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Chapitre 6 (3) : A last trial is my parting wish

C'est le silence qui accueille ma demande.

Enfin, demande, je devrais plutôt dire exigence.

Tout le monde est figé comme une statue derrière moi. Je n'entends ni souffle, ni mouvement, ni rien. Juste Monokuma devant moi. Mes mains serrées sur son col. Alors que ses yeux s'écarquillent.

Il met un peu de temps avant de réagir. Tout sourire disparu de son visage.

« ... Un procès. Tu veux un procès.

— Exactement. C'est ta came, pas vrai ? Un procès. Pour démasquer l'organisateur et lui refiler la punition qu'il mérite. »

Et accessoirement, lui refiler son propre karma, à lui. Hors de question de le laisser s'échapper. Si ce cercle n'est vraiment pas fait pour lui, je trouverai sûrement un moyen de le tuer, lorsque j'aurai, enfin, pu utiliser le Monodossier de Sachiko sur ces maudites portes à haut niveau d'autorisation d'accès.

Je trouverai le salopard. Je trouverai sa foutue patronne. Et les deux, les trois, qu'en sais-je ? Direction la punition, la seule que Monokuma veut nous faire accepter.

La mort.

Et si c'est la mort qui doit nous débarrasser du Désespoir qui nous a brisés, ainsi soit-il, parce que sinon je sais que rien de ce que je ferai ne réussira à les arrêter.

Derrière moi, Seo-jun retient une exclamation. Presque horrifiée.

« ... Un procès ? Tu veux qu'on rejoue ce jeu encore une fois ?!? »

Je l'ignore.

Reste fixé sur Monokuma, qui continue de me regarder avec des yeux ronds.

« Alors, Monokuma ? Un procès, avec un temps suffisant pour enquêter, c'est tout ce que je te demande. Est-ce que tu vas me l'accorder, ou non ? Ou bien est-ce que comme l'Impératrice, tu as choisi de protéger ton foutu MasterMind ? »

Monokuma reste figé.

Cligne des yeux.

Une fois.

Deux fois.

Il se dégage de ma poigne en reculant d'un pas, le visage toujours crispé dans cette expression de surprise.

Et puis, ses joues s'étirent.

Et ses yeux se mettent à briller alors que de sa gorge, de sa gorge ne jaillit le rire le plus cruel, le plus grotesque, le plus extatique que je n'ai jamais entendu faire vibrer les cordes vocales de l'Ultime Artiste.

Il écarte grand les bras, alors qu'un affreux sourire perdu dans une euphorie que je ne saurais nommer ne déchire son visage scarifié.

Et c'est ce rire qui, plus que toute autre chose, me fait froid dans le dos.

« Ah... AhahahahAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!! »

Il s'écarte de moi en bondissant, ne m'accorde plus la moindre attention. Son visage, déformé, extatique, est levé vers le plafond, vers la lumière qui m'arrache les yeux mais qui pourtant, ne l'empêche pas de continuer à rire.

« Regardez ça ! Regardez-ça bien, tout autant que vous êtes, et même toi, et surtout toi ! Est-ce que vous avez vu ? Est-ce que vous avez vu le plus grand moment de toute cette Tuerie ? Observez bien, observez bien l'ampleur de vôtre échec ! »

Il se tourne vers moi d'un coup avant que je n'aie pu m'interroger sur ses paroles. Son sourire ne le quitte pas.

« Un procès ? Mais très bien, Laangbröek, je vais te le donner, ton procès ! Je ne t'empêcherai de rien, au contraire, même, fais donc ce que tu veux ! Mais je te préviens, si à la fin de ce procès auquel tu tiens tant, tu ne me donnes pas la vraie nature de mon employeur, je vous exécute tous, vous les innocents ! »

Un frisson me parcourt l'échine. Mais ce n'est rien à côté de la réaction des autres, qui sont plus blêmes que jamais. Seo-jun, les deux mains serrées sur sa bouche, Moanaura, qui vient de dégainer son sabre placé devant elle en guise de protection, et Emerens, qui vient de faire un pas en avant, les yeux écarquillés. Alors que de ses lèvres s'échappe un cri de pure panique.

« Quoi ?!? »

L'Artiste se tourne vers lui. Avec un large sourire.

« Eh oui mon vieux ! C'est comme ça ! Si on échoue à un procès, on meurt, c'est la règle, et ce n'est pas parce que Laangbroëk a décidé de faire preuve de masochisme que je vais vous l'épargner !

— ... Ce n'est pas possible, balbutie Moanaura. Tu nous avais promis... Tu nous avais promis, pas de coup fourré... »

Le sourire de l'Artiste s'élargit encore.

« Et pourtant... Il se trouve, ma grande, que nous sommes en rupture de contrat. Et c'est à moi... C'est à moi de décider de votre sort, ehehehehehehehehe !

