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Chapitre 5 (20) : Tangled in a mess

Ce n'est pas la salle de procès habituelle qu'on rejoint, Monokuma et moi, lui souriant et moi tremblant de tous mes membres.

C'est le Musée du Sommet de son Art, au centre duquel seize tribunes ont été dressées. Les portraits des morts sont de retour devant chacune d'elles, et je dois me faire violence pour ne regarder ni celui d'Alannah, ni celui d'Ibrahim dont le cœur est figé dans la pierre un peu plus loin derrière. Mais de toute façon, où que je pose mon regard, il n'y a rien d'autre à voir que la mort.

Des bracelets en or, un petit tas de sculptures, des partitions tachées, vestige d'une des Tueries de 2018, celle au nom de code latin imprononçable, à quelques mètres de Moanaura.

Une balle ensanglantée, une épingle à chapeau rouillée, des débris de robots et un manteau de cuir taché, les restes des Abysses, trop proches de Seo-jun.

Une casquette ensanglantée, un collier de chien brisé et un pistolet à moitié carbonisé, tout ce qui fut retrouvé d'un Bal macabre sur la tribune qui domine la place de Sachiko.

Un cache-œil très reconnaissable, un katana sorti de son fourreau et un nœud bordé de doré, arrachés aux Vacances, si près de ma propre place.

Un violon ensanglanté, un couteau pas dans le meilleur état, une pince à cheveux recouverte de jade et une hache émoussée qui semblent presque fixer Ansgar de là où iel est.


Une balle de pistolet ensanglantée, un détonateur recouvert de doré et une veste en cuir percée de mille flèches, arrachés de l'Enfer juste derrière Emerens.


Et tant d'autres objets. Tant d'autres vestiges des Tueries qui nous ont précédées, restes qui doivent aujourd'hui contempler la nôtre, huitième, neuvième ou dixième Tuerie jamais enregistrée, alors qu'elle touche à sa fin dans les pires des auspices.

C'est à la fois presque fini, et en même temps, j'ai le sentiment que ça ne fait que commencer.

Monokuma nous fait nous placer, nous, et les cinq autres qui sont arrivés à peu près en même temps que nous. Nos places sont relativement identiques, ce qui fait que je retrouve avec plaisir Emerens à côté de moi, ignorant du mieux qe je puisse le portrait d'Alannah à mes côtés.

Elle est morte. Et avec elle notre dernière possibilité de ne pas voir l'Enfer que je viens de vivre, qu'on vient tous de vivre. Elle est morte pour que Nako meure à son tour, inutilement, et maintenant, je dois en trouver le meurtrier, et condamner cette personne.

« Pourquoi on est là, marmonne Seo-jun, qui ne me semble vraiment, vraiment pas bien. Pourquoi on est pas dans la salle de procès habituelle...

— Plusieurs raisons, sourit Monokuma. Raison une, le Musée a été transféré ici par moi pour plus de commodité, et ce serait dommage que vos petits camarades tombés ne puissent pas regarder votre dernière chute... Raison deux, de toute façon, je ne peux plus accéder à l'ancienne ! Il n'y avait aucun accès prévu depuis le cercle deux, quelque chose dont je ne me suis rendu compte qu'au moment du meurtre... Il a bien fallu que je fasse les choses correctement, pas vrai ? »

Emerens jure en néerlandais. Ce que je ne traduirai pas parce que même pour lui, c'était vraiment très brutal. Mais l'explication semble suffire à Seo-jun, qui regarde Monokuma monter sur sa tribune avec une hargne non dissimulée. Hargne que notre tortionnaire ne semble même pas remarquer, tant il est à son grand spectacle.

Nous sommes dans le Musée du Sommet de son Art. Le théâtre de notre dernier procès. De ce dernier meurtre. Et nous accompagnent les vestiges de tous les gens tombés ou victimes avant nous.

Super, ça va bien m'aider à réfléchir, ça.

