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Chapitre 2

Coucou je publie 9 chapitres.
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Bonne lecture.
♥️♥️♥️

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Pov Clay

La jolie doc... Oui, elle a un truc. Enfin, peut-être. Je m'en fous finalement.

L'important, ce n'est pas ça. L'important, c'est le contrôle. C'est moi qui viens à son cabinet, mais c'est elle qui se soumet à mes séances. Je la fais danser comme je veux. 1, 2, 3... 1, 2, 3... Pas besoin d'être le «Mentalist" pour comprendre qu'elle est mordue, totalement accro à mon corps.
Elle le veut, elle l'aura. Dans quelques instants, je lui donne ce qu'elle attend...

Je la regarde, elle se sert de l'eau minérale avec une nervosité de dingue, limite à renverser tout sur la table. Elle, c'est Gaby Fielding. J'connais sa bio par cœur. Merci Internet ! Une psy diplômée de l'université de l'Indiana, 25 ans, à fond dans ses croyances réac. Elle vit seule. Avant, elle était en couple avec un fils de pasteur. Elle doit sûrement se garder pour le mariage. C'est à se taper des barres.

— Et moi, je ne peux pas boire ? je demande.

— Vous... vous avez soif ? Je peux...

Je lui chope le gobelet. J'en ingurgite une longue gorgée et je m'amuse à recracher lentement le trop-plein dans le verre. Elle rougit. Je te parie qu'elle aimerait goûter à mon eau, sentir ma salive glisser dans sa gorge.

— Vous jouez à quoi, M. Williamson ? S'exclame-t-elle.

— J'ai soif, chérie. Reste mignonne.

— Je ne crois pas que ce soit comme ça que vous me convaincrez de vos progrès !

— Tu ne bois pas ?

Elle vide le verre dans un pot de fleur et le jette à la poubelle.

Puis, elle boit dans la bouteille. Je proteste :
— Doc ! Je voulais que tu goûtes ma salive !

— Arrêtez, Clay, ça ne prend pas. Vous essayez de me pousser à bout, mais je suis solide, croyez-moi. Et j'ai ce qu'il faut pour vous faire marcher droit !
Des menaces ? Sérieux ? Depuis le début, elle mord à l'hameçon.

Je l'ai bien ferrée et je prends mon temps pour l'amener à voir les choses à MA manière. De toute façon, elle ne pourrait pas rendre un rapport positif à mon sujet après seulement une ou deux séances. Ce ne serait pas crédible.

Laisse-moi t'expliquer, camarade... Je suis le genre de gars qu'il vaut mieux ne pas chercher. Je traîne dans les mauvais endroits, aux mauvais moments et parfois, je croise des mecs pas cool. Du coup, je me retrouve dans des bagarres, et comme je gagne, c'est moi qu'on fiche en taule ! Le juge a halluciné de ma violence. Il s'est ému qu'un gars comme moi, un bon orphelin américain, tout blanc tout mignon, qui veille depuis des années sur son petit frère, soit devenu si méchant. Alors, il a exigé que je suive une thérapie.

— Vous voulez me frapper avec une règle, madame la prof ? je demande en souriant.

— Pas du tout, M. Williamson. Mon job, c'est de vous aider, pas de vous casser encore plus.

J'aime quand elle dit des trucs comme ça. C'est trop mimi. Par moment, elle joue bien son rôle de psy super pro. Sauf qu'elle craque à chaque fois que je la provoque ! C'est ça qui rend le jeu excitant. Je m'avance vers son bureau. Je peux voir qu'elle commence à stresser. Ses yeux balancent entre son dossier et moi. Elle essaie de la jouer cool, mais c'est mission impossible.

— Tu sais, doc, je pense que toi et moi, on pourrait le faire.
Elle devient blême.

— Faire quoi ?

— Allez, tu sais très bien. Je parle de baiser. B-A-I-S-E-R... Toi et moi, ensemble, toucher le 7ème ciel ! Parce que derrière ton air innocent, je sais qu'il y a la nympho qui en meurt d'envie.

Elle me fixe, les joues rouges de honte. Ses lèvres tremblent. Ça m'excite de la voir comme ça.

— Arrêtez de délirer, M. Williamson. Nous devons nous concentrer sur vous et votre... guérison. C'est-à-dire comprendre d'où vient votre violence.

Je me marre doucement.

— Ma violence ? Tu veux dire mon instinct de survie ? Mon besoin de protéger ma peau et celle de mes potes ? Peut-être que tu devrais abandonner tes bouquins et sortir pour voir la merde qu'il y a dehors !

Un silence s'installe. Elle est paumée, sans mots, sans arguments.

Alors, redevenant tout doux, je passe à la vitesse supérieure :
— Je t'aime bien, doc. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. J'aimerais te faire plaisir.

Tout sourire, la regardant droit dans les yeux, je mouille mes lèvres et dézippe lentement ma veste de cuir. Je la retire doucement, tendrement, dévoilant mon joli torse nu et sculpté, chaque muscle bien défini à force d'années de combat. Ses yeux s'agrandissent, malades de désir.

— Il fait chaud, je dis.

— Remettez votre blouson !

— Non, je suis bien comme ça. Et arrête de criser, tu saoules !

Je la fixe et continue de l'enfoncer :

— Peut-être que c'est toi qui as besoin d'être soignée, doc. Je pourrais t'enlever tes blocages, tes préjugés... Ce serait moi le soignant. Ça te tente de jouer au docteur ? Ici, vite fait, entre deux clients. Je suis sérieux, ce serait top. Allez, avoue-le, dis-le que tu es d'accord et je commence tout de suite la séance !

Elle déglutit, ses yeux parcourent malgré elle mon corps. La tension monte entre nous.

— Qu'est-ce que vous espérez obtenir de moi en faisant cela, Clay ?

Je m'approche encore, ne laissant que quelques centimètres entre nous. Mon souffle chaud effleure son visage, et je peux presque sentir son cœur battre plus vite.

— La vérité, doc. Juste la vérité.

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