honorée, d'une certaine façon - m'apaisait, l'image de Severus lançant un Sortilège de la Mort sur le directeur de Poudlard n'en était pas moins affreuse pour mon esprit déjà chamboulé.

«-Pourquoi tu ne m'as rien dit ?»

Ce fut la seule question que je fus capable de formuler, après que la vérité se fut clairement imposée dans ma tête. Je ne pouvais m'empêcher de ressentir une vive déception à l'égard de Severus, qui n'avait pas jugé bon de m'informer des plans de Dumbledore. Ne me faisait-il pas assez confiance pour cela ? Severus brisa notre lien visuel, sentant certainement la frustration perceptible dans ma voix.

«-Parce que je ne savais pas comment te l'annoncer sans qu'il se passe exactement ce qu'il vient de se passer, avoua-t-il à voix basse.»

Il garda les yeux rivés sur le sol, comme si soutenir mon regard était soudain trop difficile. Je me mordis les lèvres, comprenant où il voulait en venir : en m'annonçant qu'il avait tué Dumbledore, il savait très bien que j'allais réagir avec violence et que, à cause de notre nouveau lien, je pouvais être blessée par sa faute. Un long frisson parcouru mes muscles encore endoloris mais je tâchai de ne pas laisser une grimace de douleur s'installer sur mon visage.

«-L'Union veut ta peau, ne pus-je m'empêcher de lâcher, un peu plus abruptement que je ne l'aurais voulu.»

Ma déclaration n'eut l'air de n'avoir aucun effet sur Severus, si ce n'est qu'il haussa les épaules d'un geste indifférent - ou du moins qu'il voulait faire paraître indifférent - et qu'il leva ses yeux sur moi.

«-Tout le monde veut ma peau, rectifia-t-il finalement, d'un ton traînant.»

Il m'adressa un rictus sarcastique alors que ses yeux me fixaient avec insistance. Mon regard se posa sur sa mâchoire bleuie par mes propres soins. Un faible picotement se fit ressentir dans mon avant-bras, mais je n'y prêtai pas attention.

«-Pas moi.»

Severus fronça les sourcils en m'entendant prononcer fermement ces deux mots. Je plongeai mes yeux dans les siens, affrontant la myriade d'émotions qui se disputaient le monopole de ses pupilles. Je m'avançai dans sa direction, sans déloger mon regard du sien. Plongée dans les tréfonds de ses pupilles, je pouvais être témoin des sentiments qui tiraillaient son âme - les vrais sentiments, pas ceux qu'il s'évertuait, par pudeur et fierté, d'afficher au grand public. Une fois arrivée à sa hauteur, je m'arrêtai et tendis une main vers lui, paume tendue. Son regard descendit lentement jusqu'à ma main ainsi offerte à lui, qu'il fixa un long moment sans réagir. Puis, seulement quelques minutes après, il posa sa paume dans la mienne. J'entremêlai mes doigts avec les siens, le regard de Severus toujours fixé sur nos deux mains. D'une faible pression, j'invitai le sorcier à se lever, ce qu'il fit sans prononcer un mot, simplement en relevant la tête dans ma direction.

«-Je te crois, murmurai-je lorsqu'il fut en face de moi.»

De ma main libre, je déposai mes doigts sur la mâchoire tuméfiée de Severus, qui frémit au contact. Je laissai mes phalanges vagabonder le long de sa mâchoire, d'un geste délibérément lent. Je sentis le sorcier frissonner sous mes caresses. Il déposa sa paume contre ma main libre et la captura de ses doigts. Nos deux mains ainsi unies, nous restâmes quelques instants à nous dévisager, dans un silence parfait. Puis, n'y tenant plus, je réduisis la distance séparant nos deux visages et déposai mes lèvres sur les siennes, les effleurant juste.