Il faut que je me concentre. Ce procès va déjà être assez compliqué comme ça. Il faut absolument que je puisse disposer de toutes mes capacités cérébrales. Pour notre survie. La mienne, et celle de tous les innocents qui se trouvent devant moi.

Je me frappe les joues, deux fois. Allez. On y va.

« J'vais commencer par un récap de ce qu'on sait, okay ? On verra ensuite sur quoi on enchaîne. »

Ansgar hoche la tête, et je branche mon Monodossier à la tribune qui heureusement, dispose de toutes les fonctionnalités de celle de notre précédente salle de procès.

« Nako est morte devant nous, comme vous l'avez tous compris, je soupire, un peu à contrecœur. Empoisonnée. Je l'ai vue tousser du sang juste avant que tout ne s'effondre, et Seo-jun était avec moi. A ce moment-là, Moanaura était avec elle, Ansgar et Sachiko ensemble, et Emerens en dehors de la salle pour des raisons inconnues. Je l'ai vu en sortir seulement quelques minutes avant la mort de Nako.

— Il a posé le verre sans boire dedans et s'est précipité dehors, gronde Moanaura. Moi aussi, je l'ai vu. »

Emerens soupire, mais n'ajoute rien. Très bien, donc je ne saurai pas où il est allé.

Si ça avait seulement une importance dans ce cas de figure.

Enfin peu importe. Je balaie mon assistance du regard, m'assure son attention, avant de continuer.

« L'agonie de Nako a été... Douloureuse, je grommelle en évitant le regard furieux de Moanaura, mais rapide. Au bout de quelque chose comme quinze minutes, elle était morte. Le poison utilisé était vraisemblablement immédiat, mais puisqu'il s'agit de poison... »

Je soupire.

« Il y a des chances pour qu'on doive se référer à la règle de Monokuma comme quoi le meurtrier est celui qui a orchestré le meurtre, et pas celui qui a porté le coup fatal.

— A ce propos, annonce un Monokuma souriant. J'ai quelque chose à rajouter. »

Je lève les yeux vers lui.

« Comment ça ? »

Il a un petit rire.

Un rire qui me glace le sang.

« A propos du tueur de ce Chapitre. Ou devrais-je dire des tueurs ? »

Son rire se renforce encore plus, alors que chacun d'entre nous sans exception se met à trembler dans ses bottes.

« J'en veux deux. Deux noms à l'issue de ce procès. Si un seul manque ou n'est pas le bon, eh bien, vous savez ce qui arrive... »

... Putain.

Oui, on s'en doute très bien. Mais ce n'est pas ça qui m'inquiète.

Ce qui m'inquiète, c'est son emploi du pluriel. Son insistance sur le chiffre. Le fait qu'il faut qu'on lui livre non pas un...

Mais deux noms.

Deux noms...

Deux tueurs.

Il y a deux tueurs sur ce procès, et il veut les exécuter tous les deux. Nous ne sortirons pas à cinq, mais à quatre.

Et surtout, il va désormais falloir que je prenne en compte la possibilité avérée d'une complicité.

« ... Deux tueurs ?!? Hurle Seo-jun. Mais putain de merde, ça s'est jamais vu ! Ce n'est même pas censé pouvoir se produire !

— Eh, je renouvelle un peu par rapport à l'Impératrice, ricane Monokuma l'air très satisfait de son petit effet. Et la règle de l'organisateur me permet de prendre en compte ce genre d'aléas. Deux personnes ont organisé ce meurtre. Donc, je veux les tuer toutes les deux. »

Son affreux rire résonne dans toute la pièce alors qu'il se penche vers la tribune, un sourire carnassier aux lèvres.

« Allons, vous ne voulez pas envoyer à l'échafaud celui qui a tué votre si chère maman ? Vous me surprenez !

— Ferme-là, Monokuma, gronde Moanaura. Tu ne sais rien de notre douleur. Et on va pas te laisser très longtemps faire ce que bon te chante, putain de merde !

