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Strange 29

Jimin se réveilla finalement au petit matin. Etrangement la fenêtre est ouverte laissant le vent plutôt doux pour la saison s'engouffrer dans la pièce. Faisant voler voler les rideaux, virevoltant majestueusement apens l'intention de Jimin. Oubliant qu'il s'était endormi dans son bureau originellement, mais que maintenant il se retrouve allongé dans sa chambre.
Sa peau est sèche, comme si on avait passé de l'eau simplement sur son visage et son torse avant de la laisser sécher.
Ce n'est pas agréable, sa peau le tiraille. Il tourne la tête découvrant Jungkook encore endormi. Les yeux clos, il pensa que le blond était bien plus mignon quand il dormait.
Pas qu'il était vilain quand il était réveillé mais au moins dans cet état là, il n'avait pas à supporter sa voix insupportable, ses réactions d'enfant et son comportement qui ne vole pas haut tout le temps en tout cas.
Il se lève pour se redresser dans le lit. Ne pouvant pas bouger à cause du bras du blond autour de ses hanches.
Mais il ne voulait pas le réveiller, il voulait encore profiter du silence que le sommeil lui offrait avant que le lapin de compagnie ne se réveille et lui assassine les oreilles.
-C'est dingue Jimin, même quand tu ne fais que penser j'arrive à entendre que tu m'insultes. Dit Jungkook toujours les yeux fermés et le corps détendu.
Il faut croire que son moment de tranquillité est fini. Mais au moins la tête du blond était drôle. Encore à moitié endormi et fatigué.
-Bien debout alors.
-Tu t'es endormi tard hier soir. Tu devrais rester...Et tu es déjà debout. Constata Jungkook fatigué alors que Jimin marcha vers la fenêtre pour la fermer.
-Pourquoi elle est ouverte? Il demande posant son regard sur le torse nu de Jungkook.
-Je l'ai ouverte pendant la nuit. Tu étais malade et la température à l'intérieur de ta chambre était insoutenable.
-J'ai été malade? Il demande surprit, ne se souvenant plus d'être ou d'avoir était malade. Il se sentait pourtant bien la nuit dernière, même si il avait fait un cauchemar et n'arrivait plus à se rendormir, là pour le coup il n'avait aucune idée de ce qu'il s'était passé.
-Oui, tu avais une petite fièvre et tu délirais. Tu disais plein de choses différentes. Tu appelais des gens, comme ta mère, ton père et aussi un dénommé Taehyung. Le sang de Jimin se glaça et en un geste de bras droit balayant le vent devant lui, il hurla:
-"Ne prononce pas son nom! Sa voix était cristalline et Jungkook ne bougea pas. Non il regardait sans un mot le noiraud devant lui.
La dernière fois qu'il l'avait vu ainsi, dans un tel état, c'était quand il avait parlé du sujet délicat de son père et du possible fait que ça soit lui, qui est commandité les meurtres.
Il s'était énervé et là il était à nouveau dans cet état là. Jungkook se leva doucement s'approchant de Jimin pour ne pas le brusquer.
-Jimin. Il prononça son prénom, essayant de le ramener avec lui.
-Tais toi! Comment oses-tu prononcer son prénom? Comment oses-tu venir dans ma vie et de me retirer mon objectif? Mes plans sont compromis, bouleversés par toi. Toi qui arrive avec tes gros sabots, comment oses-tu me faire ça? Il ne se retenait plus, à la simple prononciation de son prénom, c'était comme pour son père, Jimin perdait les pédales, il devenait quelqu'un dautre. Une bête enrageait et malade.
-Jimin, il faut que tu te calmes. Respire. Je suis désolé je n'aurais pas dû. Il récupère le corps de noiraud avant qu'il ne tombe au sol.
-"Pourquoi tu me retires ça? Jungkook je ne comprend pas. Il n'était pas le seul. Le concerné par sa phrase ne comprenait pas non plus ce qu'il se passer avec Jimin, mais apparemment il avait fait une boulette. Il le prend dans ses bras et le berce un peu.
-Jimin, calme toi. Ta nuit a été agitée, tu es peut-être faible et un peu malade.
Kanda arriva à la hâte dans la chambre de son jeune maître. Il avait été alerté par les cris.
-Monsieur? Il lui prend le poul. Ce dernier est bien trop rapide. Allen avait suivit, il se vit repartir tout de suite pour chercher la sacoche médicinal toujours dans sa chambre.
-Vous auriez dû m'appeler dès son réveil. Il était déjà passé pendant la nuit suite à la demande de Jungkook. Et il venait un peu de gronder le blond.
-Il a une forte fièvre et son pouls est trop rapide. Je suppose que c'est le résidu de votre dernière affaire. Il va peut-être falloir apprendre à arrêter de résoudre des affaires blessées ou malades.
-"Comment aurais-je pû savoir qu'il allait faire une folie comme ça? se défend Jungkook. C'est vrai entre l'accident du théâtre avec l'étranglement et maintenant ça, Jimin les accumule. Mais il se posa une question. Est-ce que ce n'était pas fait exprès?
Est-ce que pour lui sa vie n'avait plus aucune valeur et que par ce fait il ne voulait plus vivre. C'est pour ça qu'il se met tellement en danger.
Il ferma la porte derrière lui donnant un dernier coup d'œil à Jimin qui grâce au calment avait l'air un peu plus calme.
Les deux domestiques lui donnèrent un regard qui voulait dire "Même nous on savait ce dont il est capable de faire."
-Mais je vous assure, je ne pensais pas qu'il allait faire ça!