Severus se raidit, ne s'attendant sûrement pas ce geste de ma part. J'avais fortement envie d'approfondir le baiser mais quelque chose m'en empêcha, sans que je ne sache vraiment quoi. Le sorcier le fit pour moi plusieurs secondes après que nos lèvres se furent rejointes. D'un mouvement un peu brusque, il prit mon visage entre ses mains, avant de presser fermement sa bouche contre la mienne, avec empressement, désespoir presque. Je posai une main sur son torse et, bien que la sensation que me procurait ses lèvres contre les miennes était enivrante, je le repoussai lentement, éloignant mon visage de quelques millimètres du sien. Severus m'adressa un regard interrogateur, tâchant de calmer sa respiration saccadée. Ma paume étant pressée contre le tissu de sa chemise, je pouvais sentir les battements rapides de son cœur animer sa poitrine. Je murmurai, d'une voix rendue rauque par les émotions :

«-Écoute, Severus, je... je suis désolée de t'avoir insulté... et...

-Ça ne fait rien, me coupa-t-il avant de capturer une nouvelle fois mes lèvres, avec passion.»

Je fermai les yeux, le souffle coupé par l'agréable chaleur qui explosa au creux de mon ventre. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas ressenti quelque chose d'aussi exquis... C'en était presque douloureux. Je mis une seconde fois fin au baiser, alors que les mains de Severus exploraient déjà mes cheveux et ma nuque. Cette fois-ci, le sorcier parut inquiet de mon manque de coopération. Je m'empressai d'ajouter :

«-Je suis aussi désolée d'avoir douté de ton allégeance. Je n'aurais pas dû... et je t'aime.»

Severus garda un instant le silence, comme abasourdi par les mots que je venais de prononcer. Une lueur naquit dans ses yeux et vint éclairer ses pupilles, les rendant plus chaleureuses, moins ternes.

«-Moi aussi, je t... aaaah !»

Le sorcier se crispa soudainement sous le coup d'une douleur lancinante. S'écartant de moi, il baissa les yeux sur son bras gauche, une main pressée contre la parcelle de peau sur laquelle était gravée la Marque des Ténèbres. Je lançai un regard paniqué à Severus, comprenant qu'il venait de recevoir un appel. Ce dernier mit un certain temps à reprendre contenance mais, lorsque la douleur sembla s'être calmée, il se tourna vers moi et annonça, d'un air grave :

«-Il faut que tu t'en ailles. Rejoins l'Union et surtout, ne leur dis pas ce que je t'ai dit, il...

-Je ne peux pas, l'arrêtai-je en posant une main sur son épaule. Ils m'ont banni de l'organisation.»

Severus m'adressa un regard hébété. Je baissai le regard au sol, me souvenant des mots douloureux prononcés par Alastor me concernant.

«-Ils pensent que je suis ta complice, ajoutai-je à voix basse, d'une voix penaude.»

J'entendis Severus jurer puis, il se mit à faire les cent pas devant moi, agité. Une dizaine de secondes plus tard, il se tourna vers moi :

«-Les Mangemorts vont rappliquer, tu ne peux pas rester ici.

-Je suis censée être ton esclave, je te rappelle.

-C'est trop dangereux, je ne veux pas...

-Je reste.

-Mais...»

Je plaquai avec ferveur mes lèvres contre les siennes pour le faire taire. Il ne me fera pas changer d'avis. De toute manière, je n'avais nulle part où aller.

Notre baiser fut interrompu par un «pop» de transplanage provenant de la rue. Severus se redressa, le corps tendu. Il m'empoigna par le bras et me conduisit jusqu'à sa chambre.

«-Reste dans la chambre.»

Je hochai la tête et il referma la porte derrière moi, non sans m'avoir auparavant lancé un regard empreint d'anxiété. Secouée par les émotions, je me laissai choir sur le bord du lit, n'ayant pas la force de rester debout. Je sentis un mouvement me chatouiller la peau et, baissant la tête, j'aperçus la minuscule tête de Marlow émerger de la poche de la chemise que je portais. Je lui adressai un petit sourire contris :

«-Désolée, je t'avais oublié.»