— Oh, mais vous n'avez pas beaucoup le choix, j'en ai bien peur. Alors, on le reprend, ce procès, oui ou non ? »

...

On est bel et bien piégés.

Personne ne réussira à arrêter ce monstre maintenant. Et la machine est trop bien lancée pour être grippée seulement maintenant. Si je veux survivre, je dois aller au bout de ce procès.

Je jette un œil à mon entourage. A Ansgar, qui compte sur ses doigts, blême. A Moanaura, qui a les poings serrés sur son sabre qui n'aura jamais servi. A Seo-jun, qui semble à deux doigts de se jeter sur Monokuma sans jamais pouvoir le faire. A Emerens, qui est recroquevillé sur sa tribune, blanc comme un linge, la respiration haletante, et marmonne des trucs que je n'entends pas. A Sachiko, qui se ronge les ongles nerveusement, ses grands yeux jaunes écarquillés fixés sur Monokuma qui n'a cessé de sourire.

S'il y a deux tueurs parmi eux, alors je dois sauver les autres.

Même si je dois sacrifier les gens que j'aime.

C'est la seule solution.

Je peux décider de mettre ma propre vie dans la balance, mais devant moi, il y a trois innocents qui n'ont rien demandé et se raccrochent à mes raisonnements pour survivre. Si proches de la fin.

Je dois absolument y arriver.

« Calmez-vous, finit par lancer Ansgar. Cela ne fait que changer les raisonnements à avoir.

— ça veut aussi dire que deux personnes vont mourir à la fin de ce procès, Ansgar ! Hurle Moanaura au bord de la crise de nerfs. Que deux personnes se sont concertées et ont décidé de tuer quelqu'un avant que ça ne tombe sur Nako ! Je peux pas me calmer comme ça, putain, je peux pas !

— Pourtant, il va bien falloir, la coupe l'Ultime Dictateurice d'un ton sec, parce qu'à moins que tu sois la coupable, ou l'une des coupables, tu dois survivre, et c'est la seule solution. »

Ouais. Ansgar a raison. On doit se calmer et réfléchir. Je dois essayer de trouver comment aborder ce procès.

Alors voyons...

Il vaut mieux commencer par les éléments sûrs.

« Tous autant que vous êtes, je vous enjoins à la réflexion, continue de dire Ansgar de manière assez sèche. Nous devons survivre. Nous devons comprendre. Et on n'arrivera à rien en paniquant. C'est bien compris ? »

Toutes brutales qu'elles soient, les paroles d'Ansgar arrivent au moins à réveiller Sachiko et Emerens. Qui relèvent la tête, d'abord vers Ansgar, puis vers moi, d'un geste presque identique. Moanaura, de son côté, cesse de crier, et Seo-jun pousse un profond soupir.

On dirait bien que j'ai le retour de l'antenne. Très bien, autant en profiter au maximum.

« Okay, les gars. Voilà comment on va faire. »

Tout le monde me regarde. Mais pour une fois, j'arrive à le mettre de côté.

« On a deux tueurs. Traduction, si un plan a été mené, n'importe quelle étape du plan pouvait être accomplie par l'un ou l'autre. Donc, chercher les alibis de quelqu'un maintenant ne servirait à rien, sauf si par miracle il y a une grosse proportion de gens qui n'auraient pu participer à aucune des étapes.

— Sauf qu'on les connaît pas, ces étapes, Thibs, grommelle Emerens. Donc bon. On est pas plus avancés. »

Je lui jette un regard en coin.

« Eh bien c'est exactement ce qu'on va faire. Chercher les étapes. Et une fois qu'on aura le déroulé du crime, on pourra déterminer qui a pu y participer et comment, et ainsi éliminer des possibilités évidentes. »

Je me penche vers ma tribune. Une chose à la fois, Thibault. Une chose à la fois.

« Commençons par le plus évident. Nako a été empoisonnée, on est bien d'accord ?