— ... Espèce de salopard, gronde Emerens dont le visage n'est plus qu'un masque d'horreur. Tu vas me le payer.

— Plains-toi à ton chéri, mon pauvre petit, ricane Monokuma qui visiblement vit ses meilleurs jours. Parce que ce n'est pas moi qui ai décidé de ce dernier procès... Ehe... EheheAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA ! »

Emerens écarquille encore davantage les yeux. Les éloigne de Monokuma, Monokuma qui continue de rire comme jamais je ne l'ai entendu rire. Les pose sur moi. Mais dans son regard, pas le moindre reproche.

Juste une expression de pure panique.

Pour qui il a peur ?

Pour moi ?

.... Ou pour lui ?

Je serre les poings. Mais Monokuma n'a pas fini de parler. Et c'est à peine si son rire se calme alors qu'il se tourne vers moi.

« Tu veux un procès, Laangbroëk ? Prends-le, ton procès ! Tu as trois jours pour mener l'enquête à compter d'aujourd'hui, employables à tout ce qu'on te laissera faire ! Je ne t'empêcherai de rien, je te laisse même l'accès à l'ascenseur pour toi et tes chers petits compagnons au cas où tu te dégonfles ! Mais si je vous trouve devant la salle de l'ascenseur le quatrième jour à midi sonnées... »

Son expression n'est plus qu'euphorie. Et cruauté.

« Vous serez entièrement à ma merci toute la durée du procès, et ne pourront avoir accès à la sortie que ceux qui le gagnent ! Est-ce que ça s'est enregistré, est-ce que c'est bien clair dans ta petite tête ? »

Je serre les poings.

Tu crois avoir gagné, hein, salopard ?

Tu crois être à l'abri.

Mais je t'aurai.

Je t'aurai.

« Comme le cristal. »

Je ne flancherai pas.

Je me suis mis dans une situation compliquée. Je le sais. Mais je n'aurai pas de meilleure occasion de retourner ses règles contre lui.

Peu importe ce qu'il en dit.

Le rire de Monokuma se renforce encore.

« Parfait ! Dans ce cas, je vous laisse... Profitez bien de... Vos derniers instants ici, ahahahahahAHAHA ! »

Et il se casse dans les escaliers. Comme ça.

Sans le moindre mot de plus.

Me laissant avec trois larves et une nouvelle mission.

Et celle-là, je l'accomplirai.

Le silence suit son départ. Maintenant qu'il n'y a plus son insupportable rire, j'ai l'impression de ne plus rien entendre. Pourtant, Seo-jun tremble de tous ses membres, et ses dents claquent sur les ongles qu'il se ronge. Pourtant, Moanaura fait les cent pas avec une nervosité que je ne lui ai jamais vue, les jointures tant serrées sur son arme qu'elles en sont blanchies. Pourtant, Emerens a les deux mains devant la bouche, ne pouvant malgré tout masquer sa respiration erratique.

Ils sont tous paniqués.

Je crois que je les comprends un peu. Mais j'en ai marre de me planquer et d'attendre que ça passe. J'en ai marre de foutre à la poubelle les dernières volontés des gens, les raisons de leur mort.

J'en ai

Vraiment

Plus

Que

Marre.

Seo-jun, finalement, est le premier à reprendre ses esprits.

« ... Un procès... On va devoir s'y plier une sixième fois. Et pour quoi ? Pour quoi, putain ?!?

— Je crois que démasquer un organisateur est un truc un poil plus important que simplement condamner à mort un énième camarade, je crache, aigre. Ne va pas croire qu'on pourra le démasquer dehors maintenant que la Fédération est au bord de la chute ! »

Les traits de Seo-jun se tordent en une vilaine grimace.

« ... Il y a toujours le Gotoland. Tout, plutôt que de chercher ici, à la merci de Monokuma. Putain, je pensais que c'était enfin fini ! Qu'est-ce qu'il t'a pris, Thibault ?!?

— ... Moi aussi, je veux trouver le salopard, intervient Moanaura d'une toute petite voix. Mais ce n'est pas... Pas comme ça qu'on y arrivera. Pas alors que même Sachiko Kimura a essayé et échoué... Qu'est-ce qui te fait croire que tu as de meilleures chances qu'elle ? »

Le rappel me tord le cœur. Je revois, l'espace d'un instant... L'expression terrorisée de Sachiko, alors qu'on l'emmenait à ses derniers instants. Son corps sur la croix, ses derniers mots. Sa conversation avec Emerens. Ni elle ni lui n'avaient prévu un tel échec.

Les doutes de Moanaura sont... Parfaitement compréhensibles.

Mais je sais que je peux.

« Parce que ce cercle n'est pas fait pour nous. »

Seo-jun relève la tête. Une étincelle d'incompréhension se dessine dans son regard.

