35. LET'S DO IT (3)
— S'il te plait, soit sérieuse !
— Ok, c'est bon, se résigna-t-elle. Tout ce que je vais te dire mon chéri, c'est que la lune a beau être éloignée de l'océan par des centaines de kilomètres et par l'univers tout entier, marée haute ou marée basse, ils resteront à jamais connectés ! Et maintenant, embrasse-moi ! Elle replongea ses lèvres sur les miennes avec plus de vigueur et cala mon visage collé au sien en maintenant fermement mon cou par son avant-bras.
— Mais...
— Chuut sapristi ! s'énerva-t-elle en me débarrassant de mon T-shirt. Le froid hivernal balaya les pores de ma peau et je frissonnai. Tu parles beaucoup trop !
— C'est du viol, ça !
— Je te violerais s'il le faut ! Elle plaqua sa main froide sur mon dos encore chaud, et la sensation en fut incroyable.
Lorsqu'elle se mit à se balader sur ma peau, je crus crever d'extase. Je pinçais ses tétons entre mes doigts. Elle miaula en se cambrant vers l'avant. Je me mis à glisser mes doigts sur les deux boutons de chairs, comme si j'enroulais des joints. Nos baisers devenaient plus fougueux. Elle haletait violemment, on aurait pu l'entendre en haute-mer. J'aimais ça.
Elle retira ses mains de mon dos, pour ouvrir son jean. Elle fit descendre sa braguette, et j'aperçus furtivement son string rouge vif. Elle avait donc apprêté tout ceci. Elle n'agissait pas sur le coup de l'alcool. C'est tout ce qu'il me fut pour me débarrasser du peu de retenue qui continuait de me hanter.
Rapidement, son jean suivit le reste de ses vêtements. Son string en dentelle demeurait le dernier vêtement sur son corps de rêve. Elle était presque tout aussi nue que moi. Je n'en pouvais plus d'attendre. Je la voulais ! Je la désirais aussi crument que jadis je l'avais désiré lui. Un sourire étira mes lèvres.
— Simple curiosité, il t'a coûté combien, ce string ? Mérédith rougit instantanément avant de s'esclaffer à nouveau.
— Oh, trois fois rien, jaugea-t-elle en haussant les épaules. Je me pinçai la lèvre inférieure et, parcourus de mes mains la corde rouge qui se perdait dans son cul chaud. Je fis passer un doigt a travers la corde. J'effleurai sa toison sensible et elle arrêta sa respiration.
Je tirai lentement sur le fil de tissu, qui commença à s'insérer dans son sexe brûlant et humide. Elle soupira bruyamment, en se caressant la poitrine. Putain, j'allais lâcher la sauce sans qu'on est commencé le dîner ! La corde de son string tendue à l'extrême, celle-ci lâcha et vibra sur son clitoris.
Un cri força le passage de ses lèvres. Nous étions tous les deux tellement excités, que je craignais d'éjaculer comme un puceau, après seulement trente secondes. Je voulais être parfait pour elle, parfait pour notre première fois a deux.
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