— Sauf si t'as autre chose à nous dire, Théoricien, » marmonne une Moanaura aux poings serrés.

Je fais le choix de l'ignorer.

« De toute façon, le Monodossier le dit. Et même si son auteur est Monokuma, je doute fort qu'il puisse nous mentir sur ce point, puisque rien d'autre n'aurait pu provoquer de tels dégâts, d'un seul coup. Mais qui dit empoisonnement dit poison. Et là, on a plusieurs possibilités...

— Un des poisons dans la cache d'armes, lance Ansgar. Une overdose de quelque chose, produit ménager, par exemple. Ou quelque chose de fabriqué, comme avec Ade. »

Je hoche la tête.

« Partons de là, on voit bien qu'il y a certaines possibilités moins évidentes que d'autres. Par exemple, on a plus accès à de quoi synthétiser une des drogues d'Ade, quand bien même quelqu'un en aurait conservé la recette. Il n'y a plus de labo, et la cuisine était constamment utilisée. Et pour ce qui est des produits ménagers...

— ... On en avait pas, grommelle Seo-jun. Pas de javel ni de mort aux rats, tout juste du liquide vaisselle. Ça m'a surpris, d'ailleurs.

— Exactement. Donc la seule possibilité, c'est un poison de la cache d'armes. »

Bon, j'avoue que je commence par énoncer l'évidence, mais plus vite quelque chose est établi dans la pierre, mieux ça vaut. On ne progresse pas en remettant en cause les certitudes établies plus tôt. Sinon, c'est brouillon, et c'est précisément à ce procès-là que je dois me montrer structuré.

Allez, Thibault. Il faut continuer. Aller jusqu'au bout. Ce n'est que le début de l'argumentaire.

Je porte une main à la poche de ma veste, avant d'en sortir la petite bouteille de poison à moitié vide.

« Ça, c'est un des poisons qui aurait pu être utilisés. Le D-59. Mais il y en a un autre, surnommé G-18, qui a disparu de la cache d'armes entre notre inventaire avec Sachiko et Moanaura et aujourd'hui. Et puisque c'est forcément un poison de la cache d'armes, c'est forcément un de ces deux poisons qui a été utilisé. Donc, on va commencer par ça. »

Je pose le poison sur ma tribune. Avec précaution, on parle quand même d'un foutu poison. Et de ma principale pièce à conviction dans ce meurtre. Donc bon, disons que j'ai pas trop, trop envie de l'éclater.

Moanaura et Seo-jun échangent un regard. De même qu'Ansgar et Sachiko. Emerens est le seul à me fixer. Avant de finalement, pincer les lèvres.

« ... On en a parlé avant, Thibs. C'est assez évident que c'est celui-là...

— Je veux qu'on soit tous d'accord, je le coupe. Parce que même si celui-ci correspond, il y en a quand même un autre qui a disparu. Et je veux comprendre pourquoi. »

Il se mord la lèvre, mais n'ajoute rien. J'ai tout le loisir de me tourner vers les autres.

« Récapitulons. Le D-59 est un liquide, très volatil à l'air libre mais qui se conserve très bien dans un milieu humide. Action immédiate sur le système digestif avec création d'ulcères, provoque des anévrismes à forte dose, mort par destruction des organes vitaux ou hémorragie interne, ce qui est le plus rapide. C'est celui-ci, dont on est certains qu'il a été utilisé. »

Je montre la petite bouteille avant de projeter l'autre fiche du poison sur mon Monodossier.

« L'autre, celui qui a disparu, c'est le G-18. Se présente sous forme de gaz à température ambiante mais repasse très vite à une forme de liquide à des températures frôlant le zéro. Provoque une paralysie respiratoire type curare à la première inhalation, mort immédiate aussi, mais pas de sang. Donc, pas les symptômes de Nako.

— Dans ce cas c'est plutôt clair, nan ? Lance Seo-jun. Celui qui a tué Nako, c'est le D-59. Fin de l'histoire.