Deux jours plus tôt, pov Jimin.
Après avoir reçu un message de la reine personnellement pour répondre à une de ses inquiétudes, j'ai reçu un nouveau billet de sa part avec un ticket de théâtre. Un grand nombre de personnes disparaissent en groupe après chaque représentation d'une pièce. Encore une histoire avec un théâtre et bizarrement si ça doit finir comme la dernière fois, je ne mettrai plus jamais les pieds dans un opéra ou un théâtre.
La représentation était pour le soir même, je peste dans un souffle avant de ranger la lettre dans ma poche, pour reprendre ma tâche. De toute façon je n'avais rien à faire qu'attendre la soirée pour agir. Je me demande bien si je peux amener Jungkook avec moi. Ça peut-être dangereux, je pense qu'il va falloir que je trouve un moyen de partir de façon discrète ce soir en tenue de soirée qui plus est. Et je vais devoir prendre un cheval discrètement aussi. C'est bien ma poisse.
Mais les ordres de la reine sont des ordres suprêmes dont je ne peux m' échapper. C'est l'héritage de mon père. Si je veux découvrir le fin mot de l'histoire, je vais devoir jouer au jeu de la personne qui tire les ficelles.
J'attends donc le soir et part une fois avoir prétendu que j'était parti me coucher. Je détachais en avances un cheval et le seller. Je me glisse ensuite par la fenêtre, partant à cheval vers le théâtre, le vent est froid et me poignarde la gorge.
Je n'avais pas beaucoup de temps devant moi, une fois arrivé je glisse des lunettes sur le bout de mon nez, que j'ai pris afin de protéger un petit peu mon identité, vérifiant que je n'avais pas oublié mon arme dans ma botte.
Les gens étaient tous tellement bien habillés, J'ai fait exprès de prendre des vêtements qui paraissent un peu moins coûteux que ce que j'ai de base. Je fais un peu tâche encore une fois, mais la reine n'avait pas fait les chose à moitié, J'ai une place au première loge, c'était principalement pour avoir une vue imprenable sur la scène et les spectateurs, je suppose.
J'essaye d'abord de déterminer qui pourrait être la future victime, mais il n'y avait rien dans le dossier qui pouvait m'aider pas comme la dernière fois, les victimes étaient multiples et elles n'avaient pas grand choses en commun.
Je ne prête aucunes intentions à la pièce mais je me sens un peu bizarre. Mon état n'était pas normal, j'avais envie de décrocher, de mon observation, ce n'est jamais arrivé avant. Comme si j'avais sommeil. Je me pince fortement la paume de la main.
Je reviens sur terre et je vois plusieurs personnes se lever sans paraître en détresse, mais je sens qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. J'essaye de me souvenir de choses qui auraient pu me marquer.
Pendant l'attente avant le banquet, je me souviens avoir pris quelque chose à boire, mais je n'ai bu que quelque gorgé. L'alcool n'avait vraiment pas bon goût.
Je reconnais les personnes proches de moi ayant bu eux aussi. Personnes n'avaient l'air de s'en rendre compte, trop obnubilé par la pièce. Pièce d'ailleurs ou certaine note change de l'œuvre originale.
Je décide de les suivre, ma mission était claire, je dois trouver ce qu'il se passe, par la porte ou par la fenêtre je le serais.
Je fais attention en sortant par la porte, mon cœur bat fort dans ma poitrine, j'observe avec attention le comportement des autres et je fais pareil, par mimétisme.
Nous étions 7, belle prise je pense. Les gens avaient l'air perdu, je fais pareil.
Une fois sorti du théâtre alors qu'il n'y avait plus un chat dans la rue, des carrioles nous attendaient. La pluie commençait à tomber et il n'y avait pas de toit, c'est bon j'allais être malade. Je soupire intérieurement.
Une fois en marche, je reconnais la direction prise par les types et bien sûr je reconnais bien évidement les personnes du staff et un artiste qui avait joué un rôle nul, dès le début de la pièce il se fait tuer.
Une fois arrivé, encore une fois comme des pantins tout le monde descend et je suis le pas. On monte alors sur un bateau et c'est là que je vois que les personnes autour de moi commencent à reprendre conscience peu à peu, une vague de panique s'enroula autour d'eux, encore plus quand le bateau se mit à bouger. Une traite de blancs.
Comme des chiens, ils nous jettent dans la soute. Bien sûr ils avaient prient nos affaires, discrètement. Je me retrouve par terre trébuchant sur une poutre. Je vais avoir un peu sur chaque jambe! Super! Et en plus j'ai déchiré mon pantalon. Je vais commettre un meurtre. Tout le monde se regarde dans le blanc de l'œil, mais pour moi hors de question de me laisser faire.
Alors je m'approche tentant d'intercepter une discussion mais rien, tout était silencieux, la porte est fermée à clé, mais avec un bon coup de pied je sais que je réussirais à y venir à bout. Mais ça risque de prévenir ceux à l'extérieur.
-Retournez à votre place. J'ignore l'homme qui venait de parler, ont doit sortir de là, je dois en finir avec cette histoire et de plus, je dois être le lendemain au manoir.
-Il en est hors de question, allez vous réellement rester là, et les laisser nous emmener je ne sais où?
La poignée de la porte bougea, je sors vite mon arme et en vue de mon action, un homme se plaça à mes côtés.
Un des types qui nous a enfermé là rentra, il avait une jolie balafre sur la joue, et un air de tueur. Je ne laisse pas mes émotions prendre le dessus et je pointe le canon de ton arme sur sa tempe après avoir vérifié qu'il était bien seul.
-Si tu ne veux pas mourir, je te conseille de coopérer mon grand, sinon je n'hésiterais aucunement à tirer. Il se retourne rapidement, pensant te prendre par surprise mais un autre homme lui prit le bras, pour sûr en vue de la technique cela ne pouvait être qu'un militaire.
L'homme se trouva bloqué mais il n'avais pas envie de parler et te regarda avec dégoût et provocation.
-Et à quel nom? Je souris en sortant la lettre marquée par le saut de la reine de ton décolleté.