Je continue sans m'en préoccuper.

« Ni pour Monokuma, d'ailleurs. Toutes ses paroles... Même ce qu'il a dit à l'instant, d'ailleurs, ça prouve bien qu'il y a quelque chose, là-dedans. Jusqu'ici, on évoluait dans un espace prévu pour nous. Même avec toutes les compétences de Sachiko, d'Ansgar, d'Ibrahim, ou même les tiennes ou les miennes, j'ajoute en me tournant vers Moanaura, on n'avait accès qu'aux infos que l'organisateur voulait bien nous montrer. »

A son tour, Moanaura relève la tête. Et je vois dans ses traits qu'elle commence à comprendre ce que je suis en train de dire.

J'ai un léger sourire.

« Mais ici, c'est différent. Si c'est ce que je pense, c'est la planque de l'organisateur, et je pense avoir le moyen de fouiller dedans. Ce qui signifie qu'on aura accès à des infos qu'iel ne veut pas qu'on voie. C'est notre meilleure chance. Notre meilleure chance de lui mettre la main dessus sans dégât. Et peut-être même de trouver une ouverture pour se débarrasser de Monokuma. »

Seo-jun et Moanaura échangent un regard. Puis, les deux se tournent vers Emerens, qui n'a pas cessé de trembler, n'a pas dit le moindre mot. L'un, en quête de soutiens, l'autre, dans l'expectative.

« Emerens ? Lance Moanaura, la voix pleine de doutes. T'en penses quoi, toi ?

— Pitié, me dis pas que t'es d'accord avec ça, grimace Seo-jun. On est en train de foutre en l'air nos chances de sortie sur une totale incertitude ! Si on a pas le moyen de fouiller, il se passera quoi ?!?

— Si tu veux t'échapper, je le coupe, aigre, je te retiens pas. Monokuma nous laisse accès à la sortie. Mais ce sera très certainement retenu contre toi dans les recherches de ce cher Kagari auxquelles tu tiens tant, n'est-ce pas, Seo-jun ? »

Il se tourne vers moi, les yeux écarquillés. Une veine palpite sur son front.

« Putain de merde, Thibault, tu te rends pas compte de ce que tu nous demandes ! T'es même pas sûr d'avoir accès au cercle un dans son entièreté, et tu veux qu'on joue nos vies sur ce pari ?!? Alors qu'on aurait juste pu abandonner tout ça et sortir ?!? »

Son poing se referme sur l'épaule d'Emerens, qui n'a toujours rien dit, qui est toujours figé. Il le secoue comme un prunier, sans ménagement, les traits tirés par une colère naissante.

« Merde, Emerens, reste pas planté là, dis quelque chose ! Explique-lui à quel point c'est une idée stupide ! »

C'est le ton aux abois de son ami, plus que la secousse, qui fait finalement réagir Emerens. Ce dernier se tourne vers moi, les yeux écarquillés, les doigts tremblants. Une de ses mains se referme sur le poing de Seo-jun, juste le temps qu'il cesse de le martyriser.

« .... Thibs.... »

Son expression n'est plus qu'un masque d'horreur.

« ........... Tu pourrais mourir. »

Je pince les lèvres.

« Ou je pourrais démasquer l'organisateur–

Non ! Hurle Emerens qui semble sorti de sa transe. Tu pourrais mourir ! Cette enquête pourrait nous coûter à tous la vie, à toi, à nous, sans atteindre le but que tu t'étais fixé ! Tu te rends compte des conséquences si tu ne parviens pas à trouver le bon nom ?!? C'est hors de question que je te laisse prendre un tel risque ! »

... Bon. On dirait que ça va être plus difficile que ce que j'avais prévu.

Apparemment, je suis le seul avec cette rage au ventre. Même Moanaura n'a pas l'air d'être très convaincue. Et mes trois survivants, les trois seules personnes que mon rôle de protagoniste aura réussi à épargner me fixent avec les yeux de ceux qui partent à l'abattoir.

Si je ne fais pas quelque chose, ils vont s'enfuir. Et me laisser seul devant la salle du procès.

Mais j'ai besoin d'eux.

J'ai besoin d'eux tous.

Pour pouvoir avancer, j'ai besoin de savoir ce que je protège.

La volonté de Moanaura. La nouvelle vie de Seo-jun. Le sourire d'Emerens.

... S'ils veulent tous abandonner, je ne pourrai pas le faire sans eux. Je partirai avec eux s'il le faut.

Mais je refuse d'en arriver là.

Je serre les dents.

« Je dois le faire, okay ? Il est hors de question que ces salauds s'en tirent comme ça. Les cinq dernières personnes sont mortes parce qu'ils ont essayé. Trois d'entre eux étaient des gens que j'aimais, putain ! Tu crois que j'ai envie de faire insulte à leur mémoire ?!?