Le Botruc escalada ma clavicule pour venir se poser sur mon épaule. Je le regardai s'installer et lorsque ce fut fait, il pointa l'un des ses bras en direction de la porte. Je me levai et, à pas de loup, m'approchai de la surface en bois. Je pouvais entendre des paroles s'élever de derrière le mur, mais trop atténuées pour que j'en déduise un quelconque sens. Je collai mon oreille contre la porte et, cette fois-ci, les voix résonnèrent très clairement dans mes tympans.

«-... des Ténèbres aurait bien voulu te parler en personne mais il est occupé donc il nous a envoyé te faire part d'une information, disait une voix appartenant sans aucun doute à un homme.

-Je vous écoute.»

Je reconnus sans mal la voix de Severus. Il paraissait calme, comme à son habitude.

«-Dis-moi, elle est où ta jolie esclave ? ricanna une nouvelle voix, rocailleuse. Tu en profites bien j'espère. Ce n'est pas tous les jours qu'on possède un si beau minois !»

J'eus un mouvement de recul, comme si j'avais peur qu'ils sachent que j'étais derrière la porte. Les Mangemorts, deux apparemment, rigolèrent grassement à cette intervention et leurs rires pervers m'arrachèrent des frissons. Inspirant lentement, je m'avançai une nouvelle fois jusqu'à la porte pour continuer d'écouter ce qu'il se disait :

«-Aux dernières nouvelles, ça ne te regarde pas, répliqua froidement Severus, mais usant toujours du même ton distant et neutre qui le caractérisait.

-Oh je t'en prie, cesse de jouer les prudes, grinça l'un des Mangemorts. On sait tous ce que tu lui fais, une fois la nuit tombée...»

Nouveaux ricanements. Severus les interrompit, semblant perdre patience :

«-Je croyais que vous deviez me communiquer une information provenant du Seigneur des Ténèbres ?»

À l'évocation de leur Maître, les deux Mages Noirs cessèrent de ricaner et l'un affirma :

«-Exact.»

Il marqua une brève pause, puis expliqua :

«-Maintenant que Dumbledore est mort, le Seigneur des Ténèbres souhaite s'emparer de Poudlard. Et pour cela, il aimerait te nommer directeur.»

Il y eut un silence. Sa déclaration sembla avoir jeté un froid dans la pièce. Moi-même qui était dans la salle adjacente, je pouvais sentir une certaine tension émaner de ce silence. Severus, directeur ? À quoi jouait Voldemort ? Je pressai ma tête contre la porte, de sorte à ne rater aucune autre information.

«-Directeur ? répéta Severus, apparemment aussi surpris que moi d'apprendre la nouvelle.

-Oui, confirma le Mangemort à la voix rocailleuse. De cette façon il aura le contrôle direct de l'école via ta position. Il veut également organiser une réunion la semaine prochaine. Tu as intérêt à être là. C'est au sujet de Potter.»

Severus mit un certain temps à répondre, comme si les informations mettaient du temps à prendre du sens en lui. Finalement, il lâcha - et sa voix ne laissa paraître aucune peur, aucun doute :

«-J'y serais.»

☆☆☆

Ahoy les p'tits Botrucs ! Comment allez-vous ?

Severus a enfin dit la vérité à Elladora concernant Dumbledore, et on retrouve une complicité entre eux-deux... contents ? ^^ reste à savoir si ça va durer, et surtout comment ils vont gérer le nouveau statut de Severus. Des idées concernant la suite ?

On se rapproche doucement mais sûrement de la fin, avec encore dix-neufs chapitres à publier et un épilogue. Merci d'être toujours au rendez-vous :)

Allez, à la semaine prochaine les amis. Prenez soin de vous ♡

PetitKoala

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