-Au nom de la reine Victoria, mon cher ami. Une fois attaché et bâillonné, je le laisse derrière. Le plus discrètement possible, on prend la direction des chaloupes, par chance on pouvait encore voir les lumières du port. Je me rassure qu'ils étaient tous hors de danger, je leurs demande de contacter Scotland yard une fois à terre et de faire arrêter la compagnie de théâtre en faisant étudier les boissons servies à l'entrée.
Mon travail n'était pas encore fini, je repars vers les différentes cabines, je trouve des paquets de poudre explosive et des armes, puis les affaires des personnes disparues, le bateau devait surement leurs servir de "maison" car je découvre des affaires personnelles de nombreux des comédiens.
Puis un bouquin attira mon attention, je décide de l'ouvrir et découvris le nom de tous les disparus avec l'endroit où ils avaient atterri, il y avait une grande chance de les retrouver.
Je prend le bouquin et le fourra dans un grand sac qui semblait étanche, mais alors que j'étais sur le point de partir faire mon chemin vers une chaloupe, l'homme que j'ai attaché était devant moi et tenta de me frapper à la tête, je sors mon arme tout en évitant le coup et tira sans hésitation, mais il n'avait pas finit de se débattre.
-Au nom de la reine hein, gamine? Je le vois avec une allumette proche des sachets et tonneaux de poudre, il rendit l'âme mais le feu était au poudre, je n'ai pas le choix, j'avais penser détourner le bateau à nouveau pour le faire rentrer dans le port, mais là je n'ai pas le temps, je cours jusqu'au pont et sauta avant de sentir une déflagration d'air puis une violente chaleur dans mon dos.
Le sac fermement tenu dans ta main m'aide à remonter à la surface alors que je peux entendre certains cris de matelots brûlant avec l'épave. Il pleuvait à torrent sur la Tamise et alors que je faisais mon chemin pour atteindre une des rives, tu entendis la voix d'un jeune homme.
-M'sieur! Par ici! Une barque vient à ma rencontre en me tendant une main.
-Je vous ai vu sauter m'sieur, vous êtes trop fort.
-Ah..heu merci. Il parla pendant qu'il me ramène sur les bords de la rive où quelques policiers étaient déjà là. Et Jungkook aussi.
-Mais c'est pas vrai ça Jimin! Espèce de fou! Je crois que je vais me faire engueuler. Et je vais être malade.

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Voilà pour aujourd'hui bisous sur vos petites fesses !

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