— Thibs, ces gens voulaient te voir survivre, réplique Emerens, la voix tremblante. Autant que moi je le veux. Si ça rate... Et il suffit d'un rien pour que ça rate... On va tout perdre. Tous. S'il te plaît... »

Il se dégage de la poigne de Seo-jun. S'avance vers moi, m'attrape par les épaules.

Mes sutures me font mal.

« Comment tu peux être aussi sûr... Que ça va marcher ? »

...

Comment je peux en être aussi sûr ?

Je tends les mains.

Elles se referment autour de son col.

Et je l'attire à moi, visage contre visage, alors que nous respirons presque le même air. Mes yeux plongés dans son regard terrifié.

C'est pour moi qu'il a peur ?

Eh bien tant pis pour lui.

Parce que j'en ai marre de me laisser protéger.

« Ecoute-moi bien, Emerens, parce que je ne le dirai pas deux fois. Le salopard est ici. Je le sais. Et je sais aussi que, qui qu'il soit, je le trouverai, et je l'obligerai à se révéler devant ses propres caméras, peu importe ce que j'ai à faire pour ça. J'ai été suffisamment clair pour toi ? »

Parce que je ne compte pas reculer.

Je le trouverai.

Pour Sachiko.

Pour Ansgar.

Pour Nako, la victime collatérale d'un échec.

Pour Alannah et Ibrahim, morts dans le sacrifice de notre sortie pour ce seul objectif.

Ma vision se brouille. Juste un instant, juste le temps de revoir leurs sourires. Ce qui fait que pour quelques secondes, le visage d'Emerens m'est voilé. Mais quand je reviens à moi... Il cligne des yeux, une fois, deux fois, alors que sur son visage ne se dessine, finalement, un sourire vide.

« ... Tu as l'air déterminé. Et dans ces moments-là, je ne peux pas te stopper, pas vrai ?

— Non. »

Il soupire. Un soupir presque amusé.

« Je m'en doutais. »

Il se dégage de ma prise sur son col. Ses deux mains enserrent les miennes.

« Je ne t'empêcherai pas. C'est bien ce genre de détermination... Qui te fait franchir tous les obstacles. Si tu penses que tu peux y arriver... Je te fais confiance. Je l'ai toujours fait. »

Seo-jun s'étrangle.

« ... Putain, tu peux pas être sérieux.

— Ecoute, Seo-jun, je lance. On a trois jours. Monokuma nous laisse même une voie de sortie. Si ça t'inquiète tant que ça, on a qu'à se retrouver ici une demi-heure avant l'heure du procès, ça te va ? Si à ce moment-là je te dis que j'ai rien trouvé, que c'est certain que je n'arriverai à rien, on aura qu'à se casser. Rien ne nous en empêchera. Okay ? »

Il grimace. Par contre, Moanaura, elle, a un léger sourire.

« Moi, ça me paraît être un bon compromis. Et puis, trois jours passés dans un endroit qui n'est pas pour nous, même si on obtient pas les clés nécessaires pour révéler l'organisateur de cette foutue boucherie... ça servira toujours pour plus tard.

— Tu peux t'enfuir seul, bien sûr, je lance, grinçant des dents devant une telle option. Mais derrière, je doute que Kagari ne te laisse tranquille sur le fait que tu nous as laissés derrière toi. Même si c'est particulièrement suspect, pas vrai ? »

Seo-jun grimace de nouveau. Serre les poings. Avant de soupirer.

« ...... C'est mort, je vous laisse pas derrière. Faut bien que quelqu'un vous protège un minimum, bande d'abrutis. Et si je m'enfuis et que ça rate, je m'en voudrais toute ma vie.

— Ah bah voilà quand tu veux, je ricane. C'est donc décidé. On se retrouve dans trois jours. D'ici là, je fais le tour de tout ce que je peux, et j'essaie de venir vous passer à la casserole quand j'en ai l'occasion. On est tous bien d'accord ? »

Les trois hochent la tête. En silence, un silence que j'espère approbateur.

Enfin de toute façon, ce n'est pas comme si j'attendais leur accord.

Plus maintenant.

C'est ma dernière enquête. Et celle-là, je compte bien la faire compter.

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"En clair, tout va tourner autour de ce plan, pour définitivement leur couper la tête.... (Bruits de chute) Oooooh, on avait un espion? Tiens donc... Ichiko Naegi, n'est-ce pas ? Oui, oui, je sais, je sais tout, comme toujours. T'inquiètes pas de ça, petits secrets d'adultes, mais puisque tu insistes.... Entre nous, je crois que ton papa commence à en avoir marre de ses subordonnés... "

Entendu depuis le couloir d'un bâtiment inconnu



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