— En effet, je soupire, et le fait que Monokuma ait voulu m'entraîner sur une fausse piste en emportant avec lui deux poisons à action lente... prouve bien que la mort a immédiatement suivi l'ingestion du poison. Mais il reste la question du G-18. Je veux qu'on puisse savoir à quoi il servirait. »

Cela nous apporterait sûrement des indices précieux, et peut-être, un début de piste. Après tout, deux tueurs, ça n'empêche pas que le deuxième ait prévu un plan B et ait été moins précautionneux. Le moindre indice est le bon.

Même si on s'éloigne un peu du meurtre, il faut que tout soit fixé. Donc, s'ils ont la moindre info utile maintenant...

« Je vois pas l'intérêt, gronde Moanaura. C'est assez clair que c'est pas le G-18 qui a pu être utilisé ici, on était à température ambiante et dans une salle fermée ! Tout le monde serait mort, et je pense que personne aurait voulu l'utiliser dans une salle bondée ! On peut pas plutôt se concentrer sur le D-59 et le putain de meurtre produit là, maintenant, tout de suite ? »

Je grimace. Eh bé ça commence bien...

« Tout le monde serait mort sauf Emerens, réplique Seo-jun. Il est parti un peu avant la mort de Nako, vous vous souvenez ?

— La question reste la même que la fois dernière, grommelle Sachiko. Thibault était dans la salle. Même au fond du Désespoir, il aurait pas pu le tuer. Fin de l'histoire. »

Mouaif. Surtout que ça me semble assez improbable qu'Emerens se résolve à ça. Parce que du coup, je n'ai aucune idée de comment se déroulerait le procès, mais je doute que Monokuma ne laisse passer cette occasion pour l'exécuter. Enfin, je dis ça, mais les meurtres de plus de trois personnes sont interdits depuis les Abysses... Qui sait quelle règle Monokuma a repris.

Raison de plus pour que ce soit trop risqué, d'ailleurs.

Et Emerens, au vu de son expression, semble bien d'accord avec moi. Il ne répond pas, mais son regard de jugement sur Seo-jun vaut tous les mots.

« C'est assez clair que ce genre de plan est impossible et lui vaudrait surtout de se faire tuer, je coupe court alors que Seo-jun marmonne un truc dans sa barbe. Mais le poison a bien été pris pour quelque chose. Le meurtrier a donc un plan B. et si ça se trouve, ce plan B peut nous emporter quelque part...

— Tout ça, c'est vachement nébuleux, quand même, me coupe Seo-jun. Partir sur le plan B alors qu'on sait déjà pas d'où vient le plan A ? Je pense que c'est s'éloigner du problème. Sauf si tu sais des trucs supplémentaires ?

— Non, mais...

— Mais Seo-jun a raison, me coupe Ansgar. Ce plan B, comme tu dis, n'a pas été exécuté, et on ne sait rien dessus, surtout pas toi, visiblement. Donc, le mieux, c'est qu'on établisse d'abord le plan A avant de revenir au plan B. S'il te plaît, Thibault ? Nous devons nous concentrer. »

... J'aime pas ça, putain, j'aime pas ça. Plus je parle de ce plan B et plus je sens qu'il y a un truc qui cloche, un truc que je devrais savoir.

Et c'est pas que j'ai pas envie de suivre ce pressentiment, mais là ça me travaille vraiment. Je suis sûr que le G-18 a une importance, certain, même, et je dois trouver quoi. Parce que ça me conduirait sûrement sur une piste détournée vers le tueur.

Mais Ansgar a raison. On a déjà le plan A à établir, et dans la logique des choses, il faut d'abord se concentrer sur ce qui a été fixé. Sinon, on se perd. Se concentrer sur les faits, les faits et uniquement les faits.

J'y reviendrai plus tard. Pour l'instant, je dois démêler ce sac de nœuds.

Pour Nako.


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